Dramione : le Feu et la Glace

Chapitre 8 : Je n'hésiterais pas à te tuer

4030 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 14/06/2019 11:09

Dans le chapitre précédent Hermione s’est permise d’entrer dans la tête de Malfoy à l’aide d’un Legilimens par vengeance, et ce n’est qu’après qu’elle s’est rendue compte qu’elle est allée bien trop loin.

POV DRAGO

C’est là un décor bien sombre pour un rêve, non pas que je n’en ai pas l’habitude, rares sont les nuits où mon esprit s’imagine des licornes chevauchant des arcs-en-ciel, mais cette fois-ci je me trouve comme à Azkaban, et mon père ne semble pas être là, je suis visiblement seul. Pourtant, je sens quelque chose, quelque chose de fort, de puissant et petit à petit de douloureux. Et là, tout me revient : ma mission, le Seigneur des Ténèbres, toutes ces choses qui font que ma vie est un véritable enfer et me tuent peu à peu de l’intérieur. Je me recroqueville sur le sol, mon ventre me fait terriblement mal, tout comme ma tête, je ne suis pas seul, je le sais, je le sens, il est là, lui qui a droit de vie ou de mort sur ma famille et moi, il est là. C’est maintenant la peur qui m’envahi, qu’est-ce que je dis, la terreur, jamais de ma vie je n’ai été aussi terrorisé, voire traumatisé.

-         Pitié… Pitié… Je vous promets mon Seigneur, je vais remplir ma mission, je suis en train, je suis en train… Pitié, je vous en prie pitié ne me tuez pas... Ne me tuez pas, je vous en supplie, ne tuez pas ma famille, je vais m’en occuper je vais le faire, je peux le faire…

Je pleure et je supplie, à même le sol. Pitié, qu’on ne tue pas ma mère, elle qui m’a tant donné, et pitié, pitié mon Seigneur qu’on ne tue pas mon père, lui qui a travaillé si dur et sans relâche pour notre famille. Pitié que je n’ai pas à porter ce fardeau sur mes épaules. Si je suis tout à fait honnête, ce que j’ai envie de demander pendant ce moment malsain et si particulier c’est qu’il me tue. Pitié mon Seigneur, épargnez ma famille, mais tuez-moi, je ne peux porter le fardeau de cette famille seul sur mes épaules plus longtemps. Je n’en suis pas capable, je suis bien trop petit, faible, idiot, incapable, stupide, frêle et ridicule. Pitié achevez-moi, par pitié qu’on m’achève et que c’en soit fini, fini de cette vie déchirante à laquelle je n’appartiens pas. Je ne suis qu’une merde, un moins que rien, par pitié, putain par pitié qu’on m’achève, je ne peux plus, je ne peux pas, je n’ai jamais pu et je ne pourrais putain de jamais…

Mais je ne peux rien dire de tout ça, non, parce que si je le faisais, tout ce qu’on retiendrait de la famille Malfoy c’est à quel point nous sommes des lâches, des abominations du monde des sorciers et la honte serait sur mes parents pour toujours, et ça je ne peux le laisser arriver. Alors tout ce qui sort de ma bouche, ou plutôt de mes entrailles, sont des hurlements emplis de douleur, des hurlements que je ne contrôle pas, parce que putain tout fait si mal, je ne sais pas où je suis, je ne sais pas pourquoi je suis là, je ne sais pas ce qu’il se passe mais ce que je sais c’est que cet endroit fait ressortir tout le pire et le plus faible en moi. Alors j’hurle, j’hurle à la mort parce que je ne peux pas mourir, mais je ne pourrais jamais vivre non plus.

Tout aussi soudainement que ce rêve avait commencé, il s’est arrêté, sauf qu’en prime je sentais une force magique sortir de moi, je comprends aussitôt : un legilimens. En un bon, je saute au cou de mon agresseur, le propulsant violemment contre le mur, serrant fermement sa gorge et baguette tendue en sa direction, prêt à le tuer avant de réaliser qui j’étais en train d’étrangler : Granger. C’est quoi ce putain de bordel. Granger. Legilimancie. Granger.

