One Piece Givré
Chapitre 3 : de nouvelles rencontres, une vie pour une autre en retour
5705 mots, Catégorie: T
Dernière mise à jour 10/11/2016 09:38
Chapitre 3: de nouvelles rencontres, une vie pour une autre en retour
Le Sunny réapparut devant la même plage. Il n’y avait pas beaucoup de grandes différences avec le moment où le Sunny avait disparut. La seule différence est qu’il faisait jour. Après la réapparition du Sunny, le voile l’enveloppant avait disparue, Parva tomba du ciel et fut rattraper par Zorro.
Jimbey (sortant en trombe de la cuisine): Ca va? Personne n’est blessé dehors?
Luffy (se relevant avec beaucoup de mal): Non, ca va, on est juste un peu secouer!
Franky (se faisant aider par Jimbey): C’était quoi ce truc? Tient il fait jour. On aurait disparut toute la nuit?
Zorro (portant Parva encore évanouie sur son dos, dans voix tremblante): Il n’y a pas que ça qui soit différent. Regarder!
Luffy: Hein, c’est quoi ça?
Franky et Jimbey: Surprenant!
Chopper (arrivant de la cuisine): Personne n’est blessé eh? C’est quoi ça?
Nami: Chopper qu’est-ce qui se passe! Han, je n’y crois pas!
Tout le reste de l’équipage: C’est quoi tout ces cris? Wouaaaa, qu’est-ce qui c’est passé?!
L’île avait changée -alors qu’on pouvait la comparée à un gros rocher sortit de la mer- elle était transformer en un vrai paradis, serte toujours couvert de neige. Alors que c’était un désert complètement couvert de neige, on pouvait y remarquer une magnifique forêt de sapin et de conifères d’où on pouvait entendre les cris d’un tas d’animaux en liberté. Il n’y avait plus à hésiter. Soit leur disparition a pus faire revenir la vie dans cette île, soit ils avaient voyagés dans le temps.
Robin: Comment c’est possible?
Zorro: C’est Parva, c’est sa magie qui a causé cela.
Nami (les larmes aux yeux): Sa magie aurait redonné vie à cette île?
Sanji: C’est super beau.
Luffy: C’est magnifique. Merci Parva, maintenant on va enfin pouvoir aller cherchez à manger!
Dans un saut, Luffy rejoint la terre ferme en étant très vite rattrapé par le reste de l’équipage.
Nami: Attends Luffy. On devrait peut-être attendre que Parva se réveille pour savoir ce qui s’est passé.
Ussop: Oui, c’est vrai! Surtout que je fais une crise de JE-NE-VEUX-PAS-DESCENDRE-SUR-CETTE-ILE!
Zorro: Baka! Alors, pourquoi t’es descendu du bateau?!
Sanji : Chopper, t’as pas un remède contre son truc que l’on entende plus parler ?
Chopper: Désolé, cette maladie n’existe pas. Je ne peux rien faire!
Luffy (s’arrêtant soudainement): Eh, vous avez vue, on dirait qu’il y a quelqu’un derrière ces buissons.
Luffy accompagné de tout l’équipage et Jimbey francisèrent les buissons jusqu’à arriver à une petite falaise surplombant la mer. Ils y trouvèrent deux étranges animaux, l’un verdâtre un peu gris portant un tas de fruit et un tout violet qui jetait la précieuse cargaison.
L’étrange animale verdâtre: Mémé, ça suffit, on l’a assez nourris ton Pupuce, on peut rentrer?
L’étrange animal violet (frappant l’autre animale avec un bâton): Non, mais ça va pas! C’est moi qui commande ou non!
L’étrange animal verdâtre (laissant tomber les fruits): Excuse-moi Mémé, excuse-moi!
L’étrange animal violet: Le repas de Pupuce! T’as encore une fois foiré!
Luffy (sortant le premier des buissons en riant): Eh vous êtes trop marrants vous deux! Dites, vous êtes quoi?
L’étrange animal violet (se retournant en colère): Ben on est des paresseux, ça ne se voit pas et je vous interdis d’être insolaaaaaaaaaaah!
L’étrange animal verdâtre (se retournant à son tour): Ben Mémé qu’est-ce qui t’arrive? Ce n’est qu’un humain. Aaaaaaaaaaaaaaah un humain!
