Vampi'risque

Chapitre 2 : Premier chapitre

2387 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 17/09/2017 18:48

Point de vue de Enayla.

9 juillet.

Qu'est-ce qui m'est passé par la tête quand j'ai mis ça moi ?

Me voilà entrain de me surprendre à regretter... En même temps, si j'avais passé un peu plus de temps a réviser plutôt qu'allez taper soirée chez Anissa peut-être que je n'aurais pas eu à recourir au dernier pitoyable choix de ma vie. Bon allez ça ne va pas être si terrible... Ça sera toujours moins chiant que rester pourrir ici avec ma mère et Arnaud. Ou peut-être pas... Bordel j'ai pas envie ! Et si il ne veut pas de moi ? Bon, c'est mon père tout de même ça serait dégueulasse.


« Enayla ! » Hurle ma mère du salon.

Mais qu'est-ce qu'elle me veut encore ! Je descend en bas afin qu'elle ne se casse pas une corde vocal à force de gueuler comme un putois.

« Qu'est-ce qu'il y a ? Répondis-je

― As-tu eu les résultats de tes demandes, la fille à Patricia les a eu elle, elle est affectée à Oxford ! » s'écria t-elle « Quelle jeune fille pleine d'avenir ! » ajoute t-elle.

Mais qu'est-ce que j'en ai à foutre de la fille a Patricia moi ?

« Enayla ! » s'écria t-elle « Tu comptes me répondre un jour ? » demande t-elle avec un air snob.

Je l'a regarde désespérément sachant pertinemment que ce que j'allais lui dire allez être une bonne occasion pour elle de me rabaisser encore une fois.

« J'ai été affectée à l'université d'Athens, en Géorgie. » répondis-je sans la regarder.


Je releva la tête, elle me regarda puis finit par exploser de rire. Au même moment, Arnaud fit son entré dans le salon et regarda ma mère tout en se demandant pourquoi elle rigolait.


« Et dis moi Enayla, sachant que tu seras loin d'ici, comment comptes tu te loger, comment comptes tu te restaurer tout en devant payer l'université ? » Me demande ma mère toujours en riant aux éclats « Ne comptes pas sur moi pour t'aider ! » ajoute ma mère.

J'avais bien-sûr de l'argent de côté du fait que parfois je faisais des petits travail à gauche à droite.

« Qu'est-ce qu'il se passe chérie ? demande Arnaud.

― Enayla à eu l'immense idée d'allez poursuivre ses études en Géorgie ! » répond ma mère.

Arnaud me regarda en souriant.

« Et dis moi, tu comptes te démerder comment au juste ? me demande Arnaud avec un air moqueur.

― Je comptes allez chez mon père, j'ai déjà tout calculé mon coup, je sais qu'il habite à Athens. » répondis-je fièrement.

Arnaud rigola comme ci il venait d'entendre la blague du siècle et ma mère me regarda en relevant un sourcil.

« Parce-que tu crois qu'il voudra de toi ? Tu as de l'espoirs, il ne t'as pas revue depuis tes sept ans et il n'a jamais cherché à te contacter, il a du t'oublier ! » s'exclame Arnaud « En même temps je le comprends, oublies ça, ton père à sans doute du refaire sa vie, ne gâche pas tout pour une fois. » se moque Arnaud avant de quitter la pièce suivis de ma mère tel un petit toutou.


Ma mère n'a jamais été tendre avec moi puis depuis qu'il y à Arnaud elle est voir pire qu'avant, on s'adapte.

J'ai décidé alors de monter dans ma chambre, j'ai pris mon sac et je suis sortie de cette maison pleine de mauvaise ondes. J'ai allumé une clope et je suis partie en direction de chez Anissa.

J'ai sonné à sa porte et je fus directement accueillis par sa mère qui était comme à son habitude super souriante. Elle avertis immédiatement Anissa de ma présence et me fit signe de monter à l'étage. J'ai toqué à sa porte et je suis entré, elle était sur son MacBook.


« Yo, vas-y viens assied toi, il faut trop que je t'annonces un truc ! » me dit Anissa.


Je me suis assis à côté d'elle.

Anissa remarqua immédiatement que ça n'allait pas trop.


« Eh qu'est-ce qu'il y a ? me demande t-elle en fermant son ordinateur.

― Je vais devoir bouger d'ici. lui répondis-je.

― Comment ça ? Tu viens d'arriver ! » s'exclame Anissa.

Je souris, qu'est-ce qu'elle pouvait être conne aussi celle là.

« Non mais bouger dans le sens partir d'ici enfin merde j'ai étais affecté à l'université d'Athens en Géorgie. » lui expliqué-je.


Elle ouvra la bouche en grand, elle semblait choqué.

Anissa elle avait reçu son affectation dans une grande université à Paris trois jours auparavant.


