Isla Vueltas, les aventures des Mugiwaras

Chapitre 4 : Réveils douloureux

4267 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 09/11/2016 21:28

Robin ouvra difficilement les yeux. Elle avait tellement mal à la tête, on aurait dit que quelqu'un l'avait frappé de toutes ses forces pour qu'elle perde conscience. Le flou qui envahissait son regard commença à s'estomper, et elle pouvait discerner une forme, puis une silhouette, un homme plutôt carré des épaules. « Te voilà réveillée. » dit l'homme d'une voix doucereuse. Robin sursauta légèrement en l'entendant parler, sa vision devenait plus claire. Celui qui s'était adressé à elle était vêtu d'une veste d'un blanc éclatant, et d'une chemise bleu ciel entrouverte, découvrant ainsi une partie de son torse. Quelqu'un d'aussi bien habillé devait forcément se rendre quelque part, une cérémonie peut être. Robin regarda son visage ovale qui affichait un sourire narquois. Il avait des petits yeux perçants d'un noir intense, ses cheveux de la même couleur tombaient en mèches non régulières sur sa figure, ils étaient d'ailleurs plutôt longs. Il posa sa main sur l'épaule de Robin et elle frémit à ce contact, et remarqua qu'il portait un bracelet d'argent. « Prends ton temps pour mettre la tenue qui est sur la chaise près de ton lit. Je viendrais te chercher quand le moment sera venu. » susurra-t-il avant de quitter la pièce en prenant soin de refermer la porte derrière lui. Robin souffla avec force, elle se sentait un peu mieux. Cependant, mille questions se posaient dans sa tête : « Qui est-ce ? », « Qu'est-ce-que je fais ici ? », « Où sont les autres ? » … La jeune femme s'assit sur le lit dans lequel on l'avait abandonnée. La décoration de la chambre se dessina à mesure que sa vision devenait plus nette. Une photo sur une commode en frêne attira son attention. 3 jeunes garçons d'une dizaine d'années se tenaient par les épaules, affichant leur plus beau sourire. « Ils ont l'air tellement complices ... des frères ou bien de vieux amis sans doute. » Robin pensa à Kya pendant un instant, elle aurait tellement aimé avoir ce genre de souvenirs avec elle. Elle posa sa main sur son front encore cuisant, et décida d'essayer de trouver une solution afin de sortir de la pièce. « Trenta Fleurs ... » commença t-elle avant de perdre toutes ses forces et de s'écrouler à quatre pattes sur le sol. Robin suffoqua et comprit alors « Les murs … doivent être recouverts de quelque chose de semblable au Granit Marin. C'est pour cela que moi, utilisatrice de fruit du démon, me sens si faible. » Elle se résigna alors à attendre les autres dans un profond soupir et se leva pour continuer de découvrir la pièce dans laquelle elle était enfermée. Sa main glissait le long du mur, sans le toucher, comme pour trouver quelque chose qui lui aurait échappé à l’œil nu.

Drew : Bonjour mademoiselle.

Robin se retourna vers la personne qui venait de la saluer. Elle avait senti sa présence bien qu'elle ne l'ai entendu entrer dans la chambre. Elle le regarda de haut en bas, et reconnu l'homme qui était accroupi auprès d'elle quelques temps auparavant.

Robin : Mmmh ?

Drew : Vous devez être surprise de vous réveiller dans un tel endroit.

Robin : Effectivement, c'est un peu perturbant.

Drew : Permettez moi de vous complimenter sur vos formes … généreuses Dit-il d'un ton perverti

Robin fronça le sourcil droit.

Robin : Brook ? Demanda t-elle, mal assurée

L'homme resta de marbre mais l'incompréhension se lisait sur son visage.

Drew : Pardon ?

Robin : Hmm ... Laissez-tomber, qui êtes-vous ? Un tueur en série ?

Drew : Oh ! Vous êtes bien délicate. Veuillez me pardonner je n'ai pas eu la galanterie de me présenter. S'excusa t-il en se courbant légèrement face à Robin, la main droite sur le torse, l'autre dans son dos.

Robin laissa échapper un petit rire innocent.

Drew : Je me nomme Drew, 3ème prince de Koshizuma.

Robin : Koshizuma, n'est-ce-pas un royaume bâti sur West Blue ?

Drew : Exact ! Vous en avez autant dans le soutien à gorge que dans la tête semble t-il Dit-il le regard louchant sur la poitrine généreuse de Robin.