L’étrange animal violet (avec une voix tremblante mais néanmoins assuré): Pupuce, attaque!
Luffy: Pupuce? C’est qui Pupuce? Eh wooooooaaaaaaa! Trop cool!
Lentement une énorme baleine sortit des eaux.
Brook (sortant à son tour des buissons): Ah Luffy, tu es là! Mais qu’es-ce que tu fais, Aaaaah une baleine. C’est toi Laboon?
Franky (sortant à son tour des buissons): C’est quoi cette bestiole?!
Luffy (donnant un coup sur la tête de Brook): Mais non, ce n’est pas Laboon, t’as vu, elle n’as pas de cicatrices sur sa tête.
Brook: Ah oui! T’as raison.
A la vue de Brook le squelette, la baleine retourna dans les fond marin aussi vite qu’elle est venue.
Luffy: Oh, au revoir la baleine.
L’étrange animal violet: Non Pupuce revient!
L’étrange animal verdâtre: Mémé, on fait quoi maintenant? Il y a même un squelette!
L’étrange animal violet: Ben il n’y a plus qu’une chose à faire! Sidney attaque!
L’étrange animal verdâtre: Quoi, moi?!
L’étrange animal violet: Non, pas toi le fantôme de Mamie Andrée.
L’étrange animal verdâtre: Quoi Mamie Andrée, elle est là!
L’étrange animal violet: Oh, je n’y crois pas, tu vas attaquer oui.
Brook et Franky (étonné): Quoi?! Ces drôles de bestioles parlent?!
Luffy (toujours en train de rire): Vous êtes vraiment trop marrants vous deux. Vous vous appelés Sidney et Mémé, c’est bien ça?
Brook: Ne vous inquiété pas, on ne vous fera pas de mal.
Franky: Oui, enfin, tant que vous n’attaquez pas.
L’étrange animal verdâtre: Heu, au faite bien que mon prénom soit Sidney, tout le monde m’appelle Sid.
Luffy: Ah d’accord, ben enchanté Sid. Moi, c’est Luffy et eux c’est Franky et Brook.
L’étrange animal violet: Voilà que tu sympathise avec l’ennemi maintenant? Allez viens je vais t’apprendre à sympathiser moi.
Sid: Eh Mémé, lâches-moi tu me fais mal. Au revoir vous trois!
Nami (sortant à son tour des buissons): Luffy à qui tu parlais?
Luffy: Tien salue Nami, je parlais avec deux drôle d’animaux qui s’appelaient Sid et Mémé.
Sanji (sortant à son tour des buissons): Tu parlais à des animaux?
Luffy: Oui.
Brook et Franky: Nous on a observé la scène !
Sanji: N’importe quoi!
Brook: Ou sont les autres?
Nami: On les a perdus dans les buissons.
Sanji: Faut dire qu’ils sont très touffus, dis Luffy, tu m’aides? (Dit-il en essayant d’enlever sa jambe pris dans les branches d’un buisson).
Luffy: Attends j’arrive.
Franky: De toute façon, on se retrouvera surement plus tard.
Nami: Oui, tu as raison. On va en profiter pour trouver un endroit où dormir et de la nourriture, une tempête ne vas pas tarder je le sens.
Luffy: Ouais de la viande. Dis Sanji, tu pourras nous cuisiner un truc.
Sanji (tombant en arrière après s’être libéré la jambe): Oui si tu veux, mais pas temps que je serais coincé dans ces buissons. Ah ça y’est!
Luffy (sous Sanji): Peut-être que si on retrouve les deux drôles d’animaux on les prendra dans l’équipage.
Nami, Franky et Sanji: A non pas question! Tu nous as déjà fait le coup avec le squelette et les zombis de Thriller Bark!
Brook: Yohoho!
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Quelque part dans un coin de la forêt. Jimbey, Robin et Ussop se démêlent tant bien que mal dans les buissons.
Robin: Zorro, Luffy, Nami, Sanji, Brook, Chopper, Parva, Franky où êtes-vous?
Ussop: Ce n’est pas vrai! Ces buissons sont tellement touffus qu’on les a perdus. Jimbey tu vois quelque chose?
Jimbey: Que voudrais-tu que je vois dans ces buissons?
