Maladresses de l’amour

Chapitre 8 : Love is love

2173 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 21/10/2021 10:36


Au petit matin, c’est une douce chaleur charnelle sur les seins de Kate qui la réveille, elle ne rêve pas. Simone a bien posé ses lèvres chaudes sur sa poitrine et elle lui a même apporter un joli petit déjeuner au lit. Il y a plein de bonnes choses à manger et une rose rouge dans un verre. La belle comédienne dépose un délicieux baiser sur les lèvres de la jeune libraire.


  • Tu as déjà déjeuné ? Lui demande-je.
  • J’ai juste trempé un doigt dans la confiture, me répond-elle en me montrant le pot devant moi.
  • Mmm, sexy.
  • C’est un supplément dans ton petit déjeuner.
  • Sympa, j’aime beaucoup le supplément. Peut-être plus que le petit déjeuner en lui-même.


Je me penche pour l’embrasser goulûment et l'attrape dans mes bras oubliant le plateau entre nous.

Elle me dit :


  • Hep hep, mange, on n’a pas mangé hier soir, tu te souviens? Il te faut des forces si tu veux de moi dans ta vie.
  • Ok, mangeons alors.


Nous dégustons ce super petit déjeuner sans se presser, en parlant de nos boulots respectifs. Je me sens libre de l’aimer, là dans cette chambre d’hôtel, nous sommes libres. Puis retentisse nos deux portables, la réalité nous rattrape il faut retourner à nos vies en-dehors de cette chambre.


  • Qu’est-ce que tu fais? Tu ne vas pas aller travailler à la librairie sans prendre une douche? Dit-elle quand elle me voit déjà à moitié habiller.
  • Bien-sûr que non. C’est pour ça que je rentre chez moi.
  • Et si on la prenait ensemble ici, plutôt?
  • Ah oui, tu crois ça? Lui réponds-je en riant.
  • Oui me souffle-t-elle doucement dans l’oreille en me serrant forte contre elle.


Je n’ai pas complètement reboutonné ma chemise alors elle en a profite pour me caresser doucement la poitrine d'une main. Elle passe l’autre dans mon dos, entre ma peau et mon soutien-gorge qu’elle enlève lentement et avec facilité. Nous nous dirigeons vers la salle de bain. On dit que l'amour est purement chimique, il suffi de goûter aux lèvres de la personne que l'on aime et on ne peut plus s'en passer.

C'est exactement ce que je ressens avec Simone plus je l'embrasse plus je veux continue. Dans ses bras sous cette douche je profite de cet instant unique.




***


L'absence de Simone est bien plus dure depuis que j'ai échange de langoureux baisers avec elle, j'ai encore plus envie de la voir, plus encore que lorsque je l'aimais de loin. Elle me manque temps que je n'arrive pas a pensé à autre choses que ses beau yeux vert posé sur moi et je ne fais plus mon travaille comme il faut. Plusieurs client son partie parc-que je ne pas répondais a leur question ou que je ne les écoutais tout simplement pas. Même madame Summer fidèle lectrice de notre bibliothèque de poche me trouve ailleurs.


