Annastasia et le pouvoir de l'impérium

Chapitre 30 : Après la tristesse...

Chapitre final

3193 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 20/06/2020 19:24

Le mois de juin était arrivé avec le soleil et la chaleur. Tous les élèves s'en trouvait heureux, sauf quelques uns qui n'arrivaient pas à voir la lumière après une telle épreuve...

Les funérailles de Soleine eurent lieu un samedi. Anna, Harry, Ron et Hermione furent escortés dans une église par tout un tas d'aurors, ainsi que Padfoot. Tout le monde pleura et Anna ne put se retenir longtemps en voyant la mère de Soleine s'écrouler par terre... Son père n'avait pas daigné se présenter, mais Ron déclara que c'était mieu comme cela. La cérémonie dura une demi heure. Chacun d'eux allèrent porter une rose sur le cerceuil de Soleine et firent leur adieu.

Anna et ses amis passèrent la majorité de leur temps ensemble à Poudlard, à rendre visite à Padfoot, à jouer aux échecs ou étudier pour les examens. Hermione leur rappelait sans grande conviction que c'était important, mais même elle n'avait plus trop le coeur aux études.

Anna dormait toujours avec son père, à présent. Elle se sentait un peu mal de laisser Hermione seule avec les autres filles, mais elle n'était pas capable de rester dans le dortoir. L'absence de Soleine lui pesait trop et elle avait besoin de réconfort, la nuit. Padfoot était très attentionné envers elle et elle appréciait beaucoup.

Anna attendait avec Harry et Ron devant la porte d'un bureau improvisé. Le psychomage que Dumbledore avait engagé était un homme au teint foncé et aux yeux sombres. Hermione se trouvait dans son bureau. Elle en sortit une demi heure plus tard, en essuyant ses larmes. Ron lui pressa l'épaule avec un sourire triste. Anna entra ensuite dans le bureau, en se demandant pourquoi elle avait promis à son père d'y faire un tour. Le psychomage lui sourit et lui fit signe de s'assoir.


- Bonjour, quel est ton nom ? Demanda t'il.

- Anna Black, répondit Anna, un peu mal à l'aise.

- Oh, je vois... tu es celle qui s'est fait capturer ?

- Euh, ouais...

- Tu as dû vivre quelque chose de terrible. Veux tu en parler ?

- Pas vraiment...

- D'accord... que fais tu ici, alors ?

- J'ai promis à mon père...

- Parler est le seule remède pour ce genre de chose, tu sais, Anna.

- Je parle beaucoup avec mon père.

- D'accord... Comment te sens tu, en ce moment ?

- Un peu bizarre...

- Comment cela ?

- Je ne sais pas...


II y eut un petit silence et Anna se sentit plus que ridicule. Elle eut un sourire mal à l'aise et l'homme continua de l'observer comme si elle avait une maladie. Anna se leva finalement en s'excusant.


- Merci pour votre aide, dit elle.


Et elle sortit rapidement. Ses amis la regardèrent, surpris.


- Ce n'était pas long, dit Harry.

- J'avais pas grand chose à dire... Je ne suis pas vraiment à l'aise de parler à un inconnu.

- C'est normal, dit Harry, qui était plutôt du même avis.


IIs quittèrent le couloir en silence pour se rendre dans leur salle commune et y passer la soirée, mais Anna décida de rendre visite à son père avec Harry. La perte de son miroir de communication la rendait triste. Elle ne pouvait plus parler à son père n'importe ou et n'importe quand... Padfoot lui avait dit qu'il tenterait d'en trouver un autre, mais il ne savait pas vraiment où chercher. Les miroirs qu'ils avaient ont été trouvé par James, à l'époque.

Lorsqu'ils arrivèrent, autour de vingt heures, dans les appartements de Padfoot, celui ci était entrain de lire le journal attentivement.


- Salut, dirent Anna et Harry d'une même voix.

- Salut, vous deux, répondit Padfoot en levant la tête.

