Jurassic Park - Excursion Printanière

Chapitre 18 : Interception 27 : 00h 42m / Interrogation

Catégorie: G

Dernière mise à jour 10/12/2010 04:35

Interception 27 : 00h 42m / Interrogation

 

Wolf claqua la portière du Durango. Il alla rejoindre la ligne qui était mené par le commandant Bay. Ils montèrent les escaliers en silence. Ils arrivèrent dans le hall d’entrée. Lucci était impressionné par les squelettes de dinosaures qui dominaient la pièce. Tout était en ordre quoi qu’un peu de poussière fussent accumulé dans chaque coin. Ils montèrent l’escalier qui menait au premier. Au bout de la mezzanine, Kevin pitonna un code sur le clavier numérique et la serrure se déclencha. Il laissa entré dans la pièce où ‘’Directeur du Parc’’ était indiqué sur la porte, Lucciana et Dominique qui fut aidé par Oliver et Marc.

 

Dans la pièce, les stores étaient fermés et couvrait la fenêtre au complet qui donnait un air sombre au bureau. Kevin alluma un luminaire dans le coin gauche en arrière de sa chaise. Il invita Lucci à s’asseoir. Il sorti une trousse de premier soin qui lança à Shaftner. Il alluma son poste de travail et appuya sur le transmetteur de son head set.

-Jo ? On est arrivé, on va soigner une des deux jeunes.

-Entendu ! Tu veux enregistrer maintenant ?

-Non, Nous sommes pas encore prêts.

Marc prépara une seringue de sédatif. Il senti la panique de Dominique.

-Ne t’inquiète pas, ça va calmer ta douleur le temps que tu te rendre à l’hôpital.

-Que va-t-il nous arrivé ?

-Détendez-vous d’abord, répondit Kevin, ensuite vous nous raconterai votre histoire. Mais comment avez-vous pu penser venir ici, bande de jeune sans cervelle …

-S’il te plait, Kev … le coupa Oliver.

Dominique hurla de douleur dès que l’aiguille pénétra sa peau.

-Voilà, c’est fini, rassura Marc. Dans quelques secondes, tu ne sentiras plus la douleur. Le commandant Bay regarde Lucci.

-Vous êtes prêtes à tous raconté ?

-Oui.

-Toute la vérité ? C’est très important. Peu importe ce que vous direz la conséquence sera la même de toute façon.

-Je comprends monsieur.

Kevin plaça un micro sur son bureau, pointé en direction de la jeune femme et appuya sur son communicateur.

-Jonathan, enregistre s’il te plait.

 

-C’est pas vrai ?

Litgood regarda l’énorme tronc abattu qui s’étendait sur leur chemin.

-Sûrement tombé pendant l’orage, supposa Hallé.

-Peu importe, marmonna John en sortant du véhicule.

Il s’avança tranquillement vers la base de l’arbre mort. Spencer sorti à moitié du véhicule, ignorant ce qu’il devait faire. John suivit le tronc jusqu’au point de rupture. Il suivait l’écorce avec sa main. Il vit que l’arbre n’était pas brisé mais bien déraciné. Il vit plus loin un autre arbre étendu par terre. Il se tourna vers ses compagnons.

-Non ce n’est pas la tempête.

-Alors ? Qu’est-ce qu’on fait ?

-Soit on continue à pied ou on fait marche arrière et on prend l’autre chemin qu’on a croisé.

-Que préfères-tu ?

-C’est pas un petit qui a fait tombé ces arbres. Prenons l’autre chemin et espérons que c’est le bon.

-D’accord.

Sur ces mots, Hallé remonta derrière son volant et ferma sa portière. Pendant que Litgood revenait vers le camion, un rugissement puissant se fit entendre. Il était tellement fort que le Durango trembla. John couru jusqu’au véhicule. On senti que le gros dinosaure s’approcha avec le bruit de pas qui ne faisait qu’augmenter en force et en vitesse. Dès que le chasseur ferma la portière, un majestueux Spinosurus Egypticus apparut entre les arbres. Pendant que Hallé tenta tant bien que mal de conduire en marche arrière, son client était subjugué de voir enfin sa proie qui, bizarrement, ne semblait pas leur courir après.

-Arrête le véhicule, ordonna le chasseur.

-Quoi ? Mais pourquoi ?

