Dramione : le Feu et la Glace

Chapitre 11 : Cette nana est tarée

4086 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 14/06/2019 11:11

Dans le chapitre précédent : Drago fait la rencontre intéressante d’Astoria qui ne manque pas d’éveiller sa curiosité. Il met au point les choses avec Théodore Nott, et réconforte malgré lui Hermione Granger.


POV DRAGO


Plus les jours passent, plus ce stupide bal de noël approche. Je vais devoir inviter une fille étant donné que je ne l’ai pas encore fait. Je sais que je peux inviter n’importe laquelle, elle acceptera, là n’est pas le problème. Ce qui m’ennuie c’est que je n’ai pas envie d’inviter Pansy cette année, et je sais qu’elle va m’en vouloir. Pansy est une fille relativement bien, je n’ai jamais voulu lui faire du mal, du moins pas par principe. Je n’apporte néanmoins aucune importance au fait de lui faire du bien, sauf pendant le coït, mais je ne souhaite pas particulièrement la blesser non plus.


Si je suis tout à fait honnête, j’envisageais d’inviter Astoria Greengrass, cette gamine est surprenante. Nous nous sommes revus quelques fois depuis notre rencontre, elle est une véritable bouffée d’air frais. Je ressens son jeune âge dans certains aspects de sa personnalité, mais elle reste étonnamment mature. Nous nous étions brièvement embrassés une fois, mais ne sommes pas allés plus loin, à mon grand regret. Je sais qu’elle n’est plus vierge, je n’ai pas à me préoccuper de ça. Mais il semble qu’il faille vraiment séduire cette jeune fille pour l’attirer dans son lit. J’y suis presque, je le sais, je le sens quand elle me regarde. Elle fond dès que j’enfonce mon regard dans le sien. Elle en meurt d’envie, et ça tombe bien, parce que c’est également mon cas. Elle m’avait demandé de la retrouver devant les appartements de Slughorn à 16 heures tapantes. Je ne savais pas pour quelle raison, mais je savais au moins une chose, j’avais, en quelque sorte, hâte.


-         Tu as cinq minutes de retard !

-         J’essayais de comprendre pourquoi tu voulais que je te retrouve ici, ça m’a pris un sacré moment.

-         On va voler une bouteille à Slughorn ! Il est en cours à cette heure-ci, j’ai vérifié. Il garde des bouteilles de trucs super fort, c’est un alcoolique.

-         Et qu’est-ce que tu comptes faire avec cette bouteille, petite délinquante ?

-         La boire, idiot !

-         Tu es au courant que j’ai toute une réserve dans ma chambre, plein de « bouteilles de trucs super fort » ?

-         C’est bien plus drôle si on la vole !


C’est aussi simplement qu’elle me convaincu de nous infiltrer chez Slughorn pour lui piquer de l’alcool. Nous sommes allés le boire discrètement dans le parc de l’école, dans un coin isolé, histoire de ne pas être trop dérangés. Nous n’en étions qu’à la moitié de la bouteille, et la petite Greengrass était déjà complétement faite. Elle ne portait plus beaucoup d’attention à sa jupe qui remontait parfois jusqu’à ses hanches, dévoilant un collant appelant à être enlevé. Elle se lovait contre moi, puis se moquait de moi, me faisait espérer un baiser, puis s’en allait gambader dans le parc sans me le céder. Ce côté infantile m’aurait autrefois exacerbé. Je l’aurais trouvée ridicule et je l’aurais crié sur tous les toits. Mais aujourd’hui, dans cette période de ma vie, elle ne pouvait pas mieux tomber. Elle m’empêche de trop réfléchir quand je la vois. Elle ne veut pas que je change, elle ne veut pas me faire parler de ce que je ressens, elle ne demande pas non plus de tendresse ou de mots doux contrairement à Pansy. Elle veut seulement faire n’importe quoi, et en rire. Elle veut que je la charme, et compte bientôt s’abandonner à moi. En bref, elle pourrait bien être exactement ce dont j’ai besoin ces derniers temps.