« Mais euh... Comment ça, pourquoi ? C'est toi qui avait mis ça dans tes vœux de poursuites d'études ? demande Anissa ne savant plus trop quoi dire.

― Ouais, j'ai mis ça en dernier souhait, je ne pensais pas que j'allais être refusé aux autres, j'ai merdé. lui répondis-je.

― Et... Tu comptes faire quoi du coup ? me demande Anissa avec un air triste.

― J'ai pas trop le choix Anissa, je tiens pas à rester sans rien faire de ma vie et encore moins resté chez ma mère tu le sais... Je pense allez vivre chez mon père je vois que cette solution. lui répondis-je.

― Mais Enayla... Tu ne l'as pas revues depuis tes sept ans, qu'est-ce qu'il va dire ? me demande Anissa inquiète.

― Je ne sais pas, je verrais bien en tout cas j'ai son adresse c'est déjà ça puis au moins ça me permettra de lui demander pourquoi il ne m'a jamais donné de nouvelles... lui répondis-je.

― J'espère que ça va allez. » annonce Anissa avec un petit air triste.


Son téléphone se mit à sonner, elle déclina l'appel.


« Pourquoi tu ne réponds pas ? lui demandé-je.

― C'est Jackson, il veut que je confirme pour ce soir, il fait une soirée chez lui et il voulait que l'on viennent, c'est ça que je voulais te dire mais ton histoire ça m'a blasé du coup j'ai plus envie d'y allez. répond Anissa.

― Eh mais non faut pas je t'assures, ça va allez, allons à cette soirée ça me changera les idées. » lui dis-je.


Elle me sourit et finit par rappeler Jackson afin de confirmer notre présence.


Il était vingts heures, j'ai enfilé ma paires d'escarpins noir et j'ai brossé ma longue chevelure brune, je pris mon sac et je suis descendu en bas. J'ai croisé le regard de ma mère ainsi que celui d'Arnaud.

Ma mère enleva ses lunettes et posa son livre sur le rebord de la table basse. Elle se leva et partit se placer devant la porte.


« Pardon mais où comptes-tu allez au juste habillé comme... Ça ? me demande ma mère en me dévisageant.

― Ah ça t’intéresse maintenant ? » rappliqué-je à sa stupide question.


Elle se décala me voyant foncer en direction de la porte et je sortie en m'éloignant le plus loin possible de cette foutue maison.


J'ai regardé ma montre, il était vingts trois heures quarante trois, j'étais assise sur le sofa du salon, autour de moi, tout le monde semblaient s'amuser, la musique était forte, je pris une bière et sortie dehors fumer une clope. Je m'assis sur le muret qui était collé au mur de la maison puis me mis à penser à comment j'allais m'en sortir une fois arrivé en Géorgie. Pleins de question m'envahis la tête et les trois verres de vodka commença à se faire ressentir.

J'ai tourné la tête à ma gauche, j'ai vue Ethan assis par terre avec Warren entrain de parler et rire aux éclats, ils semblaient être bien attaqué ces deux là. J'ai décidé de retourner à l’intérieur, j'essayais de trouver Anissa mais je n'arrivais pas à savoir où elle était alors je suis parti me poser sur une banquette à côté d'un couple qui semblaient penser être seul dans la pièce.

L'heure de mon téléphone m'indiquait qu'il est une heure moins le quart du matin, Anissa à ré-apparut et semblait s'amuser vue qu'elle dansait avec Jackson mais moi... Je m’emmerde clairement.

Bon ça a assez duré, j'ai pris la décision de rentrer, je pris mon sac et je me mis à essayer tant bien que mal de rejoindre la sortie quand tout à coup, quelques chose semblait m'agripper le bras, c'était bien-sûr Anissa, qui d'autre cela pourrait-être ?


« Où tu vas ? me demande Anissa très alcoolisé.

― Je rentre, cette soirée est pourrit ! lui répondis-je

― Mais non on s'amuse bien ! s'écrie de joie Anissa.

― Tu t'amuses bien, moi je me fais chier. répondis-je à Anissa.

― En même temps tu parles à personnes ! rapplique Anissa.

― Ah et depuis quand c'est mon genre de sympathiser avec tout le monde tu vas me dire ? rappliqué-je.

― Ouais bah tu devrais, si les gens viennent pas vers toi c'est parce-que ils savent que tu as un caractère de merde ! Regarde toi, à force de jouer l'insociable t'as pas d'amies ! » en conclue Anissa.



Elle est sérieuse de dire ça ? Elle à de la chance d'être ma pote, vraiment.

On va mettre ça sur le dos de l'alcool. Je l'ai regardé avec dégoût, elle était entrain de rigoler dans les bras de Jackson, son état était pitoyable. Qu'elle se démerde, je pris ma veste et je partis de cette satané fête merdique.


