Maladresses de l’amour

Chapitre 7 : La premier fois pour elle

1980 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 18/10/2021 09:40



Le jour tombe et avec la fin du tournage, Simone se démaquille et se change. Avant de partir le réalisateur, les scénaristes et quelques producteurs viennent la féliciter pour son jeu d’aujourd’hui. L'acteur a qui elle a donner la réplique viens lui proposer d’aller boire un dernier verre avec tous les autres.

Sans hésiter, ni même se tourner vers moi, elle refuse gentiment cette invitation en prétextant une grande fatigue et promet qu'une prochaine fois ce sera avec plaisir.


Il est presque vingt heures lorsque nous sortons des vignes, main dans la main et Kate lui demande :


  • Tu viens chez moi pour ce fameux dîner ?
  • Pour me faire pardonner c'est moi qui t'invite.
  • Te faire pardonner de quoi dit-je en lui serrant d'avantage la main.
  • De t'avoir abandonné après ma rupture avec Lionel.
  • Donc tu va me faire un bon dîner dans ta chambre d’hôtel dit-je en souriant.
  • On va se commander une bonne pizza parc-que … pourquoi tu ris.
  • Parc-que c'est exactement ce que j'avais fait pour se dîner.
  • Tu pourras comparer avec la tienne dit-elle en mêlant son rire au miens.
  • Ça veux dire que tu ne veux vraiment pas voir mon petit chez moi dit-je en lui faisant un clin d’œil.
  • Non petite maline, je ne vais pas te faire cuisiner alors que je cherche à me faire pardonner dit-elle déposant ses lèvres sur les miennes.
  • C....ça me générer pas dit-je après un long silence pour que me remettre de son tendre baiser.
  • Un jour je viendrais chez toi promis.
  • Pas de soucis .
  • En attend tu es ok pour ma petit chambre d’hôtel.
  • Mm mm je le suis dit-je timidement et
  • Allons-y alors. Dit-elle toujours nos mains liées l'une a l’autre.


Une fois dans sa voiture sur le chemin du retour, je n’ai qu’une seule chose en tête, je meure d'envie de l’embrasser de nouveau, de caresser ses douces cuisses et d'admirer ses beaux yeux vert, pour retenir mes pulsions je regarder le paysage qui ce déroule sous nos yeux.

Une fois arrivé devant l'hôtel elle m’ouvre galamment la portière, elle me laissant rentrée en premier dans l’immeuble. Sur le pas de la porte de sa chambre, je reste plongée dans ses yeux et lui caresse la joue. Je lui souri et je pose mes lèvres sur les siennes.

Je m’attends à ce qu’elle me rend mon baiser avec douceur, comme la première fois, au lieu de cela elle m’attire vers elle avec force et m'attrape par le col de ma chemise et plaque sauvagement ses lèvres contre les miennes. Je sens des petits picotements et la dopamine se frayer un chemin jusqu’à mon ventre . En l’espace d’un instant, le désir a traversé tout mon corps et a fait accélérer mon cœur. C’est comme si en un seul baiser enflammé elle a trouvé le bouton qui me redonne vie. Il y a un moment qu’une femme ne m’a pas embrasser comme ça, au point de me mettre littéralement le feu. Je vois dans ses yeux le désir grandir et pour la première fois de ma vie, c'est moi qui est peur de celui-ci.

Entre ses bras qui me désirent tant, je tremble d’effroi mais aussi de plaisir. C’est un mélange de sensations assez étrange qui se dissipe, vite remplacé par l’amour et l’envie de plus. Je la plaque contre la porte. Je sens à nouveau sa poitrine contre la mienne et nos jambes se frôle.


Je lui dépose des baisers dans le cou, quand je l’entends me dire:


  • Tu sais....s si tu veux qu’on fasse l’amour, on devra passer cette porte.
  • Oui, tu as raison c’est mieux. Dit-je en me décollant d'elle suffisamment pour la laisser cherche la clé de sa chambre. Quand elle se penchant sur son sac, je vois à travers sa chemise, dont j’ai défait un bouton, apparaître sons soutiens gorge. Cette vision me fait frémir, je suis obligée de fermer les yeux pour ne pas perdre pied.
  • On trouve jamais les clés quand on en a vraiment besoin, cracha-t-elle avec rage.


Je lui prends la main pour l’aider:


  • Calme-toi, nous ne sommes pas pressées. Tu sais, je peux patienter j’aurais toujours autant envie de toi après.


Je vois un tressaillement sur son visage, mes mots l'ont-elle mise mal à l’aise ou est-ce ses pensées coquines qui l’ont fait rougir ? C’est avec une excitation extrême et une pointe d’anxiété qu’on entre enfin dans la chambre. Elle ferme la porte à clé, s’y adosse, me regarde et me dit on ne peut plus sérieusement :


  • Tu es sûre de vouloir dîner ?
  • Je peux m’en passer.


Elle me donne son plus beau sourire et s’approche à petites enjambées de moi. Elle me prend par la main et nous nous dirigeons vers le lit.




***


Ses fougueux baisers me font un instant perdre pieds mais je reprends les choses en mains, en lui autant définitivement sa chemise et lui déposant de délicat baiser sur son doux ventre. A ce contacte je la sens trembler j’espère de plaisir, en reposant mes yeux sur son visage j'y vois un sourire qui me confirme que c'est le cas. Alors que je lui dépose des baisers dans le cou, elle attrape mon visage entre ses mains et cherche mon regard.


  • C'est à moi de te déshabiller et de te goûter. Dit-elle en mordant ses lèvres.


