A long journey
La communauté de l'anneau.
Assise à la droite d'Elrond, il commença les explications de cet entrevu.
«-Étrangers venus de loin, vieux amis, vous êtes là pour répondre à la menace du Mordor. LA Terre du Milieu est proche de la destruction. Nul n'y réchappera. Unissez-vous, ou périssez. Toute race est liée à ce destin, à cette fatalité. Montrez leur l'anneau, Frodon. »
Quand Frodon posa l'anneau au centre, une soudaine envie de le prendre et de le garder me traversa. Mais je repris vite mes esprits quand quelqu'un d'autre prit la parole.
«-C'est anneau est un don. Fait au ennemis du Mordor.
Se levant il reprit parole.
-Pourquoi ne pas s'en servir ? Longtemps, mon père, l'intendant du Gondor, a tenu les forces du Mordor en échec. C'est grâce au sang de notre peuple que vos terres sont encore en sécurité. Donnez au Gondor l'arme de l'ennemi. Utilisons la contre lui.
-Vous ne pouvez le contrôler, commença Aragorn. Nul ne le peut. L'anneau unique n'obéit qu'à Sauron.
-Et qu'est ce qu'un Rôdeur connaît à ces choses là ?
-Ce n'est pas qu'un simple Rôdeur. Enchaîna Legolas. C'est Aragorn, fils d'Arathorn. Vous lui devez serment d'allégeance.
-Aragorn ? Le descendant d'Isildur.
-L'héritier du trône du Gondor.
-Asseyez-vous, Legolas. Dit Aragorn en elfique. Ce qu'il fit.
-Le Gondor n'a pas de roi. Continua Boromir. Il n'en a pas besoin.
-Aragorn a raison. Poursuivit Gandalf. Nous ne pouvons l'utiliser.
-Une seul solution s'impose. L'anneau doit être détruit.
-Qu'attendons-nous pour le faire ? S'exclama le nain se jeta sur l'anneau brandissant sa hache.
-L'anneau ne peut être détruit, Gimli fis de Gloin, par aucuns moyens entre nos possession. L'anneau a été forgé dans les flammes de la montagne du destin. Il ni a que là qu'il puisse être détruit. Il faut l'emporter au plus profond de Mordor et le jeter dans l'abîme ardent dont il est issu. L'un de vous... doit le faire. »
Après un petit moment de silence, Boromir s'en suivit.
«-On entre pas si facilement au Mordor. Ses portes noires ne sont pas gardés que par des orques. Il y sévit un mal qui ne dort jamais. Et le grand œil est toujours vigilant. Ce ne sont que des terres arides et stériles recouvertes de braises, de cendres et de poussières. L'air que l'on y respire n'est que vapeurs empoisonnées. Même dix milles hommes n'arriveraient pas, c'est une folie.
-N'avez vous pas entendu le seigneur Elrond ? L'anneau doit être détruit.
-Vous pensez que cette tâche vous revient ?
-Et si nous échouons qu'arrivera t-il ? Que ce passera t-il quand Sauron le récupérera ?
-J'aimerais mieux mourir que de vois cette anneau dans les mains d'un elfe ! »
S'en suivit d'une dispute que Aphilie regardait d'un air blasé.
«-Je vais le faire ! Je vais le faire. Je vais porter l'anneau en Mordor. Bien que je n'en connaisse pas le moyen. Dit Frodon.
-Je vous aiderez dans cette tâche. Rassura Gandalf.
-Si par ma vie ou ma mort je puisse vous aider, je le ferais. Mon épée est votre.
-Et mon arc est votre.
-Et ma hache.
-Notre destin à tous est entre vos mains, petit homme. Si telle est la volonté du conseil, le Gondor se joindra à vous.
-He, M. Frodon ne partira pas sans moi !
-En effet, il est impossible de vous séparer, même pour un conseil secret où vous n'êtes pas convié.
-Nous venons aussi, cria Merry suivit de Pippin, faudrait nous renvoyer chez nous attachés dans un sac pour nous en empêcher.
-Et vous avez besoin de gens intelligents pour ce genre de mission, quête, chose...
-Ça t'élimine d'office, Pip.
-Dix compagnons. Dit Elrond.
-Seigneur Elrond nous ne sommes que neuf. Remarqua Gandalf.
-Aphilie ici présente vous accompagnera.
Tous furent choqués, et moi de même. Alors que Gandalf hochait la tête je m'avançais vers eux et me mit à coté de Gimli.
-Vous formez la communauté de l'anneau.
-Chouette, ou est-ce qu'on va ? Demanda Pippin incrédule. »
Après le conseil, je me dirigea vers Elrond quand toutes personnes furent partis à leurs occupations.
«-Ma mission est d'apporter l'Enmiélione en Lothlorien, nous ne pouvons les mettre ensembles pour le voyage, cela facilitera l'ennemi à les avoir !
-Et cela nous facilitera la tâche, car les neufs s'attendent à ce que tu prennes la route vers la plaine Fraviohène.
-Malgré le fait que je n'appréhende pas ceci, je vous fais confiance.
-Va maintenant, va faire tes affaires.
-Bien. Je viendrais vous faire mes adieux demain. »
Il hocha la tête pendant que je partis au écuries.