Il n'est pas encore mort

Chapitre 7 : Cette tomate vient d'être éjecter !

5654 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 12/11/2019 12:55


  Enfin de compte, Albus Dumbledore décida que son rôle de directeur de Poudlard revêtait un importance primordial, même s'il avait l'impression que cette position lui serait bientôt arrachée - du moins, c'était ce qu'il en déduisit à partir des regards que Amelia Bones lui lança. Arthur Aldridge, un homme d'âge moyen très strict à été nommé nouveau Enchanteur-en-chef, et une dame enjoué Mme G. Crump, à été nommé Manitou Suprême (la première femme à détenir ce titre).


  Albus Dumbledore se retrouva bientôt dans son bureau à Poudlard, perplexe sur la tournure que prenait les événements, il s'était aussi fait engueuler par trois de ses quatre chefs de maison à propos des articles récemment sortit à son sujet. Rogue était... Rogue, faisait simplement des commentaires sarcastiques sur l'arrogance de Harry Potter.


  Dernièrement, Minerva McGonagall avait commencé à remettre en question sa loyauté envers le grand Albus Dumbledore et ces décisions, elle avait compris que suivre aveuglément Albus avait presque fait tuer certains de ses étudiants.


  La pierre ne peut pas être volée Minerva, récita McGonagall dans son esprit. Si quelqu'un le mentionne, ignorez-le, elle secoua la tête. Cette homme stupide et fou... Elle se tourna vers la bouteille de Scotch sur son bureau. J'ai laissé tomber mes étudiants pour la dernière fois. Cette année, je vais garder les yeux et les oreilles ouverts.


  Pendant ce temps, dans Gringotts le directeur Ragnok rencontrait sa secrétaire, Sharptooth.


- Mr Dumbledore a-t-il rendu l'héritage de la famille Potter et l'argent volé ? demanda Ragnok.


- Mr Dumbledore à déclaré qu'il n'était pas actuellement en position de restituer les fonds empruntés, répondit Sharptooth avec mépris. Il insiste également sur le fait qu'il n'a pas l'héritage.


  Ragnok sera les dents.


- S'il y a une chose que je déteste autant qu'un voleur, c'est un menteur, grogna-t-il.


- Nous allons donc procéder à un déménagement, monsieur ?


- Pas encore, mais bientôt. Nous prendrons position quand le vieil imbécile ne si attendra pas, Ragnok resta silencieux une minute. Il est impératif de récupérer l'héritage ses Potter. Parmi eux se trouvait le grimoire de la famille de M. Potter. Heureusement que ce livre ne peut s'ouvrir que pour un Potter, sinon le vieil imbécile aurait accès à une magie, qui entre de mauvaises mains, pourrait détruire le monde tel que nous le connaissons.


  Les deux gobelins frissonnèrent.


- En ce qui concerne l'argent, continua Ragnok. Informez Mr Dumbledore que s'il refuse de payer, nous saisiront simplement son coffre-fort et tout son contenu.


- Et Molly Weasley ? répondit Sharptooth. Elle a illégalement reçu de l'argent du coffre-fort de Mr Potter par l'intermédiaire de Albus Dumbledore.


- Mr Potter m'a informé qu'il souhaitait traiter avec les Weasley celons ses propres termes, il eu une autre pose.


- Jusqu'à quand devrions-nous attendre que Mr Potter assume son rôle de Lord Potter ? En plus de ces autres titres.


- Mr Potter m'a informé de cela aussi. Il a dit qu'il aimerait terminer cette année avant d'assumer son rôle de Lord. Il a dit qu'il souhaitait passer une dernière année normale. Je pense que nous pouvons respecter cela, n'est-ce pas ?


- Bien sûr, monsieur, Sharptooth se retourna pour partir, puis s'arrêta. Monsieur ? Croyez-vous vraiment que Mr Potter est celui mentionné dans les textes anciens ? Celui destiné à apporter la paix dans la Grande-Bretagne magique ?


- S'il y a un élu, ce sera surement le jeune Mr Potter.




  La réponse d'Hermione à la lettre de Harry arriva peu de temps après.




Cher Harry,


Et bien, tu semble avoir été occupé. Je suis heureux que tu es put retrouver votre parrain, Harry. 


Tu avez raison au fait ! Ta capacité à prédire mes réactions mon surprise mais ne croit pas que j'ai oublier que tu a fait gonfler ta tante).