-         Dis-moi petite Greengrass, quand deviens-tu niaise et tendre ?


Elle laissa un large sourire se dessiner sur son visage à la fois angélique et diabolique, dévoilant sa parfaite dentition. Elle s’approcha de moi, chuchota à ma bouche :


-         Jamais.


Je fixais ses douces lèvres si intensément qu’elles finirent par se mêler aux miennes. Elle était à califourchon sur moi, ondulait légèrement ses hanches au rythme que donnait sa langue à notre baiser.


-         Et si tu me faisais visiter ta chambre maintenant, me chuchota ma proie à l’oreille.


Je ne lui donnai pas l’opportunité d’insister plus, je la traînais par la main à l’autre bout du château en direction de mon lit. Elle n’eu besoin d’aucune aide pour retirer ses vêtements, tout comme je n’en eu aucune utilité non plus. Là encore, je découvrais qu’elle ne réclamait aucune marque de tendresse, au contraire. Une fois nue, elle sauta à mon coup, enroulant ses longues jambes autour de mes hanches. Ses baisers étaient sauvages, ils n’avaient aucun sens et n’en cherchaient pas. Aux vues de son comportement, j’estimais que les murs de ma chambre conviendraient parfaitement à la situation. J’empoignais alors ses cuisses, décidant de les porter à mes épaules. Adossée au mur, elle gémissait au rythme des pulsions de ma langue dans son intimité. Je sentais bientôt ses mains s’emmêler dans mes cheveux, signe du plaisir qu’elle prenait. Une fois que je fus assuré qu’elle avait eu son premier orgasme, je la redescendis à mon niveau. Avant que je ne puisse continuer dans ma lancée, elle prit les rennes, me propulsant sur mon lit. Telle une tigresse, elle avança à quatre pattes vers moi. A son tour, elle me gratifia de ses talents de langue. Cette petite n’en était clairement pas à son coup d’essai. Elle n’était pas une experte non plus, mais en tous cas pour une première avec moi elle s’en sortait royalement bien. C’est à califourchon sur moi que cette frénésie atteint son apothéose, me comblant d’une sensation de bien-être fortement attendue. J’avais finalement eu la petite Greengrass.


Habituellement, je ne suis pas le genre de mec qui apprécie les fellations. J’aime avoir le contrôle sur tout dans ma vie, les gens, les événements, mon destin, les filles et le sexe. Lors d’une fellation, l’homme est obligé de se laisser faire. Il ne contrôle plus rien. La femme peut bien faire ce qu’elle veut de lui, et il en demande encore. Je ne fais pas parti de ces hommes. Je ne fais pas non plus parti de ceux qui vénèrent les filles qui sont au-dessus d’eux lors de la pénétration, pour les mêmes raisons. Mais avec Astoria, c’est différent. Il y a quelque chose à propos de cette fille qui fait que je n’ai pas peur de lui céder le contrôle. En fait, je suis ravi qu’elle le prenne sans même demander. Tout avec elle est si insouciant, irréfléchi, si détaché et frivole que je n’ai plus aucune raison de m’accrocher à cette idée de contrôle. Rien ne compte vraiment, je peux juste lâcher une partie de ce que je retiens, parce qu’elle me donne le parfait exemple. Elle est jeune et vivante, belle et inconsciente, et c’est là exactement le passe-temps dont j’avais besoin.


J’avais retrouvé Blaise dans notre salle commune après le repas, il avait entendu que j’avais été aperçu proche d’Astoria dans le parc plus tôt dans la journée, et comme d’habitude, il souhaitait que je lui rende des comptes.


-         Dis donc tu la vois de plus en plus Astoria.

-         Elle est complétement tarée, ça change les idées.

-         Alors, vous en êtes où ?

-         Disons qu’il n’y a plus rien de nouveau à explorer.

-         Non ? Déjà ?!

-         Je t’avais dit qu’elle ne me résisterait pas longtemps.

-         Comment c’était ?