-         Malfoy… Malfoy…

Sa main vient se poser sur ma peau alors que je l’étrangle, je desserre un peu mon emprise parce que je ne comprends pas. Je ne comprends toujours pas. Je ne suis pourtant pas quelqu’un de con.

-         Je voulais… Je… C’était une farce je ne voulais pas…

Je scrutais son visage, elle se tenait là, devant moi, je pouvais en finir avec sa vie avec un simple coup de baguette magique, mais je la regardais, droit dans les yeux, je ne comprenais pas. J’entendais à peine ce qu’elle me soufflait, une farce, une putain de farce, Granger m’a fait vivre cet enfer pour me faire une farce, elle a pénétré mon esprit et m’a vu implorer le Seigneur des Ténèbres, pleurer pour sa pitié, hurler sous la douleur, une douleur que je ne suis même pas sûr qu’elle m’appartienne, tout ce qui s’est passé à cet instant était comme parallèle, je ne saurais l’expliquer, c’est comme si Granger avait créé toutes ces émotions en moi, elle m’a fait me sentir de cette sorte, tout ce que je pensais, mes idées suicidaires, n’importe quoi ! Jamais je n’ai pensé de telles conneries de ma vie, et ce n’est pas demain que ça va commencer, mais Granger a créé ça, elle m’a fait vivre ça, elle m’a humilié comme jamais je n’avais été humilié avant, mais pourtant je la regarde, son visage enfantin, ses joues rosées, son souffle court ainsi que la peur dans ses yeux me suggèrent tous qu’elle est effectivement désolée, il semblerait qu’elle n’ait pas réussi à contrôler son Legilimens. Furieux, confus pour ne pas dire perdu, je me décide à la lâcher, me prend la tête dans mes mains, je ne sais pas quoi faire, cette putain de sang de bourbe a pénétré dans ma putain de chambre pendant la nuit pour entrer dans mon esprit et me torturer, mais putain à quel moment sa débile de tête lui a dit que c’était une bonne idée et qu’elle pouvait se permettre, elle, sang de bourbe, pauvre merde, d’entrer dans MA chambre et MON esprit ?! Cette idiote se met à chuchoter avec sa voix angélique :

-         Qu’est-ce qu’il t’arrive Malfoy ?!

Qu’est-ce qu’il m’arrive ?! Qu’est-ce qu’il m’arrive Granger ?! Putain ! Rien qui ne te concerne ou ne concerne qui que ce soit d’autre d’ailleurs ! Rentrer dans mon putain d’esprit ! Je n’y crois pas. Voir tout ça, savoir ces choses-là sur moi, à quel point j’ai peur du Seigneur, à quel point je suis démuni et minable face à cette situation que je ne contrôle pas le moins du monde.

-         Dégage.

Je ne savais pas quoi faire, ni quoi lui dire. Putain Granger, dégage avant que je ne te tue, ou avant que j’explose de colère, dégage.

-         Malfoy…

-         Dégage.

Je restais calme, sec, distant à l’extérieur, il me semblait que c’était le meilleur moyen de ne pas lui faire voir qu’elle venait de me faire péter les plombs et perdre les pédales, je me sentais putain d’énervé et angoissé, contre moi, contre elle, contre ma vie, contre ce « rêve », contre ce que j’ai pu penser pendant ce rêve, contre ce qu’elle a vu, mais putain qu’est-ce que c’est que cette histoire, comment je vais me sortir de ça. A bout après ce cauchemar forcé, je sens que j’ai besoin de faire quelque chose, je dois faire passer ces angoisses, ce sentiment horrible, tout ce qu’il vient de se passer, je dois faire passer tout ça, effacer ce que Granger m’a fait, ce qu’elle m’a fait penser, à quel point elle m’a rendu faible. Je me rends dans la chambre de Pansy, sur les nerfs, furieux, anxieux, avec ce besoin urgent d’extérioriser toute cette énergie malsaine que je ressens en moi. Je la réveille en l’agrippant par les bras, la sommant d’ouvrir les yeux :

-         … Drago ? Qu’est-ce qu’il se passe ?