Mon été fut formidable ! Mes parents et moi venons de passer une semaine à Paris, nous revenons en Angleterre dans quelques jours, je me ferai un plaisir de te raconter mon séjour.


Harry James Potter, ne pense pas que tu est un mauvais ami. Tu es le premier ami que j'ai jamais eu et je suis honoré que tu me considère comme ta meilleure amie. Bien que j'ai toujours pensé que Ron était ton meilleur ami.


Je suis ravi que tu es décidé de faire plus d'effort dans tes études, tu est une personne très intelligente et je suis sur que tu n'a pas encore révéler ton plein potentiel. J'aimerais aussi parlé de votre offre de livre, mais je ne les prendrait pas pour pardonner quelque chose c'est simplement parce que j'aime les livres.

Alors tu veux en savoir un peux plus sur moi ? Bien...




  La lettre d'Hermione parla dans un assortiment de détails sur elle-même, comme sa couleur ou ses aliments préférés. Elle n'a pas trop révélé sa vie personnelle et ses expériences d'enfance, car elle hésitait encore à en parler.


  Environ une semaine après le procès de Sirius, Hermione et Ron abordèrent Harry devant Florian Fortarôme. Harry dut combattre l'envie soudaine d'attaquer Ron. Contrairement à ce qui s'est passé la dernière fois, quand Harry vit Hermione, il l'a serra dans ses bras pour la prendre légèrement au dépourvu.


- C'est bon de te voir, dit-il.


- Tu m'as manqué aussi, dit Hermione. Mais ne pense pas que j'ai oublier à propos de ta tante.


- Mais Hermione...


  Hermione roula des yeux et sourit. Ron décida alors de s'engager.


- Je n'aimerais pas voir ce que le ministère me ferait si je faisait gonfler ma tante, déclara Ron. Bien sûr, ils devraient d'abord me déterrer, parce que ma mère m'aurait déjà tué. Enfin bref Harry, Ron passa son bras autour de l'épaule de Harry. Nous restons tous au Chaudron Baveur, Hermione est là aussi, alors tu peux venir avec nous à King's Cross demain.


- Oh, euh, répondit Harry en essayant de repousser ses envies de meurtres. J'aurais bien aimée Ron, mais j'ai déjà d'autre plans.


- Quoi ? dit Ron d'une voix choqué.


- Et bien, tu sais mon parrain, Sirius Black vient d'être acquitté et il a promis de m'emmener là-bas demain.


- Ah oui, dit Ron. J'ai entendu parler de Black. Je ne peut pas croire que ce crétins à réussi à sortir d'Azkaban. Je parie que c'est Malefoy qui a corrompu tout le monde.


  Harry senti la colère monter. Son envie de frapper Ron au visage grandissais de minutes en minutes.


- Honnêtement Ronald, répliqua Hermione. Tu n'a pas lu le journal ? Black à été jugé sous Veritaserum et il a été prouvé qu'il était innocent. De plus, Harry vient de dire que Sirius Black est son parrain. Et Harry m'a déjà assuré qu'il croyait en son innocence.


  Ron murmura alors quelque chose à propos d'Hermione comme étant mentale quelque chose.


- En plus Ron, ajouta Harry avec une note d'irritation dans la voix. J'étais moi-même au procès. J'ai tout vu.


  Ron roula des yeux et eut une étrange expressions sur son visage, comme s'il essayait d'expliquer quelque chose de simple à un enfant très stupide. Le désir de Harry de frapper Ron ne faisait que grandir de minute en minute.


  La conversation de la dernière chronologie se passa comme d'habitude, mais avec quelque différence. Hermione était très heureuse que Harry ait décidé de prendre Arithmancie et Ancienne Runes, mais Ron se plaignit très fort que Harry n'allait pas être avec lui en Divination.


- J'ai juste senti que la Divination était un peu ennuyeux. Après tout, il me semble que quelqu'un a dit un jour que la Divination était une branche très nébuleuse de la magie.


  Hermione donna à Harry un coup de coude.


  La conversation a ensuite tourna vers l'intérêt d'Hermione d'acheter un animal de compagnie. Harry dut une fois de plus se retenir pour ne pas s'emparer de Pettigrow - qui semblait encore plus pâle et plus mince que dans la dernière chronologie, probablement parce que Sirius était un homme libre et qu'il avait informé les Aurors de son statut d'Animagus - mais Harry avait un plan et Sirius savait où être quand ils agiraient. Après être allés à la Ménagerie Magique, où Hermione acheta Pattenrond, tout les trois ces dirigèrent vers le Chaudron Baveur.


