Il n'est pas encore mort

Chapitre 3 : Ou est-ce que vous gardez vos œufs à la coque ?

3655 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 12/11/2019 12:49


  Harry était assez nerveux lorsqu'il entra dans Gringotts ce mercredi. Il s'était habillé dans un ensemble respectable de robes gris-bleu et avait décidé d'utiliser sa capacité de Metamorphage pour forcer ses cheveux à être plat, Harry avait décider qu'il n'allait jouer avec sa vue pour le moment, mais il réduisit l'importance de sa cicatrice. Fidèle à sa parole, Mr Prewett avait rejoint Harry au Chaudron Baveur à 13h15. La raison pour laquelle il avait voulu se réunir si tôt c'était que les gobelins respectaient ceux qui respectent leurs rendez vous avec la banque (la ponctualité étant essentielle).


  Harry s'approcha d'un gobelins qui pesait des pierre précieuse.


- Bonjour monsieur, nous somme ici pour une réunion avec le directeur Ragnok, déclara-t-il.


- Vos noms ?


- Harry Potter et Josiah Prewett.


- Vous n'êtes pas programmé avant 14h00, Mr Potter.


- Nous voulions nous assurer que nous serions pas en retard monsieur, répondit Harry. Nous voulions également être certains que les tâches de l'honorable directeur étaient terminées, de sorte à ce que nous ne prenions pas trop de son temps.


  Le gobelin dont le nom était Steelsword, était plutôt surpris par le respect dont faisait preuve le jeune sorcier. La plupart des sorciers et sorcières britanniques ne se souciaient guère des pratiques et des procédures de Gringotts, beaucoup venaient juste faire irruption dans la banque en demandant à être conduits à leur coffres. Steelsword senti qu'il ne traitait pas avec un sorcier ordinaire, il partit immédiatement pour le bureau du directeur. Et en moins de dix minutes, Harry et Josiah Prewett furent invité à se réunir plus tôt.


- Mr Potter, a déclaré le directeur Ragnok. C'est un plaisir de vous rencontrer enfin. Depuis que vous êtes entré dans Gringotts pour retirer de l'argent de votre coffre-fort, nous vous avons envoyé des relevés annuels des fonds de la famille Potter et nous n'avons pas encore reçu de réponse...


- Mes excuses les plus sincères directeur Ragnok, dit Harry. La première correspondance que j'ai jamais reçu du monde magique à été ma lettre de Poudlard. Après cela le seul courrier que j'ai reçu à été envoyé par quelques amis proches.


- C'est très étranges Mr Potter... N'avez vous jamais reçu de fan-mail ? Vous êtes l'un des sorciers les plus célèbres de Grande-Bretagne.


- J'ai bien peur que non monsieur.


  Les yeux de Ragnok avaient rétrécis.


- Il y a un autre sujet dont je souhaite discuter Mr Potter. Nous avons trouvé certaines anomalies dans votre compte. Nous avons découvert, qu'une personne personne à illégalement retiré de l'argent et d'autres objets de votre coffre-fort. Nous croyons que la seul personne qui pourrait avoir ce pouvoir est votre prétendue Gardien Magique, un certains Albus Dumbledore.


- Alors le vieux bâtard la encore fait... marmonna M. Prewett.


- En effet M. Prewett, répondit Ragnok, ce qui surpris par Prewett qui pensait ne pas avoir parlé très fort. Nous avons examiné l'inventaire du coffre-fort de M. Potter et avons découvert que M. Dumbledore avait retiré beaucoup d'argent et prit les héritages de la famille Potter.


- Comment pourrait-il même aller dans le coffre de M. Potter ? Seul un gobelin peut y accéder.


- Nous avons appris que le responsable des comptes pour les coffres-forts Potter avait accepté des pots-de-vins. Je peux vous assurer en toute sincérité qu'il ne le fera plus jamais.


  Son sourire semblable à un requins indiqua aux deux humains qu'ils n'avaient pas besoin d'en savoir plus.

- Heureusement, Dumbledore n'a pas pu accéder aux caveaux de la famille Potter, ceux-ci sont très anciens et nécessitent une identification par le sang pour entrer.


