Hunter x Hunter - Somewhere x Else

Chapitre 1 : L'examen commence, est-ce la mort ou la réussite qui attend les candidats ?

4130 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 10/11/2016 02:37

Quelque part entre les villes du monde, là où les neiges sont éternelles et ne craignent rien si ce n'est le dérèglement du climat à cause des activités humaines, allait se dérouler un important événement. Quel genre d'événement aurait donc lieu en un tel endroit ? Suite à de nombreuses remises en cause, la difficulté d'un certain examen a été voté pour qu'il soit rehaussé. C'est pourquoi l'examen Hunter qui se produit généralement deux fois par an au moins, allait démarrer près de la banquise. Si la matinée fut agréable en ce lieu glacial, le vent commençait à se lever peu à peu depuis que le soleil fut au zénith, on pouvait tout du moins supposer qu'il était au zénith, d'épais nuages gris noircis parfois couvraient l'intégralité du ciel. Les examinateurs de l'examen s'étaient entendu cette fois pour débuter les épreuves en terrain difficile là où les années précédentes la difficulté allait crescendo. Certains avaient accepté de faire passer l'examen ici afin de faire une rapide purge de ceux qui n'étaient pas fait pour devenir Hunter, d'autre encore pour profiter du lieu pour une ou des épreuves inédites. S'étaient amassés ici à peine 200 candidats, beaucoup ayant renoncé à se rendre sur cette terre désolée où l'examen promettait d'être plus dur qu'à l'accoutumée. Les examinateurs n'étaient que trois et chaudement vêtus, ils attendaient que le soleil s'assombrisse pour débuter les hostilités. 

- Cette année le président ne viendra pas participer à l'examen. Lui qui se faisait une joie de tenir compagnie aux examinateurs pour le plaisir simple de regarder les candidats lutter pour tenir. 

Un examinateur de petite taille leva la tête vers celui qui venait de s'adresser à eux. 

- Vous dîtes ça comme si cela vous déplaisait, pourtant cela vous laisse l'opportunité de mener l'examen à votre guise non ? 

Son interlocuteur sourit en coin, puis enleva son écharpe et son bonnet. C'était un homme de près d'un mètre quatre-vingt dix épais à la musculature développée et au visage bien singulier, un crâne chauve et parfaitement poli contrastant avec une très épaisse barbe plus dense encore qu'une chevelure ne puisse l'être.

- Exactement Monsieur Bean, et je ne vais pas m'en priver en ce qui me concerne, et je ne pense pas être le seul, pas vrai Juni ? 

Juni, la seconde examinatrice, elle, encagoulée et munie de lunettes de Ski ne répondit pas, elle regardait les candidats qui venaient de s'amasser se demandant combien tiendraient cette année. Elle aperçut alors une silhouette au loin. Quelqu'un arrivait.   Bean avait tardé à le remarquer dans la neige et fut surpris de trouver quelqu'un aussi tôt.Le premier participant était venu à eux sans rien dire. Il portait un large bonnet, des lunettes de plongée couvrant à peine ses yeux des intempéries, et un bandana pour couvrir sa mâchoire et sa gorge. Le moins qu'on puisse dire c'est qu'il avait une dégaine très louche, ajoutée au sang qui recouvrait son long manteau, suite à son affrontement avec la dernière espèce de la faune environnante. Les examinateurs bien que le regardant du coin de l’œil ne parurent pas surpris de voir un tel homme, et suggérèrent à Bean de lui remettre un badge de participant, ajoutant qu'il fallait attendre encore jusqu'au soir la venue des autres éventuels candidats. Le participant aux allures de psychopathe, en repérage sur ces terres depuis des jours, prit alors congé, s'éloignant d'eux. Le contact humain, même après près d'une semaine d'ermitage, ne le réconfortait pas. Deux des examinateurs lui avaient fait froid dans le dos, et Bean ne lui avait évidemment laissé aucune impression particulière. Il regarda alors le badge que ce dernier lui avait remis.

