Les Chroniques de Renesmée Cullen TOME II

Chapitre 15 : Chapitre 8 : Semi paradis (2émé partie)

Catégorie: G

Dernière mise à jour 08/11/2016 22:45

Au petit matin, Jacob dormait encore paisiblement quand je décidas de me lever. Je profitas de son sommeil afin de me plonger un peu sur le journal intime que je tenais quand j'avais besoin de me confier à quelqu'un d'autres que ma mère ou de mes tantes. Une fois terminé, je filas dans la cuisine qui n'avait encore jamais servie afin de préparer un petit déjeuner à Jake avant qu'il ne se réveille. Je m'activais devant les poêle ou des œufs brouillés et du bacon fumés commençaient à embaumer la maison par leurs odeurs alléchante quand je sentis Jake dans mon dos.

-Hummm, j'ai faim,dit il en regardant par dessus mon épaule.

-Bien dormis ? lui demandais je en me retournant pour l'embrasser.

-Salut, salut, retentit soudain la voix cristalline de ma tante derrière nous.

-Salut Blondie, répondis Jake sans se retourner.

-Tante Rose, qu'est ce que tu fais là encore ?

-Quel accueille, je n'ai même plus le droit de te rendre visite maintenant ? Déjà que tu m'as pratiquement mis à la porte hier, dit elle avec une moue destinée à me faire culpabiliser.

-Si bien sûr que si, répondis je résignais, assied toi avec nous si tu veux, j'allais servir le petit déj à Jake.

Ma tante et Jacob prirent chacun place à chaque extrémité de la table, je servis Jake et m'assied à côtés de lui.

-On est vraiment obligées de le regarder manger, dit elle écœurée.

-Oui, on l'est, répondis je avec aplombs.

-Bien, qu'est ce qu'on fait cet après midi ? Dit elle pleine d'enthousiasme.

-Jake et moi, tu veux dire ? Et bien on comptait aller se balader à la prairie, lançais je sévèrement.

-Ho, super, répondit elle l'air vexée.

Je me sentais mal à l'aise de la traiter de la sorte mais elle s'obstinait à vouloir s'imposer alors que tout ce que je voulais c'était profiter de cet avant goût de vie à deux.

-Tata, dis je pleine de remords, excuse moi d'être aussi impolie avec toi mais tu dois me comprendre et nous laisser un peu tranquille Jake et moi. Tu ne peux pas continuer à rester là à nous épier et à débarquer quand bon te semble.

Ma tante baissa la tête hébétée et une dose de tristesse dans le regard.

-Tante Rose, s'il te plaît ne prend pas cette air là avec moi. Je sais que ton intention est bonne et que tu tiens juste à me protéger mais je suis une grande fille maintenant. Mes parents m'ont accordés leurs confiance tu dois respecter leur décision.

-Tu as de la chance que je ne suis pas ta mère, moi je n'aurais pas autoriser ça, mais tu as raison je ne peux aller contre leurs décisions.

-Alors tu vas nous laisser enfin seul, criais je plein de joie devant sa défaite.

-Si tu veux plus d'intimité je ne débarquerais plus à l'improviste mais je continue à garder un œil sur vous, tranchât elle fière d'elle.

-Alors tu ne céderas pas ?

-Non je ne céderais pas.

 

Durant les trois jours qui suivirent Jake et moi avons continuer de profiter l'un de l'autre sous la surveillance exagérée mais tout de même plus discrète de Tante Rose. Malgré que je savais que son pistage partait d'un bon sentiment, cela m’énerver sérieusement et gâcha le plaisir de mon week-end prolongés avec Jacob. Celui ci avait tenté par de multiples moyen de ramener ma bonne humeur naturelle mais me sentir constamment espionnée ne m'aidait pas vraiment et rendait sa tâche plus que compliquée.

Au bout du quatrième jour, Sam vint cherché Jacob pour une histoire qui concernait la meute, je profitas donc de son absence pour aller rendre visite au reste de ma famille à la villa que j'avais négligée durant ces quelques jours. Rosalie ayant étudiée la scène de loin se précipitas à ma rencontre pour m'accompagner à la villa. Quand nous arrivâmes au abord de la forêt qui bordait la route de la grande maison de mes grand parents, je reconnue aussitôt le bruit de la volvo rutilante de mon père qui s'approchait. Le flicage de ma tante m'agacer tellement que je fus presque soulagée de voire que mes parents rentrés. Une fois tous à la villa, ils nous donnèrent des nouvelles de nos cousines de Denali et nous racontèrent leur bref séjours auprès d'eux. Mon père semblait désormais plus apaisés, il paraissait avoir retrouver sa joie de vivre et sa bonne humeur ce qui me fit plaisir et me soulageas car maintenant qu'ils étaient rentrés il fallait que je leur parle des Volturi et j'avais peur de leurs réactions....

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