Mars Eidolon

Chapitre 4 : IV - On va bien s'amuser !

3536 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 24/02/2018 16:42

Arrivé très rapidement à la maison Phénix, sur le pallier, il toqua avec force à plusieurs reprises à la porte.



La famille Phénix encore à table releva alors le visage en direction de la porte.



- Tiens ?



 Elle se leva alors en direction de la porte, curieuse.



- Je n'attends personne.



Dès qu'elle ouvrit la porte, elle put voir une silhouette pénétrer très rapidement dans l'enceinte de la maison comme un véritable courant d'air, ce qui était le cas de le dire avec une bourrasque qui s'engouffra dans le hall. Toujours avec cette rapidité, la silhouette parvint à la cuisine, la silhouette que put distinguer Fate avant que celle-ci ne vienne le prendre au col sans qu'il n'ait le temps de réagir et le transporter droit vers le mur pour l'y plaquer. L’homme avait encore comiquement sa baguette dans la bouche, regardant de son air calme impartial l'homme qui le tenait yeux fermés.



-J'en déduis qu'elle a finis par vous le dire.



Il valait mieux pour lui qu'il les garde fermés d'ailleurs, s'il ne voulait pas voir le visage enragé de son ami qui le fixait de son regard vert plus perçant au point que l'on aurait pu l'apparenter à celui d'une bête. Tout comme son expression, il parla d'une forte voix porteuse de son ressenti.



Même encore après que tu te sois foutu de moi pendant quatre mois tu continues de le faire juste devant ma gueule !



-Oh, tu appel alors cela se moquer de toi. Je vois.



 La mère revint alors dans la cuisine en trombe.



- Basara ! qu'est-ce que tu fais !



Malgré la venue de Garfilda, il ne le relâcha aucunement, au contraire même, il le plaqua davantage contre le mur avec force à la vue de son air calme et impartial qui lui donnait encore plus l'impression qu'il se moquait de lui.



-Enfoiré..! Pendant tout ce temps tu comptais te barrer avec ma sœur et tu ne m'as rien dis..! Tu sortais avec elle et j'en savais rien !



Juste après l'arrivée de la renarde, ce fut au tour de celle du père qui arriva aussi vite qu'il le put avec une très fine aura électrique qui l'entourait. Déjà alerté par tout ce qu'il se passait, il le fut encore plus, en même temps qu'il fut plus inquiet à la vue de son fils qui tenait Fate par le col avec brutalité.



- Basara..! Lâche-le, il n'a rien fait de mal !




-Tu m'étonnes qu'il s'en foute complètement quand j'étais là ! Tout ce qu'il voulait c'était ma sœur pour pouvoir se la faire dans mon dos !



-Ton jugement est grandement altéré par ta haine engendré par l'amour que tu portes à ta sœur et le fait qu'elle s'éloignera de toi. Je comprends.



 La personne visée arriva finalement sur les lieux, déboulant dans la pièce sans prendre de mesures.



- Lâche le Basara !



Encore plus agacé de l'attitude de celui-ci, sa rage ne fit que prendre un pas supplémentaire sur sa raison, ce qui se vit sur son expression qui devint elle aussi plus agressive.



-Et tu oses encore faire le mariole devant moi !



Toutefois, il avait bien senti l'arrivée de Cynthia tout comme sa requête. Cependant, il n'en fit rien et tourna son visage vers elle, lui montrant son visage colérique, loin de la tendresse qu'il lui portait en temps normal.



-Et toi aussi, tu t'es bien moquée de moi pendant tout ce temps !



- C'était justement pour éviter ça qu'on ne te l'a pas dit ! Regarde-toi ! Tu agis comme un enfant ! –




-Toi tu oses me dire que j'agis maintenant comme un enfant...?! Pendant quatre mois, toi et lui, vous avez tenu tout le monde au secret, y compris moi ! Vous deviez bien vous marrer dans mon dos hein !



Il centra de nouveau son regard et son attention sur Fate, toujours contre le mur sans la possibilité de réagir.