Ussop: Ben je ne sais pas, Luffy par exemple. C’est toi qui ouvre le chemin, alors rends-toi utile!
Jimbey: Ben à par des buissons, je ne vois rien d’autre.
Ussop: Super, on est vraiment bien tombé!
Robin: Vous ne trouvez pas ça bizarre?
Ussop: Quoi, qu’est-ce qu’il ya de bizarre?
Robin: On est dehors en pleine hiver sans manteau et nous n’avons pas froid.
Ussop: Ah oui, c’est vrai. Il fait bon, on dirait que l’on est au printemps. C’est pourtant une île hivernale non?
Robin: Oui, c’est ça qui est étrange!
Ussop: Eh, il est passé où Jimbey?
Robin: Il a du continué d’avancer pendant qu’on parlait Aaaaah!
Ussop: Robin, t’es où Wouaaaa!
Ussop, Robin tout comme Jimbey étaient tombés dans un ravin.
Jimbey: Aie mon dos! Bien que je sois un pirate adepte des sensations fortes, mon dos lui il me dit autre chose! Ca va personne est blesser?!
Ussop: Oui, ça va!
Robin: Vous avez vus la descente que l’on vient de faire? On aurait pus facilement y passé. Je me demande à quoi aurait pus ressemblé après une chute pareille. Heureusement que l’on soit tombé sur du mou.
Ussop: Robin, arrête avec tes trucs macabres! Tient pourquoi on est tombé sur du mou?
Robin: On s’en fiche, on est peut-être tombé sur de la mousse.
Ussop: De la mousse marron?
Jimbey: Vous ferez mieux de vous taire et de descendre doucement vers moi!
Robin: Pourquoi tu chuchotes?
Ussop: Tu dis quoi? On ne t’entend pas!
Jimbey: Je vous dis de vous taire, vous êtes sûr! Trop tard!
Robin et Ussop: Mais pourquoi ce rocher bouge!
Rocher étrange: Papa au secours! Il y a des humains sur mon dos!
Voix: Pèche, calme-toi, on arrive!
Voix: Eh vous, vous allez descendre de son dos oui, s’il vous plait?
Robin: Mais d’où viennent ces voix?
Voix: Eh vous me regarder quand je vous parle! Je suis en bas!
Ussop: Quoi! Un hérisson qui parle?!
L’hérisson: Eh, je suis un cochon taupe moi! Eh, eh, vous allez me reposé tout de suite, oui! Aaaaah, l’humain est tout bleu. (Il est prit par Jimbey)
Jimbey: Eh Ussop, comment qu’il a dit qu’il s’appelait?
Ussop: Un cochon taupe ou quelque chose dans ce genre!
Robin: En tout cas ce qu’on peut dire, c’est qu’il est mignon comme tout!
L’hérisson: Vous allez me lâcher oui! Ah bon, vous me trouver mignon?
Rocher étrange (dans un ton de colère): Eh, vous allez libérer mon ami oui?!
Tout d’un coup le rocher sur lequel étaient tombé Robin, Ussop et Jimbey se mit à bouger, se leva et montra son visage. C’était une espèce d’éléphant femelle.
Ussop: Oh, un éléphant! Eh pourquoi, il est marron et plein de poils?
Robin: Parce que, ce n’est pas un éléphant, mais un mammouth.
Ussop et Jimbey: Un mammouth?
Robin: Oui. Et une très belle femelle si je peux me permettre.
Mammouth: Vous me trouvez jolie?
Robin: Oui. Je m’appelle Robin, lui avec le long museau c’est Ussop.
Ussop: Eh, tu sais ce qu’il te dit le «long museau»?!
Robin: Et celui qui est tout bleu c’est Jimbey. Et toi, quel est ton nom?
Mammouth: Moi, c’est Pèche.
L’hérisson: Et moi, c’est Louis. Enfin pour ceux que ça intéresse!
Jimbey: Donc vous vous appelez Pèche et Louis. Ravi de faire votre connaissance.
Louis: Moi aussi, je suis ravi de faire votre connaissance. Mais si vous pouviez me poser maintenant?
Jimbey: Oups pardon.
Juste avant que Jimbey pose Louis à terre, un autre animal s’en était emparé.
Jimbey (se met en garde): Un autre mammouth!