Elle ne semble pas très étonnée, cette année ce n’est pas la première fois que je la réveille en pleine nuit pour tirer mon coup, écrasé par la pression, mais cette fois ce n’est pas pareil, je me sens pire encore. Je ne prends pas la peine de lui répondre et me contente de l’embrasser violemment avant de m’allonger sur elle :

-         Drago… On pourrait parler de ce qu’il t’arr…

Je ne lui laisse pas le temps de terminer sa phrase, je ne peux plus entendre parler de « ce qu’il m’arrive » cette nuit, je ne peux plus, j’ai besoin de reprendre le contrôle sur toute cette pression et toutes ces choses affreusement dégradantes que je ressens à l’intérieur de moi.

-         Je peux ?

Elle m’indique qu’elle est consentante en me rendant un baiser, elle sait qu’elle n’aura rien d’autre qu’une baise de ma part ce soir. Je m’empresse de la débarrasser de son pyjama encombrant, prêt à refaire de moi-même un véritable homme, je ne m’épuise pas avec des préliminaires et la pénètre sèchement, rapidement et peut-être même un peu violemment. Elle ne manifeste pas que cet acte lui déplaît, cependant je ne sens pas qu’elle prenne son pied non plus. Aussi tordu que cela puisse sembler, ce n’est pas ce qui m’importe à ce moment-là. J’aime m’assurer que mes partenaires passent un agréable moment en ma compagnie, mais ce soir, c’est moi qui ai besoin, je ne saurais l’expliquer, encore une fois, j’ai juste besoin de me sentir homme à nouveau. Je termine mon affaire rapidement, pose ma tête quelques courtes secondes sur sa poitrine, prend une grande inspiration, puis me relève et me tire. Je me persuade que ça va mieux sans vraiment le savoir.

POV HERMIONE

Je ne parvins pas à dormir pour une bonne partie de la nuit. Je n’en revenais pas de ce que j’avais fait, mais je n’en revenais pas non plus de ce que j’avais vu. Il y avait réellement quelque chose de terrorisant et de profond dans tout ce que j’ai vu ce soir, que ce soit ce qu’il s’est passé dans la tête de Malfoy ou sa réaction par la suite. Je ne pouvais m’empêcher de le ressasser, je sais que c’est le bazar dans sa famille, et que son père n’est pas dans de bons draps, mais ce que j’ai vu cette nuit, ce que j’ai créé et qui a rendu Malfoy si faible et si terrorisé, je ne me l’explique pas. Il semble effectivement logique que Voldemort menace sa famille, mais de quelle mission parlait-il ? Qu’est-ce qu’il se passe dans sa vie qui est aussi terrible que ça, et qui le mette dans cet état ? Bien sûr je ne porte pas Malfoy dans mon cœur, cependant je dois avouer que je crois ressentir une pointe de pitié à son égard maintenant que j’ai assisté à un tel spectacle. Peut-être l’avons-nous jugé trop vite, peut-être est-il vraiment forcé à être cet être immonde et à tenir le genre de discours odieux qu’il nous rabâche à longueur de journées. En fait, je crois que je me sens inquiète pour lui, et pour moi je l’avoue parce qu’après ce que j’ai fais je n’ose même pas imaginer ce qu’il prévoit pour moi. Mais je me sens inquiète parce que ce n’est toujours qu’un adolescent qui me semble bien plus tourmenté que je n’aurais pu l’imaginer. Je voulais en parler à quelqu’un, Harry, Ron ou Ginny, mais je ne vois pas comment leur expliquer déjà ce que je faisais dans sa chambre et ce qu’il m’a pris, parce que je ne me l’explique pas à moi-même, mais en même temps je commençais à ressentir ce besoin d’exprimer ce que je ressentais. Je suis habituée depuis mon entrée à Poudlard à partager mes doutes et peurs avec mes amis, et cette fois j’ai l’impression que je ne peux pas, ce qui semble créer un fossé entre eux et moi, et je n’aime pas ça. C’est pour cette raison que je me décidais à trouver Ginny dans sa chambre avant que les cours ne commencent :

-         Comment tu te sens Ginny ?