- Numéro 1 ?

Voilà qui allait le faire remarquer, ce qui ne lui plaisait guère. Déjà quelques candidats venaient, tous avaient des profils atypiques, certaines avaient même pris des bagages.

- Ma parole, ils se croient en colonie de vacances.

Se murmurait-il tous en se frictionnant les bras, pour se garder au chaud jusqu'au soir. Josip (le psychopathe) attendit encore et encore qu'arrivent les participants. Que cela pouvait être long d'attendre encore quelques heures, lui qui attendait ce moment depuis son arrivée ici ! Voilà bien des heures que le nombre de candidats plafonait à à peine 211 candidats, ni plus ni moins. À l'écart, les deux hunters chargés de l'examen ainsi que Bean scrutaient si certains parmi les candidats sortaient du lot.

- Il me semble prématuré de déterminer qui pourrait passer l'examen à ce stade .. enfin, si je m'écoutais, je dirais qu'aucun ne semble avoir la trempe d'un hunter. Tu as un avis sur la question Juni ?

C'est en ces termes que l'homme à la barbe fournie qualifiait les participants pour qui il ne montrait que peu d'estime.

- Fargola... Je ne peux ni affirmer ni infirmer ce que tu viens de dire.

Au fond, elle se disait elle aussi qu'ils n'avaient rien de sensationnel à première vue, mais c'était sa première fois en tant qu'examinatrice.

- Mais on devrait en avoir une idée plus précise après la première épreuve, en quoi consiste-t-elle déjà ?

Demanda-t-elle cette fois à Bean tandis que, bras croisés, elle se frictionnait les biceps pour supporter le froid sous le regard amusé de Fargola qui lui semblait s'accommoder de la température. Bean sortit alors une lettre portant le cachet du comité hunter.

- Vous le saurez en même temps que moi. Cette année, le comité hunter a fourni du matériel paraît-il pour le bon déroulement de la première épreuve qu'ils se sont chargés d'administrer. Dans cette lettre se trouve les directives du déroulement de cette dernière, devons-nous attendre l'arrivée d'autres éventuels candidats ?

Juni et Fargola souriaient en regardant au loin le soleil se coucher, rendant ce triste paysage désolé, vierge de toute civilisation encore plus sinistre, où les rares arbres morts et gelés en devenaient menaçants. La réponse des deux hunters était évidente, on sentait émaner d'eux une aura oppressante qui traduisait leur impatience. Aussi Bean prit les devants.

- La seconde épreuve sera donc déroulée par vos soins Juni, quant à vous Fargola, vous vous chargerez de la troisième. Pour ce qui est de la quatrième...

Les yeux des deux hunters convergèrent vers lui intrigués.

- Un triple hunter sera mobilisé à cet effet, je n'en dirai pas plus.

- Je vois qu'on ne plaisante pas cette année héhé, en ce qui me concerne je n'ai jamais rencontré plus haut gradé qu'un Single Hunter, je me demande de quoi aura l'air cet examinateur.

Juni ne répondit pas au commentaire que venait de faire Fargola suite à la révélation de Bean, elle se demandait si cette mesure visait à compenser pour l'absence du président ou bien pour écrémer de manière plus drastique les candidats. Quoi qu'il en soit, sans piper mot, elle sortit de sous son manteau une lampe à pétrole qui semblait d'époque, néanmoins bien entretenue, et malgré le fait qu'elle n'y mit aucun combustible, une lumière vive attira l'attention de tous les participants amassés dans la neige depuis longtemps. Bean la remercia de son intervention puis prit la parole.

- Je me présente, je suis Bean, secrétaire du comité Hunter, parlons peu parlons bien, je serais chargé de vous lire les directives données pour la première épreuve de l'examen, je vous prie d'être attentifs.

Bean sortit alors la lettre de l'enveloppe, scrutée de haut par les deux hunters qui l'accompagnaient.

- Bien ! Je ne me répéterais pas alors écoutez bien.

Il pointa du doigt le récif enneigé où s'abattaient quelques vaguelettes.