Ussop (se met en garde): Même deux! Et ils n’ont pas l’air content!
Mammouth: Si vous croyez me berner, c’est que vous êtes nés de la fonte du dernier iceberg.
Robin: Ce n’est pas «de la dernière pluie» qu’il faut dire!
Ussop: Ne l’énerve pas plus qu’il est maintenant!
Second mammouth: Pèche chérie, ça va?
Pèche: Maman, dit à papa de laisser ces humains tranquilles!
Un opossum: Quoi, j’espère que tu plaisantes.
Second opossum: Les humains sont dangeureux!
Un opossum: Oui, surtout ceux qui sont bleu! Ils puent le poisson!
Second opossum: Ouais, bien dit Crash!
Jimbey: Eh, ce n’est pas parce que je suis un homme poisson que je pus forcément d’accord! En plus, je me suis lavé hier!
Ussop: Ah ouais! On ne dirait pas vue de nez!
Jimbey: Ouais, c’est ça, dis carrément que je pus!
Ussop: Ben oui, tu pue c’est une horreur! Tu sais ce que c’est le savon!
Jimbey: Bien sur que je connais le savon! Mais je n’utilise pas ça!
Ussop: Pourquoi tu n’en mets pas, hein?
Jimbey: Je ne peux pas parce que cela raille mes écailles et que je suis allergique!
Ussop: Tout ça à cause d’une allergie. La belle excuse!
Robin (la tête dans ses mains): Bon-sang, ils me font mourir de honte!
Second mammouth (en regardant les deux opossums): A ça je te comprends!
Les deux opossums: Eh, on a rien fait nous!
Mammouth: Bon ben, à voir ce qui ce passe, vous n’avez pas l’air très violents pour l’instant. Venez, on s’en va!
Robin: Attendez ne partez pas. Dites-moi au moins vos noms s’il vous plait.
Mammouth: Oh, on est vraiment obliger?
Second mammouth: Manny, ils ne nous ont pas attaqués. Ce serait normal qu’on leur dise au moins nos noms.
Mammouth: Bon d’accord, bon ben moi, c’est Manny. Vous connaissez déjà ma fille Pèche et son ami Louis et voici ma femelle Ellie et ses deux frères opossums.
Jimbey et Ussop: Quoi? Ses frères? Les deux opossums?
Manny: Oui, je sais c’est bizarre. Bon eux c’est Crash et Eddie, allez salut!
Robin: Au revoir. Plutôt attachantes ces grosses bêtes.
Manny: Eh, je ne suis pas gros! C’est ma fourrure qui est bouffante c’est tout!
Robin: Bon arrêtez de vous disputer, il faut retrouver les autres avant que la nuit tombe.
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Quelque part à au début d’une clairière. Zorro, Chopper et Parva venaient enfin à leur tour de sortir des buissons. Parva toujours évanouie était sur le dos de Chopper transformer sous sa forme Walk Point, Zorro ouvrait la marche.
Zorro: Ben enfin! Revoilà la lueur du jour.
Chopper: On a du perdre les autres en traversant ces buissons.
Zorro: Ce n’est pas grave, on les retrouvera plus tard. Au faite, merci de m’avoir aidé à transporter Parva.
Chopper: Tu sais, ce n’est rien, c’est normal. Tu ne pouvais pas te frayer un chemin à travers les buissons et porter Parva en même temps. Il faut dire que cela aurait été impossible, au faite elle est réveiller?
Zorro recule et se met à la hauteur du visage de Parva. Cette vision l’apaise jusqu’au plus profond de lui-même.
Zorro: Non, elle dort encore.
Chopper: En même temps, c’est normal. Si elle a redonné vie à cette île, c’est qu’elle a due utiliser toute sa force magique la pauvre. Eh Zorro ça va t’as pas l’air bien.
Zorro (se tenant la poitrine et parlant d’une voix tremblante): Ce n’est rien, j’ai un peu chaud c’est tout. Il faut juste que je m’arrête un peu.
Chopper: Au ben oui, c’est vrai que tu as chaud, tu transpire beaucoup. Il faut vite que tu te désaltère. Oh, on a de la chance, on est près d’un ruisseau. Tient garde Parva avec toi, le temps que j’aille te chercher de l’eau.
Zorro: Mais tu n’as pas de gourde, comment tu vas faire pour en rapporter?