- Directeur Ragnok, dit Harry. Dumbledore a-t-il arrangé quelque chose d'autre à mon insu ou sans mon consentement ? Comme... un contrat de mariage, par exemple ?


- Je suis content que vous m'ayez demandé cela, Mr Potter.


  Ragnok passa le document tant redouté à Harry.


- Ce certificat signés par Albus Dumbledore, indique que vous devez épouser Miss Ginerva Molly Weasley au plus tard à l'âge de dix-sept ans.


  Harry se sentie malade et remarqua que Mr Prewett serrait les poings à la mention de la fille de Molly Weasley.


- Dumbledore peut-il s'en tirer comme ça ? demanda M. Prewett.


- Jusqu'à ce que nous sachions si il a l'autorité de se nommer comme le Gardien Magique de Mr Potter il peut le faire, à moins ne soit émancipé ou ait un tuteur différent.


- Nous travaillons actuellement à cela, et ce dernier sera probablement mentionné lors de la lecture du testament.


- Très bien. Maintenant en ce qui concerne les raison pour lesquelles vous avez organiser cette réunion, Mr Potter.

Le département des successions à amener ceci, il leva un morceau de parchemin de couleur crème. Signez simplement votre nom avec et le parchemin révélera si vous avez d'autres titres et coffres à réclamer.


  Harry reçut une plume de sang, la sensation de tenir ledit objet le rendais presque malade à cause de tout les mauvais souvenirs associés. Harry signa son nom sur le parchemin et une liste de mot apparue immédiatement.


  Harry James Potter


- Héritier de la plus ancienne et de la plus noble maison Potter

- Héritier de la plus ancienne et de la plus noble maison Perevell

- Héritier de la plus ancienne et de la plus noble maison Gryffondor

- Héritier de la plus ancienne et de la plus noble maison Serdaigle

- Héritier de la plus ancienne et de la plus noble maison Poufsouffle

- Héritier de la plus ancienne et de la plus noble maison Serpentard

- Héritier de la noble maison Florus

- Héritier de l'ancienne maison Evans


- Bien, bien, Mr Potter c'est assez intriguant, dit Ragnok alors que son sourire en forme de requin devenait plus prononcé.


  Après le test d'héritage dans lequel Harry fut informé qu'il détenait tous les droits sur les coffres-forts et les propriétés des familles mentionnées, l'heure était à la lecture du testament. Harry et Mr Prewett prirent place, en que directeur, Ragnok, accompagné du chef du département des testaments, un gobelins nommé Earwrench qui commença la réunion.


- Nous somme réunis ici, aujourd'hui, à déclaré Earwrench. Pour assister à la lecture du testament conjoint de James Charlus Potter et de sa femme Lily Anne Potter née Evans.


  Earwrench plaça une boîte en or richement décoré sur la table et l'a déverrouillé. De la boîte il sortit un parchemin qui portait un sceau officiel en cire rouge. Harry remarqua que le sceau représentait un lion avec la patte droite en tenant une paire d'épée croisées. Une fois le document déroulé, il commença à planer en l'air alors qu'une voix lisait ce qui était écrit.





- Moi James Charlus Potter, de corps et d'esprit sains, je légue tout ce que je possède en argent et en propriété à mon fils unique Harry James Potter, avec plusieurs objets personnels.


Tout d'abord, je laisse 200 000 Gallions à mon ami et confident le plus proche, mon frère tout sauf le sang, Sirius Orion Black. Ne dépensez pas tout en une fois Patmol, et à ceux qui l'écoutent ce n'est pas une exagération. 


Deuxièmement, à mon autre cher ami, Remus John Lupin, je laisse 100 000 Gallions et une allocation annuelle de 5 000 Gallions s'il n'a pas d'emplois actuellement. 


Troisièmement, à mon ami, Peter Pettigrew, si je meurs de cause naturelles je vous laisse également 100 000 Gallions. Toute fois si je meurt par la main de Voldemort ou part un Mangemort, je demande votre arrestation immédiate. Je vous ai confié ma vie et celle de ma famille lorsque je vous ai nommé gardien du secret.