- Vous avez acheté ce monstre ? dit Ron d'un ton dégoûté.


- Il est magnifique, n'est-ce pas ? répondit Hermione.


- Hermione, cette chose m'a presque scalpé ! dit Ron.


- Il ne le voulait pas pas, n'est-ce pas Pattenrond ? dit Hermione.


  Harry commença à comprendre que Pattenrond savaient peut-être que Crôutard n'était pas la seul personne à qui ne pas faire confiance. D'après ses souvenirs, le chat n'a jamais vraiment aimé Ron.


- Et Crôutard dans tout ça ? dit Ron en montrant la boule dans sa poche. Il a besoin de repos et de détente ! Comment va-t-il se reposer avec cette chose ?


- Cela me rappelle, tu a oublié ton tonique pour rat, dit Hermione en plaçant la petite bouteille rouge dans la main de Ron. Et arrête de t'inquiéter. Pattenrond dormira dans le dortoir des filles et Crôutard dans celui des garçons, quel est le problème ? Pauvre Pattenrond, cette sorcière à dit qu'il était là depuis des lustres, personne n'en voulait.


- Je me demande pourquoi, dit Ron d'un ton sarcastique.


- Ron, inutile d'être impoli, dit Harry. Autant que je sache, les décisions d'Hermione ont tendance à être bonnes. A l'exception de croire les stupides livres de Lockhart.


- Merci, Harry, dit Hermione.


  Harry regarda Hermione dans les yeux pendant un moment et il vit que ces mots avaient vraiment compté pour elle. Ron de son côté, avait l'air furieux. Pour la première fois dans leur amitié, Harry avait pris le parti d'Hermione plutôt que le sien.


  Il entrèrent dans le Chaudron Baveur, et Harry fut immédiatement accueilli par les autres Weasley.


- Harry, quel plaisir de te voir, dit Percy Weasley de manière pompeux.


- Bonjour Percy, répondit poliment Harry en serrant sa main. Au fait, félicitations pour avoir été nommé Préfet en Chef.


- Merci, Harry.


- Harry ! s'exclama Fred en écartant Percy. C'est tout simplement magnifique de te voir, mon vieux...


- C'est merveilleux, ajouta George. Absolument épatant...


- Ça suffit ! s'exclama Mme Weasley.


- Maman ! dit Fred. C'est vraiment reversant de te voir...


- J'ai dit, ça suffit, déclara Mme Weasley. Bonjour, Harry chérie, je suppose que tu a entendu la nouvelle ? elle désigna un insigne en or que le torse de Percy. Le deuxième Préfet en Chef de la famille ! dit-elle d'un ton gonflé d'orgueil.


- Et le dernier, murmura Fred.


- Je n'en doute pas, dit Mme Weasley en fronçant les sourcils. Je remarque qu'aucun de vous n'a été nommé préfet.


- Pourquoi voudrons nous être préfet ? dit George comme si cette idée le révolter. On ne pourrait plus s'amuser.


- Tu sais mon père était Préfet en Chef, dit Harry. Et d'après ce que j'ai entendu dire, il savait toujours comment s'amuser.


- Vraiment ? dit Fred.


- Ouai, lui et ces trois amis étaient des farceurs notoires, et l'un d'eux était un préfet.


- Tu rigole ? dit George.


- Ils avaient même un nom pour leur groupe... Qu'est-ce que c'était déjà ? Oh oui., les Maraudeurs.


  Fred et George échangèrent un regard.


- Ils se sont même donné des surnoms, continua Harry. Je me souvient que mon père s'appelait Cornedrue.


  Fred et George commencèrent alors à s'incliner devant Harry.


- Nous ne sommes pas dignes, ô grand fils de Cornedrue, ont- ils déclaré. Héritiers des Maraudeurs, organisateur de mauvais coup, nos grand mentors.


  Les gens échangèrent des regards confus à ce moment-là.


- Vous savez, murmura Harry au jumeaux. Je pourrais peut-être m'arranger pour que vous arranger une rencontre avec Patmol et Lunard.


- Tu pourrais faire ça...


- Pour nous Harry ?


- Bien sûr vous êtes mes amis.


  Harry savait que Fred et George vendraient probablement leurs âmes pour avoir la chance de rencontrer au moins un des Maraudeurs. Il était naturel que la Carte du Maraudeurs se retrouveraient rapidement entre les mains de Harry.