Chopper: t’inquiète pas pour ça, j’ai mon sac à dos et il doit bien y avoir une bouteille de médicament vide dedans. Bon à toute suite.
Zorro était assit contre un arbre tenant Parva dans ses bras. Bizarrement, la chaleur qu’il éprouvait s’en est allée bien vite. Quelques secondes après que Chopper soit partit, Parva se réveilla. Mais après avoir vue dans quels bras elle était elle se releva si vite qu’elle cogna sa tête contre le menton de Zorro.
Parva: Hou, ma tête! Sumimasen seinsey, veuillez me pardonnez. Je ne savais pas que j’étais dans vos bras.
Zorro (son menton entre ses mains): Ce n’est rien, tu ne pouvais pas savoir que c’était moi. Tu étais endormie.
Parva: Oh seinsey, votre menton. Je vous ais blessé?
Zorro (le sourire aux lèvres): Non, ce n’est rien, tu sais, j’ai connu pire.
Parva: Ben je suis rassuré. Mais si vous voulez me punir, vous pouvez, je ne dirais pas non vous savez.
Zorro: Non, ça va tu n’aura rien à faire je ne vais pas te punir parce que tu dormais après avoir utilisé trop de magie. D’ailleurs, tu sais qu’elle formule tu as utilisé car tu as ramené la vie dans cette île.
Parva (surprise): J’ai redonné vie à cette île?!
Zorro (surpris de la réponse de son élève): Ben oui. Tu ne t’en rappelle pas? Tu n’en a aucune idée?
Parva: Non seinsey, j’en ais aucune idée.
Pendant la conversation, Zorro commençait peu à peu à se libérer d’un poids. C’était la première fois depuis longtemps qu’il parlait avec quelqu’un avec une telle simplicité de propos. Il trouvait également que le côté de la personnalité de Parva qui ne cessait de s’excuser très attachant. Durant ce temps, Chopper était au ruisseau et faisait en sorte de remplir en eau le plus de bouteilles vides pour la route que Zorro, Parva et lui-même allaient faire pour retrouver leurs amis.
Chopper: C’est fou ce que l’eau de ce ruisseau est bonne. Elle est bien fraiche, comme je les aime, ça me rappelle mon île natale: Drum Iland. En plus c’est très poissonneux par ici on dirait. Je devrais peut-être essayer d’en attraper pour faire des provisions pour la marche. (Il fut vite interrompu par un bruit de branche qui craque) Hein, qui est là Zorro, Parva, c’est vous? (Il vit soudain un petit oiseau s’envoler. Chopper soulagé et dans un petit rire) Ouf, j’ai eu peur. Et toi, l’oiseau, pense à y aller mollo sur les asticots, faut que tu fasses un petit régime, car à entendre le bruit que tu fais quand tu décolles.
Le petit oiseau: Vite, sauves-toi, cours!
Chopper: Hein, mais pourquoi je devrais courir?
Le petit oiseau: Elle t’a prit en chasse, tu es sa cible maintenant! Mais si tu as de la chance, tu pourras peut-être lui échapper, elle est assez lente en ce moment. Elle attend un petit!
Chopper: Eh quoi? Wohoho! Attends, reprends depuis le début, qui est lente et qui attends un petit.
Le petit oiseau: Je te parle de celle qui est derrière toi.
Chopper: Quoi, derrière moi. Wouaaaa!
Le petit oiseau: ravi de t’avoir connu.
Chopper poussa un tel cri de terreur qu’il se fit entendre jusqu’à la hauteur de Zorro et Parva.
Zorro: Chopper c’est toi?
Parva: Chopper répond!
Ils se mirent tous deux à une hauteur suffisamment haute pour surplomber la scène: Chopper, sous sa forme Walk Point était poursuivit par un félin gris limite blanc rayé de noir.
Zorro: Ce n’est pas vrai, il y a une espèce de lion qui lui file le train! Ecoute, Parva, toi tu vole et tu t’empare de Chopper et moi j’arrête l’autre félin. (Zorro sort un de ses sabres de son fourreau) ce doit bien suffire pour l’arrêter.
Parva: Attendez seinsey! Vous n’allez pas tuer cette belle bête.