Maintenant laissez-moi confier le reste de cette volonté à ma chère Lily-fleur.


- Ne m'appelle pas comme ça James ! Moi, Lily Anne Potter née Evans, mon corps et mon esprit sains, je me charge de la continuation de cette volonté.


Si mon mari et moi sommes tous les deux morts, les personnes suivantes ont été approuvées en tant que gardien et gardiennes appropriés pour notre fils.


Francis Albert Londubat et Alice Diane Londubat née Baldwin : ils sont de bons amis et Alice est la marraine de Harry. Ils forment un couple marié et bien établi qui a son propre enfant et constitue notre premier choix en tant que tuteurs.


Sirius Orion Black : Bien que je pense que Sirius a tendance à être irresponsable, je sais qu'il mettra toujours Harry en priorités et il le défendra jusqu'à son dernier souffle. C'est pourquoi nous l'avons nommé parrain.


Remus John Lupin : Même si il peut-être réticent à s'occuper d'un enfant en raison d'un certain état de santé, nous pensons qu'il est capable de prendre soin de notre fils.


Amelia Susan Bones : elle est la marraine de James et une bonne amie a nous, elle s'occupe aussi de sa nièce et je sais que la petite Susan s'entend toujours bien avec Harry chaque fois qu'on nous demande de garder des enfants.


Mary Adelaide MacDonald : une de mes bonnes amies d'école, avec qui j'ai gardé une correspondance. Je sais que Mary est fiancée pour le moment, mais je suis sûre qu'elle et son futur mari seraient de merveilleux parents adoptifs pour Harry.


Théodore Henry Tonks et Andromeda Ursula Tonks née Black : ils forment une famille digne de confiance et Andromeda est la cousine de Sirius. J'ai eu le plaisir de les rencontrer avec leur fille à de nombreuses reprises et je sais qu'elles conviendraient parfaitement.


Si aucune de ces personnes serait incapable de s'occuper de Harry, nous demandons qu'il soit placé dans une famille déterminée par le Magenmagot tant que cette famille n'a jamais été mêlée aux Mangemorts, pas même si il prétendaient être sous le charme le L'Imperium. Quelle que soit la famille dans laquelle Harry est envoyé, une allocution de 10 000 Gallions sera versé chaque années. 


En outre, notre fils ne doit jamais aller voir ma sœur et sa famille. Pétunia et moi ne sommes pas en bons termes et je sais qu'elle et son mari méprisent la magie.


- En plus, cette femme est une vrai salope.


- James !


- Eh bien elle l'est, Lily-fleur. Tu te souviens de ce qui s'est passé lors de notre dernières visite ?


- Je suppose que vous marquer un point.

Quoi qu'il en soit avant de partir, nous aimerons dire quelque chose à notre fils. Harry, mon cœur, nous t'aimons tout les deux plus que tout au monde. Nous savons que tu va devenir un beau jeune homme.


- Et je sais que tu seras un vrai charmeur avec les dames, depuis que tu a ma belle mine.


- J'espère juste qu'il n'a pas ton énorme tête James.


- Oh, Harry, assure-toi de faire de bonnes blagues. Tu a un héritage à faire vivre en tant que fils de Maraudeur !


- James, arrête. Ignore ton père, Harry. Tu n'est pas obligé de faire des farces si tu ne veux pas. Personnellement, je préférais que tu n'en face pas.


- Oh, Lily ! Ne tue pas la joie !


- Au revoir Harry, nous t'aimons.


- Je t'aime, Harry au revoir.


Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore à été témoins de ce testament.




- Eh bien, déclara Earwrench une fois que le testament tombé sur la table. Il semble que nous ayons eu des révélations.


- En effet, ajouta Ragnok avec un léger grincement. Albus Dumbledore connaissait le contenue du testament et à délibérément porté atteinte à ses instructions. Monsieur Potter, je crois que vous pouvez détruire ce contrat de mariage immédiatement.


  Sans perde un instant Harry sortit le contrat, M. Prewett lui tendit un briquet. En quelques instants, les cendres du contrat de mariage tombèrent sur le sol. C'était curieusement satisfaisant à regarder.