- Il y a des mauvaises nouvelles ? Demanda Harry avec un signe vers le journal.

- Non, aucune, répondit Padfoot. Sauf cette chanteuse russe, Anika, qui a gagné un nouveau prix.


II fit une grimace et Anna ria avec Harry. Ils s'assirent à côté de Padfoot sur le divan.


- Et puis, ce psychomage ? Demanda Padfoot.


Anna et Harry s'échangèrent un regard.


- Nul, répondit Harry.

- Innutile, dit Anna.


Padfoot eut un léger rire. La rencontre de Harry avec le psychomage avait été aussi brève que celle d'Anna. Il détestait parler de ses émotions à des inconnus, mais il trouvait que Dumbledore était généreux envers les élèves. Plusieurs Gryffondor en avaient bénéficié.


- On préfère te parler, dit Harry.


Cela fit chaud au coeur à Padfoot et il souria.


- Hermione pleurait quand elle est sorti, dit Anna. Et Ron n'a pas voulu nous en parler.

- Il a pleuré aussi, déclara Harry, ça se voyait.

- C'est normal de pleurer, dit alors Padfoot.

- Toi, tu pleures jamais, pointa Anna.

- Je pleure quand personne ne me voit, répondit Padfoot, un peu honteux de devoir leur avouer.


Anna et Harry le regardèrent avec un air surpris et Padfoot leur fit un petit sourire. Ils jouèrent une partie de bataille explosive ensemble avant d'aller se coucher. Anna était un peu nostalgique que l'école termine bientôt, mais elle avait bien hâte de retourner à la maison.

Voldemort n'avait plus fait de vague depuis qu'Anna avait été capturé, mais tout le monde était aux aguets. Les Aurors restaient à Poudlard toute la journée et toute la nuit. Anna continuait ses cours avec le professeur Rogue, qui n'y allait pas de main morte. Il la poussait à bout à chaque fois.

Avant de se rendre à son dernier cours de l'année, la veille du grand départ, elle passa par le dortoir pour ramasser un peu ses choses. Son regard tomba sur la petite boule magique que Soleine lui avait offert... Son coeur se serra douloureusement et elle jeta la boule contre le mur. La vie était trop injuste...


- Elle me manque tant, dit tristement Hermione, qui l'avait observé ramasser ses choses.

- Moi aussi... répondit Anna.

- Elle ne voudrait pas qu'on pleure pour elle, tu sais. Je suis persuadé qu'elle aurait voulu qu'on fasse des blagues...

- Oui, c'est certain, répondit Anna, mais elle n'avait pas le coeur à faire des blagues.


Hermione lui serra la main en signe de réconfort.

Anna se rendit au bureau de Rogue, le coeur meurtri. Elle toqua trois petits coup et entra. Rogue l'attendait, debout devant son bureau.


- Miss Black, dit il, aujourd'hui est votre dernier cours avec moi. Je compte bien sûr sur vous pour vous entraîner durant l'été.

- Oui, monsieur.

- Vous êtes supposé être capable de me bloquer dès le premier essai, à présent.

- Je vais essayer, répondit Anna.

- Il ne faut pas essayer, il faut réussir. Je n'ai pas gaspillé toutes mes soirées pour rien.


Anna eut l'air agacé en le regardant. Rogue haussa les sourcils.


- Êtes vous prête ?

- Allez y.


Anna savait maintenant que Rogue était un puissant légilimen. Il pouvait entrer dans sa tête à volonté, sans baguette magique, et fouiller son esprit. Il la regarda en plissant les yeux et elle sentit son intrusion. Elle tenta de le repousser, de lui ordonner de dégager mais cela ne fonctionna pas. Elle revoyait le regard de Soleine, implorant, face à Voldemort. Rogue brisa soudainement le lien.


- N'allez pas là, gémit Anna.

- Empêchez moi, répliqua Rogue.