Zorro: Ne t’inquiète pas, je vais juste l’égratigner un peu et si je la tue, ont aura au moins de la bouffe pour ce soir.
Parva: Seinsey!
Zorro: Bon ça va je rigole!
Parva se mit à voler le plus vite qu’il lui était possible et s’empara de Chopper juste devant le nez du félin qui s’arrêta tout abasourdit par ce qu’il venait de voir. Zorro situé derrière eux profita de l’absence du félin, égratigna le ventre de la pauvre bête qui tomba par terre immobilisée par la douleur, pas morte pour autant.
Chopper (dans les bras de Parva): Non, ce n’est pas vrai, vous avez fait quoi là?!
Parva: On vient de te sauver.
Chopper: Je vois bien que vous venez de me sauver et je vous en remercie. Mais vous avez fait quoi à la tigresse?!
Parva: Ne t’en fait pas Zorro seinsey m’a promit qu’il ferait juste en sorte de la blesser.
Chopper: Vous n’auriez jamais due faire ça. Cette tigresse attend un petit.
Parva: Quoi?!
De retour sur la terre ferme.
Zorro: Tu voulais te servir de mon camarade comme repas, ben désolé mais tu es très mal tombé.
Parva: Zorro seinsey arrêtez n’aggravez pas sa souffrance!
Chopper: Tu ne l’as pas blessé au moins?!
Zorro: Si mais ne t’inquiète pas il est toujours en vie.
Chopper: Oh non, c’est bien ce que je craignais!
Zorro: Quoi?!
Parva: Seinsey, cette tigresse que vous avez blessé attends un petit et en la blessant vous lui avez peut-être fait perdre cette chance d’avoir un bébé.
Zorro: Hein?!
Chopper: Reste tranquille, je vais soigner tes blessures. (Il reçoit presque deux coup de patte en pleine figure) Bien merci Zorro, à cause de toi elle ne se laisse plus approcher! Et si je ne la soigne pas tout de suite, elle risque de perdre son bébé!
Zorro: Eh, mais ce n’est pas de ma faute et comment je pouvais savoir qu’elle était enceinte cette tigresse moi.
La tigresse: Dégagez, ne me touchez pas!
Zorro: Quoi, cette bestiole parle?!
Chopper (avec des yeux en étoile): Tu entends ce qu’elle dit? Dis Zorro, depuis combien de temps tu parle aux animaux?
Zorro: Je ne parle pas aux animaux, mais je comprends ce que dit cette bestiole.
Parva: Chut, ça va aller. Ne t’inquiète pas, on va rien te faire, on va juste te soigner tu comprends. Il faut que l’on te soigne au plus vite, sinon tu vas perdre ton bébé.
La tigresse: Je ne te fais pas confiance. Tu es un humain, tout ce que tu souhaites c’est de prendre ma peau et ma chaire.
Parva: Non, je ne veux aucunement cela. Je veux juste te guérir et que tu puisses préserver la vie de ton petit et la tienne.
La tigresse: Ce ne sont là que des mensonges, ne me prend pas pour un tigron né de la dernière porté, je sais ce que tu as derrière la tête!
Parva: Je te promets sur mon honneur et ma vie de fée que nous te ferons aucun mal. (A cet instant, une croix rouge sang se dessina sur l’épaule de Parva.)
Chopper (apeuré à la vue de la croix): Attends, Parva tu sais ce que tu viens de faire?!
Parva (d’un ton solennel et assuré): Oui.
Chopper: Attends, je crois que tu ne connectes pas, écoute, tu as encore le temps! Annule ta promesse toute suite!
Parva: Si, je suis tout a fait consciente de ce que je fais.
Zorro: Attends, tu viens de mettre ta vie en jeu pour une espèce de lion, de tigre, cette bestiole ou je ne sais trop quoi.
Chopper (avec un petit ton de fierté dans la voix): Ce n’est pas qu’une simple bestiole, c’est une similodon femelle, une tigresse à dent sabre si tu préfère. J’en ai vu des illustrations dans un des livres de Robin.
Zorro: A dent de sabre, tu dis?! Eh, ben pour une bestiole escrimeuse, je me serais attendu à plus! Et toi Chopper, tu t’y connais assez bien dans ce genre de bête. Tu m’impressionne.
