Abyss of The Mind .

Chapitre 2 : Chapitre 2 - Convois

Catégorie: T

Dernière mise à jour 09/11/2016 09:27

 

Convois

 

 

Nous sommes le mercredi 22 d’Atrefeu, en l’an 12E_98 254 (XII Siècle, 254ème jours de la 98ème années), c’est la saison des chaleurs, presque aucun continent ne peut espérer descendre en dessous de 23°C, pourtant, dans une foret tout à l’est de Ragnarok, se trouve un petit îlots entourées d’une eau glacé.

Au centre de cette îlots, pas grand chose, de la verdure assaillit par le froid mordant, quelques pommes gelées aux pieds d’un arbres mort.

On peux aussi y voir un homme , adossé au tronc de l’arbre meurtrie par le givre, le froid n’a pas l’air de le déranger se qui est surprenant, il regarde l’horizon , sans rien faire d’autre, aucune expression sur son visage à moitié caché de ça capuche noir.

 

Peu après, cet homme se leva lentement, et prit la dernière pomme qui n’avait pas encore gelé sur ce pommier agonisant. A l’instant où il l’eut prise en main, cette dernière ce gela instantanément, comme si tout se que touchais cette homme gelais sur place... l’homme grinça des dents et brisa cette pomme entre ça main sans même décrocher un froncement de sourcil ou même un mot. Il c’est enfin rassit, et c’est vraisemblablement endormit sans difficulté au millier du froid meurtrier.

 

Un cri d'humain le fit sortir de son profond sommeil , il fut surpris car il ne comptait plus les années où il n'avait entendu ce genre de son, cette voix semblais dire :

 

« Arrêter de vous plaindre bande de rat, ou on attendra pas d’être à la prison pour vous décapiter.»

 

En regardant autour de lui, il ne comprenait pas, il était dans une charrue avec des gens attachés et habillé d'un simple tissu beige,. L’un d’entre eux vit notre homme se réveillé, et lui demanda s’il allait bien. Droguée par son réveil, il mit un moment pour répondre d’un petit hochement de tête,

Quelques heures plus tard, quand les gardes chargés de l'escorte s’arrêtèrent pour leur pause, l'homme de tout à l’heure demanda quel était le nom de notre personnage.

Notre homme répondis à voix basse sereinement :

 

« Grey... Je m'appelle Grey, et vous ?

  • Gabriel mon ami, pourquoi es-tu là ? »

 

Gabriel était un homme banale, commun, il devait avoir la trentaine, les rayons du soleil venaient se refléter sur son crane chauve, peu bronzé et n'avais pas le physique d'un grand aventurier...

 

Avant que Grey ne puisse répondre à cette question, un garde passa par là, un long silence prit la place des chuchotements, un fois partis, ils reprirent leurs conversation, Gabriel reposa ça question, mais Grey avait l''air perdu dans ses pensées à l'approche de cette question, il lui fallu environ 20 secondes pour reprendre ses esprits, quand il répondu enfin, il avait les yeux tourné vers le ciel, d'un ton calme et serein dit il en souriant :

 

«  Parce que... je le dois. »

 

Quand il prononça ses mots, un vent apaisant et calme se fit sentir, et pour la première fois depuis longtemps, Grey avait souris.

Gabriel ne comprenant pas vraiment la situations répétât les dernier mots des dire de Grey :

 

« Parce que... tu le dois ? Comment ça ? »

 

Malheureusement un garde vint interrompre leur conversation d'un puissant crie :

 

«  ON NE PARLE PAS, BANDE DE CHIEN GALEUX, JE VAIS VOUS APPRENDRE ! Dit il un fouet à la main »

 

Avant que le garde ne donne le premier coup de fouet, il entendu un bruit à l'arrière de la charrue, il sortie son épée de son fourreau et rangea son fouet en cuir... il s'approcha furtivement de l'arrière de la carriole, et découvrit un corps d'homme vraisemblablement mort, il était frigorifié.

Un des prisonniers de leva et dit sur un ton révoltant :

 

« On va tous finir comme ça si vous ne foutez rien ! Nous mourrons de froid ici, nous avons faim, nous sommes malade, alors si vous voulez que nous vous servions à quelque chose un fois à votre fichu prison, réchauffer nous, nourrissez NOUS BORDEL ! »

 

Le garde fou de rage dégaina son arme de torture et commença à fouetter l'homme qu'il appelais « Le chien crieur ». Au bout de 20 coups de fouets, un autre corps tomba de la charrue, mais pas celui du torturer, un autre homme mort victime du froid, se qui n’arrêtais pas les coup du garde fou.

Un grand nombres de gardes accoururent pour vérifier se qu'il se passait, mais aucun ne comprenais ce qu'il ce passait, pendant se temps, le garde de tout à l'heure continuais à fouetter son prisonnier, une main vint arrêté les coups frénétiques du garde. C'était le commandant, il était beaucoup mieux vêtu que ses pauvres soldats payé aux choux.

Il ordonna de donné 5 pains et 8 couvertures à toutes les charrues , chaque charrues transportaientt 8 prisonniers habillés d'un bas et d'un haut en tissu, les plus chanceux avaient des bottes en fourrures.

 

Grey avait perdu son sourire , il semblait même plutôt triste mais ne le laissait pas paraître.

Après que le convoie sois repartie, l'attitude des gardes avaient radicalement changée, ils étaient beaucoup plus regardant, et le commandant sur son cheval passait souvent à coté des véhicules pour inspecter du coin de l’œil.

 

Les prisonniers de la charrue de Grey tombaient les un après les autres, les gardes s'en éloignaient et avaient de plus en plus de soupçons, une fois arrivé à destination, il ne restais que 4 personnes sur la carriole de Grey et de Gabriel. Eux même et 2 autres prisonniers.

 

Quand se fût enfin leur tour de toucher terre, les 4 prisonniers furent attrapé par derrière par des gardes sous ordres du commandant, puis cette même personne arriva, un espadon à la main :

 

« Bon … Tu m'as tué pas mal de prisonnier toi. Dit il en regardant fixement Grey. »

 

Grey ne trouva rien à répondre,puis le commandant repris :

 

« Je ne sais pas comment, pourquoi, mais je sais que c'est toi, heureusement pour toi, les hauts ont entendue parler de ça et mon ordonné de ne pas te tué... maintenant en tout cas. Mais, je suis le chef de cette prison, et je vais te montrer se que je fais au gens qui me poses des problèmes. »

 

Tout de suite après, il enfonça son espadon dans un des prisonniers se qu'il le tua instantanément, il était déjà très faible. Ensuite il en décapita un autre. Quand se fût le tour de Gabriel, le commandant lui demanda :

 

« Dit moi, as-tu peur de la mort ?

  • Ou... Oui mon seigneur... elle... elle me terrifie même, je suis un couard, un lâche, pitié ! Répondit Gabriel,

  • Bien, bonne réponse, je t'épargne . Dit il ricanant »

 

Grey lança un regard noir au commandant en lui demanda :

« Quel est ton nom ? 

  • Davy mon cher chien, pourquoi donc ? »

 

Grey regarda intensément Davy, puis lança un regard amical à Gabirel, puis dit d'un ton ferme :

 

«  Car... Davy... Winter is coming … for you »,

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