Anna ne voulait surtout pas revivre la mort de Soleine. Depuis qu'elle avait fini les potions du sommeil, son amie revenait sans cesse en rêve. Elle en avait assez. Elle souffla bruyamment tandis que Rogue recommença la legilimenci. Il faisait exprès, pensa t'elle, d'aller voir le moment où elle était captive. Elle revoyait la scène où Voldemort avait fait la marque des ténèbres à Soleine...


- Vous ne faites rien ! Clama Rogue.

- Je ne suis pas capable...

- C'est ce que vous allez dire, face au Seigneur des Ténèbres ?

- Non ! S'exclama Anna. Mais je ne vois pas la nécessité de regarder ces souvenirs là.

- Alors, empêchez moi.


Sans prévenir, il entra dans son esprit avec vigueur. Anna sentit un mal de tête s'installer et elle vit son amie étendu par terre, morte. Lestrange et Voldemort riait en la regardant crier. Anna cria brusquement et Rogue quitta son esprit.


- C'est... commenca t'il.


Mais quelque chose en Anna se mit à hurler de fureur. Comment Rogue pouvait il lui faire cela ? Il l'avait pourtant vu craquer, dans la petite pièce avec Soleine... Elle donna un coup de pied sur une chaise et fit brusquement tomber tout ce qu'il y avait sur le bureau de Rogue.


- Black ! S'exclama Rogue, l'air indigné.

- J'EN AI ASSEZ ! hurla Anna. ASSEZ !


Elle donna des coups de pied dans le bureau de Rogue et celui ci lui saisit brusquement le bras. Il la serra tellement fort qu'Anna sentit sa main s'engourdir. Elle ne pouvait pas contrôler ses excès de rage...


- Je vous interdis de faire ce genre de crise avec moi ! Rugit il.

- Vous faites exprès de me montrer sa mort ! Cria Anna.

- Vous ne pouvez pas choisir ce qu'un adversaire choisit de vous faire !

- Vous croyez que je ne le sais pas ?! Répliqua Anna d'un air mauvais. À quoi ça sert, tout ça ?! C'est de la grosse merde !

- Black, ça suffit ! Vous agissez comme une enfant pourri gâté ! Pas étonnant avec le père que vous avez !

- Ne parlez pas de mon père !

- Cessez vos enfantillages ! Vous croyez être la seule à avoir des mauvais souvenirs ? Vous croyez être la seule à être tourmenté par la vie ? Vous n'êtes pas le centre du monde, Black ! Gérez vos émotions !

- J'en ai assez ! S'exclama Anna. Merci de votre aide, mais je ne crois pas que c'est nécessaire de terminer le cours.


Rogue, qui n'avait pas lâché son bras, se mit à la secouer.


- Ce n'est pas à vous de décider ! Dumbledore m'a chargé de vous aider à augmenter votre puissance, c'est ce que je vais faire. Deux semaines ne sont vraiment pas suffisantes pour vous, mais nous avons tout de même fait du progrès.

- Du progrès ? Répéta Anna. Mais oui, maintenant, en plus des cauchemars et tout ce qui me rappelle la mort de Soleine, vous me le faites revivre ici !

- Il faut que vous concentrez votre force, Black. Cessez de pleurnicher sur votre sort.

- Je ne pleurniche pas.

- Vous ne vous battez pas.

- Bien... dit Anna. D'accord... recommencez, alors.


Anna sentait une force calme l'envahir. Rogue la mettait si en colère qu'elle voulait lui prouver qu'elle était capable de le repousser. Il la regarda quelques secondes, puis entra dans son esprit. Aussitôt, elle vit le visage de Soleine sans vie. Elle ferma les yeux et entendit la voix de Rogue la narguer. Tout à coup, tout s'embrouilla et Anna apperçut un petit garçon tout habillé de noir. Il portait l'uniforme de Serpentard et marchait avec deux jeunes filles en rouge. L'une avait les cheveux roux et l'autre, les cheveux bruns... Rogue se recula brusquement et la regarda, mi surpris, mi en colère.


