Le Harry Potter dont vous êtes le héros 3 - Gryffondor édition encore

Chapitre 28 : 28

474 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 27/02/2021 20:12

Tu te retrouves bientôt dans le grand hall avec tes deux sous fifres pour le déjeuner. Ron est encore abasourdi par l’attitude de sa sœur (« Pas cool, man »), alors qu’Hermione lui cherche des excuses. Mais tu as plus l’impression que c’est pour contrarier Ron. Depuis l’an dernier, une drôle de tension que tu ne comprends pas s’est installée entre eux. Ils se chamaillent souvent, ils ont parfois l’air gêné d’être l’un à côté de l’autre, ils balbutient et rougissent quand ils se parlent... Qu’est ce que ça peut bien vouloir dire... Mais ! Mais bien sûr ! Tout est clair ! Ils se sentent en concurrence pour gagner tes faveurs ! Tu ne peux pas laisser ça se produire entre tes deux faire-valoir. Il va falloir agir.


Mais ton attention est vite accaparée par un autre sujet : tout le monde dans le grand hall ne fait que parler de Sirius Black. Apparemment l’homme qui a agressé Ron dans son lit est un serviteur de Voldemort en cavale. Tu es plus préoccupé par la perspective de devoir manger à nouveau du porridge, quand Hermione, qui a ouvert la Gazette du sorcier, pousse un cri de surprise et cache précipitamment le journal en te glissant un regard en coin à la fois stupéfait et désolé.

Tu lèves les yeux au ciel. Qu’est ce qu’elle ne ferait pas pour se faire remarquer ! Tu ne supportes pas les gens égocentriques qui penses que le monde tourne autour d’eux.


« Quoi encore Hermione ? Tu as lu un mot que tu ne comprends pas ? »


« Harry... Sirius Black... c’est celui qui... celui qui... »


« Celui qui ? Celui qui ? » Tu l’imites en singeant sa voix aiguë et en découvrant tes dents.


Hermione a l’air de faire un effort surhumain pour rester calme.


« Harry ! Sirius Black est celui... qui a dénoncé tes parents à Voldemort. »


Tu la regardes avec indifférence, ce qui a l'air de les choquer; elle et Ron.


Hermione ne te lâche pas tout le reste de la journée. Elle prétend que tu fais un « déni » et que tu n’acceptes pas les émotions liées à la découverte sur la mort de tes parents. Tu lui fais remarquer que tu n’as pas attendu aujourd’hui pour comprendre qu’ils étaient morts et l’envoie paître. C’est vrai, quoi ! Tu as des choses plus importantes dont tu dois te préoccuper.


Tu dois...


... te faire un pantalon. Tu en as assez de trébucher tout le temps et tu trouves que les robes ne vont pas avec ton image d’héros viril (dans ta tête). Va en 30.


... te balader sans but dans le château. Va en 31.

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