Vivre avec un flic, c'est pas de tout repos

Chapitre 16 : Et les ennuis continuent...

6679 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 08/05/2024 22:46



Pov Sakura


Mmmmmm !!! J'avais la tête qui tournait. Je m'asseyais sur ce qui semblait être un lit. Mais, où étais-je ? Je regardais autour de moi et découvrais une chambre tout à fait banale. Je me souvenais que l'Akatsuki m'avait emmené dans une voiture et j'avais reçu une injection. Je m'étais endormi aussitôt.



- Bonjour, entendais-je d'un coup. Vous êtes donc réveillée, mademoiselle.



Je regardais autour de moi mais ne trouvais personne. J'entendais soudain rire.



- En plus d'être jolie, vous êtes drôle.



Drôle !!! Pourtant, je ne faisais rien pour.



- Où êtes-vous ?


- Regardez au coin de la pièce et vous trouverez une caméra.



En effet, elle y était. Je me rapprochais de celle-ci et lui demandais.



- Qu'attendez-vous de moi ?


- Vous le saurez en temps et en heure. Sur ceux, je vous ai mis à votre disposition, une salle de bain, qui se trouve sur votre gauche et vous y trouverez un change. Comme il est midi, vous devez certainement avoir faim. Je vous enverrai quelqu'un vous chercher.



Après, je n'entendais rien. J'avais très envie de l'envoyer chier, mais mon estomac me rappelait à l'ordre. Il y avait un gros moment que je n'avais pas mangé. Je me faufilais dans la salle de bain, et prenais une bonne douche, avant de m'habiller d'une robe blanche. On dirait la même que je portais lors du dîner de chez la mère de Sasuke... Sasuke, mon chéri, j'espère que tu me tireras de cette situation. Alors que j'étais sur mon lit, j'entendais une clef dans la serrure. Je voyais cette garce qui m'avait enlevé et qui m'avait injecté le somnifère.



- Le patron vous attend.



Je la dévisageais et me levais avec un gros soupir. Je la suivais jusqu'à une grande porte. Je me demandais vraiment où nous étions ? Avions nous quitté le pays ? Puis, elle ouvrait une porte et me laissait passer la première. Une fois à l'intérieur de la pièce, ou plutôt une grande salle à manger, je pouvais voir Madara, assis à une grande table. Pein était en face de lui. Cinq couverts y étaient installés, dont deux devant Madara et Pein. Deux autres sûrement pour elle et moi. Et pour le dernier couvert ???



- Venez ma chère, me disait Madara en m'invitant à aller vers lui.



Je croyais bien que je n'avais pas le choix, alors j'allais vers lui. Puis, arrivée presque à sa hauteur, il me regardait de la tête aux pieds. J'avais vraiment envie de lui mettre mon poing dans la gueule.



- Vous êtes resplendissante... Cette robe est la copie conforme de celle que vous portiez, le jour où je vous ai rencontré la première fois, lors du dîner chez Mikoto. Je vous avais trouvé sublime.



Je me disais aussi qu'elle m'était familière. C'était un malade ce type. Il me faisait signe de m'asseoir. Je le fis et regardais le festin devant nous. J'avais vraiment trop faim.



- Je vous en prie ma chère, prenez quelque chose à manger.



Je dirigeais ma main vers le plat de boulette de riz, et en prenais une. C'était vraiment délicieux. Mes autres voisins de table se mettaient également à manger. Puis, mon regard se portait sur la chaise vide devant moi et le couvert devant celle-ci.



- Vous vous dîtes certainement, pourquoi cette place est vide ? Et bien, nous attendons un invité, qui ne devrait pas tarder.


- Qui ? Demandais-je vraiment curieuse.


- Vous le saurez bien assez tôt.



Il avait dit cette phrase avec une voix qui me faisait peur. Qui ? Qui pouvait bien être cet invité ? Soudain, on toquait à la porte.



- Entrez, disait Madara.



La porte s'ouvrait et un homme entrait dans la salle. Mais je le reconnaissais, c'était celui contre qui je mettais heurtée.



- Venez Orochimaru, votre place vous attend.


- Merci, disait cette homme à l'aspect de serpent.



Ce dernier s'asseyait donc en face de moi, un sourire aux lèvres.



- Donc, voici la marchandise.



La marchandise ! Quelle marchandise ? De quoi il parlait ?



- Comment la trouvez-vous ?


- Magnifique, de plus une femme aux cheveux rose est très rare.



Quoi ? Alors c'était moi la marchandise. Les connards !!



- Jamais je ne serais à vous, m'écriais-je en fixant ce sale serpent.


- Surveille ton langage, m'ordonnait Madara.


- Cela ne fait rien, j'adore les caractères forts.


- JE NE SUIS PAS UNE MARCHANDISE.


- Vous n'avez pas le choix, demain, vous aurez quitté le pays.


- Allez vous faire voir, je ne partirai jamais, jurais-je en me levant.


- Konan !!



Soudain, je sentis encore comme une piqure, je tournais ma tête vers cette fille, qui tenait une sorte de pistolet. Décidément, ça l'amusait de m'endormir.



Pov Tsunade.


