Astrid et Raphaëlle

Chapitre 3 : Baisers volés

413 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 20/04/2020 23:04

Astrid et Raphaëlle arrivent sur les lieux d'un potentiel meurtre, au pas de la porte Astrid vole un baiser à Raphaëlle, celle-ci étonner dit :

  • Astrid nous sommes sur une scène de crime quand même, regarde il y a un cadavre devant la cheminée dit-elle en rougissant.
  • Oui je sais mais nous sommes seules et j'en avais très envie désoler Raphaëlle si je t'ai mise malaise.
  • Je ne suis pas malaise seulement ce n'est pas de toi, de ne pas suivre les règles en général et puis les gars vont nous rejoindre.
  • C'est que tu dois avoir une mauvaise influence sur moi.
  • Ah oui ça doit sûrement être ça dit Raphaëlle lui tendant la main tendrement.


Astrid lui saisit la main et pas à pas s'approche d'elle, cette fois c'est Raphaëlle qui dépose un rapide baiser sur les lèvres d'Astrid.

Raphaëlle regarde un instant profondément Astrid dans les yeux et lâche un :

  • Et puis merde, avant de l'embrasser.


Celle-ci surprise se laisse portée par la douceur de Raphaëlle sans rien faire, finalement elle passe ses mains autour du coup de sa compagne puis tout doucement dans ses cheveux.

Les deux femmes s'embrassent encore tendrement quand des bruits de pas se font entendre dans le couloir, elles sont déjà séparées quand Nicolas, Arthur, Fournier et Monsieur Frédéric passe la porte de la scène de crime. Astrid sourire aux lèvres ne regarde plus personne, son regard est même posé sur le cadavre qu'elles avaient presque oublié. Quant à Raphaëlle, elle rougit, rajuste sa veste et toussote pour reprendre un peu de contenance. C'est Nicolas qui prend la parole.


  • Hey ça va les filles vous êtes toutes bizarres, ce n'est quand même pas le cadavre qui vous choc, vous avez déjà vu pire .
  • Euh mmmm non ce n'est pas ça dit Raphaëlle hésitante et toujours les joues rouges.
  • C'est ma faute intervient Astrid.
  • De quoi dit Arthur.
  • J'ai voulu faire une blague au commandant mais elle n'était pas drôle dit Astrid, le regard posé cette fois sur la femme dont elle est amoureuse.
  • Bien, nous pouvons nous mettre au boulot dit Fournier avec son impatience habituelle.


Alors que les garçons ont les yeux fixés sur le corps sans vie, Astrid et Raphaëlle se lancent des petits regards en coin et complice.



Laisser un commentaire ?