A c'est mots mon cerveaux court-circuite, je sens une douce douleur réveiller mon vagin et un rouge envahire tout mon visage. «OK» est le seul son qui arrive à s'échapper de ma bouche surtout quand je la sens me pousser sur le lit et m'enlever d'un seul geste mon tee-shirt. J'en profite pour regarde son corps qui se dévoile peut à peut a moi.


  • Mon dieu qu'est-ce que tu es belle arrive-je finalement à murmuré.
  • Je.....mmm... c'est toi qui est magnifique.


dit-elle avant de ce jette sur mes lèvres et ce retrouver allonger sur mon corps frémissant au moindre contacte contre sa peau. Je passe avec délicatesse mes doigts sous son soutien-gorge pour le défaire et dévoiler peux à peux sa poitrine à mes yeux. Je n'ose plus les fermer je ne veux en aucun moment manquer la beauté de ses courbes. Des courbes qui s'agite pour me retirer mon soutien-gorge, je n'ai pas le temps de reprendre ma respiration déjà bien saccader par le plaisir de la sentir sur moi que je sens sa bouche chaude me dévorer le sien droit. Je me perds dans l’afflux du plaisir, du désir et de l'euphorie que me procure sa bouche. La même bouche que je sens descendre et se perdre sur tout mon corps, en sentant sa langue dans mon nombril je ne peux pas me retenir de crier «Simone»

Mon esprit est complètement en brumer quand ses mains viennes au contacte de ma peaux, elle dépose toujours de délicieux baiser sur mon bas ventre et ses doigts déboutonne mon pantalon. Je sens une chaleur longtemps endormir dans mon sexe quand un de se doigts viens doucement chatouiller ma culotte, mais son geste reste en suspens, sur le coup je pense qu'elle veut faire monter le plaisir. Je la vois remonter vers mes seins pour y déposer un baiser plus doux, à son regard je sens que quelque chose cloche et je me souviens tout à coup que c'est sa première fois avec une femme.


Je lui prends la main dans la mienne et la regarde dans les yeux.


  • On va y aller pas à pas.
  • Tu es sur, tu en meurs d'envie pourtant, je l'ai senti.
  • C'est vrai que.....j je te veux en moi....je veux surtout que tu sois alaise, rien ne presse, tu n'as pas faire ça aujourd'hui.
  • Tu peux …. peut être toi me....euh enfin tu vois me dit-elle rougissant à cette penser.
  • C'est faisable …. tu va tenir le coup, dis-je en riant pour la détendre et la faisant passer sur le dos pour me retrouver sur elle.
  • J'ai confiante en toi et si tu es aussi douce que jusqu'à maintenant ….
  • Je suis toujours douce quand il s’agit de donner du plaisir à une jolie femme comme toi dit-je en déposant d'abord mes lèvres sur son cou, pour redescendre petit à petit vers ses seins et y déposant un doux baiser.
  • Kate murmure-t-elle.
  • Tout va bien jusque là ma douce.
  • Mmm c'est j.... jusque je ne m'attendais pas à que cela soit si fort.
  • Le sexe avec une femme c'est tou....
  • Pas une femme Kate avec toi, c'est toi que je ne veux pas une autre femme.
  • Je ne veux que toi..... Dis-je du bout des lèvres en continuant à déposer des baisers tout le long de son corps.Je veux la sentir toujours plus proche de moi alors mes mains s’agrippe à ses reins pour y déposer des baiser plus fougueux. Je défais d'une main le bouton de son jeans pendant que l'autre lui caresse toujours le bas du ventre. Je la sens frémir sous mes mains, sous mes lèvres et pour m'assurer qu'elle est toujours à l'aise je relève la tête sur son regard vert.
  • Tu es toujours avec moi lui demande-je alors que le souffle de mes paroles lui chatouille le bassin, elle en tremble encore plus.
  • Hummm j je …...ignorais que cela aller être si dur de patienter....pour oh mon dieu Kate.
  • Tu veux que j’accélère le rythme pour aller droit au but dit-je en jetant son jean au travers de la pièce.
  • Non....oui….je ne sais plus …..crier elle dans une respiration saccader.


Sans plus rien dire je fais glisser sa culotte le long de ses jambes, pour essayer de calmé les choses je dépose mes lèvres le long de ses mollets et remonte en douceur vers ses cuisses. Ce contact lui fait tressaute le corps tout entier et elle referme presque les jambes, a cette réaction je dépose délicatement mes mains sur ses fesses et les caresses doucement pour de nouveau la détendre.


  • Ça va aller Simone, si tu ne veux pas ce n'est pas grave.
  • Si si j'ai en envie.... tu le sens non.
  • Oui.
  • Seulement chaque fois que tu me douche j'ai l'impression de fondre...alors si tu va plus loin j'ai bien peur d'exploser bien trop tôt.
  • Ce n'est pas grave ça tu sais.Dis-je en remontant petit à petit sur son corps, d'abord un baiser sur son nombril, un autres son mamelon dur et enfin sur ses lèvres chaude et tremblante de désir.
  • Je ne veux pas te décevoir.
  • Aucune chance tu es parfaite, te sentir déjà contre moi c'est génial.
  • Alors on peut rester comme ça l'une contre l'autre après tout ce n'est que notre premier nuit dit-elle en me refaisant passer sur le dos pour m'enlever mon pantalon.
  • Ça me paraît un super programme dit-je d'une voix presque inaudible quand elle me retire mon shorty.
  • Oh Kate tu sais que personne ne m'a jamais fais autant d’effet dit-elle en déposant doucement sont corps nu sur le miens.
  • Simone tu va me tuer dit-je en passant mes bras autour de son coup pour l'embrasser si fort que je sens nos poitrines respective battre maintenant à l’unisson.




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