D'un geste désinvolte, Robin remit en place son décolleté en place de manière à cacher son corsage.

Robin : Assez parlé de vous, pouvez m'expliquer ce que je fais ici ?

Drew : Et bien ... je vais bientôt me marier. Dit-il, un sourire diabolique se dessinant sur son visage.

Robin : J'en suis ravie. Cela ne me dit toujours pas ce que je fais ici.

Drew : Je vais vous expliquer. Dit-il en s'asseyant sur une chaise, tout en restant fixé Robin , son sourire toujours présent.

Du côté de Franky et Brook : 

Franky : C'EST     QUOI     ÇA    ? Hurla t-il en détachant les mots

Brook : YOHOHOO !

Au même endroit où se dressait le bouton que Franky voulait activer, un œil venait d'apparaître. Il tournait dans son orbite comme pour mieux voir les intrus qui venaient de s'infiltrer dans la salle de bain.

Franky : Et merde ! Pratiquement sûr que c'est une caméra ou un truc du genre on va se faire remarquer ! Gronda t-il

Brook : NON ! Regarde Franky ça bouge ! Cria t-il les bras en l'air, les larmes sortant des yeux (bien qu'il n'en ai pas)

Le mur craquela puis s'arracha devant Franky et Brook, une tête était apparu, puis des bras, et enfin des jambes. Un corps de métal se détacha finalement complètement du mur face aux deux compagnons complètement effarés.

Franky : Mais qu'est-ce-que c'est que çaaaaaa ! S’égosilla t-il, déconfit.

Zidro : Zidro …. dzzz …. mal.

Brook : Zi ... Zidro ?

Franky : C'est son prénom ça ?

Une machine venait de s'activer devant eux, elle avait une voix de vieil automate qui découpait les mots lorsqu'il parlait. Le robot tourna brusquement la tête vers les deux amis, qui avalèrent leur salive.

Zidro : Intrus détectés ... Zidro doit détruire intrus ...

Franky : Euuh …

L'androïde s'avança d'un pas robotique vers Brook et Franky avant de lever les bras au ciel. Les deux autres étaient restés imperturbable, bien que l'ombre des bras du robot, recouvrait totalement leur silhouette.

Franky : Euuhh ...

Brook : Ça veut dire qu'il s'appelle Zidro ?

Zidro baissa alors avec force ses deux bras sur Franky et Brook, dans un vacarme absolu. Franky eut tout juste le temps d'attraper son compagnon par le bras pour lui éviter de se faire écraser celui qui devenait à partir de ce moment, leur ennemi.

Brook : YOHO ! Il a éclaté la belle baignoire Pleura t-il

Zidro : DÉTRUIRE ! Hurla t-il

Franky : Je crois que ce tas de ferraille essaie de dire qu'il va TENTER de nous éliminer.

Zidro : DÉTRUIRE ... INTRUS ! À nouveau, le robot frappa le sol de ses deux énormes bras. Il manqua sa cible une nouvelle fois. 

Franky : Bon ce n'est pas en esquivant ses attaques que l'on va arriver à quelque chose !

Brook : Je me disais bien que c'était trop facile aussi si on avait que des étages à monter tranquillement !

Franky : Tu n'as qu'à monter pendant que je m'occupe de lui !

Brook : J'y vais ! Personne n'oubliera ton sacrifice Frank ... Dit-il en courant vers les escaliers.

Brook fit un dérapage contrôlé, se stoppa, l'air hagard. Enfin, il s'exclama :

Brook : YOOH ! IL BLOQUE LES ESCALIERS CET ABRUTI !

Zidro : On fait moins les malins là. Dit-il l'air hilare

Après un échange de regard entre les trois individus :

Brook : EN PLUS IL SE FOUTAIT DE NOTRE GEULE ! IL SAIT TRÈS BIEN PARLER CE ROBOT DE MALHEUR !

Zidro : Oui je voulais tester un nouveau concept ... c'était marrant. Vous auriez dû voir vos têtes quand j'ai hurlé : « Zidro, détruire, intrus. » Rigola t-il en s'imitant

Franky grogna de toute ses forces, n'aimant pas le fait d'être prit pour un imbécile par un robot, alors que lui même en est en un en quelque sorte. Zidro de son côté observa les deux énergumènes, face à lui.

Zidro : Voyons ... Un type en string et un cadavre qui parle.

Brook : FRANKYY ! Pleura t-il Comment peut-il oser !