Je marchais dans les rues sombres de ma petite ville, les lumières des lampadaires étaient déjà éteinte, je m'éclairais tant bien que mal avec le flash de mon téléphone. Je me dépêchais, j'étais fatigué et pressé d'être dans mon lit mais malheureusement de chez Jackson à chez moi il y à environ trente minutes de marche à pied.

Une fois chez moi, je me suis empressé de me mettre en pyjama et de me jeter dans mon lit.


Mardi 23 août.

Les grandes vacances étaient passé à toute vitesse, ma mère et Arnaud venaient de revenir de leur FA-BU-LEUX voyage en Australie, j'avais passé la moitié de mes vacances chez Anissa qui après s'être rendu compte de son comportement envers moi la dernière fois avait décidé d'oublier l'alcool.

Il était vingt-deux heures dix sept lorsque je suis sortis de chez Anissa après lui avoir dis au revoir. Je suis parti en direction de chez moi en passant par le parc où Anissa et moi avions l'habitude de se retrouver le soir, ce qui me fit déclencher un petit sourire sur mes lèvres, c'est une des seuls choses qui va sans doute me manquer ici, nos petites viré nocturne le soir.

Une fois rentrée, j'ai commencé à faire ma valise, ma mère et Arnaud n'étaient pas encore rentré du restaurent, tant mieux. Je mis le nécessaire dans ma valise c'est à dire, mon armoire. Une fois avoir vérifié au moins cent cinquante fois que j'avais tout ce dont il me faut dans mes trois valises, j'ai bouclé ma valise.

J'ai regardé l'heure, il était aux alentours de deux heures du matin, j'ai fait un tour vite fait sur les réseaux sociaux puis j'ai fini par m'endormir.


Mercredi 24 août.

Mon réveil indiquait dix heures vingt quatre, je suis parti directement me préparer, mon taxi devait venir me chercher vers treize heures afin que je sois à quinze heures à l'aéroport d'Orly car mon vol était programmé pour 15h44.

Bientôt treize heures, tout est bouclé plus qu'à attendre le taxi, je descendais mes valises en bas sous le regard de ma mère et Arnaud qui semblaient dérangé du bruit de mes valises roulante, j'ai enfilé ma veste et j'ai lancé un "Bye" qui fut sans réponse sans étonnement.

Je suis sorti de la maison et je suis aller attendre mon taxi au bord de la route. Le taxi m'a récupéré quelques minutes après et nous sommes partis en direction d'Orly.

Quinze heures treize, enfin arrivée ! Le trajet semblait être interminable, j'imagine même pas celui de l'avion.

J'ai envoyé quelques messages à Anissa qui semblait un peu déprimée et qui me racontait que Jackson était distant avec elle.

Il était l'heure d'embarquer, une fois dans l'avion je pris place puis je me suis plongé dans divers magazines. Je me mis à penser à ce que je pourrais faire si jamais mon père me refuse, ce qui m'a fait vite angoisser. J'ai décidé alors de fermer les yeux et ne plus penser à rien.

J'ai senti quelqu'un tapoter sur mon épaule.

« Madame »

J'ai ouvert les yeux doucement, une hôtesse de l'air essayait tant bien que mal de me réveiller.

« Madame, nous sommes arrivées. » m'avertie l’hôtesse de l'air en souriant.

Je me suis levé puis je suis sortie de l'avion. Il était aux alentours de neuf heures quarante quatre du matin, j'étais un peu perdu dû au décalage horaires. Je devais faire un changement d'avion afin de pouvoir me rendre au plus vite à Athens.

Après de longues heures d'avions et de taxi me voici enfin arrivé dans cette fameuse ville. Ma montre indiquait quatorze heures heures, je fus surpris par la cloche de l'église qui sonnait extrêmement fort. J'ai continué mon trajet, j'étais à quelques pâté de maisons de celle de mon père. Le stresse commençait à monter. Des regards insistant venant du voisinage se posaient sur moi, de grands arbres recouvraient la grande allée de ce quartier aux allures de films purement Américain.

21 ; 22 cette fois j'y suis, 23 avenue meanstreet.

Je m'avançais devant cette grande maison familiale, la pelouse du jardin était parfaitement taillé, c'était fleurie, un jolie chemin pavé semblait nous conduire jusqu'à la porte d'entré, je le suivis.

Voilà j'y suis, c'est maintenant où jamais. Allez courage Enayla, tu n'as pas fais tout ce trajet pour rien.

J'ai respiré un bon coup et je pris mon courage à deux main. J'ai posé ma valise que j'avais dans ma main gauche et j'ai sonné à la porte.

Les secondes les plus longue du monde c'étaient installé, et si il n'y avait personnes ?

J'ai levé ma main comme pour sonner une seconde fois lorsque j'ai entendu le bruit qui indiquait que la porte était entrain de se déverrouiller.

La porte s'ouvrit, laissant place à...


Laisser un commentaire ?