Par le passé, je n’ai eu aucun problème à raconter à Zabini qui étaient mes conquêtes, et comment l’acte c’était déroulé. Mais étant donné les circonstances, je préférais ne pas me lancer dans les détails croustillants de cette affaire.


-         Sauvage.

-         Sérieusement mec ? Tu ne vas pas me donner les détails ?

-         C’est la sœur de ta nana Zabini, je réponds en affichant une mine de dégoût.

-         Putain, si tu l’épouses et que j’épouse Daphné, on sera beaux-frères.

-         Astoria n’est pas le genre de fille qu’on épouse.

-         Et pourquoi ça ?

-         Ce n’est pas une bonne fille.

-         Depuis quand tu aimes les bonnes filles ?

-         Je n’ai jamais dit que je les aimais. Mais les mauvaises filles ne sont jamais celles qu’on finit par épouser. On s’éclate avec elles, on fait des conneries, on baise comme des malades, on les adore, mais c’est les bonnes filles qu’on épouse. Les mauvaises filles ne font pas bonne figure.

-         Elle a 15 ans. Elle a temps de devenir mature.

-         Je ne suis pas sûr que ce soit son âge. Je pense que c’est sa personnalité. Je te l’ai dit, cette nana est tarée.

-         Alors quoi, tu vas épouser Pansy ?

-         Tu sais que tu es pire que ma mère ? J’en sais rien mec. Je m’en fou, j’en suis pas encore là. Et puis, je ne suis pas non plus le genre de garçon qu’on épouse.

-         Je pourrais te faire une liste de filles qui seraient prêtes à tuer pour se marier avec toi.

-         Je sais. Elles sont toutes tarées.


Je suis bien conscient du nombre de filles qui feraient n’importe quoi pour se marier avec moi, mais étant mon propre personnage, je ne peux que les considérer folles. Bien sûr, je suis un Malfoy. Ma position est sans égale. Enfin, si l’on exclue les derniers événements. Mais justement, sans parler d’amour, je n’ai tout bonnement rien à offrir à une femme. Du moins, rien de ce qu’est censé être le mariage. Mes parents sont totalement amoureux l’un de l’autre, ça crève les yeux et ce depuis des années. Comme je l’ai déjà expliqué, mon père a toujours tout fait pour que nous soyons de la royauté aujourd’hui, et ma mère l’a soutenu dans tout ce qu’il a entreprit. Mais je ne suis pas comme eux. Je les aime. Et je m’aime. Et voilà probablement le résumé des personnes que j’aime réellement sur terre. Je suis premièrement incapable d’aimer une femme comme la littérature nous dicte de le faire, et je n’ai aucune tendresse à offrir. Et puis, la vie des Malfoy n’est pas toute rose et facile. Nous avons autant visité le paradis que les sous-sols des enfers. C’est donc avec honnêteté que je peux assurer que le paradis ne vaut pas toujours une visite aux enfers. J’ai vu mon père sombrer, doucement, douloureusement, ce qui a tué ma mère de l’intérieur par la même occasion. Je ne souhaite ça à aucune femme, peu importe que je l’aime ou non. Finalement, je me demande si faire partie de la famille Malfoy n’est pas une malédiction. Bien sûr, j’affiche au grand jour à quel point j’en suis fier, et à quel point je suis au-dessus des autres, ce qui est évidemment le cas. Cependant, être au creux de l’action est différent. Il ne s’agit plus que de la façade. J’ai fait et vu des choses pas jolies. Je ne les regrette pas. Je ne suis pas en train de dire que ce que fait ma famille est mal, au contraire. Ce que je dis, c’est que ce qu’on fait n’entraîne pas que des bonnes choses. Ainsi je ne comprends pas qu’une femme qui ne vit pas ces choses-là souhaite entrer dans cette boucle infernale.


Le jour suivant, j’allais dîner lorsque j’heurtais, pour une fois sans l’avoir fait exprès, une affreuse tête rousse.


-         Tu pourrais pas faire attention à où tu marches ?


Ginny Weasley, tout aussi moche et sale que ses frères.