-ARRÊTE, JE T’AI DIS !.

Spencer appuya sur le frein. Le camion n’était même pas encore arrêté que Litgood avait déjà débarqué. Il courut, arme à la main jusqu’à un rocher et s’y prit appuie. Il mit en joue son fusil et visa la tête de l’animal le plus rare sur terre et il serait le seul au monde à l’avoir abattu. Il sourit quand il appuya sur la détente.

 

-Et c’est comme ça qu’on s’est endormie … d’après ce que je peux me souvenir. Et je me suis réveillé la première mais je n’ai pas quitté l’abri. Je suis sortie une ou deux fois mais à peine de cinq mètres.

-Oui nous savons, dit Kevin. C’est ce qui a permit de vous localiser. Tu as bien fait. Continue s’il te plaît.

-Et quand je n’ai pas pu plus supporter d’être seule, j’ai réveillé Dominique et vous êtes arrivé presque immédiatement.

-Donc, pour résumé, c’est Jean-Mathieu qui a eut l’idée de venir ici et il vous y a obligé en vous utilisant du chantage. Vous avez monté à bord d’un canot de secours d’un bateau qui a passé non loin de l’île pendant la tempête, pour une direction que vous ignorez et il s’est aventurer seul et la dernière fois que vous l’avez vue, un gros dinosaure, ce qui semblait être un Tyrannosaure le poursuivait. C’est exact, Dominique?

La jeune femme arrêta de fixer le plâtre que Shaftner lui avait fait à la cheville et hocha la tête silencieusement.

-Jo, prends note que Dominique à confirmer d’un geste positif de tête, devant témoin.

Morta tourna sa tête en direction de Mireille. Elle avait suivit le récit silencieusement en me bougeant pas.

-C’est noté, Kevin. Qu’en penses-tu sérieusement ?

-Jean-Mathieu n’est pas là pour se défendre.

Lucci éclata en sanglot.

-Je vous en pris, on veut juste rentrer à la maison.

-D’accord, on s’en va d’ici tout de suite. Jonathan ? Oliver va ramener les deux filles sur le continent. Moi et Marc on va patrouiller l’île à la recherche de Jean-Mathieu. Il a une chance d’être encore en vie.

Avant que Morta ne prenne la parole, Bay entendit Mireille remercier le ciel et prier pour qu’on le retrouve. Jonathan prit la parole :

-D’accord, départ de l’île pour le continent à 1 heure 07 minutes. Mais entre toi et moi, il baissa le ton pour continuer, tu crois cette histoire ?

-Rien ne nous dit le contraire et oui je crois cette histoire. Mais ce bateau est inquiétant. Personne ne nous a dit qu’un bateau devait être en mer la nuit dernière.

-Un clandestin ?

-Et pour où d’après toi ?

-Je vois. Que devrais-je faire ? Je scanne Nublar pour un signe de vie du garçon ou je scanne Sorna pour une possible invasion ?

-Transfert tout le scan de Nublar sur le portable Nicro4. Je l’allume à l’instant.

-Ça va prendre du temps, soit patient. Donc je regarde Sorna en entendant Oliver.

-Demande de l’aide au garde-côte. Ils savent peut-être quelque chose.

Kevin fut surpris par un appel de dinosaure. Pendant l’interrogation il en avait entendu plein et de très prêt d’ici. Chose peut habituelle puisque les bâtiments n’était dans aucun territoire de bête. Depuis qu’ils sont atterrit, tous les espèces agissaient bizarrement. Pourtant Kevin les avait souvent surveillés lors de leur visite. Les suppositions des paléontologues les plus crédibles avaient vue juste sur la plupart de leur comportement mais il ne souvenu pas d’avoir lu quelques choses comme aujourd’hui. Il leur faudra être prudent.

-Bon, reprit-il dans son micro. On a pas une minute à perdre. Fais le nécessaire, je monte avec les autres pour leur donné un coup de main et les instructions.

-Et pour elles ?

Bay hésita pendant quelques secondes.

-Confie-les à Mireille mais elles ne doivent en aucun cas quitter la base du continent. On a plus urgent à faire dans l’heure. Marc cherchera le jeune et moi je vais sur Sorna pour intercepter le clandestin.

-Seul ? Mais les bêtes se comportent étrangement, n’est-ce pas dangereux ?

-Allons, j’ai connu pire.

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