Chopper (se tortillant dans tous les sens): Non franchement Zorro, si tu crois que ça me fais plaisir tu te trompe enfoiré de baka!
Zorro (avec une goute de sueur derrière la tête): Franchement t’es pire que Brook. Bon sinon, la bestiole, comment elle va?
Parva: Seinsey, ce n’est pas une bestiole, c’est une tigresse pleine.
Zorro (en dégainant son sabre): Pleine, de quoi? De saké? Si c’est ça, je veux tout boire!
Chopper (sous sa forme humaine s’accrochant au bras de son ami afin de l’empêcher de bouger): Mais non baka, «pleine» est un terme médical utilisé s’adressant aux animaux femelles enceintes.
Zorro: Ben sumimasen Docteur, mais je ne suis pas allé dans la même école que vous, moi je suis un sabreur!
Parva (s’énervant et en parlant presqu’avec la voix de Nami [c’est ce qu’elle fait quand elle vraiment à bout de nerfs]): Mais vous allez vous taire, oui? Avec toute vos jérémiades!
Zorro et Chopper (s’arrêtant net, et mis en position de garde à vous): Oui Madame, on se tait!
Parva: Merci!
Parva avait fini par prendre l’habitude d’utiliser la voix de Nami quand elle en avait assez des jérémiades de l’équipage. C’était presque devenu un petit tic de langage chez elle. Malheureusement, elle se l’avouait bien qu’au fond d’elle-même et surtout de son cœur qu’elle avait plus que honte d’utilisé cette capacité de copiage, ce qui n’était pas le cas de tout le monde. Nami avait apprécié cette faculté dès la première seconde et Zorro ne restait pas indifférent. Il trouvait que cela faisait partit de son charme, bien que cela lui rappelait une certaine sorcière rousse, il ne pouvait s’empêcher de sentir son cœur de fondre d’amour pour la jeune fée.
Zorro: Oh faite Parva, quesque tu vas faire maintenant que tu ne plus annuler ta promesse?
Parva: On va soigner cette tigresse et l’aider à préserver la vie de son petit, vous êtes baka ou quoi seinsey? Sur ce point là, je suis d’accord avec Nami. (Curieusement après cette insulte, Zorro ne broncha rien du tout, ce qui étonna Chopper. Mais il fut vite ramener à la raison par la présence de la tigresse, elle avait l’air de s’éloigner peu à peu comme si elle s’endormait).
Chopper: Attends Parva, je suis d’accord pour la soigner. Et comme tu peux le savoir, je suis le premier préoccuper de la santé d’un malade ou d’un blesser. Mais tu as bien réfléchis? Si je soigne cette tigresse et que par erreur je provoque la moindre douleur, même la plus infime, c’est toi qui vas tous prendre, et ça en dix fois pire.
Parva: J’en suis plus que consciente et c’est pour ça que je vais utiliser de la magie pour la soigner.
Chopper: Quoi?! Mais t’es folle?!
Zorro: Tu vas encore utiliser de la magie alors que tu en as presque plus? Parva écoutes, tu as déjà fais un gros effort pour ramener cette île à la vie, et regarde toi, tu es toute faible. Utiliser encore de la magie dans ton état, c’est du suicide.
Parva: J’en suis bien consciente, mais la vie d’un nouveau né est bien plus importante pour la mère qui veut le mettre au monde, qu’une vie déjà pesante sur cette planète. Et puis ne dit-on pas que quand une étoile s’éteint, une autre prend la relève et brille de mille feux, par rapport à la précédente? Ci cela est vrai, je ne voix pas pourquoi ce devrait être, le contraire pour les êtres vivants?
Chopper: Non Parva, ne fais pas ça!
Zorro (sur un ton triste mais assuré): Chopper arrête!
Chopper: Mais Zorro.
Zorro: Laisse Parva tranquille, elle a pris sa décision!
Chopper: Non, on ne doit pas la laisser faire ça! Si Luffy était là, il dirait
Zorro: Si Luffy était là, il se tairait et laisserait Parva se concentrer alors tu te la ferme!
La tigresse (à bout de souffle): C’est vrai, tu me le jure.
Parva: Quoi?
La tigresse: Tu me promets de me sauver moi et mon petit?
Parva: Oui, mon nom est Parva et toi?
La tigresse: Mon nom c’est
Voix: Kira!