J'étais dans le bureau du ministre. Le chef des services secret se trouvait à côté de moi. Il était treize heure, cette convocation avait été très rapide.



- Mr le ministre, il est évident que cette femme veut nuire à notre enquête.


- Cette femme comme vous le dîtes, a été envoyé par mes soins.


- Euh !! Je... 


- Je vous serez grès de surveillez votre langage Mr Katakana.


- Désolé Mr le ministre.


- J'ai envoyé Tsunade, car j'en ai marre que cette enquête n'avance pas. Je voudrais des résultats concrets et non des rapports qui me dit que vous y êtes presque.


- Mr le ministre, intervenais-je. J'ai rencontré de jeunes policiers qui, en deux mois ont réalisé plus de résultats que Katakana en un an. Ils ont réussit à éliminer un membre de l'Akatsuki et à trouver le repère de l'Akatsuki.


- Ils ont ensuite dérobé une puce, et laisser celle-ci se faire voler par l'Akatsuki, me coupait Katakana. Je pense que Itachi Uchiwa n'est pas blanc comme neige, et je pense même qu'il est un espion de l'Akatsuki.


- En avez-vous la preuve ?


- Non, mais laissez moi...


- Je vous ai déjà laissez un an Mr Katakana. Je veux des résultats.


- Mr le ministre, laissez moi l'enquête, demandais-je. Je suis sûr que ces quatre petits gars peuvent réussir, où même les services secrets ont échoué. J'ai lu leur C.V, ils sont très compétents.



Je voyais le ministre qui hésitait. Katakana croisait les bras et commençait à sourire.



- C'est d'accord, acceptait-il soudain, en effaçant le sourire de mon voisin. Je vous donne une semaine pour démanteler ce réseau, pas un jour de plus.


- Mais, Mr le ministre, s'interposait Katakana.


- Si dans une semaine, vous n'avez rien, je confierai le dossier à Katakana.


- Bien, Mr le ministre.


- Je vous donne tout pouvoir sur les autorités du pays et carte blanche sur vos décisions. Je veux juste une chose, l'Akatsuki.



Nous le saluions et nous sortions du bureau. J'avais une semaine pour trouver l'Akatsuki. Et bien j'avais du pain sur la planche.



Pov Itachi


Nous étions chez moi, en train de déjeuner. Je passais quelques coups de fils de plusieurs contacts en ville, dont une.



- Salut Aiko, c'est Itachi. Comment vas-tu ?


- Bien et toi, ça fait un baille.


- Ouais, j'étais en mission.


- Tu me dois toujours un dîner.


- Et toi une nuit.


- Si tu veux, on peut s'acquitter de nos dettes ce soir.



Je souriais à cette phrase. Puis, je me tournais vers mon frère et Naruto qui avaient les yeux grand ouvert. Je reprenais mon sérieux et lui demandais...



- Est ce que tu as des informations sur l'Akatsuki ?


- Oui, mais pas au téléphone, viens chez moi dans 15 minutes.


- Ok, j'arrive.



Je raccrochais aussitôt et nous sortions direction l'appartement d'Aiko.



Pov Naruto


Nous arrivions dans l'immeuble de cette femme, appelée Aiko. Nous montions les escaliers, et lorsque nous arrivions au 4ème étage, nous remarquions une porte ouverte.



- C'est l'appartement d'Aiko, disait Itachi en sortant son arme.



Nous faisions de même et nous pénétrions doucement dans l'appartement. Ce dernier était sans dessus dessous. Des meubles renversés, et des papiers éparpillés partout sur le sol. Nous commencions à regarder dans toutes les pièces puis, nous entendions un déclic d'une arme. Nous voyions soudain Sasuke, les bras en l'air avec un canon d'arme à feu contre sa tempe, dépassée d'une pièce, sans pour autant voir celui qui tenait l'arme.



- Lâchez vos armes, sinon je lui loge une balle dans la tête.



Pov Itachi


Alors que l'on inspectait la maison, j'entendais un click d'un révolver.



- Lâchez vos armes, sinon je lui loge une balle dans la tête.



Cette voix m'était familière. Je me retournais et voyais mon frère, les bras levés, un canon d'arme à feu sur sa tempe. Le propriétaire de cette arme s'avançait avec Sasuke devant elle.



- Aiko, m'exclamais-je en la reconnaissant.


- Itachi, me répondait-elle en me voyant.


- Je peux savoir ce que tu fais ?


- J'ai entendu des bruits et des voix. Je n'ai pas reconnu la tienne. Alors quand je l'ai vu s'approcher de moi, j'ai cru que vous vouliez me tuer.


- Tu peux enlever ton arme de la tempe de mon frère.


- Ah oui ! Désolée.



Sasuke était soulagé et soufflait un bon coup. Aiko allait dans sa chambre, mais je la suivais en protestant.



- Qu'est ce qui s'est passé ici ? Et qu'est ce que c'est que ces bagages? demandais-je en les voyant sur le lit.


- Je ne peux rien te dire pour l'instant.



Elle fermait sa valise et se dirigeait vers la sortie.



- Attend, disais-je en lui attrapant le bras. Ça a voir avec l'Akatsuki?