-Tu comptais me le dire avec une carte postale une fois que vous seriez partis..?!



-On vient de te l'annoncer, que veux-tu de plus. &



Cette fois-ci s'en était trop. Cette attitude complètement désinvolte à son égard, une fois de plus et après cette annonce qui l'avait en un instant détruit complètement moralement le mit à bout.



Je vais t'encastrer dans le mur...!



Vu qu'il le tenait d'une seule main de sa force surhumaine bien connue dans le village, il prépara son autre poing, prêt à le fracasser droit contre son visage, ce qu'il s'apprêta à faire d'ailleurs avant qu'une main ne vienne l'arrêter en le saisissant à l'avant-bras juste avant l'impact, relâchant un courant d'air juste devant la tête du jeune homme qui se préparait à recevoir l'attaque.



-...!



Surpris d'une action si vive, la bouche entrouverte, Basara tourna lentement son visage sur le côté et ne vit autre que son père qui se tenait droit à côté de lui, tout comme son bras qui le tenait fermement au sien pour l'empêcher de continuer, ce qui montrait là une force encore supérieure à celle du jeune homme. De plus, quand il le vit dans l'action, il vit son regard sérieux et son visage sévère de père, mais aussi peut être de soldat qui lui donnait un effet de persuasion très impressionnant, tout comme la rapidité à laquelle il venait d'arrêter la scène.



- Ça suffit, Basara. Relâche-le immédiatement.



Impressionné mais aussi apeuré de cette expression de son père tout comme sa posture, il ne put que s'avouer vaincu et inférieur sans quoi, la sanction qu'il risquait de recevoir allait être plus lourde encore. Il finit par lâcher d'un mouvement de bras son "ami" en tournant le visage sur le côté yeux fermés et dents bien serrées dans un soupir de rage un peu mieux contrôlé. La pression arrêtée, Fate retomba au sol en glissant contre le mur, tandis que celui qui venait de l'y plaquer repartit vers la sorte d'un pas à nouveau rapidement avec l'expression dissimulée, passant dans le même temps à côté de sa grande soeur et de Garfilda sans même s'arrêter ou leur adresser un regard.



-Tous des menteurs !




Les deux femmes le regardèrent partirent d'un air anxieuses, tandis que Fate se releva calmement en époussetant sa veste comme si rien en s'était passé. Ainsi, Basara quitta l'habitation des Phénix pour arriver une fois de plus dans la rue. Cependant, il partit dans une direction complètement opposée à celle de sa propre habitation, courant rapidement dans la rue entre les passants qui le regardaient faire curieusement. Le jeune homme était parti vers une destination qu'il semblait connaître d'avance, un endroit où il pourra s'éloigner de tout ça et se calmer, en même temps qu'il pourra se remettre les idées en place. De retour dans la cuisine où la confrontation venait d'avoir lieu, alors que Cynthia s'apprêtait elle aussi à partir pour tenter de rattraper son frère et le calmer elle-même, le père l'arrêta dès qu'il s'aperçut de son idée de sa voix calme et solennelle, couplée à sa mine triste quant à la tournure des événements qu'il pouvait comprendre.



- Laisse-le. Il est préférable de le laisser seul un moment, surtout pour toi.



- Mais...



- Il reviendra de lui-même, ne t’en fais pas.



Puis le soir venu, l'es deux famille, Basara mis à part, était restée ensemble chez les Phénix assise au salon.



- Minato. Pour moi, ce départ n'est pas mauvais, bien au contraire. Si nos enfants ont l'opportunité de faire leur vie et dans un des trois cités qui plus est ils doivent la saisir. C'est mon avis.



Comme rarement, ce dernier avait une expression réfléchie et bien sérieuse, ce sérieux venant avant tout de son inquiétude pour son fils qui était encore on ne sait où et qui dans ce genre de cas était imprévisible. Assis sur le canapé, il reposait son menton sur ses deux mains liées en suspension grâce à ses coudes appuyés sur ses genoux.