- C'était ma mère et celle de Harry ? Demanda Anna.

- Peu importe, répliqua Rogue d'un air agacé. Vous avez réussi.


II y eut un petit moment de silence. Anna se sentait épuisé, vide.


- Si le Seigneur des Ténèbres tente de percer votre esprit, vous pourrez y résister un moment mais il faut continuer l'entraînement. Dites vous ceci, Black ; jamais le Seigneur des Ténèbres n'est satisfait de sa force. Vous ne devez pas l'être.

- Je ne le suis pas, répondit Anna. Je ne le serais que quand Voldemort va être mort !

- Ne croyez pas pouvoir le vaincre seule, Black, rétorqua Rogue d'un air hautain. Vous êtes un peu trop imbu de vous même si vous croyez que cela repose sur vos épaules.

- Pouruoi on fait tout ça, alors ? Répliqua Anna.

- Pour que vous lui résistez ! Pesta Rogue. Il se trouve qu'il en a après vous, si vous n'aviez pas remarqué.

- Bien sûr que j'ai remarqué, grinça Anna.

- Ne l'oubliez pas.


Anna eut l'air agacé. Pour qui la prenait Rogue ? Elle n'oubliera jamais cela.


- Va t'on continuer, l'année prochaine ? Demanda t'elle pour changer de sujet.

- On verra. D'ici là, vous avez intérêt à vous améliorer.

- Ouais, répondit Anna.


Rogue leva les yeux au ciel. Anna savait qu'il n'aimait pas ses réponses vagues, mais elle s'en fichait. Elle était bien déterminé à devenir une puissante sorcière et contrôler à la perfection son don. Il la toisa longuement du regard, comme s'il la jugeait et Anna défia son regard. Elle savait que Rogue l'avait détesté dès leur première rencontre parce qu'elle était la fille de Sirius Black. Elle savait que tous les deux se vouaient une haine sans borne. Elle s'était souvent demandé ce qui s'était passé entre eux. Padfoot avait déjà raconté des histoires dans lesquelles lui et ses amis faisaient des blagues à Rogue, mais cela ne pouvait pas générer une telle animosité. Anna pouvait sentir l'électricité dans l'air lorsqu'ils se trouvaient dans la même pièce... quoi qu'il en soit, Rogue avait tout fait pour qu'Anna le déteste aussi. Sauf qu'il lui avait tout de même sauvé la vie...

Cela voulait il dire qu'il éprouvait un peu d'affection pour elle ? Peut être parce qu'il était amie avec sa mère... ou peut être tout simplement il obéissant aux ordres de Dumbledore. Elle savait qu'elle était comme une arme pour eux. L'imperium était une excellente défense.

Rogue la congédia finalement de son bureau et elle sortit en lui souhaitant bonne vacance.

Le lendemain matin, tous les élèves devaient repartir chez eux. C'était l'effervescence dans le château et tout le monde cherchait leur affaire. Anna, Harry, Ron et Hermione étaient prêts à partir. Ils avaient tous réussi leur examen avec brio, sauf le cours de potion. Mais aucun Gryffondor n'avait eu une note plus élevé que effort exceptionnelle.

Anna et Harry n'avaient plus croisé Malfoy. Ils pensaient que le garçon les évitait, à présent. Ils en étaient plus que ravis. Anna regardait tous les élèves crier et rire et se demanda s'ils avaient vraiment conscience de ce que le retour de Voldemort signifiait. Tout le monde pouvait mourir... et personne ne semblait s'en soucier. Mais Anna voulait être prête, elle. Lorsqu'elle se retrouverait devant Voldemort, elle voulait être plus forte que lui. Harry aussi avait mentionné le souhait de vouloir se battre avec elle.

Padfoot regardait les élèves sortir du château, les mains dans les poches. Il avait l'impression que la deuxième guerre était commencé et que sa propre fille en était la cible principale. Mais il savait que Voldemort avait des comptes à régler avec Harry aussi. Il les regarda, au loin, parlant avec Ron et Hermione. Ils semblaient si petits.