- Pas tout à fait.


- Explique.


- Pas ici, allons dans un endroit plus sûr.



Nous sortions de la chambre, où nous voyions un autre problème. Trois hommes étaient dans le salon. Deux d'entre eux tenaient Sasuke et Naruto en otage. Encore !!



Pov Normal


Pendant que deux hommes tenaient nos deux flics, un troisième homme était au milieu. Aiko avait sortit son arme.



- Baisse ton arme, sinon je les tue.



Elle obéissait et le jetait au sol. Il allait vers elle et tendait la main.



- Donne moi la cassette.


- Va te faire voir, crachait-elle.



Il sortait son arme et la pointait sur elle.



- Pour la dernière fois, donne la moi.


- Je ne l'ai pas.


- Ne me prends pas pour un con.


- T'as qu'à venir la chercher toi même.



Il souriait et s'approchait d'elle. Il posait ses mains sur les hanches et commençait la fouille. Il prenait soin de bien regarder chaque partie du corps de Aiko. Puis, il arrivait vers son intimité.



- Petite futée, souriait-il en la sentant dans sa culotte.



Il allait la prendre, mais elle lui donnait un coup de genou dans le ventre. Il s'écroulait à terre se tenant le ventre. Voyant qu'ils avaient baissé leur garde, nos deux flics se débarrassaient de leurs adversaires. Sasuke avec un coup de coude dans le ventre et une droite, puis Naruto avec un coup de tête et une bonne gauche. Mais, le premier homme tirait sur nos amis, mais il les manquait.



- Vite, filons, criait Aiko.



L'homme continuait de tirer. Mais, il devait se cacher contre les tirs de Sasuke et Naruto. Aiko ramassait son arme et filait de l'appartement, suivit des autres. Arrivés en bas, ils entraient dans la voiture de Sasuke et ce dernier démarrait à toute allure. Aiko et Itachi étaient à l'arrière. Elle soufflait un bon coup devant un Itachi furieux.



- Je peux savoir ce que tu as fait pour que ces hommes t'en veuillent ? Et c'est quoi cette cassette?



Aiko mit sa main dans sa culotte et prit une petite cassette, devant un Itachi de plus en plus perdu.



- C'est la preuve qu'Orochimaru a fait affaire avec l'Akatsuki.


- Quoi ?



Nos trois héros n'en revenaient pas.



- C'est qui ce Orochimaru ?


- Il fait dans le banditisme internationale, trafic de drogue, d'argent, meurtre, même du trafic d'animaux. Personne n'a pu trouver une seule preuve contre lui et il est toujours sortit des tribunaux libre comme le vent.


- Et donc, cette petite cassette peut l'envoyer un bon moment en prison.


- Exactement.


- Allons voir Tsunade p'tit frère.


- Ok, c'est partit, disait Sasuke en appuyant sur le champignon.



Naruto mettait même le gyrophare pour aller plus vite. Puis ils arrivaient enfin au ministère de la défense. Après avoir vérifié leur plaque, nos amis se trouvaient enfin dans le bureau de Tsunade.



- Messieurs, le ministre m'a donné une semaine pour mettre la main sur l'Akatsuki. J'espère que vous avez une piste.


- Oui madame, disait Itachi. Mon amie Aiko a quelque chose pour vous.



Tsunade arquait un sourcil tandis que Aiko s'approchait d'elle et lui tendait une cassette.



- Que contient-elle ?


- Des informations sur Orochimaru.


- Orochimaru ? Vous m'expliquez!


- Voilà, j'ai été engagé pour infiltrer la villa d'Orochimaru en tant que servante. Ma mission consistait à trouver des preuves de son organisation. J'ai alors placé un micro dans son bureau. J'y ai appris des choses très intéressantes, dont une discussion avec l'Akatsuki.


- Mmm, très intéressant en effet.


- Cependant, ils ont trouvé le micro et j'ai dû m'enfuir.


- D'accord, nous allons écouter ce qu'il y a dedans.



Tsunade prenait un magnétophone de son bureau et y plaçait la cassette.



<< - Bonsoir Orochimaru, c'est Uchiwa Madara, j'ai enfin récupéré la micro puce.


- Et bien, Il était temps. Je viendrai la chercher à l'endroit prévu.


- N'oubliez pas mon argent.


- Et vous, n'oubliez pas la fille.


- Une beauté pareil ne s'oublie pas. Elle sera à vous lorsque j'aurais eu l'argent.


- Alors rendez-vous lundi à 18h00. >>



Puis, la conversation cessait. Sasuke était énervé et serrait les poings.



- L'enflure.


- Calme toi Sasuke, lui demande son frère.


- Que se passe t-il ?


- La fille en question est Sakura Haruno, expliquait Naruto. Une amie et la copine de mon collègue. Madara l'a fait enlevé il y a deux jours.


- Madara Uchiwa est votre oncle, n'est ce pas ? En déduisait Tsunade.


- C'est exact, répondait Itachi. Malheureusement.


- Nous allons tout faire pour les arrêter, lâchait Tsunade en se levant. Et nous allons retrouver votre amie.