- Je n'ai jamais dit le contraire.



-De mon côté, je n'empêcherais pas Fate de suivre Cynthia. Je comprends la réaction de Basara, mais il devait bien se douter qu'elle n'allait pas rester toute sa vie auprès de lui.



Il finit par prendre un léger sourire, mais triste cette fois-ci. Bien qu'il était heureux de voir sa fille, son enfant déployée pleinement ses ailes et construire son avenir, tout en étant accompagnée de celui qu'elle aimait, il ne pouvait s’empêcher d'être triste quant au fait que cela faisait un membre de la famille en moins, la seule présence féminine qui parfois, lui donnait l'impression que sa chère femme était encore dans les lieux. Il allait se séparer d'une nouvelle part de sa vie, alors qu'il en manquait déjà une grande puis près d'une dizaine d'années.




- Rassure toi, je ne m'y opposerai pas non plus. N'importe quel père se devrait d'être heureux en voyant son enfant voler de ses propres ailes et tomber amoureuse à son tour. Je ne peux pas cacher que ça me rend très triste mais...actuellement je suis plus heureux que je ne suis triste. Quant à ce qui tient de Basara, bien entendu, le départ de sa sœur l'affecte beaucoup, mais ce qui rentre le plus en compte je dirai, c'est la façon dont il a appris la chose.



- Fate l'a dit bien justement. C'est son amour qui a parlé. Mais...je comprends qu'ils n'en ai pas parlé au vu de sa réaction.



Il ferma les yeux en faisant un petit signe de la tête en guise de protestation.



- Non, au contraire. Je ne veux blâmer personne, mais à mon avis, il aurait été préférable qu'il fut au courant avant.



Il rouvrit les yeux sérieusement, regardant d'abord Cynthia sur le canapé d'en face.



- Tu es sa grande sœur, celle sur laquelle il a toujours pu compter et qui l'a toujours soutenu. Surtout après la disparition de votre mère. Tu le sais, il était très proche d'elle. Après qu'elle soit partie, tu as été une sorte de substitut pour elle, ce qui se rapprochait le plus d'elle. Pour lui, ton départ lui donne l'impression qu'il perd une deuxième fois cette personne.



Ce fut ensuite au tour du petit ami, Fate, qui se trouvait à côté d'elle de recevoir le regard sérieux et impliqué du père qui avait toujours son effet.



- Quant à toi, Fate, même si tu es plus âgé que lui, toi et Basara vous connaissez depuis qu'il a fait ses premiers pas. Tu es son meilleur ami, si ce n'est pas pour dire qu'il te considère comme son frère. Il avait une confiance absolue en toi. Alors, le fait que tu ais gardé ce secret, et que tu pars avec Cynthia, c'est un double coup dur. Pour résumer, il prend tout cela comme une trahison, ni plus ni moins. Il se sent berné.



-Une mauvaise réaction en soi.



-Si nous avons fait cela c'était pour le préserver…



-Il comprendra les enfants. Il lui faut du temps. -



- Reste à savoir combien de temps ça lui prendra. Déjà que je ne suis pas sûr qu'il se soit remis de la mort de sa mère…



Il reprit son air triste et maintenant perdu, regardant sur le côté. Dans le fond, Basara n'était peut-être, voire sûrement pas le seul à ne pas avoir réussi à tourner la page. Il se peut même qu'une autre personne ait encore plus de mal à le faire.



- D'ailleurs, je ne pense pas qu'il soit le seul...



-Il le faudra bien...s’il veut avancer.



- La chose est bien plus facile à dire qu'à faire...