- Dans cet océan se trouve non loin des côtes deux-sous marins d'une capacité de 35 personnes à bord chacun, dont 10 minimum pour manœuvrer les commandes. Dans une heure, des consignes y seront transmises via ordinateur de bord pour la suite. L'eau est proche du 0°C et la nuit certaines créatures marines partent en chasse, cela dit rassurez-vous, les appareils ne se sont pas très profond. Une fois que notre hélicoptère aura quitté le sol, l'épreuve aura débutée.

Ainsi, les examinateurs montèrent dans l'engin pour s'envoler à perte de vue, sans doute vers le lieu d'une prochaine épreuve. Parmi les candidats, il y avait une jeune femme nommée Siana. Elle frottait ses mains emmitouflées et avait resserré son écharpe autour de son visage. Il faisait froid, elle devait l'admettre. Mais selon les épreuves qui allaient bientôt commencer, elle pourrait bien oublier ce léger détail climatique. Elle jeta un coup d’œil vers un chalet d'apparence en ruine. Elle sentait des regards étranges venir de cet endroit. La sensation était assez diffuse. Ce n'était pas elle en particulier qu'on regardait, mais plutôt le groupe en général. Elle était descendue du train en même temps qu'une cinquantaine de personnes. C'était visiblement le groupe des candidats recommandés par différents navigateurs. Ils venaient tous des quatre coins du monde. Il y en avait pour tous les goûts, mais ils avaient tous en commun d'être bâtis pour le combat. Certains semblaient être des bêtes assoiffées de sang impatientes que le massacre ne commence, tandis que d'autres tuaient le temps en observant les détails des flocons de neige tombant sur leurs gants. Elle avait bien envie de faire un tour, histoire de ne pas laisser le froid s'insinuer lentement entre ses vêtements. Elle fit une vingtaine de pas pour s'éloigner du gros du groupe, quand elle sentit un désagréable frisson la parcourir. Quelqu'un la regardait, elle. De plus, des bruits de pas lui annoncèrent que quelqu'un s'approchait dans son dos. Par réflexe, elle se retourna brusquement, son pistolet préféré dans les mains, prête à tirer.

- Tu me veux quoi ?

L'homme prit peur. Il fit signe qu'il ne voulait rien et s'éloigna d'elle. Pendant ce temps, les plus impatients candidats se lancèrent à l'aventure. Ils allaient tous en direction de la mer. En s'approchant du bord, certaines personnes se rendirent compte qu'ils n'était plus sur la terre ferme, mais sur une couche de glace qui était reliée au sol. Seulement avec le poids des multiples personnes qui y avaient couru, il y avait des risques que ça casse. La plupart des participants s'arrêtèrent. Un léger temps d'hésitation. Puis, certains se mirent à plonger ! La moitié ne remontaient pas à la surface. Ils étaient bien souvent gobés par des monstres marins avant même d'avoir pu reprendre leur souffle. D'autres était hydrocutés par le choc thermique puisque l'eau s’infiltrait dans leurs vêtements. Il arriva même qu'une sorte de Léviathan géant surgisse de l'eau, pour retomber tête la première sur le bout de banquise qui dépassait de la terre ferme pour éloigner quelques humains du bord, libérant un bloc de glace qui se fit emporter sur l'eau. Josip ne courut pas, mieux encore, il marcha calmement, mains dans les poches de son long manteau. S'il se permettait d'être aussi condescendant c'est parce qu'il avait été un des seuls si ce n'est le seul à avoir compris une chose évidente. On ne pouvait pas rentrer dans un sous-marin déjà immergé, pas à moins de l'inonder en tout cas.

Pour pouvoir y pénétrer, une prérogative était à remplir : le ramener à la surface.

- Je me demande combien mourront avant d'avoir compris.