Elle posait une main sur l'épaule de Sasuke, lui souriant. Puis, ils partaient du bâtiment.



Pov Sasuke


Après une brève visite au ministère de la défense, mon cher frère Itachi avait décidé d'emmener Aiko au manoir Uchiwa. Nous avions tout d'abord déposé Naruto chez lui avant de nous y rendre. Arrivés sur place, Itachi et moi sortions et voyions notre mère arriver vers nous.



- Itachi, disait-elle en le serrant dans ses bras. Cela fait plaisir de te revoir mon chéri.


- Moi de même maman.


- Fais attention maman, intervenais-je. Tu vas l'étouffer.


- Mais, je suis tellement contente de retrouver mon fils ainé... et aussi mon fils cadet.



Elle nous prenait tous les deux dans ses bras.



- Je vous aime tellement.


- Hum, hum, entendions-nous.



On se retournait et on voyait Aiko debout devant nous une valise dans les mains. 



- Qui est-ce ? Demandait ma mère en la fixant. 


- Une amie, elle va passer quelques jours ici, cela ne te dérange pas?


- Non, bien sûr que non voyons.



Ma mère allait vers elle et lui tendait la main.



- Enchanté, je m'appelle Mikoto Uchiwa. Soyez la bienvenue.


- Moi de même, je suis Aiko et merci pour votre hospitalité.


- Je vous en prie mademoiselle, venez, je vais vous faire le tour du propriétaire.



Elle se laissait guider par ma mère et elles entraient dans la maison. Nous les suivions, mais tandis qu'elles partaient à l'étage, Itachi et moi entrions dans le salon. Nous prenions du café, qui était posé sur la table.



- Tu sais Sasuke, je pense que Madara est encore au Japon. S'il a donné rendez-vous à Orochimaru lundi à 18h00, c'est qu'il est resté ici.


- Il peut être n'importe où et lorsqu'il a dit à cet Orochimaru que Sakura serait à lui, mon cœur a faillit s'arrêter. Je ne supporterai pas qu'il lui fasse du mal.


- Nous allons la retrouver, ne t'en fait pas.



Je hochais la tête positivement, et prenais une gorgée de café. Puis, environ 20 minutes plus tard, ma mère et Aiko revenait dans le salon.



- J'ai placé Aiko dans la chambre à côté de la tienne Itachi.



Elle avait dit cela avec un sourire un peu pervers. Je savais où ma mère voulait en venir. Lol, elle voulait absolument caser Itachi.


Durant l'après-midi, Aiko essayait d'appeler ses contacts pour avoir des renseignements. Mais, sans succès.



- C'est pas vrai, ils sont en train de me lâcher.



Puis, elle essayait son dernier contact.



- D'accord, appelle moi, dès qu'il revient. Ok, merci.


- Du nouveau ? Demandais-je une fois qu'elle avait raccroché.


- Oui, un de mes contact a un ami qui travail à l'aéroport. Si Madara ou Orochimaru veulent quitter le pays, alors il le saura.


- Génial.



C'était déjà un point positif, même si c'était peu.



Pov Madara.


Alors que j'étais tranquillement en train de boire un verre, on frappait à la porte de mon bureau. Je voyais Kisame entrer.



- Chef, la charlotte aux fraises fait encore des siennes.


- Qu'est ce qu'elle a encore fait ?


- Elle a pratiquement cassé les meubles de sa chambre et crie qu'elle veut sortir.


- Bon d'accord, j'y vais.



Je me levais et me dirigeais vers la chambre.



- LAISSEZ MOI SORTIR.



J'ouvrais la porte et j'avais tout juste le temps de décaler ma tête car un objet inconnu arrivait droit vers moi.



- ÇA SUFFIT, criais-je énervé.


- RIEN A BATTRE, JE VEUX SORTIR D'ICI.



Elle prenait une lampe et la lançait vers moi. Là, j'étais vraiment en colère. Je me dirigeais vers elle et la prenais par le cou.



- Tu as de la chance que Orochimaru te veux sans dommage, car je t'aurais giflé avec plaisir.



Pour seule réponse, elle me crachait au visage. Oh la pétasse !! Je la lâchais avec violence sur le lit. Je sortais de la chambre avant de commettre un meurtre. Puis, Pain venait vers moi.



- On a un problème.


- Quoi encore ?



Pov Aiko


J'étais dans ma chambre. Je regardais le réveil qui indiquait 23h00. Je n'arrivais pas à dormir. Pourtant, j'avais une jolie chambre et un grand lit. J'allais sur le balcon, où il faisait un peu frais, mais cela faisait du bien. Je regardais le beau jardin devant moi. Il était super bien entretenu.



- Tu ne dors pas? entendis-je tout à coup.



Je tournais ma tête à gauche et voyait Itachi adossé contre le mur.



- Je pourrais te retourner la question.


- Hn, disait-il en souriant du coin de la lèvre. Je suis un peu trop nerveux pour dormir.


- C'est pareil pour moi. J'ai tellement de préoccupation.


- Nous sommes dans une période critique, mais il faut penser à dormir un peu. Si on veut attraper l'Akatsuki, alors il faut être en pleine forme.


- Oui, tu as sans doute raison.