- Maintenant que tout est réglé, poursuivit Ragnok. Nous pouvons poursuivre. Les personnes mentionnées recevront leur dus, à l'exception de M. Pettigrew, qui est un traître. Mr Potter si vous êtes prêt, je vais appeler quelqu'un pour vous escorté au coffre de votre famille.


- Bien sûr monsieur, dit Harry. Puis-je demander Gripsec ? Il m'a montré le coffre-fort de ma famille la première fois que je suis venu ici.


  Ragnok et Earwrench semblèrent surpris. Gripsec fut donc appelé et lui aussi était surpris qu'un sorcier connaisse son nom. Alors que Harry et Mr Prewett étaient conduits à l'extérieur, Ragnok se tourna vers Earwrench.


- Ce jeune M. Potter est un sorcier inhabituel, dit-il.


- En effet monsieur, acquiesça Earwrench. Ce garçon nous a traités avec une courtoisie que l'on ne trouve pas dans le monde des sorciers. Cependant, quelque chose ne vas pas...


- Qui a-t-il monsieur ?


- Tout d'abord, je veux savoir pourquoi Albus Dumbledore à volé l'héritage de M. Potter. De plus je veux savoir pourquoi il est allé à l'encontre des instructions de la volonté des Potter. Tout le monde sait que le jeune M. Potter à été envoyé vivre chez ses parents Moldus, mais il semble qu'une telle action était illégale.


- Dois-je informer le personnel monsieur ?


- Non pas encore, je veux attendre et voir ce que M. Potter à l'intention de faire à ce sujet.


- Monsieur ?


- Oui Earwrench ?


- Je sentais qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas dans la réaction de M. Potter lorsque ses parents Moldus ont été mentionnés.


- Oui, je l'ai vu aussi. Il semblait tendu. Qu'est-ce que cela signifie ?


- J'ai vu le garçon lorsqu'il est arrivé pour la première fois à Gringotts Monsieur. Il état en compagnie de ce demi-géant, Rubeus Hagrid. De l'endroit où j'étais assis, le garçons avait l'air de porter des haillons et de ne pas avoir été nourri. Je pouvais aussi sentir le sang, peut-être d'une plaie non traitée.


- Vous ne pensez pas... le directeur s'interrompit.


  Il existe un fait peu connu sur les gobelins, même si ils sont de nature violente, ils ne peuvent pas tolérer les torts causés à un enfant. L'idée que l'héritier de l'un de leur clients les plus âgés (et enfin de compte l'héritier de plusieurs autres clients) ait été abusée, était quelque chose qui dégoûtait les deux gobelins. Pour les gobelins, les enfants étaient considérés comme une bénédiction, et faire du mal à l'un d'entre eux était considéré comme l'un des actes les plus dégoûtant qu'une personne puisse commettre. Les deux gobelins se sont mis d'accord que si Harry Potter voulaient se venger pour le traitement qu'il a subis chez les Dursley, ils seraient heureux de donner leur appui dans l'exécution de sa vengeance. 




  La descente aux voûtes de la famille Potter était plus longue que celle du coffre de Harry. Le wagonnet les fit descendre dans l'un des niveaux les plus profonds de la mine. Au lieu d'un dragon, quelque chose d'autre gardait les voûtes Potter. Un grand Sphinx à la fourrure jaune et à la crinière épaisse et brune aux yeux en forme d'amande verte les fixait.


- Les voûtes des Potter sont gardée par un Sphinx depuis des générations, expliqua Gripsec. Les Potter ont commencé cette tradition en affirmant que tout Potter qui ne peut pas répondre à quelques questions simple ne mérite pas l'accès aux divers coffre-forts.


  Le Sphinx sourit malicieusement à Harry.


- Demandez - moi, dit Harry à la créature.


  Le Sphinx sourit et commença.


- Ceux qui s'approchent des coffres des Potter doivent me répondre aux questions suivantes, dit-elle.


- Posez - moi les questions Miss Sphinx, dit Harry. Je n'ai pas peur.


- Quel est votre nom ?


- Harry James potter.


- Quelle est votre quête ?