Ce n'était l'affaire que de deux minutes avant que le corps humain, même bien entraîné, n'entre en hypothermie, ou que quelques créatures marines peu farouches et affamées ne pointent le bout de leur nez, les risque de mort étaient légions, et ce n'était pas Josip qui allait mettre un orteil dans l'eau.Tranquillement, il chercha un épais bout de glace flottant sur les rives. Le but étant de se placer sur l'un d'eux, d'attendre qu'un sous-marin émerge, et de naviguer tranquillement jusqu'à lui pour monter à bord.

- Tracter un sous marin à la force de leurs bras...

L'apprenti hunter se rendait compte de la perfidie de l'épreuve, les plus forts tracteraient le sous marin jusqu'à la surface, si ceux-ci faiblissaient, l'appareil retomberait immédiatement dans l'eau. Le souci était qu'on ne peut à la fois porter à bout de bras un engin de cet acabit et entrer dedans...

- Étant donné les places limitées, impossible de coopérer sainement, ça fera la part belle aux profiteurs.

Profiteurs dont-il faisait parti. Une fois la main mise sur un épais bloc de glace, il le garda à portée de main, prêt à embarquer quand un sous-marin surgirait. Peu importe la faible visibilité, un engin capable de transporter plus de 30 personnes à bord allait inévitablement faire du bruit y compris ceux qui se battraient pour y monter.

- Espérons qu'ils ne meurent pas tous avant que je puisse grimper.

Pendant ce temps, Siana observait les autres candidats et analysait la situation. Certains d’entre eux avaient contourné les monstres et se servaient d’icebergs de fortune pour explorer la « plage ». Ces choses n’avaient cependant pas l’air très maniable. Siana soupira. Quitte à rater l’examen, elle allait chercher une embarcation plus fiable. Elle examina donc les rives. Il y avait quelques sapins, mais rien de très intéressant… Jusqu’à ce qu’elle trouve un petit bunker. Il aurait pu paraître abandonné, mais la jeune fille pouvait voir des traces de pas récemment recouvertes par la neige. Quelqu’un avait du y entrer la veille. Comme cela suscitait sa curiosité, la jeune fille y entra à son tour. Le bunker était minuscule. Il contenait seulement deux pièces. La première était vide, mais dans la deuxième se trouvait un canot pneumatique gonflable, avec une balise radar incorporée. C’était parfait, même un peu trop. Siana se rendait bien compte que dans un examen de hunter, trouver un canot pneumatique indiquant la position des sous-marins était beaucoup trop facile. Cependant, c’était sa meilleure chance de passer le premier tour, alors elle traîna le canot, léger mais encombrant, jusqu’à l’eau.

Sur la plage, le combat contre les monstres marins semblait s’être terminé. Il n’y avait plus beaucoup de monde debout. Une cinquantaine de personnes étaient en train de mourir de froid sur la banquise. Ils avaient la peau bleue et étaient trop faibles pour bouger. Siana pouvait également voir des corps flotter sur l’eau. Et finalement, il y avait quelques braves toujours assis sur leurs icebergs ou en train de braver l’eau glacée et nageant dans une direction précise. Lorsque les candidats remarquèrent la jeune fille et son canot, un grand nombre d’entre-eux se dirigèrent vers elle comme s’ils étaient des zombies. Mais ils étaient beaucoup trop loin. Ils ne l’atteindraient pas. Siana ne leur accorda pas le moindre regard. Ces candidats congelés avaient, à son sens, échoué. Inutile de leur prêter attention. C’était des gens sur les icebergs ou encore en train de nager dans l’eau dont elle devait se méfier. Dix minutes s'étaient écoulées, en dépit de tous les remous causés par le contact avec une faune embusquée et hostile, la mer était redevenue calme, quelques petites vagues nuisaient au silence de l'endroit, succédant aux râles d'agonies des maladroits et des audacieux ayant failli à leur examen, sans aucune chance de le retenter une prochaine année.