Je m'approchais de lui et je le regardais dans ses belles prunelles sombres, il avait vraiment de très beaux yeux, je m'y perdrais. J'avais comme une envie de... 



- Tu sais, tu te rappelles de notre conversation téléphonique ce matin. Je t'ai dit que tu me devais un dîner, et moi, je te devais une nuit.


- Euh... ouais, répondait-il un peu mal à l'aise. Mais, je pense que ce n'est pas le bon moment.


- Tu te rappelles aussi de notre mission commun à Paris.


- Aiko... Comment pourrais-je l'oublier ?


- Tu sais, notre travail nous a pas mal éloigné. J'ai dû me donner à fond dans l'espionnage pour t'oublier.


- Aiko, soufflait Itachi en venant vers elle. Je ne t'ai jamais oublié. J'ai même pensé beaucoup à toi.



Il mettait sa main derrière ma nuque et m'amenait à lui, avant de m'embrasser fougueusement. Mmm, j'adorais ses lèvres, si froide, mais si douce. On se séparait par manque d'air.



- Je suis désolé, disait Itachi en commençant à partir.



Je l'attrapais par le bras, et l'embrassais encore.



- Tu penses que l'on peut s'acquitter de nos dettes, avant que l'on s'éloigne encore, me disait-il avec des yeux de pervers.



<<attention petit lime>>


Je lui sourais et l'emmenais à l'intérieur de ma chambre. On s'embrassait encore et encore tout en balançant nos vêtements sur le sol. En moins de deux, nous nous retrouvions sous ma couette. Humm!! Il venait de capturer mon téton entre ses dents. Puis, je sentais sa langue parcourir ma poitrine. Je ne pouvais m'empêcher de pousser un petit cri de gémissement. Il remontait ensuite vers mes lèvres et les capturait entre les siennes. Tout à coup, je le sentais en moi... ???????... Eh !! Mais on ne s'était pas protégés... Oh et puis zut !! Je prenais la pilule de toute façon. Je savourais pleinement ce moment intime avec lui. 



Ses vas et viens étaient de plus en plus rapide et nos respirations de plus en plus saccadées. Puis, je le retournais et me mettais sur lui. Je l'embrassais en même temps que je faisais des mouvements de bassin. Je n'avais jamais ressentit cela avec un autre homme. Surement parce que je ressentais des choses pour lui ? Puis, il mettait ses mains sur mes hanches et faisait des mouvements de son côté. Je hurlais de plaisir, tellement c'était bon. Puis, venais la jouissance. Je m'écroulais sur lui complètement crevée. J'avais un peu de mal à reprendre mon souffle. Je me redressais au bout de quelques secondes et l'embrassais tendrement.


<<fin du lime>>



- C'était encore mieux qu'à paris.



Il souriait et me retournait pour être le dominant. Il m'embrassait et me disait.



- J'ai tout fait pour.



Je lui souriais et il se retirait pour me prendre dans ses bras. En tout cas, je m'étais endormit comme une masse.



Pov normal


Loin de là, dans une villa, Madara était en colère auprès d'une autre personne, située devant un ordinateur.



- Bon sang, mais il doit bien y avoir une solution.


- J'ai déjà essayé, mais je n'y arrive pas.


- Et bien essayez encore. Il y a Orochimaru qui vient lundi. S'il voit que cette puce est inutilisable... 


- Elle n'est pas inutilisable, c'est juste que quelqu'un a changé le code et de manière très efficace. Il faut être pro pour ça.


- Vous n'êtes pas un pro?


- Si, mais... 


- Je vous donne jusqu'à lundi 17h00. Passé ce délai... 



L'homme avalait une grosse gorgée de salive et se remettait au travail.



Le lendemain, Aiko se réveillait seule dans son lit. Elle souriait en repensant au merveilleux moments passés avec Itachi. Puis, après la toilette habituel, elle descendait jusqu'au salon, où elle voyait la petite famille Uchiwa.



- Bonjour Aiko, disait Mikoto en l'apercevant. Bien dormit ?



Elle arborait un sourire jusqu'aux oreilles. A son avis, elle se doutait certainement de quelque chose.



- Oui, merci, répondait-elle avec un petit air gêné.



Itachi ne disait rien et se contentait de boire son café.



- En tout cas moi, j'ai eu un peu de mal. J'ai été me chercher un verre d'eau et je suis passée devant vos chambres.



Itachi recrachait son café et faillit arroser son frère.



- Eh !! Fais gaffe !


- Tu nous as entendu? Demandait Itachi à l'égard de sa mère.



Elle se contentait de sourire. Aiko ne savait plus où se mettre et Itachi mit sa tête dans ses mains.



- Vous avez couché ensemble? Demandait Sasuke.


- Et après !! Lâchait Itachi en se reprenant.


- Sakura risque gros, nous sommes dans une période critique et vous, vous baisez ensemble.


- Cela suffit Sasuke, répliquait Mikoto.



Ce dernier se taisait, mais jetait un regard noir à son frère. Le petit déjeuner se passait dans le silence. Durant la journée, il n'avait eu aucune piste, malgré les tuyaux de quelques gars que connaissaient Itachi et Aiko.



