GreatFascination

 Complètement affolés nous poursuivions le traqueur et sa proie afin d'éviter qu'il ne commette un meurtre qui nous  obligeraient à déménager une fois encore.
"Edward !"
J'entendis Alice, ma soeur hurler mon nom.
"Il la mordu !"
 Nous arrivions en vu du traqueur lorsque soudain une délicieuse odeur m'enveloppa, embrouillant mes sens. Elle émanait de la chose recroquevillée au pied du traqueur. Deux pensées contradictoire germèrent dans mon esprit : je voulais protéger la chose, mais aussi la tuer ; boire son sang. Sur un signe d'Alice qui avait surement vu que je m'apprêtait à faire une énorme bêtise Emmet le plus fort de mes frères  me plaqua au sol tandis que les autre se jetaient sur le traqueur. J'entendis son dernier cri et ses dernière pensée m'assaillir, confirmant la vision d'Alice : James le traqueur qui nous avait causé déjà bien des ennuis avais mordu la jeune fille qui ne devait pas avoir plus de 17 ans.
 Lorsque Emmet me lâcha en s'excusant, Carlisle était penché sur l'humaine et aspirait le venin. Soudain il se releva je me projetais dans ses pensées : il était trop tard. Le venin avait déjà commencer à agir. Voyant l'horreur se peindre sur mon visage mon père s'exprima à haute voix afin que tous puissent entendre.
"Le venin a commencé a agir j'ai enlevé ce que j'ai pu mais la réaction est étrange il faut que nous la ramenions à la maison"
"C'est hors de question ! hurla Rosalie. Elle est peut être dangereuse !"
"Rose, intervint Alice, tout ce passera bien je l'ai vu"
"Mais, pépia Rosalie"
"De toute façon nous ne pouvons pas la laisser seule dans cet état , coupa Carlisle"
 Et pour couper cours à toute objection il la pris dans ses bras et commença à courir. Intriguer par les derniers mots de Carlisle je le suivi en retenant ma respiration afin d'éviter tout accident. Suivant le mouvement Jasper, Alice, Rosalie et Emmet nous suivirent prenant le soin de retenir leur respiration. Nous arrivâmes vite à la maison où nous trouvâmes Esmée qui nous attendais en faisant les cent pas sur les marches.
"Alors ?"
 En guise de réponse Carlisle fila à l'étage en soufflant : "Réunion à l'étage"
Nous le suivîmes et les pensées de ma famille m'indiquaient qu'il étaient tous aussi inquiet que moi à propos des déductions de Carlisle. Je cherchais en vain à comprendre pourquoi il me cachais ses pensées. Il entra dans la chambre d'amis puis couru jusqu'à son bureau non sans nous avoir interdit l'entrée de la chambre. Carlisle revint vite avec son matériel et je compris qu'il allait tenter de sauver la fille. En passant près de moi il pensa  : "Ne dis rien au autre, je vais faire ce que je peut faire pour enrayer le processus." Il savait ce que j'avais enfin réussi à lire : il n'était pas trop tard. Carlisle avait être trouvé une solution. Il retourna dans son bureau et lorsqu'il revint il portant dans ses bras du matériel à transfusion et un téléphone portable. Il s'enferma dans la chambre et nous pûmes entendre qu'il était entré en contact avec l'hôpital. Je crus d'abord qu'il voulais l'envoyer à l'hôpital ce qui aurait été une grossière erreur. Mais il appela Esmée et lui demanda quelque chose que nous ne pûmes pas entendre malgré notre ouïe sur-développée. Esmée partie à toute vitesse et revint cinq minute plus tard les bras charger de poche de sang. Lorsque que j'eus enfin compris les mots m'échappèrent d'eux même : "Une transfusion. Il va faire une transfusion"
"Je vais essayer, intervint Carlisle, ça ne marchera peut être pas mais le venin va la tuer et elle a sans doute une famille qui l'attend quelque part. Allez ailleurs, vaquez à vos occupation. Je ne veux pas que l'un d'entre vous craque."
 Je m'apprêtais à suivre mes frères et soeurs lorsque mon père me dit : "Non Edward, reste je vais avoir besoin d'aide"
"Je ne l'entend pas elle me bloque, répondis-je"
"Ce n'est pas pour ça que j'ai besoin de toi ; tu est le plus ancien après moi tu devrais pouvoir résister"
 A contre coeur je rentrais dans la chambre sachant pertinemment que je n'étais pas plus sur que les autre et que je risquais tout autant qu'eux de craquer. Carlisle me donna ses ordres et commença la transfusion. Au bout d'une vingtaine de minutes, le visage de Carlisle se contracta et je fus presque choqué par la lourde découverte qu'il venait de faire. Il se tourna vers moi et appela les autres d'une voix forte.