  • Ma petit Kate tu es sur que ce policier leve 26 de Anthony E. Zuiker est pour moi, ça l'aire bien noir quand même.
  • Oh non mince désoler madame Summer c'est carrément trop, c'est même un peut flippant, je ne voudrais pas que vous fassiez des cauchemars dit-je en lui donnant un petit coup de coude.
  • Vous semblé loin d'ici aujourd'hui ma petit Kate.
  • Je...oui je suis ….
  • C'est parc qu’elle est amoureuse me coup Laurence en rentrant dans le magasin.
  • C'est vrais ça jeune fille vous avez trouve la femme qui fait battre plus vite votre cœur demande madame Summer
  • Je...
  • Mieux que ça son amoure est réciproque en plus c'est la c...
  • Ça suffit les commérages la coup-je avant que Laurence révèle à tout le monde que la grande comédienne Simone Arthaut sort avec une femme.
  • Quoi c'est vrai ton amour temps convoiter t'aime en retour ce n’est pas magnifique dit Laurence.
  • Merveilleux dis-je en la tirant par le bras et en disparaissant avec elle dans les escaliers menant à la réserve.
  • Je peux savoir ce que tu fais si je t'ai parlé de ma premier nuit avec Simone c'est parc-que tu es ma meilleur amis d'habitude si discrète pas pour le crier sous les toits dit-je a voix base les yeux fixer sur Laurence de colère.
  • Je ne comprends pas comment tu peux accepter d'être avec elle dans ses conditions. Je connaissais une Kate qui autre fois n'avais pas peur d'assumer qui elle est dit-elle tout bas à son tour.
  • Je ne cache pas idiote, Simone à besoin de temps tu peux le comprendre ça, dit je en grimaçant.
  • Euh ….oui je ...je suis désoler mais je ne veux pas que tu te fasses avoir encore une fois, te voire malheureuse me brise le cœur.
  • Je comprends que tu veuille me protéger.
  • Oui c'est mon devoir de meilleur amie.
  • Si tu veux vraiment me protéger ne dit à personne que Simone est avec moi.
  • D....d'accord oui encore désoler.
  • T’inquiète pas je sais que tout ce que tu fais c'est pour mon bien.
  • Et pour ton bien j’espère que ce jeu de cache cache ne durera pas trop longtemps dit-elle avant de retourner dans le magasin.
  • Moi non plus lui murmure-je, avant de retourner vers ma cliente chouchou. Alors madame Summer ce ne serais pas mieux si je vous propose les enquêtes Agatha Raisin dit-je en lui tendant les trois premier tomes de cette enquêtrice des plus farfelue.
  • Salut la compagnie dit Laurence en sortant du magasin.
  • A plus Laurence lui dit-je.
  • En revoir mademoiselle Stanislas. Dit poliment madame Summer.
  • Encore désoler madame Summer.
  • Ah l'amour à souvent cette effet, mais vous vous été bien rattraper ma petit Kate dit la soixantenaire en déposant les livres devant moi pour que je les encaisses.


Après ça, la suite de mon après-midi est resté calme, j'ai fermé la librairie à l'heure habituelle car passé 18 h30 les gens de cassis sorte très peu.






***


Alors que je donne un dernier tour de clé à la porte de la librairie je sens deux mains chaude se posé sur mes yeux.


  • Qui est-ce ? Dit a la voix familière de Simone.
  • hum...je ne sais pas une jolie femme rousse, un peut maladroite et que j'aime dit-je.
  • Jolie oui, rousse aussi mais rectification plus du tout maladroite et cela grâce à une tout aussi belle libraire dit-elle en posant ses lèvres dans mon cou et enlevant ses mains de mes yeux pour aller chercher mes clés dans mes mains.
  • Qu'est-ce que tu fais ?
  • Je suis à coure de lecture et puis j'ai bien envie d'une pizza fais maison dit-elle en ouvrant de nouveaux la porte de la librairie sa mains dans la mienne.
  • Ah je croyais qu'on se verrait à ton hôtel dit-je en tremblant sous son toucher et en passant le pas de la porte de la boutique.
  • Hum hum j'avais très très envie de te voir dans ton élément naturelle dit-elle en fermant la porte de la libraire à clé de l’intérieur cette fois.
  • Ah oui un peut comme un animal sauvage dit-je en riant et l'attrapant pour la coller contre moi.
  • Tu as déjà la fouge d'un lion , il te manque plus que sa force dit-elle en collant frénétiquement ses lèvres contre les miennes.
  • Humm la.... la force c'est toi qui là dit-je en sentant ses mains se poser autour de ma taille.
  • Je...je ne suis pas si forte que ce que tu pense.
  • Si tu es la femme la plus forte que je connaisse mentalement en tout cas tu es in...
  • C'est faut parc-que je n'arrive pas te résister me coup-t-elle en me poussant doucement sur une table ou sont installer les livres policier, avant de ce jeter de nouveau avec fureur sur mes lèvres.

Ce dernier baiser associer a ses mots me coup la respiration, pendant un instant Simone reste flou à mes yeux. Je la sens ce débattre avec la ceinture de mon jeans tout en déposant ses lèvres au dessus de mes seins enfermer dans mon soutien-gorge. Le premier bouton de mon pantalon cède et sa bouche sur ma poitrine me fait perde la tête je n'arrive plus a tenir debout. Ensemble nous écroulons sur la table et nous trouvons allons sur un tas de livres. Le deuxième bouton cède à son tour et ses doigt vienne chatouiller mon intimité alors que sa bouche me dévore ardemment les seins toujours a travers la soie de mon sous-vêtement. Avec son corps fiévreux, gesticulant et si beau sur le mien je ne sais pas comme je parviens à articuler ses mots.