- On patauge vraiment dans la mélasse, disait Sasuke. On arrivera jamais à leur mettre la main dessus.


- Ne t'en fait pas petit frère, on les aura, il reste quelques contacts d'Aiko à voir.



Il allait ensuite dans un garage, mais ce dernier commençait à fermer. Aiko sortait de la voiture et allait vers un homme.



- Excusez moi, est ce que Saiki est là?


- Non, mais il sera là demain.


- Ok, merci.



Et voilà encore une voix sans issus. Ils revennaient donc au manoir bredouille. Dans la villa de Madara, l'homme qui était devant l'ordinateur était en train de se tirer les cheveux pour trouver une solution. Il avait tout essayé, absolument tout, mais il n'avait rien trouvé.



- C'est un pro ce gars. Quand est ce qu'il a pu changé ce code ? Et qui peut être plus doué que moi? Disait-il en se vantant un peu. Si jamais je ne trouve pas de solutions, je vais finir entre quatre planches.



Il mettait ses mains dans sa tête, puis, il eut un tilt.



- Mais c'est bien sûr, lâchait-il en se levant et en quittant la salle.



Pov Naruto


Nous étions le lundi matin et c'était l'enterrement du commissaire. C'était un jour triste pour tout le monde. Beaucoup de personne étaient venu, sa famille, ses amis proche, presque tout le commissariat s'était déplacé. Shika, Neji, qui était venu spécialement de Kyoto, Kiba, Sasuke et moi avions mis nos uniformes de gala. Nous étions en ligne et au garde à vous. Beaucoup d'autres policiers étaient présent également. Tout à coup, la pluie commençait à faire son apparition. Et voilà que le ciel était triste lui aussi. 



Nous entendions beaucoup de pleures. Il était vrai que j'avais envie de pleurer, mais je me retenais au maximum. Pendant que le prêtre faisait son discourt, je repensais au moment où je l'avais rencontré pour la première fois, il m'avait accueillit les bras ouvert et m'avait fait me sentir à l'aise dans mon nouveau commissariat. Il m'avait couvert sur plusieurs bêtises que j'avais fais et il avait été toujours là pour moi. Cela allait faire un grand vide sans lui. 



- Attention... présentez arme... feu... feu... 



Je sortais de ma rêverie en entendant les coups de feu. Puis, la pluie cessait pour laisser apparaître les rayons du soleil. Un silence se fit entendre ensuite dans le cimetière. Nous saluions une dernière fois le commissaire. Puis, Sasuke et moi pliions le drapeau nationale et je le tendis à Mme Yamato, la femme du commissaire.



- Merci Naruto, me disait-elle toujours les larmes coulant sur ses joues.


- J'aurais tellement voulu faire plus...


- Tu en fais déjà beaucoup pour retrouver l'assassin.


- Et je le retrouverai.


- Merci, je sais que je peux compter sur toi.



Je hochais la tête positivement, puis partais le cœur gros vers les autres.



- C'est toujours moche les enterrements, lâchait Kiba.


- Surtout des personnes que l'on connaît, appuyait Shikamaru.



Puis, je voyais Hinata arriver vers nous.



- Naruto, me disait-elle. Je vais rentrer, je suis un peu fatiguée.


- D'accord, on va te ramener avec Sasuke.


- Pas besoin, Tenten s'est déjà proposée. Et j'ai invité Témari à la maison, je crois que dans son état, cette épreuve l'a beaucoup fatigué et secoué.


- D'accord, tu lui diras que je viendrais la voir dans l'après-midi.


- Pas de problèmes, Shikamaru.


- Merci, c'est gentil.



Elle m'embrassait et s'éloignait pour rejoindre Tenten et Témari.



Pov Lee


Alors que je discutais avec Neji, un ancien collègue de Kyoto, Tenten vennait vers nous.



- Je vais chez Hinata avec Témari. 


- D'accord, on se voit tout à l'heure.


- Eh !! Tu pourrais me déposer au labo, il faudrait que je vérifie deux ou trois trucs.


- Bien sûr.


- Toujours accro au travail, me disait Neji.


- Depuis le temps, tu devrais me connaître.



Il souriait et j'accompagnais Tenten à la voiture, où je voyais Témari et Hinata devant celle-ci. Je montais à côté de Tenten, pendant que Hinata et Témari s'asseyaient à l'arrière.



- Qu'est ce que tu dois vérifier ? Me demandait Tenten sur la route.


- Un petit détail qui me chiffonne depuis l'attentat du commissaire.


- Et qu'est ce que c'est ?



Je n'avais pas le temps de répondre, que quelqu'un nous tamponnait par derrière assez légèrement.



- Ça va les filles? Demandait Tenten.



Elles hochaient la tête positivement.



- Il va m'entendre celui-là, disait Tenten en commençant à sortir de la voiture.



Mais, un homme arrivait à sa hauteur et... ????? Oh mon dieu !!!!! Il tirait sur elle. Puis, un autre homme ouvrait ma portière et m'affligeait aussi le même traitement, ainsi qu'aux filles, avant même que l'on puisse réagir... ???... Mais, pourquoi je n'avais pas mal ?? J'avais une envie subite de dormir. Je fermais les yeux et m'endormais malgré moi.