Franky : VIENS TE BATTRE  SI T'ES UN HOMME !

Zidro : Contre vous ? Mmmh ... Réfléchit-il

Zidro resta une minute sans bouger, le point sur le menton, plongé dans une profonde réflexion puis il explosa de rire. C'est à ce même moment que Franky explosa de rage et hurla « FRANKY MASTER NAIL ! » avant de foncer sur son adversaire, en crachant des clous.

« Il y a quelqu'un ? » Hurla Nami. Mais il était inutile de crier, l'écho qui retentissait dans la pièce indiquait qu'elle était seule. La dernière chose dont-elle se souvienne c'est un bras qui l'avait attrapée par le cou avant de la hisser vers le haut, pour finir par l’assommer contre le plafond de sa loge. « Qu'est-ce-que je peux bien faire ici ? »  se demanda t-elle en marchant de long en large dans l'immense pièce dans laquelle elle se trouvait. Elle arrêta de cavaler afin de contempler cette salle. Nami s'était réveillée sur un lit de doux coton, près d'elle trônait une magnifique commode blanche, qu'elle n'avait pas réussit à ouvrir. Il y avait à peu près autant de fleurs que de chandeliers, c'est à dire des dizaines et des dizaines. Les yeux remplis d'étoiles, elle examina longuement les nombreux objets de valeurs qui régnaient dans la pièce : des assiettes en argent, des paquets de rubis et de bijoux ... Nami se dépêcha de remplir ses poches au maximum., lorsque quelqu'un fit violemment irruption dans la salle.

Mattwee : SALUUUT DARLIIIING ! Hurla t-il sur un ton très efféminé, en sautant littéralement dans les bras de Nami.

La jeune femme le repoussa avec force avant de lui lancer un verre en argent qu'elle venait d'attraper. Elle criait de toute ses forces. 

Mattwee : Calme toi darling ! Dit-il en se protégeant le visage avec ses bras

Nami : QUI ... QUI ÊTES VOUS ? Aboya t-elle, le menaçant avec un nouveau verre en argent dans la main.

Mattwee : Je suis Mattwee, darling on ne t'as pas prévenue de ma visite ? Couina t-il

Nami : Qui ? Hein ?

Mattwee : Oh tu sais moi j'aurais préféré un garçon. Enfin bon, tu connais le patron, tu sais comment il est hihi. Dit-il, les joues rosies

Nami resta stupéfaite, elle ne comprenait pas la décontraction du jeune homme qui se tenait auprès d'elle.  Mattwee portait un costume blanc avec une chemise, un pantalon et des souliers assortis. Mêmes ses longs cheveux lisses étaient blancs ! L'unique touche de couleur de sa tenue était le foulard rouge sang, qu'il avait noué autour de son cou. Ses yeux verts, et son air goguenard le rendait toutefois sympathique, bien qu'un peu idiot.

Mattwee : Il a de ces yeux si verts darling ! S'exclama t-il amoureusement. Je suis sûr que toi aussi, dès que tu l'as vu pour la première fois …

Il s'arrêta de piailler lorsqu'il aperçu la trombine horrifiée de Nami.

Mattwee : Ça ne va pas darling ? Demanda t-il inquiet

Nami : Je ne suis pas sûre d'avoir tout suivi … Réussit-elle a accentuer

Mattwee : C'est toujours aux même de faire tout le travail ! Je ne comprends pas ça darling tu sais, un jour voilà que ...

Mattwee commença à raconter des morceaux de sa vie peu intéressants.

Nami : Et appelle moi Nami ... comme tout le monde. Souffla t-elle

Du côté de Sanji et Ussop :

Une jeune femme avait fait irruption dans la pièce et fixait Ussop, le regard menaçant. Sanji l'avait remarqué et dissuada Ussop de renifler une nouvelle fois la fleur qu'il avait attrapé. Il l'a reposa délicatement dans le vase ou il l'avait trouvé. La demoiselle soupira fortement avant de s'emporter :

Amély : Non ! Ça ne va pas du tout, elle n'était pas à cet endroit. J'avais mis tellement de temps à préparer cette salle ... vous avez tout gâchez. Gronda t-elle

Ussop se crispa, avant d'ajouter :

Ussop : Oy ! je n'ai déplacé qu'une seule rose ! Il ne faut pas dramatiser mademoiselle, votre décoration est parfaite !