- Inspecter les coffres de ma famille.


- Quelle est votre couleur préférée ?


- Vert.


- D'accord allez-y.


- Euh... merci ?


  Les deux hommes et le gobelin poursuivirent leur chemin.


- Elle pose toujours des question facile aux Potter, expliqua Gripsec. Vous auriez du entendre ce quel à demander aux autres personnes qui ont essayé d'accéder aux coffres.


- Comment ça ?


- Je crois qu'elle a demandé à Albus Dumbledore qu'elle était la vitesse d'une hirondelle non chargés dans les airs.


- Une hirondelle africaine ou Européenne ? demanda Josiah


  Gripsec sourit et haussa les épaules.


- Y a-t-il un moyen de retirer l'argent de mon coffre sans devoir aller et venir dans Gringotts ?


- Oui Mr Potter. Nous avons développé des portefeuilles spéciaux qui vous permettent de retirer automatiquement des pièces dans les coffres. Cependant, si vous souhaitez voir des objets particuliers comme des documents. Alors vous devrez revenir à la voûte en personne.


  Après avoir pris note mentalement d'acheter un de ces portefeuilles, Harry s'approcha du premier coffre. Gripsec ouvrit la chambre forte et l'ouvrit pour révéler une immense chambre remplie de pièce d'or, d'argent et (dans une moindre mesure) en bronze.


- Ne dépensez pas tout au même endroit, plaisanta Josiah avec gentillesse.


  Le prochain coffre qu'ils ont visité était entièrement dédié aux bijoux et autres objets de valeur qui étaient utilisées par les Lady Potter. Ils se sont ensuite dirigés vers une chambre qui étaient en réalités une sorte de bibliothèque privée, Harry s'assura d'en prendre avec lui.


Il y avait un coffre plus petit qui contenait ce qui avait été récupéré de la maison de Godric's Hollow, puis il y avait un coffre immense qui contenait les artefacts les plus précieux de la famille (journaux, des actes de mariages / de naissance, des documents concernant des propriétés familial, et des lettres).


  Enfin, il y avait une chambre forte contenant les portraits de James et Lily Potter. C'était quelque chose que Harry n'avait jamais pensé pouvoir réaliser dans ses rêves les plus fous.

Harry entra dans la chambre avec une immense trépidations. Dès qu'il entra, la pièce s'illumina pour révéler les portraits endormie des parents de Harry.


- Euh... bonjour ? dit doucement Harry.


  Le portrait de James marmonna alors qu'il commençait à se réveiller.


- Harry ? Harry, c'est toi mon fils ?


- Oui... c'est moi.


- Lily réveille toi ! C'est Harry !


- Harry ! Mon chérie c'est un plaisir de te voir, s'exclama Lily. Nous attendons depuis longtemps que tu vienne nous voire.


  Harry eu l'impression que son cœur se déchirer. Enfin, il avait un moyen de communiquer avec ses parents. Même si ce n'est pas vraiment eux. Harry eut une brève mais heureuse rencontre avec les portraits de ses parents. Il leur donna une brève explication de ce qui était arrivé après leur mort (Lily était tellement en colère qu'elle semblait prête à sortir de son portrait pour tuer Dumbledore). Avant que Harry ne parte, les portraits de ses parents lui dirent de d'aller faire un tour aux Manoir Potter pendant les vacances, avant de disparaître.


Une fois m'affaire conclue à Gringotts, Harry se dirigea ver le Chaudron Baveur.




De son côtés, Albus Dumbledore était assis dans son bureau. Il préparait un plan pour : Le plus grand bien. Lorsqu'un hibou rentra et laissa tomber une lettre sur son bureau. Dumbledore reconnut le sceau de Gringotts et sur immédiatement que quelque n'allait pas.


Cher M. Dumbledore,


Nous avons constaté que vous avez interférez avec la politique de la banque Gringotts, vous avez altéré les compte d'un de nos client, M. Harry James Potter. Votre compte à été saisi jusqu'à ce que vous ayez remboursé l'argent volé plus les intérêts.

Cordialement,


Directeur principal Ragnok.


  Cela ne sentait pas bon.


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