Pov Sasuke


Alors qu'on était toujours au cimetière pour faire un briefing entre nous. Kiba reçut un coup de fil. Il raccrocha tout de suite après.



- Les gars, on a un problème.


- De quel genre ? Demandais-je.


- Les filles et Lee ont été enlevé, annonçait-il la gorge serrée.



Un grand froid tombait d'un coup sur nous. On se précipitait tous à l'endroit de l'enlèvement. Nous pouvions constater au premier abords que la voiture de Tenten était restée sur place.



- D'après les témoins, m'informait un flic en uniforme. Deux voitures les avaient encerclé. Celle de derrière les a tamponné légèrement. Une femme en est sortit et ils les ont tous canardé.


- Quoi ? Ils les ont tué ?


- Ils en savent rien, tout est allé si vite. Ils ont fait le coup en quelques secondes.


- Ok, c'est bon merci.



J'allais vers les autres, où l'on pouvait voir de la nervosité et de la colère.



- Si je trouve ceux qui les ont enlevé, je les tuerai de mes propres mains, disait Naruto.


- A mon avis, lachait Kiba. Ils ne les ont pas tué. Sinon, les corps seraient restés ici. Et de plus, il n'y a pas de sang.


- Alors pourquoi ? S'énervait Naruto.


- Je pense savoir, intervenait Neji. Lee devait aller dans son labo, pour vérifier quelque chose. Peut être avait-il trouvé un indice ?


- Oui, mais pourquoi ne pas l'avoir tué ? Demandait Shikamaru.


- Peut-être avait-il un objet qu'ils voulaient? En déduisait Naruto.


- Ils ont déjà la puce, disais-je. Que leur faut-il d'autre ?


- Sasuke, m'appelait Neji. Est ce que tu as donné la puce à Lee ?


- Oui, pour l'analyser, c'est lui qui l'a déchiffré.


- Ça y est, je vois. Doué comme il est, il a dû modifier un truc à la puce. Et l'Akatsuki ne peut pas la lire. Et comme il est assez connu dans ce domaine, ils ont dû faire le rapprochement.


- Mais, pourquoi les filles ?


- Mauvais moments. A mon avis, on a intérêt de vite les retrouver.


- Eh, les gars, hélait Itachi en venant vers eux. Aiko a une piste. Son contact au garage est revenu.


- Allons-y!


- Nous, on va aller au labo, déclarait Neji à Kiba et Shika. On pourra peut être trouver ce que Lee cherchait.


- On garde le contact, leur disais-je en suivant Itachi et Naruto.



Nous arrivions devant le garage d'hier. On descendit, mais Itachi et Aiko nous disaient d'attendre ici.



- C'est lui avec la salopette bleu, il n'aime pas trop les flics, à part moi.


- Ok, lâchait Naruto en s'appuyant sur la voiture.



Je le voyais très nerveux. Je le comprenais très bien. Soudain....



Pov Normal


Alors qu'Aiko et Itachi se dirigèrent vers le contact, ce dernier les vit et commençait à se carapater.



- Mais qu'est ce qu'il lui prend? s'écriait Aiko.


- SASUKE, criait Itachi à son frère. PAR DERRIERE.



Le jeune Uchiwa s'exécuta et se dirigea vers la porte de derrière en compagnie de Naruto. Le fameux contact sortit par la porte, mais il se retrouva violemment plaqué contre le mur par Sasuke.



- Aieeeeee !! grimaçait-il.



Itachi et Aiko arrivèrent juste après.



- Pourquoi t'es-tu enfuit ? Demandait-elle à son contact.


- Je ne peux rien te dire en ce moment. Je risque ma peau.


- C'est l'Akatsuki ?


- Je-je ne sais pas.


- Écoute, disait Naruto en le prenant violemment par le col. Ils ont enlevé ma femme et des amis. Si tu nous dis rien, je vais me fâcher.


- Naruto, du calme, lâchait Sasuke en le faisant lâcher prise.


- Saiki, tu peux vraiment rien nous dire?


- Écoutez, je ne sais pas grand chose, juste qu'un type est venu me voir pour lui procurer du C4.


- Du C4, disait Aiko étonnée. Tu fais encore dans le C4?


- Non, je suis clean en ce moment. Je lui ai donné le nom d'un gars que je connais et qui peut lui en procurer.


- Son nom et sa description, lui ordonnait Naruto fermement.


- Akito, c'est un brun aux yeux bleus, assez grand. Je ne connais pas son adresse, mais il traine souvent au bar des abysses.


- Je sais où c'est, disait Itachi.


- Et l'autre qui t'a demandé le C4? Demandait Sasuke.


- C'est un blond aux cheveux long et aux yeux bleus. Je l'avais jamais vu dans le coin avant.


- Quoi ? Un blond aux yeux bleus, disait Itachi. Son nom serait pas Deidara ?


- Je ne sais pas, il m'a pas dit son nom.


- Ok.


- Je peux partir maintenant ?



Saiki retournait rapidement au garage.



- Tu connais ce gars? Demandait Sasuke à son grand frère.