Amély : Chaque fleur possède une place qui lui est dédiée. Chaque fleur est un symbole. Chaque fleur est unique ... si vous en déplacez une de sa place initiale, vous déclarez sa colère. Dit-elle sur un ton plat

Ussop : Qu'est-ce-que c'est que cette espèce de f... SANJI !

Sanji avait les yeux en cœur et se trémoussait dans tout les sens, la bouche ouverte. Ussop devint fou lorsqu'il se rendit compte que Sanji avait une nouvelle fois succombé au charme d'une demoiselle. La jambe noire mit un genou à terre, et prit subtilement la main d'Amély, avant de l'embrasser, il lui demanda :

Sanji : Quel est donc votre prénom, ma douce ?

Amély : Lâchez ma main ! Je me nomme Amély, curieux imbécile et éloignez-vous donc de moi. S'exclame t-elle en retirant vivement sa main et en s'écartant de Sanji.

Ussop : Amély ? Ça me dit quelque chose.

Amély posa un regard démoniaque sur Ussop qui ne présageait rien de bon. Ussop frémit, avant de se rappeler d'un détail : « Ce regard … Elle fait partie des 3 Akumas dont les deux ratons-laveurs nous ont parlé. »

Ussop : SANJI ! Fais gaffe, c'est l'un des 3 démons !

Sanji était toujours envoûté par la beauté naturelle de la jeune femme et ne semblait pas disposé à se défendre face à une attaque potentielle.

Ussop : Irrécupér ... BWAAH !

Amély : Pourquoi est-ce-que tu cries ? je n'ai même levé le petit doigt pour t'attaquer. Dit-elle d'un ton dégagé, en s'avançant doucement vers Ussop

Ussop : Simple pressentiment. On … on peut la refaire si … si tu veux. Blagua t-il, les jambes flageolantes.

Amély était arrivée à son niveau, et Ussop enfin apercevoir entièrement le visage de son ennemie. C'était une toute jeune adolescente, aux longs cheveux lisses et gris. Les traits fins de son visage lui donnait un aspect angélique qui contrastait avec ses yeux d'un rouge sanguinolent. Son goût vestimentaire semblait complètement différent de son goût de la décoration. En effet, elle portait un long manteau noir corbeau qui cachait chaque partie de son corps et dans bottines de la même couleur. Elle avait accessoirisé sa tenue d'une écharpe violette. Un visage délicat posé sur un corps de princesse des ténèbres. Amély se retourna brusquement, un sourire au coin des lèvres. Elle leva son épée dont l'immense lame était aussi épaisse qu'elle et lança, les yeux remplis de fureur :

Amély : Je commence par le blond .

Ussop : Hors de question ... C'est moi que tu vas devoir affronter car lui … Dit-il en prenant son courage à deux mains

Pendant qu'il parlait Sanji se roulait par terre. Amély soupira face au comportement pitoyable de ce dernier.

Ussop : Tu ferais mieux de ne pas baisser ta garde trop vite HISSATSU SAKURETSU SABOTEN BOSHI !

Ussop avait profité de la déconcentration de la jeune fille pour lui envoyer, grâce à son lance-pierre spécial, une bille de plomb qui avait éclaté en dizaines de pointes métalliques une fois la cible touchée.

Ussop : Touchée !

Amély : Raté !

Lorsque la fumée diffusée par l'impact fut dissipée, Ussop vit avec stupeur qu'Amély était restée de marbre. Elle tenait Sanji, qu'elle avait utilisé comme bouclier, par le col de sa chemise, avant de le lâcher, le laissant s'écraser sur le sol. Ussop eut un hoquet d'horreur. 

Amély : FATAL-CRACK  Hurla t-elle en lançant de toute ses forces son épée

Ussop eut tout juste le temps de sauter et de s'accroupir derrière le bar. La moitié de celui-ci explosa sous l'impact de l'épée. Sa lame effleura tout juste Ussop qui se releva d'un coup sec :

Ussop : HISSATSU SAKURETSU SABOTEN BOSHI !

Cette fois ci, le coup d'Ussop avait atteint sa cible. Amély fut blessée à l'épaule. Le regard plus noir que jamais, elle fixa son rival des yeux.