- Je te dérange ? Demanda une voix féminine.


II se retourna et aperçut Tamara, qui avait un timide sourire. Il secoua doucement la tête.


- C'est fou, tout ce qui s'est passé, cette année, dit elle.

- En effet, répondit Padfoot.

- Je voulais te dire... Je suis désolé pour la dernière fois. Je n'ai pas réfléchis... j'aurais dû être là pour toi.

- Ce n'est rien, Tamara, répondit Padfoot en souriant.


II avait tout oublié, trop occuper à être inquiet en permanence pour sa famille...


- Si, c'est quelque chose, répliqua néamoins Tamara. Avec tout ce qu'a vécu ta fille... j'aurais dû être plus gentille.

- C'est passé, maintenant.

- Oui... Je ne reviendrais pas l'année prochaine. J'ai accepté un poste, ailleurs.

- Oh, dommage... les élèves t'aimaient bien.

- Ouais... fit Tamara en haussant les épaules. Mon temps à été fait ici. Je voulais te dire adieu, Sirius.


Elle planta ses yeux dans ceux de Padfoot et il eut un sourire triste.


- Adieu, Tam, répondit il.


Elle lui embrassa la joue et tourna les talons, sa valise à la main. Padfoot poussa un soupir.


- Elle t'a embrassé ? Demanda alors une voix enfantine.


II se tourna de nouveau et aperçut Harry, Anna, Ron et Hermione le regarder avec un petit sourire en coin.


- Sur la joue, dit il en riant. Elle m'a dit adieu... Elle ne reviendra pas l'année prochaine.

- Quoi ? S'exclama Ron, catastrophé.


Tout le monde ria.


- Le poste est maudit, déclara alors Hermione.

- Peut être que Rogue va l'avoir, en septembre... dit Padfoot, l'air songeur.


Les enfants firent des grimaces.


- Vous êtes prêts à rentrer ? Demanda Padfoot en marchant.

- Oui, répondit Harry. L'année a été très chargé...

- Tu l'as dit, répondit Anna.


Padfoot passa ses bras autour d'elle et de Harry et les conduisit jusqu'au train.


- Vous allez nous écrire ? Demanda timidement Hermione.

- Bien sûr, répondit Anna.

- Super, répondit Hermione.

- Vous viendrez faire un tour au terrier, lança joyeusement Ron.

- Ouais, répondit Harry.

- On se revoit à la gare, dit alors Padfoot en les serrant contre lui.

- Ouais.


Anna grimpa dans le train avec ses amis. Ils s'installèrent dans le compartiment en silence.


- Vous savez quoi ? Dit alors Harry. Ça ne peut plus aller plus mal... Après la tristesse vient l'espoir. L'espoir de vaincre les forces du mal... c'est tous ensemble qu'on y parviendra.

- Oui, répondit Ron avec vigueur, on est ensemble là dedans.

- Et on vaincra Voldemort, ajouta Anna avec force.


Le train partit dans un bruit sourd. Les jours s'annoncaient sombres, mais Anna savait qu'elle n'était pas seule. Sa force lui venait de ses amis, de sa famille. C'est pour eux qu'elle allait tout faire pour se battre. Son don était en fait une bénédiction ; on lui avait imposé mais il ne tenait qu'à elle d'en faire ce qu'elle voulait... Elle pouvait devenir puissante et se battre contre Voldemort, grâce à ce que lui même avait instauré en elle. L'impérium. On lui avait interdit de l'utiliser durant plusieurs années, mais à présent, elle était prête à comprendre et à apprendre pour pouvoir protéger ceux qu'elle aimait. L'imperium était impardonnable en soit, mais il vivait en elle et elle devait l'apprivoiser.



Note de l'auteur :

Merci d'avoir suivi cette histoire, n'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé ! Je ferais bientôt la suite ; Annastasia et les fleurs du mal


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