- Oui, si c'est au même que je pense, alors il fait partie de l'Akatsuki.



De leur côté, Neji, Shika et Kiba arrivèrent au labo. Neji allumait l'ordinateur.



- Voyons voir sur quoi il travaillait.


- Tu sais te servir de ça?


- J'ai eu une formation lorsqu'il travaillait à Kyoto. Je dois reconnaître que c'est un excellent informaticien.



Neji pianotait sur le clavier et découvrit des vidéos.



- C'est le jour de l'explosion au commissariat, disait Shikamaru en voyant la date sur la bande.



Ils regardèrent plus attentivement et virent un homme discuter avec Tenten dans les couloirs du commissariat.



- C'est Kioichi, l'ancien informaticien? En déduisait Kiba.


- Que fait-il ici et ...?


- Il y a une autre vidéo, disait Shikamaru.



Ils voyaient soudain l'extérieur du bâtiment, le même homme en sortit. Ce dernier s'approchait de la caméra, qui se situait sur un distributeur automatique. Il allumait une cigarette, et quelques micros secondes après, l'explosion se produisit. Nos trois policiers avaient les yeux grands ouverts de stupéfaction.



- Tu crois que c'est Kioichi qui a fait le coup ? Demandait Kiba.


- Non, il travaillait ici avant et s'entendait bien avec tout le monde.



Puis, Shikamaru regardait l'écran, et quelque chose attirait son attention.



- Neji, rembobine la vidéo s'il te plaît.



Il s'exécutait et remettait la bande vidéo. Celle-ci défilait, quand tout à coup...



- Stop, criait Shika... Là!



Il pointait du doigt l'écran et plus particulièrement sur...



Au repère, les ravisseurs étaient de retour. Nos 4 amis s'étaient réveillés entre temps et ils étaient emmenés dans une grande salle. Un garde poussait Temari car elle n'avançait pas.



- Eh connard ! criait-elle en lui donnant un coup de poing. Je suis enceinte, alors mollo.



Elle s'avança alors vers Tenten qui la prit dans ses bras. Puis, ils stoppèrent leurs yeux vers de grands ordinateurs. Un homme, qui était assis dans un fauteuil, y était en train d'y travailler. Puis, il se retourna et leur fit face.



- Kioichi, s'écriait Tenten en le reconnaissant.


- Oui...


- Tu es aussi leur prisonnier?


- Pas exactement.



Il se levait et leur montrait son bras. Ils y découvrirent alors un nuage rouge.



- Je m'en doutais, disait Lee. C'est toi qui a tué le commissaire?


- Quoi ? Disaient les filles surprises par cette révélation.


- Et ça était un plaisir de le faire.


- Espèce de...



Tenten se jetait sur lui et lui assénait des coups de poings et pieds.



- Sale connard, ordure, SALOPARD.



Deux gardes la prirent par les bras et l'éloignèrent de Kioichi qui avait pleins de bleues.



- Salope, insultait Kioichi en se levant et en la frappant au visage.



Retenu par les gardes, Tenten ne pouvait esquiver le coup. Puis, elle fut projeter contre les filles et Lee.



- Tenten, tu vas bien? Demandait Temari en la voyant saigner de la lèvre. Toi, si je n'étais pas enceinte, tu passerais un sale quart d'heure.


- Tu n'es pas en position de parler Temari, disait Kioichi.



Puis, ce dernier se dirigeait vers Lee. Tous les deux se regardaient dans les yeux. Ils se fusillaient du regard.



- Toi, tu vas me donner le nouveau code de la puce.


- Crève!



Kioichi sortit son arme et le pointa au niveau du cœur de Lee.



- Tue moi, et tu n'auras jamais le code.



Soudain, un homme entrait dans la salle. Lee et Tenten reconnaissaient Madara Uchiwa.



- Où est Sakura? demandait Tenten.


- La ferme! Alors, cela donne quoi?


- Il ne veut rien dire, même en le menaçant.


- C'est parce que tu ne menaces pas la bonne personne.



Madara prit l'arme du garde et tira sans pitié dans la jambe de Tenten. Celle-ci hurlait de douleur et s'écroulait à terre. Hinata, Temari et Lee allaient vers elle. La jambe de Tenten était en sang.



- Vous êtes malade, hurlait Temari.



Hinata prit sa ceinture et la serrait au dessus de la blessure de Tenten. Celle-ci serrait les dents, mais la douleur fut tellement forte qu'elle cria.



- Maintenant Mr Rock Lee, disait Madara. Soit vous déchiffrez cette puce, soit la prochaine balle sera dans l'un des ventres d'une des femmes enceintes.


- Vous êtes immonde, crachait Lee.



Puis, un garde prit Lee par le col de sa chemise et le fit asseoir sur le fauteuil en face des ordinateurs.



- Je vous donne une heure, pas plus...


- Il me faut plus de temps, il y a beaucoup de codes.


- Deux heures, pas une minute de plus.



Lee n'avait malheureusement plus le choix et commençait à déchiffrer la puce avec ses codes à lui. Il fallait qu'il fasse vite, car Tenten était mal en point. Heureusement que la balle était ressortie.


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