Peut on vraiment tout changer?

Chapitre 3 : Chapitre 2: Le domicile des Yagami

2092 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 10/11/2016 04:06

C'est partie pour la suite!

Luna rentre enfint chez les Yagami, mais qu'arrivera-t-il lors de sa rencontre avec Light?

 

 

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!DEATH NOTE!

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PEUT ON VRAIMENT TOUT CHANGER?

  

Chapitre 2: Le domicile des Yagami:

 

 

Je n’arrivai toujours pas à y croire ! Ce logis-ci était une réplique exacte de la maison des Yagami version papier !

- … et voici la chambre de ma fille, conclut Sachiko Yagami avec entrain.

Nous venions tout juste de faire le tour de la maison, et ce fut avec une certaine émotion que je découvris les lieux. Il n’y avait plus aucun doute là-dessus ! J’étai belle est bien en train de dormir et je faisais le plus merveilleux des rêves !

- J’ai pris la liberté de monter votre valise à l’étage, reprit-elle en désignant le bagage en question. Comme nous manquons de place, vous partagerez la chambre de Sayu, j’espère que vous n’y voyez aucun inconvénient.

- Oh pas le moindre au contraire ! Lui assurai-je, d‘une voix un peu trop enthousiaste.

A vrais dire, j’étai particulièrement pressé, enchanté et intrigué de faire la connaissance de tout les autres personnages de death note. Si bien que j’espérai vraiment ne pas me réveiller de sitôt.

Pour ce faire, il aurait déjà fallut que j’atterrisse à un moment crucial de l’histoire. Quoique, étant donné que les rêves sont en règle générale dépourvu de toute logique, je ne m’attendais pas à ce que les événements se déroule dans l’ordre chronologique. Si bien que je m’apprêtai presque à voire surgir L à bord d’un deltaplane ! Et entre nous, cette vision des choses me fit doucement bien rigoler !

Comme pour répondre à mes prières, la porte d’entré s’ouvrit à la volé, et une voix stridente s’écria :

- Bonjours maman ! C’est moi ! Je suis rentrééé !

- C’est Sayu, m’informa madame Yagami. Ne la faisons pas attendre plus longtemps, elle avait hâte de vous rencontrer.

J’acquiesça d’un prompt signe de tête, avant de m’enfoncer à sa suite dans l’étroitesse de l’escalier. Je ne savais pas pourquoi, mais j’étai à la foi nerveuse et excité rien qu’à l’idée de rencontrer Sayu. Il faut dire que j’adorai le personnage enjoué qu’elle incarnait dans le manga, alors j’espérai sincèrement ne pas être déçu par mon rêve.

Le cœur battant, je regagna le salon où une jeune fille pas plus grande que moi était occupé à triturer les touches de son téléphone portable.

- Sayu, l’interpela madame Yagami. Je te présente Luna Tsuki, elle est arrivé aujourd‘hui.

Presque simultanément, la jeune fille posa ses grands yeux sombre sur moi, avant de jeter son téléphone portable sur le canapé pour accourir à ma rencontre.

- Oh làlàààà ! Qu’est-ce qu’elle est joliiie !

Sa voix était stridente à m‘en percer les tympans.

- Et ces yeux Lila ! Et puis- WOUAAAA ! C'est cheveux blanc ! Ils sont magnifique !S’exclamât-elle, visiblement très impressionnée. Je suis jalouuuuse !

Son engouement pour mon ethnie la faisait sautiller d’un pied sur l’autre avec entrain et énergie.

- Sayu ma chérie, soupira Sachiko Yagami d’un air désespéré. Ne sois pas aussi expansive, c‘est très impolie.

- Désolé, souffla Sayu d’un air abattu.

- Non se n’est rien, lui assurai-je dans un grand rire.

Son attitude avait vraiment quelque chose de comique, voir d‘attachant. Et j’étai satisfaite que cette Sayu soit aussi fidèle à celle du manga.

Madame Yagami s’étant retourné à ses fourneaux, il n’en fallut pas plus à Sayu en matière de prétexte, pour m’entrainer immédiatement dans sa chambre.

- Quand je dirais aux copains que nous avons une française à la maison, ils vont être vert ! Jubila cette dernière alors que nous pénétrions dans son refuge.

La première chose qui attira automatiquement mon regard, fut le nombre incalculable de poster, qui recouvrait la quasi-totalité des murs de sa chambre. Tous étaient à l’effigie d’une seule et même personne. Hideki Ryuga probablement. Contrairement à Sayu, je n’aimais pas trop sa dégaine. Faut dire que dans le genre prétentieux, on fait difficilement mieux.Mais apparemment, la jeune fille interpréta mon regard critique pour de l‘admiration, car elle s’emballa presque aussitôt :

- Il est beau n’est-ce pas ?