Pendant ce temps, tandis que les deux familles, ou ce qu'il en restait continuaient à discuter de la situation, celui qui était absent et qui avait en quelque sorte prit la fuite, n'ayant pu faire davantage avec toutes ces révélations qui lui avaient détruit le moral, se trouvait toujours dans le lieu vers lequel il s'était réfugié, un lieu assez spécial, mais aussi symbolique. Avec le léger vent nocturne, les feuilles des rares arbres dansaient, l'herbe bruissait et les cheveux de l'homme se mêlaient à ce cabaret, alors à genoux, le visage baissé et yeux fermés devant ce qui ressemblait à une pierre tombale où un cadre photo était posé devant. Ce lieu n'était autre que le cimetière en amont du village, à quelques centaines de mètres de celui-ci vers le sud, là où les âmes trouvaient le repos éternel lorsqu'elles y parvenaient. Et cette tombe n'était autre que celle de sa défunte mère, dont le nom était gravé dans la pierre. Hasegawa Chisato. D'ailleurs, la photo dans le cadre n'était autre qu'une photo de cette dernière. On pouvait alors y voir une grande et magnifique jeune femme, avec des traits du visage fins et harmonieux, tout comme ses mensurations par ailleurs qui étaient des plus divines, que ce soit la poitrine ou les hanches. On voyait bien de qui Cynthia tenait. Elle aussi avait de longs et soyeux cheveux avec deux mèches qui se distinguaient vers le haut ainsi que d'autres qui tombaient sur son visage, dont deux grandes qui passaient par-dessus ses épaules, mais les siens étaient d'un brun très foncé, un brun dont Basara avait hérité bien que moins prononcé, cet adoucissement devant venir de la couleur claire de la chevelure de son père. Tout comme son fils, elle avait les yeux d'un vert perçant, un vert qui pouvait se comparer au vert éclatant d'une émeraude. Sur son visage, on pouvait noter la présence de lunettes de vue aux bords rouges et qui lui donnaient un charme d'intellectuelle, renforcé par le petit grain de beauté qu'elle avait juste au coin en-dessous de l'œil droit, ce qui la rendait irrésistible. Sur la photo, elle portait un grand pull vert à col roulé, recouvert d'une grande blouse blanche qui indiquait qu'elle travaillait soit dans un domaine lié au médical, ou alors à la recherche.



Comme dit, Basara se recueillait sur cette photo à genoux, se laissant bercer par le doux vent qui caressait sa peau. Il semblait bien plus calme qu'il y a quelques heures et semblait avoir fait la part des choses. Si ce calme était de mise, c'était tout simplement grâce au lieu, à la présence qu'il y ressentait, la présence qui l'avait porté durant neuf mois, et qui l'avait élevé, qui avait joué avec lui pendant plus de sept ans. Ici, il se sentait en paix, il se sentait comme si sa mère se tenait juste à ses côtés pour le soutenir et l'aider lorsque les choses devenaient difficiles pour lui, comme c'était le cas à l'heure actuelle. Dès qu'il avait un problème auquel sa sœur ne pouvait y remédier, c'était en quelques sortes la mère qui le faisait. Elle soulageait son cœur, même absente physiquement.



Une personne de moins dans la famille. Ça ne fera qu'une deuxième personne qui m'avait dit par le passé qu'elle sera toujours là pour moi et qui finit par s'en aller. Soudain une petite voie mignonne se fit entendre dans son dos.



-Oh, un garçon triste.



 Quand il se tourna il vit alors une petite fille a l'allure étrange, surement de son âge mais qui semblait parée à aller à la plage. Celle-ci était alors habillée d'un short beige avec une ceinture bleue turquoise. Sa poitrine généreuse pour son âge ressortait également bien en avant dans un maillot de bain beige à rayures noires couvert par une longue veste orange de la même couleur que les cheveux de la jeune fille. Ses cheveux tombaient jusqu'au bas du dos mais laissaient penser qu'ils pouvaient aller bien plus bas du fait qu'ils étaient coiffés en une longue et épaisse queue de cheval. Elle avait autour de son cou une écharpe jaune bien écartée de son cou et, à la manière de Garfilda, bien que les siennes sois bien plus longue et épaisses, elle avait deux fines et petites queues d'animal. Attrait renforcé par les deux rayures au-dessous de chacun de ses yeux orange qu'elle avait. Elle avait enfin sur ses deux poignets deux fin brassards bleus et ses bras tenaient justement une bouée de plage transparente, teintée de jaune. Elle regardait alors le jeune homme sans doute d'un âge similaire au siens d'un sourire espiègle, debout en face de lui, belle et joyeuse



Il ouvrit grands les yeux à la vue de la jeune femme. Il ne s'attendait pas à une présence en ces lieux en même temps que la sienne, et encore moins la présence d'une femme aussi adorable et au look aussi improbable, bien qu'il ne le remarqua pas dans l'instant à cause de la surprise.