  Le dîners fut très agréable, tout comme la dernière foi. Sauf que cette fois la Harry remarqua quelque chose lorsque Mme Weasley le fit asseoir à côtés de Ginny et Hermione à côtés de Ron.


  Ce vieux jeux ne pourrait pas être plus évident ? pensa Harry avec mépris.


- Alors Harry, dit Arthur. Comment s'est passé ton été jusqu'à présent ?


- Ça a été beaucoup mieux après que j'ai quitté les Dursley, répondit-il. J'ai décidé de régler certains problèmes de ma vie et j'ai réussi à obtenir une représentation juridique et cabinet d'avocats magique de Bayly, Black et Prewett.


- Oh, Harry chérie, dit Mme Weasley. Je ne vois pas pourquoi un garçon de ton âge devrait s'impliquer dans les affaires juridiques.


- Et bien, Josiah Prewett à été très utile dans mes affaires financières, Mme Weasley, Harry remarqua que Mme Weasley avait fait un rictus à la mention de son cousin Cracmol.


- Et maman, ajouta Fred. Josiah Prewett, ce n'est pas ton cousin ?


- Et bien oui, admit-elle à contrecœur. Mais nous ne nous parlons plus beaucoup. C'est un homme très amer, qui était jaloux car ses parents et lui-même étaient des Cracmol.


- Mr Prewett ne pas semblé très amer Mme Weasley, dit Harry. Il est parfaitement heureux de travailler comme comptable au cabinet. Il m'a également présenté à son fils, Elijha qui a montré un potentiel magique, et il recevra sans doute une lettre de Poudlard dans quelques années.


- Et peut-être pourrions nous le rencontrer, suggéra George.


- Ce serait une bonne occasion de connaître le monde juridique et aussi de connaître mieux notre famille, ajouta Percy.


- Les garçons, dit anxieusement Mme Weasley. Ne vous faites pas de faux espoirs. Josiah et moi n'avons pas parlé depuis des années et je doute que cela change.


  Les garçons semblaient plutôt déçus, mais Harry murmura à George qu'il verrait ce qu'il pourrait faire pour leur organiser une rencontre. Alors que le dîner avançait, Harry ne put s'empêcher de remarquer le regard subtil que Mme Weasley continuait de tirer sur lui et Ginny, cela commençait vraiment à lui taper sur les nerfs. Harry espérait vraiment que Sirius se dépêcherait.


  Bien sûr, Sirius apparut alors dans la cage d'escalier et remarqua immédiatement Pettigrow à la table.


- Le voilà ! cria Sirius en pointant le rat.


  Peter, réalisant qu'il était découvert, il s'échappa de la main de Ron et commença à filer aussi vite qu'il le put.


- Arrêtez-le ! Ne le laissez pas s'échapper !


  Ils s'avéra que la décision d'Hermione d'acheter Pattenrond fut une bonne décision. Le chat mi-roux se lança à la poursuite du rat et l'attrapa par la queue juste avant qu'il ne puisse s'échapper par un trou dans le mur.


  Pendant tout ce temps, Ron avait crié avec véhémence, pour savoir pourquoi un homme fou essayait de tuer Crôutard. Pattenrond amena le rongeur qui se débattait à Sirius, il exécuta alors le sortilège qui oblige l'Animagi à se dévoiler. A ce moment là un petit homme chauve venait d'apparaître devant le patron du Chaudron Baveur.


- C'est qui putain ?! cria Arthur réalisant soudain que cette homme avait vécu dans sa maison depuis treize ans.


- C'est un petit idiot, un traître au visage de rat, répondit Sirius. Aussi connue sous le nom de Peter Pettigrow.


- Que quelqu'un appelle les Aurors ! cria Molly.


  Environ dix minutes plus tard, Peter était emmené dans une cellule de détention du ministère. Une fois que tout le monde se fut calmé, Harry se tourna vers les Weasley et dit :

- Au fait, c'est mon parrain Sirius Black, également connu sous le nom de Patmol.


  Le lendemain matin, tout le monde s'est rendu à King's Cross. Sirius avait décidé d'emmener Harry à la gare lui-même. Harry fut reconnaissant, car les Weasley était connue pour leur incapacité à arriver à temps. Harry avait invité Hermione à venir avec lui et Sirius afin d'éviter d'être en retard, quelque chose qu'elle accepta facilement.


  À la gare, Harry se dirigea vers le compartiment où Remus Lupin était. Harry avait réfléchi à sa relation avec Remus dans l'ancienne chronologie, cela l'avais amener à poser un certains nombres de questions. Cependant aujourd'hui il en avait d'autre. Il voulait savoir pourquoi Remus n'avait pas essayé de le chercher s'il était censé être un si bon ami de ses parents. Remus cependant répondit à ces questions avant même qu'il ai eu le temps de les poser.