On pouvait voir quelques cadavres flotter, se faire soudain happer de dessous, pour finir digéré dans l'estomac d'un poisson glouton. Les *Plop* qui caractérisaient ce phénomène diminuaient leur fréquence jusqu'à disparaître avec tous les derniers cadavres. La réelle action se passait sous l'eau, malgré une agitation palpable, des candidats avaient su se serrer les coudes sous l'eau, et à plusieurs, vaincre un large serpent de mer, une large anguille qui sortait la tête de sa caverne pour des attaques surprises, sa taille lui permettant de gober presque instantanément un homme.

Les examinateurs n'avaient pas fait dans la démesure, loin des hostilités, dans l'hélicoptère, Fargola sirotait un thé sourire en coin, il avait lui même importé nombre de ces créatures marines pour corser les choses, dans une mer où les poissons étaient en général peu hostiles et surtout bien moins épais. 

Ces candidats qui étaient parvenus à vaincre l'anguille en l’étouffant avec divers ustensiles avaient eu une idée remarquable. Un sous-marin, non loin, pouvait alors être remonté à la surface sans utiliser la force des participants. Certains remontèrent à la surface pour établir leur plan.

Un individu d'une corpulence remarquable et au teint légèrement basané prit les devants, la plaque épinglée à son pantalon portait le numéro 57.

- Regardez, la carcasse de plusieurs tonnes de cette bestiole flotte, si l'on parvient à le mettre sous le sous-marin, il remontera à la surface et nous pourrons tous monter dedans !

L'homme forçait le respect, et le manque d'alternative à son plan fit que tous se dépassèrent en dépit du froid pour s'exécuter. Une partie se chargea de tracter le sous marin à la force de leur bras, ceux là étaient vingt, tandis que vingt-cinq, dont le meneur de l'opération tiraient tant bien que mal l'animal sous l'eau pour s'en servir de bouée sous leur moyen de quitter ce lieu. En dépit de quelques accrocs, l'opération fonctionna, et le sous-marin s'éleva doucement jusqu'à la surface, tous les candidats le suivirent de près, poussant des cris de joie à s'en réchauffer le coeur, trop contents d'être sortis de leur peine. Mais la joie fut de courte durée, ils étaient presque cinquante affairés autour de ce sous-marin alors qu'il n'y avait que trente-cinq places. Les premiers arrivés furent les premiers servis. Une vingtaine s'engouffra dans le vaisseau avant que le numéro 57 n'y parvienne. Il se retourna vers les candidats restants qui le suivaient.

- Quelles vermines, aucun honneur... Ne bougez pas, je m'en vais faire de la place.

Son regard était glacial, tous se fièrent à lui avec raison, n'entendant alors que les hurlements des victimes qui s'étaient déjà engouffrés dans le sous marin, avant que le candidat obèse, aux cheveux noirs allant jusqu'à ses épaules ne refit surface.

- Une fois que les corps seront sortis, nous pourrons embarquer.

Personne ne dit mots, certains gardèrent la bouche ouverte stupéfaits, d'autre souriaient en coin. L'hélicoptère des examinateurs était arrivé à destination, les yeux de Juni étaient entièrement blancs, et elle demeurait inerte le regard fixe avant de revenir à elle et de s'adresser à Bean et son camarade examinateur.

- Un premier sous-marin avec à son bord 22 personne est en partance, nous avons un meneur d'homme qui a su s'imposer déjà, si tel n'avait pas été le cas, aucune coopération n'aurait été possible et aucun n'y serait parvenu, voyons si les 70 candidats encore en vie auront le même niveau de réflexion pour le second sous-marin.

De retour dans les eaux froides, tandis que le premier sous-marin partait, désespérant les candidats restant n'ayant plus qu'une chance, une trentaine de participants soulevèrent le deuxième engin avant de nager à la surface pour essayer d'y pénétrer, mais l'appareil coulait avant qu'il n'atteignent l'écoutille. Deux profiteurs déjà avaient réussi à s'incruster il n'en fallait plus que 8 autres avant de manœuvrer. Déjà, la trentaine de candidats réessaya de ramener le sous-marin à la surface, il allait falloir la jouer fine.

Laisser un commentaire ?