- Si on veut…( Je préférerai Ryuga que jouait L dans le manga ! )

Sayuu m’accorda un moment seule afin que je puisse enfiler quelque chose de plus décent que la nuisette que je portais. D’après les dire de madame Yagami, cette valise était le seul bagage qui s’était trouvé à mes côtés, lorsque son fils m’avait découvert étendu sous leur porche. Et en effet, je reconnaissais bien là ma grosse valise noir que j’avais préparer plusieurs jours à l’avance pour l’occasion.

Dehors, le ciel s’assombrissait. La pluie persistait à s’abattre sur la ville avec autant d’intensité, tandis que le tonnerre grondait.

Une bonne demis heure plus tard, madame Yagami nous informa que le diner n’allait pas tarder à être servit. C’est ainsi que Sayu et moi regagnâmes le salon pour regarder la télévision. Il nous avait fallu très peu de temps à toute les deux pour devenir aussi complice. Avec elle, j’avais la sensation de me retrouver de nouveau en compagnie de Lucie, et c‘est avec tendresse que je la regardai somnoler en travers du canapé.

Soudain, la porte d’entré s’ouvrit si silencieusement, que s’il n’y avait pas eu ce courant d’air glacé, jamais je ne l’aurais remarqué.

- Te voilà déjà ? Tu es rentré plus tôt aujourd‘hui Light.- Oui. Acquiesça une voix mielleuse. Bonsoir maman.

Dès cette instant, je me figea dans mon fauteuil. Enfin ! Voilà l’intervention du fils prodige tant attendu ! C’était pas trop tôt ! Mais malheureusement, je du faire face à un débat conflictuelle entre deux parties opposés de mon subconscient. En effet, l’une d’elles désirait plus que tout d’aller le saluer tels un monarque, alors qu’une autre, bien plus imposante, entreprenait de visser littéralement mon fessier sur le coussin. Frustré, je soupirai. Décidemment, c’était bien ma veine ! Pourquoi étais-je si intimidé rien qu'à l'idée de le rencontrer ?

- Ah… tu veux les résultats de l’examen blanc national ? … tien…

- Sa alors Light, tu es encore premier ! S’enthousiasma la voix de madame Yagami. Tu as bien travaillé, je suis fier de toi mon fils.

- Si tu le dis… Je vais réviser dans ma chambre, qu’on ne me dérange pas.

Et tandis que le l’entendais emprunter les escaliers, il n’y avait toujours pas moyen pour moi de me dé-scotcher de se fichu siège ! Pourquoi fallait-il que ça arrive maintenant ? Entre nous, je détestai lorsque mes rêves limitaient la plus insignifiante de mes interactions.

- Oh faite Light ! L’interpela à nouveau la voix de madame Yagami. J’ai ramené notre pensionnaire à la maison. Dès que tu auras le temps, décent dire bonjours.

- Bien sûr maman, je n’y manquerais pas.

- Et si tu as besoin de quoique ce soit, fait-le moi savoir.

- Je te remercie, mais je n’ai besoin de rien.

J’ignorais pourquoi, mais à la seconde même où il referma la porte de sa chambre, tout les muscles de mon corps se détendirent un à un.

Le soir, au diner, Light resta enfermé dans sa chambre, tandis que Sayu, attablé en notre compagnie, me ventait les mérites de son ainé.

Préoccupé par le faible appétit de son fils, Sachiko Yagami monta à l’étage lui apporter quelques pommes, gentiment offertes par leur voisine.

« Chose que ma propre mère n’aurait jamais faite pour moi. » Pensai-je avec amertume.

Light ne descendit pas de toute la soirée et je me surprise à en être aussi peiné que soulagé.

- C’est tout mon frère ça, m’avait soufflé Sayu une foi à l’étage alors que je jeté un œil curieux en direction de la chambre de Light. Il passe son temps à étudier.

Puis, vint l’heure de fermer boutique. Sayu me souhaita bonne nuit avant de s’endormir comme une masse, alors que pour ma part, je ne parvenais toujours pas à fermer les yeux. Allongé sur un matelas positionné au pied du lit de ma nouvelle amie, je fixais le plafond où se reflétait la lueur de la lune.

Ce rêve commençait à devenir un tantinet trop long et plus le temps passait, plus je commençais à m’ennuyer. Dire qu’auparavant je me plaignais de mes rêves un peu trop surréaliste pour être cohérent, voilà que maintenant j’aurais donné n’importe quoi pour voir débarquer un éléphant rose, rien que pour perturber un temps soit peu ce réalisme accablant.

J’en étais troublé ! Les mesures du temps étaient respecté à la perfection. Je pouvais même nous situer dans l’histoire, au point que j’étais certaine que Light venait tout juste de rencontrer Ryuk et que c’était pour cette raison qu’il était si peu disponible. Quand à ses soi-disantes révisions… Mon œil ! J’étai au contraire persuadé qu’actuellement, il noircissait de nom les pages momentanément vierge de son death note.

Les mains croisé derrière la tête, je poussa un profond soupire avant de basculer sur le côté pour me recroqueviller en position fœtale.

Et aussi étrange que cela puisse paraitre, je m’assoupi en plein rêve.

 

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Alors alors?

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