  • Simone Simone....je je crois qu'on ferait mieux de …..m monter dans mon appartement.




***


Une fois dans mon petit chez moi je ne peux résister longtemps a vouloir l'embrasser, sentir sa boucher lié à la mienne me met dans tout mes états. Après ce long baiser je me rend compte que ce soir Simone a décider de prendre les devant.


  • Viens là que je te manger me somme- t- elle en s’asseyant sur mon lit encore toute habiller.
  • Je croyais que tu avais faim de pizza et non de corps humain dit-je amuser.
  • Seulement si c'est le tien de corps, je pense qu'on devrait sauter le dîner.
  • Encore eh bien avec toi on va perdre du poids dit-je en riant et m’asseyant à entre ses jambes.
  • Hmmm tu me plais comme tu es, puis les pizzas on pourra les manger plus tard dit-elle en venant passer ses genoux autour de ma taille.
  • Simone tu es prête pour sa dit-je tout exciter alors qu'une de ses mains cherche à défaire mon soutien-gorge sous mon tee-shirt et passe l'autre dans ma nuque.
  • Parfaitement, en-fait au risque de passer pour une obséder je n'ai pensé qu'a toi de tout la journée dit-elle en m’enlevant d'un seul coup mon tee-shirt et mon soutien-gorge.
  • Tu n’es pas obséder ou alors nous le sommes toute les deux, tu n’as pas cessé de hanter mes penser de toute la journée dit-je en lui mordillant les lèvres quand elle me retire mon pantalon et que je commence à défaire les boutons de sa chemise.
  • C'est vrai tu as pensé à moi malgré tes clients.
  • Oui si bien que j'ai failli vendre un livre d'horreur à une femme qui n'aime que l'humour et un livre de football à jeune homme passionner par la photo de paysage dit-je en lui retirant sa chemise et cherchant des mains la fermeture de son soutien-gorge.
  • Ah oui j'ai cet effet là sur toi dit-elle en nous allongeant délicatement sur le lit.
  • Et plus encore si tu savais...
  • Je le sens dit-elle en passant sa main sous ma culotte bien mouiller.


Je retire enfin son soutien-gorge tout en lui mordillant l'oreille, je sens de plus en plus ses doigts me caresser le sexe, je meure d'envie de lui crier de m'enlever cette foutu culotte mais je n’ai pas envie de la brusquer, surtout qu'elle a prise seul l'initiative de la direction de nos ébats. Tout en cherchant le bouton de son pantalon je lui mords les mamelons déjà bien durs pendant que ses doigts jouent toujours avec mon intimité. Pendant quelques second nos corps ne se touche plus elle est toujours sur moi mais comme en lévitation j'en profite pour lui enlever son jeans et elle fait de même avec ma culotte. Quand elle repose son corps maintenant totalement nu sur le miens je ne peux éviter de hurler son nom. Elle me regarde un instant et continue en voyant mon plaisir, elle dépose d’abord des doux baiser entre mes deux seins et m’embrasse tout en descendant sa main d’abord sur mes fesses dans une douce caresses. Elle dessine ensuite des cercles avec ses doigt jusqu'à mon sexe, je le sens en douceur enter en moi, pour éviter d'exploser trop vite au contacte de ses doigts je lui mordille les lèvres. Ce qui déclenche en elle un petit crie et l'envie de me manger la boucher déjà bien en feu sous ses baisers. Le va et viens de ses doigts en moi me chatouille par accoue le clitoris et les lèvres humide. Nos seins non de cesse de ce caresser les uns les autres chaque fois qu'elle sort et entres moi ce qui accentue mon plaisir. Sa bouche qui ce promène goulûment de mon cou à ma bouche et parfois entre mes siens me fait vibrer. La façon dont elle me touche et dont elle me regarde je ne peux me retenir de murmurée.


  • Simone Simone Simone Simone Simone.





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