-Qui êtes-vous..? Que venez-vous faire ici..?



-Je me ballade. Je cherchais la plage.



A sa réponse il attrapa un rictus à l'œil droit, dérouté par une telle demande.



-La plage...?



Puis, il commença à se mettre plus ou moins dans la chose et finit par remarquer le style assez étrange de la jeune femme, ainsi que ses attributs qui sortaient de l'ordinaire, notamment ses deux queues fines animales ainsi que les rayures qu'elle avait sous chaque œil, lui faisant prendre un air sérieux.



-(Elle aussi aurait muté..? Et de plus...)



En se concentrant davantage sur la tenue de celle-ci qui mettait par ailleurs ses avantages physiques en avant, il rougit légèrement en déviant un tant soit peu son regard sur le côté.



-(Une tenue pareille au beau milieu de nulle part...)



Elle s'approcha alors de lui en sautillant sur ses deux « pattes », toute curieuse et guillerette.  



- Hé, hé, tu sais où elle est ? Elle est proche non ?



Gardant son regard dévié, il se releva en s'appuyant sur son genoux lorsqu'elle s'approcha de lui et terminer droit, visiblement plus grand qu'elle.



-Je pense que..vous vous êtes trompée d'endroit…


La jeune fille poussa alors un mignon petit cri de stupéfaction.



-Héééé ? On m'avait dit qu'il y en avait une ici !



Par la suite, il prit un air blasé en clignant des yeux, se demandant bien qui a pu lui dire une chose pareille.



-Je ne sais pas qui vous a dit cela mais...vous ne devriez plus lui demander grand-chose.



Elle prit alors un sourire en le regardant



-Oui, c’est bien vrai ça ! Alors tu peux me dire ou elle est ?



Encore plus dérouté de cette énième demande, il ne savait quoi y répondre, surtout que le lieu n'était pas vraiment approprié pour cela. Embarrassé, il passa sa main dans ses cheveux en réfléchissant.



-Me demander ça comme ça, vous me poser une colle...mais quitte à donner une réponse, je dirai peut être plus au Sud.



- Je vois ! Tu veux venir avec moi ? -



Il eut un léger sursaut à cette question supplémentaire qui était sûrement la question la plus improbable de tout. Il la regarda alors avec de grands yeux.



-Je..je vous demande pardon ?



-Oui ! Venir avec moi !



-Co-comment ça venir avec vous..?! Et pourquoi je ferai ça d'ailleurs !



Elle creva alors sa bouée avec un de ses ongles de son sourire espiègle, l'objet libérant alors un gaz qui se propagea vers le visage du jeune homme qui le respira



-Parce que tu n'as pas le choix héhé.


 L’homme le respira alors jusqu’à commencer à s'endormir. Dans l'instant, il ne comprit pas ce qui lui arrivait. Il sentit ses membres s'alourdir, tout comme il vit que sa vision se troubler, ainsi que ses yeux commençaient à peiner à rester ouverts alors qu'il y a quelques secondes, il se sentait parfaitement en forme.



-Qu'est-ce que...



Ne pouvant luter plus longtemps contre les effets du gaz, Basara finit par tomber à genoux pour rester éveillé le plus longtemps possible, mais cette résistance ne fut que très courte durée. Il finit par tomber complètement au sol, allongé avec les paupières qui se refermèrent sur ses yeux.



-Tu vas voire, on va bien s'amuser hihi.


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