-         Tu devrais peut-être regarder autre chose que ton nombril Malfoy, c’est toi qui m’as foncé dedans.


Il semblerait que la fille Weasmoche ai plus de répartie que les autres énergumènes qui partagent son sang. Elle était accompagnée de Luna Lovegood ainsi que de ma camarade de classe, Granger.


-         C’est bon Ginny, on y va, temporise Granger.

-         Tu ferais bien d’écouter Granger, je ne voudrais pas blesser ta sensibilité. Tu me diras, Dean s’en est déjà chargé.

-         Chacun ses problèmes je suppose, moi je prie pour que le prochain ne soit pas un enfoiré, pendant que d’autres « bouhouhouh pitié Seigneur, pitié ne me tuez pas ! Je suis votre chose, pitié !»


Mon regard croisa machinalement celui de Granger. Je n’en crois pas mes oreilles. Putain. Mon estomac se serra pendant que Granger tenta de m’attendrir avec des yeux remplis de regrets. Quelle petite pute. Ma dignité. Voilà la seule chose à laquelle je m’efforçais de penser devant cette greluche de Weasley.


-         Le pouvoir de l’esprit, n’est-ce pas ? La différence ici Weasley, c’est qu’on a créé un monde, et des émotions irréelles qui ne m’appartenaient pas. Toi, en revanche, tu t’es réellement faite tronchée, puis jetée telle une pauvre merde par Dean Thomas. Bouh, ça doit faire mal. La prochaine fois, je prierais pour toi aussi.


Rassemblant le peu de fierté qu’il me restait, je m’en allais maintenant, de nouveau en direction de ma chambre. J’étais fou de rage. Sans pouvoir me l’expliquer, je pensais réellement que je pouvais en quelque sorte croire en la parole de Granger. Elle m’avait dit qu’elle n’en avait pas parlé. Elle a menti. Elle n’était soi-disant pas à l’aise avec ce qu’elle avait fait, elle était censée emporter ce secret dans sa tombe. Voilà que sa potiche d’amie me le jette à la figure à la première occasion. Je ne peux pas y croire. Je pensais que je pouvais lui faire confiance. Oui, je sais, n’importe quoi. Je m’en fou. Je ne comprends pas. Je lui faisais confiance ? Je n’en sais rien, je suis fou de rage !


-         Malfoy !


Ah ! La voilà la salope ! Prête à demander pardon, encore une fois, pour la énième fois, parce que de toute façon c’est la seule chose qu’elle sait faire. Elle croit qu’elle peut tout se permettre du moment qu’elle s’excuse ensuite. Mais bien sûr Granger ! Bousille ma vie et mon esprit par la même occasion, je t’en prie ! De toute façon il te suffira de me sortir les yeux doux et de dire « je suis désolée Malfoy » !


POV HERMIONE


Mon souffle se fut court lorsque j’entendis Ginny prononcer ces mots. Elle avait osé, elle a utilisé ce que je lui ai raconté de plus honteux à mon sujet pour l’utiliser contre Malfoy. Je me sens mal, honteuse, apeurée, désolée, énervée.


-         Je vois que je peux compter sur ta discrétion Ginny !


Je m’empressais alors de rattraper Malfoy. Je ne sais pas vraiment pourquoi d’ailleurs, mais cette situation était tout simplement mauvaise. Elle n’était pas normale. Ginny n’aurait jamais dû dire ça. Je ne peux pas croire qu’elle m’ait fait ça. Je dois m’excuser, encore une fois. Je ne veux pas qu’il croit que toute l’école est au courant, ce n’est pas le cas. Je ne veux pas qu’il se sente… Je ne sais pas. En tous cas, je ne veux pas.


-         Malfoy !


Il marche toujours bien plus rapidement que moi, et es bien loin devant moi. J’accélère la course pour le rattraper. Il m’a l’air hors de lui, je ne le supporte pas. Il a été si étonnamment bon envers moi ces derniers temps, je ne peux pas supporter de le blesser. Pas moi. Je ne peux pas.