Amély : Mmmh … Grommela t-elle

Ussop : Ça risque d'être plus compliqué que je ne le pensais. Songea t-il

À l'intérieur, elle hurlait de douleur et pourtant Kya n'arrivait pas à prononcer le moindre mot. Impossible d'appeler du secours. Les yeux entrouverts, elle ne reconnaissait pas sa cabine et ses insupportables maux de tête l'affaiblissaient de plus en plus. Quand elle entendit du bruit, elle se risqua à prononcer les mots « à … l'aide » avant de presque perdre conscience. Quelqu'un s'approcha alors du corps inerte de Kya : « Je t'ai bien amochée. ». C'est un homme à la voix doucereuse, il s'était penché sur Kya afin de mieux examiner son état. « Désolé . » dit-il en s'asseyant à côté du lit sur lequel elle était étendue. Il farfouilla quelque chose dans sa poche, puis déposa sa main sur le front de la jeune femme, le caressant délicatement de haut en bas. Dans le même temps, il ne cessait de répéter à Kya de ne pas s'inquiéter. Les paupières de la tireuse d'élite s’alourdissaient et les souffrances s'estompaient. Elle n'éprouva alors plus rien d'autre que de la fatigue et songea, avant de divaguer, qu'elle venait de se faire hypnotiser. « LUFFY ! JE SUIS LÀ ! » hurla t-elle.

Du côté  de Zoro et Chopper 

Zoro : CHOPPER ?

Chopper : Regarde comment il est trop kawaii ! dit-il en se dandinant, pointant du doigt un chaton blanc comme un flocon.

Zoro : Tu te fous de moi ? Tu m'as fait flipper pour un CHAT ! Gronda t-il

Chopper : Pilou pilou le chat Appela t-il

Zoro : Je n'aime pas cet endroit ... c'est carrément étrange.

Zoro observait le paysage qui s'offrait à lui, à la recherche d'une éventuelle issue. Tout à coup, il sentit un poids s'appuyer contre sa jambe dans un ronronnement de plaisir.

Zoro : POURQUOI TU TE FROTTE À MOI SALOPRIE !

Chopper: Arrête de lui parler comme ça Zoro ! S'énerva t-il

Zoro : Comme si on avait que ça à f... Il détourna le regard un instant, et aperçu un curieux objet. Tiens, c'est quoi ce machin ?

Chopper : Baka ! Tu vois bien que c'est un parasol ! Répondit-il en claquant sa main sur son front.

En réalité , Zoro avait remarqué une sorte d'interrupteur sur le pied du parasol. Le chaton le fixa, l'air déconcerté. Lorsque le bretteur posa simplement son doigt dessus, l'animal siffla et dressa les poils de son dos pour l'en dissuader.

Chopper : Tu ne devrais pas faire ça ! J'ai l'impression que le minou s'énerve ! Dit-il angoissé.

Zoro ricana et appuya sur le bouton, qui émit un cliquetis. Le parasol se ferma et le chaton siffla de plus belle, comme si le sabreur venait de casser l'un de ses jouets.

Zoro : Flippant. Ironisa t-il

Une jeune fille coiffée de nattes rousses venait de faire irruption. Elle était habillée d'une longue robe aux couleurs écossaises et de grandes bottes noires. Lorsque le chaton la remarqua, il fonça dans ses bras, joyeux. La demoiselle rigola fort, l'air attendrit par l'animal. Sans lever les yeux vers les deux compagnons, elle dit :

Rumba : Vous ne devriez pas toucher à mes affaires ... Yaté a horreur de ça !

Du côté de Luffy :

Luffy : On y voit que dalle ! Rha, ils auraient pu mettre des panneaux dans ces espèces de nuages !

Luffy prit quelques secondes de réflexion.

Luffy : YOOH ! JE SUIS SUR UN NUAGE ! VRAIMENT TROP COOL ! J'ai hâte de voir la tête des autres quand je vais leur montrer ça  !

Hakkai : Moi aussi, je serais ravi de voir leur trombine face à un tel spectacle.

Luffy se retourna pour faire face à son interlocuteur. Il mit son index dans son nez, pencha la tête sur le côté et demanda :

Luffy : Ben ... T'es qui toi ?

L'homme fit une grimace.

Hakkai : Ce chapeau de paille, serais tu Mugiwara no Luffy ?

Luffy : Ah ? ... Tu me connais ?

Hakkai : Tu es un peu connu dans ce monde, tu sais ...

Luffy rigola.

Luffy : C'est quoi ton nom ?

Hakkai : Je me nomme Hakkai …

Luffy : Ça m'dit rien coupa t-il

Hakkai : Hakkai ... Crocodile.

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