L'étoile de mon coeur, StarLight...

Gadjeel entra alors dans la pièce.

-Bon, je vais y aller moi...

-Non att...

Je n'eus même pas le temps d'intervenir, que Loki disparut à nouveau dans une pluie de lumières birllantes. Me voila désormais seule à seule avec Gadjeel, qui ne tarda pas à me lancer d'un air narquois :

-Bah alors... On sort pas avec Loki finalement ?

Gadjeel s'assit sur le siège près de la porte et continua :

-Je me demande bien pour quelles raisons il t'ait impossible de sortie avec lui...

-Ne sois pas stupide...

-Peut-être parce que tu appartiens déjà à quelqu'un d'autre...

-Je ne suis pas à toi !

Gadjeel lâcha un rire moqueur, ce qui ne fit que m'énerver d'avantage. Je me levai, soudain en meilleur forme, puis me dirigea vers la porte. Mais alors que je posais ma main sur la poignée de la porte, Gadjeel posa sa main sur la porte.

-Allez laisse-moi passer ! C'est pas drôle !

Il approcha son visage du mien, puis esquissa un sourire arrogant.

-Embrasse-moi.

-Quoi ?

Gadjeel se redressa à nouveau, avant de s'adosser à la porte.

-Tu ne sortiras pas d'ici tant que tu ne m'auras pas embrassée !

-C'est une blague ?

Je rougis, aussi bien de colère que de gêne, et dis d'une voix begayante :

-Sérieusement Gadjeel ! On a Flyer a arrêter là ! C'est pas le moment !

-Parce que tu comptes vraiment allez arrêter les méchants dans cette tenue ?

Gadjeel posa son regard sur ma poitrine, légèrement dévoilée. Je posa automatiquement mes mains dessus avant de crier :

-Arrête de me déshabiller quand je dors !

Gadjeel sourit.

-Ça allait faire 2 jours que tu dormais, j'allais quand même pas te laisser comme ça.

Je ne répondis pas, et me dirigea vers mon tat d'affaire. J'allais enlever mon haut, quand je réalisa que Gadjeel était encore dans la pièce.

-Tu peux sortir s'il te plaît ?

Gadjeel croisa les bras, toujours adossé contre la porte.

-Bien sur... Quand tu m'auras embrassée !

J'enfilai vite un pantalon et cria une nouvelle fois.

-Arrête tes bêtises Gadjeel, on a pas le temps !

Gadjeel prit un air moqueur.

-Tu as bien eut le temps de fricoter avec le binoclard à lunettes pourtant non ?

Je m'arrêtai nette.

-Gadjeel...

Il s'approcha de moi, se posta juste sous mes yeux, puis se baissa à ma taille.

-Il t'a embrassé non ? Alors vas-y.

Je détourna le regard, gênée de la situation dans laquelle je me trouvais.

-Tu ne peux pas ? Très bien...

-Attends !

À ce moment-là, je ne peux pas dire si c'était mon esprit qui avait obligé mon corps à lui courir après, ou si il avait agis tout seul. La seule chose que je peux vous dire, c'est qu'alors qu'il posait sa main sur la poignée de la porte, j'ai crié son nom. Il s'est alors retourné et je l'ai embrassé. Après quelques secondes, je m'écarta de lui, mais il me tira contre son torse, et m'embrassa à nouveau. Il posa une de ses mains derrière ma tête, et l'autre sur ma joue. Tout ce que je pouvais faire, c'était poser ses mains sur mon torse. Après plusieurs longues minutes, il se détacha enfin de moi.

-T'embrasse plutôt bien pour une minette...

-Arrête de te moquer de moi !

Il rit, puis me souleva par la taille, et m'emmena en dehors de la chambre... Je me debatis

-Attends ! Je dois changer de haut !

-Ça peut attendre non ?

-Non !

Gadjeel alla dans le salon, puis me posa sur le canapé.

Il s'accroupit ensuite, puis commença à enlever mon débardeur.

-Tu fais quoi là ?

Je l'empêcha de le retirer, en le repoussant.

-Bah quoi ? Je t'aide juste...

-Non ! Je peux le faire toute seule !

Je tenta de me lever, mais Gadjeel m'attrapa par la taille, m'obligeant à m'assoir sur ses genoux.

-Laisse-moi descendre !

-Pas envie.

Gadjeel posa son mention sur mon épaule, si bien que je sentais sa respiration à quelques millimètres de mon oreille seulement.

-Gadjeel s'il te plaît...

Pour toute réponse, il lâcha un grognement, avant d'enfouir son visage dans mon cou.

-Arrête ça tout de suite !

Je me dégagea d'un coup, et me retourna vers Gadjeel qui me regardait étonné.

-Je suis pas à toi ! Je suis pas ton jouet non plus !

Le visage de Gadjeel devint tout de suite sérieux.

-Je t'ai jamais considéré comme un jouet tu sais...

-Alors arrête de faire comme si c'était le cas !

Je retourna dans ma chambre, en claquant rageusement la porte.

-Lucy !

Je ferma la porte à clé, et m'assis par terre, dos contre porte, tête dans les bras, James retroussées... Mon habituelle position de réflexion...

-Lucy sort de là !

Il tenta plusieurs fois d'ouvrir la porte, mais celle-ci étant verrouillée, il finit vite par abandonner.

-Lucy...

J'entendis un étrange bruit, qui m'indiqua qu'il s'adossait également à la porte. Nous restâmes ainsi, plusieurs heures durant...