-         Malfoy !


J’arrive finalement à son niveau. Je lui agrippe malgré moi le bras, le forçant à me faire face. Dans le couloir plongé dans la nuit noire de ce froid mois de décembre, il me plaque violemment contre le mur, me coinçant entre ses deux bras, le regard empli de rage. J’ai déjà vu ce regard, dans sa chambre. Je vois là la même colère, ainsi que la même incompréhension. Mon souffle se fait court, j’ai peur et je suis triste, mais je rassemble ce qu’il me reste de courage pour formuler :


-         Je suis…

-         … Désolée ? Tu es désolée Granger ? C’est ça ?

-         Elle n’était pas censée…

-         … M’humilier en public ? Me dire qu’elle était au courant parce que tu n’as pas su garder ta grande gueule fermée ?

-         Malfoy je…

-         … Regrette ce qu’il s’est passé ?

-         Laisse-moi parler ! Oui ! Je suis désolée ! Je devais en parler à quelqu’un après ce que je t’ai fait ! Elle est la seule à qui j’en ai parlé, et jamais je n’aurais pensé qu’elle l’utiliserait contre toi. Je ne voulais pas te…


Je marquai là une pause qui ne lui échappa pas.


-         Me quoi Granger ?

-         Je ne sais pas. Tu as l’air blessé.


Il décolla ses bras du mur, regarda l’espace d’une demie seconde le sol et enchaîna :


-         J’ai été stupide. Ce n’est pas de ta faute, c’est la mienne. L’espace d’un instant, j’ai cru pouvoir te faire confiance. Il faut croire que tu peux être bien plus manipulatrice que tu veux bien le faire croire.


Ses mots étaient aussi tranchants qu’une lame de couteau. Sa voix était changée. Il ne s’agissait pas là de la voix dont j’avais l’habitude lorsqu’il se moquait de moi ou m’insultait autrefois. Il ne s’agissait pas non plus de la voix qu’il prenait lorsqu’il me réconfortait, ni même de celle que j’ai pu entendre dans sa chambre quand il me sommait de ficher le camp. Cette voix était pleine de colère, de déception, elle était froide et tranchante. Je n’aimais pas cette voix. En fait, je la détestais. Je regardais alors son visage. Ses sourcils froncés appuyaient d’avantage son énervement et ses yeux me semblaient plus froids que la glace. Ses lèvres étaient fermement closes, comme s’il se retenait de dire d’autres méchancetés. Ses lèvres. Voilà tout ce que je pensais à cet instant. Ses lèvres. Dans une pulsion démunie de toute raison, j’agrippais son visage, le tirant vers le mien pour y déposer un baiser appuyé. Il ne détendit pas ses lèvres, elles me semblaient tout aussi fermées. Pourtant, elles étaient douces. Fermes, mais douces. Pas si désagréables, en somme. Je décollais néanmoins mes lèvres des siennes en revenant à moi-même, prenant conscience de ce que je venais de faire. Je lâchais son visage, passais une main sur mon front comme pour reprendre mes esprits, puis dans mes cheveux. J’affrontais alors son regard. Ses sourcils étaient toujours froncés, mais ses lèvres étaient maintenant entre-ouvertes, probablement à cause du choc que mon baiser entraînait. Oh Merlin, qu’est-ce que je venais de faire ? Je pris une grande inspiration, comme si j’allais dire quelque chose de censé qui règlerait toute cette situation plus que gênante en un clin d’œil, mais rien ne sortit. Ses yeux glacés descendirent jusqu’à ma bouche, qu’il observa un instant, avant de s’en aller sans dire un mot. Moi, je restais là, plaquée contre le mur, à me demander ce qu’il m’était passé par la tête. Qu’est-ce que j’avais fait ? 



Si ce chapitre vous a plu, ou au contraire que vous êtes déçus, je vous invite à venir en discuter dans les commentaires ! Je répondrais avec grand plaisir. Merci à ma prélectrice Kitsune-aux-amandes, bon week-end à vous ! LivStivrig


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