 Lorsque Alice,Jasper,Rosalie,Emmet et Esmée arrivèrent il les regarda d'un air grave.
"J'ai fais ce que j'ai, pu dit-il, mais la transfusion n'a pas eu l'effet escomptée. Le venin c'est attardé dans ses tissus et a contaminé le sang neuf."
"C'est un vampire alors ! s'exclama Emmet, chouette une petite soeur ! "
"Non Emmet ce n'est pas un vampire' dit calmement Carlisle. C'est pire que ça, bien pire. C'est un demi-vampire. J'ignore encore ce à quoi nous aurons le droit à son réveil. Je n'est encore jamais rencontré de demi-vampire."
Soudain elle se retourna dans son sommeil en marmonnant : "Charlie". Puis elle ouvrit les yeux et poussa un hurlement. Je fus aussitôt frappé par l'étrange beauté de ses yeux chocolats. Carlisle passa dans mon champs de vision et s'agenouilla devant la jeune fille.
"Comment te sens tu ? demanda t-il"
Elle ne répondit pas. Carlisle nous jeta un regard affolé et recula vers nous lorsqu'une voix paniquée se fit entendre.
"Qu'est-ce qui c'est passé ?"
"Tu ne te souvient de rien ? demandai-je en m'approchant ma respiration toujours bloquée.
Effrayée, elle se recula le plus possible.
"Je t'ai fait peur ? Excuse moi. Je m'appelle Edward Cullen et voici ma soeur Alice et son fiancé Jasper ; mon frère Emmet et sa fiancée Rosalie et mes parents Carlisle et Esmée. Et toi qui est tu ?" Je ne comprenais pas ce qui m'avais poussé à prendre la parole. Cette jeune fille m'attirais étrangement.
Ma tirade semblait l'avoir mise en confiance et elle répondit :
"Je ne sais pas"
Carlisle s'approcha d'elle et lui dit :
"Je suis le docteur Cullen, le père d'Edward mais tu peut m'appeler Carlisle. Tu ne te souviens vraiment de rien ?"
Elle hocha la tête, puis dit : "j'ai faim."
Carlisle hocha la tête puis se retourna vers nous en disant : "C'est bien se que je pensais, elle reste humaine avant tout. Je serais curieux de voir son côté vampirique."
"Mon côté quoi, souffla la jeune fille"
Carlisle pris un air désolé et lui expliqua tout. Lorsqu'il eu terminé elle hocha la tête en signe de compréhension et dit : "Alors vous êtes des vampire spéciaux..."
"Végétarien en quelque sorte, dit Emmet, avant de rire. Moi qui déteste les légumes ça me fait une belle jambe.
Nous rîmes une fois encore Emmet avait détendu tout le monde. Mais un rire mélodieux couvrit les notre ; la jeune fille riait.
"Tu va rester avec nous, dit Carlisle. Je veux pouvoir t'observer. Si tu est d'accord naturellement."
Elle sembla hésiter un instant mais finalement elle dit : "D'accord."
"Bienvenue parmi nous s'exclama Alice avec ça bonne humeur habituelle. Mais il va te falloir un nom. Choisit en un."
"Je... dit elle"
Soudain les yeux d'Alice se perdirent dans le vide comme lorsqu'elle avait une vision. Lorsqu'elle les rouvrit elle semblait bouleversée.
"Une femme, Victoria elle cherche une fille qui s'appelle Bella. Elle discute avant le père de cette Bella, il s'appelle Charlie."
"Papa ! hurla la demi-vampire. Charlie c'est mon père ! "
"Alors tu est Bella. Fantastique, tu as un nom !" s'exclama Alice oubliant sa vision aussi vite qu'elle lui était venu.Mais je savais que le détachement d'Alice était fin ; sa vision la perturbait.
"Bienvenue Bella, dit Esmée."
 Tous s'approchèrent de Bella pour lui souhaiter la bienvenue. Tous sauf Rosalie qui était méfiante a son égard. Je la comprenais, même si nous l'apprécions tous elle restait un danger potentiel dont nous ne connaissions pas les capacités.
 Quand à moi cette jeune fille me troublais étrangement.