-         Pas super bien, j’essaye d’avancer mais c’est compliqué. Je l’aimais vraiment bien tu sais, et je croyais que lui aussi.

-         Je sais… Je suis désolée…

-         Et toi, comment ça va ? La rumeur a ton propos n’a vraiment pas duré longtemps !

-         Non et j’en suis toujours aussi étonnée, mais je ne vais pas me plaindre ! Moi ça va, en fait, je voulais te parler de quelque chose…

-         Je t’écoute.

-         Mais si je t’en parle tu dois me promettre de n’en parler à absolument personne, jamais !

-         Depuis le temps tu sais que tu peux me faire confiance.

-         Je ne sais pas comment le dire… Je… J’ai fais quelque chose à Malfoy, et je crois que je suis allée trop loin et ça m’a fait peur, tu sais pour moi et aussi ce que j’ai vu, et je ne sais pas quoi faire, je me sens idiote et tu sais à quel point je déteste ça ! Et j’ai peur de ce qu’il va me faire maintenant, parce que… Ce n’est vraiment pas rien ce que j’ai fait…

-         Qu’est-ce que tu as fait ?

-         Eh bien… Je suis entrée dans sa chambre cette nuit et…

-         Attends. Tu es entrain de me dire que tu es entrée dans la chambre de Malfoy cette nuit sans y avoir été invitée ?

-         Oui…

-         Continue.

-         J’ai lancé un legilimens, je voulais me venger de… enfin… de pleins de choses ! Et je suis entrée dans sa tête et j’ai juste créer un décor sombre et… Il s’est mit à supplier Voldemort pour sa vie et celle de sa famille et c’était vraiment affreux, il était là sur le sol à pleurer, hurler et supplier comme s’il était torturé alors je suis immédiatement sortie de sa tête, ce qui l’a réveillé et il m’a plaquée contre le mur en m’étranglant et m’a dit de dégager, et c’est tout et je… Ginny… Qu’est-ce que j’ai fait…

J’ose à peine la regarder mais je la connais et je sais qu’elle est actuellement entrain de canaliser ses émotions et réactions pour être une bonne amie à l’écoute et non me hurler dessus que je suis cinglée, ce qu’elle aurait tous les droits de faire aux vues de la situation. Ginny est ainsi, elle prend beaucoup sur elle, prend du recul face aux situations de sorte à être le plus à l’écoute et mieux conseiller ses amis. C’est probablement pour cette raison que c’est vers elle que je me suis tournée.

-         Si j’ai bien compris, tu es allée dans la chambre de Malfoy en pleine nuit pour lui torturer l’esprit, ça a marché et il t’a prise sur le fait, c’est ça ?

-         C’est ça.

-         Et la seule chose qu’il t’a dit c’est de dégager ?

-         Oui.

-         Bon. Il aurait très bien pu te tuer sur le moment et il ne l’a pas fait donc je pense que ta vie n’est pas en danger. Mais ça fait quelques fois que tu l’humilies Hermione et effectivement c’est allé trop loin tu le dis toi-même, je crois qu’il est temps pour toi d’arrêter les petits jeux avec Malfoy parce que l’un de vous va finir dans un sale état et je t’aime mais je ne parierais pas sur toi sur ce coup-là.

-         Je sais, mais je suis assise à côté de lui à chacun de mes cours et il ne me laissera jamais tranquille et je ne peux pas non plus me laisser faire…

-         Hermione, ce ne sont pas des chamailleries d’élèves dont on parle là, on parle de sérieux sortilèges que tu n’as même pas contrôlé par esprit de vengeance, et effectivement il semblerait logique qu’il se venge à son tour, mais si tu recommences derrière c’est un jeu sans fin qui va devenir de plus en plus malsain. Tu as tendance à oublier que c’est un mange-mort, ce n’est pas juste un camarade de classe, et c’est étrange de devoir te dire ça à toi, mais ouvre les yeux Hermione parce que t’es entrain de faire n’importe quoi.

-         Ce n’est pas un mange-mort, pas encore.

-         Arrête la naïveté, tout le monde sait que c’est fait.

-         Son père a déçu Voldemort, ce serait naïf de penser qu’en récompense Malfoy rentre dans le cercle. Il se passe quelque chose d’horrible pour lui Ginny, je l’ai vu, peut-être que…

-         Hermione ! Ce n’est pas notre problème ! A quoi tu es entrain de te frotter la ? On parle de Malfoy ! Peu importe ce que c’est, ce qu’il lui arrive, qu’il soit triste le pauvre petit enfant, peu importe ! C’est un Malfoy ! Il est déjà dans les rangs de Voldemort et si par miracle ce n’est pas encore le cas, il finira par les rejoindre ! Enfin Hermione, sérieusement, c’est de Malfoy dont on parle, reviens sur terre, tant mieux s’il souffre un peu, il était temps !

Je sais qu’elle a en partie raison, le problème c’est que je sens en moi que tout ce qu’elle dit n’est pas vrai. Malfoy est différent cette année, je l’ai remarqué à plusieurs reprises, il semble bien plus torturé, et je suis persuadée qu’il n’a pas encore rejoint les mange-morts, mais je sais aussi qu’effectivement rien de tout cela ne me concerne et je dois arrêter ces jeux idiots avec lui, ça suffit.

On se rend respectivement à nos cours, où je sais que je vais devoir affronter un Malfoy enragé. Je prends donc place, il est déjà là, vêtu et coiffé cette fois. Je m’assieds timidement à ses côtés, gênée et honteuse, en attendant qu’il se défoule sur moi. Trente minutes du cours passèrent, et il ne me dit rien, pas un seul mot, et ne m’adressa pas un regard non plus. Embarrassée, j’exprime malgré moi en chuchotant :

-         Désolée à propos de… Tu sais…

Il me jeta un regard en coin assassin mais ne répondit pas, et ce fut tout ce que je récoltais. Je ne me sentais pas à l’aise, je déteste savoir que j’ai mal fais quelque chose, ou que j’ai fais du mal d’une façon plutôt injustifiée, bref je n’étais pas satisfaite de cette situation ni de ce que je ressentais, et je devais soulager ça, alors je le suivis dans les couloirs après la fin du cours, attendant qu’on s’éloigne un peu du groupe :

-         Malfoy.

Il marchait vite devant moi, mais quand il m’entendit l’appeler il fit un demi-tour net en marchant tout aussi vite vers moi et me plaqua contre un mur dont la luminosité ne permettait pas aux autres élèves de nous apercevoir :

-         Je ne sais pas pour qui tu te prends Granger, je ne sais pas à quoi tu joues ni ce que tu essayes de faire, mais je te préviens que si ça ne s’arrête pas tout de suite, cette fois, je n’hésiterais pas à te tuer.

Il enfonça ses yeux perçants dans les miens quelques secondes après avoir prononcé ces mots. Il n’est donc pas à l’aise avec cette situation visiblement. « Cette fois je n’hésiterais pas à te tuer », alors c’est bien cela qu’il pensait quand il m’étranglait, et il ne l’a pas fait. Je ne saurais expliquer pourquoi et je ne tiens pas à l’analyser, mais cette nuance me semble importante.



J'espère que vous aurez aimé ce chapitre ! Si c'est le cas, où pas, je vous invite à me le faire savoir dans les commentaires ! Merci à Kitsune-aux-amandes de me corriger !

LivStivrig

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