  Naturellement, Remus était plutôt ému lors de ses retrouvailles avec Sirius. Il s'est abondamment excuser pour avoir toujours cru qu'il avait trahi James et Lily. Sirius répondit en s'excusant, qu'il aurait agis exactement de la même façon.


- Harry, dit Sirius. C'est Remus Lupin, un vieil ami à moi et tes parents.


- Enchanté Mr Lupin, dit Harry.


- C'est un plaisir de te revoir enfin Harry, dit Remus avec une expression plutôt triste et coupable. Je voudrais m'excuser auprès de toi aussi, il soupira légèrement. Je m'excuse de n'avoir jamais essayer de vous trouver il y a des années. Vos parents étaient deux de mes meilleurs amis et pourtant j'ai laissé tomber leur fils unique, Remus fit une pause. Une fois que j'ai entendu parler de la morts de vos parents, je m'était adresser au professeur Dumbledore pour lui poser des questions. Il m'avait dit que vous étiez en sécurité et qu'il vous avez placé dans une famille décente, les yeux de Remus s'assombrirent. J'ai insisté que en tant qu'ami de vos parents, je devais être celui qui devait vous élevez. Mais Dumbledore a déclaré que ce n'était pas ce que James et Lily avaient déclaré dans leur testament. Peu de temps après, un projet de loi à été adopté par le Magenmagot qui a rendu impossible pour...


  Il s'interrompit.


- Après cela je suis aller voir Dumbledore et j'ai demandé de savoir où vous habiter. Je voulais au moins pouvoir voir si vous alliez bien, Remus eu un rire amer. Le vieil homme m'a dit que c'était inutile. Il a ensuite évoqué subtilement le fait que je lui devait beaucoup de choses, alors j'ai abandonné la question. J'ai essayé pendant plusieurs années de savoir où vous habitiez. Tout ce que j'ai réussi à savoir c'est que vous vivez avec des Moldus. Si j'avais su... il s'éloigna un instant puis secoua tristement la tête. Je t'ai envoyer de nombreuse lettres, mais le hibou est toujours revenu presque immédiatement après. Une fois que j'ai lu cet article dans Le Chicaneur, en ce qui concerne les barrières anti-courrier, j'ai su que cela devait en être la raison, il regarda ensuite Harry droit dans les yeux. Je suis vraiment désolé Harry. Pense-tu pouvoir me pardonner ?


  Harry donna à Remus un sourire chaleureux.


- Je pense que je le peux, Lunard, dit Harry.


  Voyant qu'il n'était plus nécessaire que les Détraqueurs traînent autour de l'école, l'incident dans le train ne s'est jamais produit. Fred et George ont également rencontré un autre de leur héros et ont passé autant de temps que possible avec lui, comme il l'avait fait avec Sirius la nuit précédente. Alors que le train se mettait en marche, Harry décida de se lever et d'aller chercher Luna et lui demander de les rejoindre.


- Où va-tu, Harry ? demanda Ron.


- Je vais chercher quelqu'un que j'ai rencontré au Chemin de Traverse, répondit-il.


  Ron lui lança un regard curieux qu'il ignora. Harry ne mit pas longtemps à trouver Luna, elle était assise toute seule et lisait une copie du Chicaneur à l'envers. Harry ouvrit la porte du compartiments et entra.


- Et Luna, dit-il. Comment vas-tu ?


- Oh, bonjour Harry, répondit-elle rêveusement. Je vais bien.


- Pourquoi es-tu assise toute seule ?


- Oh, ce n'est pas un problème, c'est juste que peu de gens veulent rester avec moi.


- Et bien, si tu veux, tu es la bienvenue dans mon compartiment avec mes autres amis.


- D'accord, elle semblait plus gaie qu'auparavant. Est-ce vrai que tu es ami avec Ronald Weasley ?


- Euh oui, en quelque sorte.


- Tu devrais faire attention, il a autour de lui pleins de Joncheruine.


- J'ai remarqué.


- Ronald et Ginerva ont tout les deux des Joncheruine depuis longtemps.


- Oh, tu connais déjà Ron et Ginny ?


- Oui je vis juste de l'autre côté de la colline. Ronald m'a surnommé Looney Lovegood quand nous étions petits.


- Ce n'est pas très gentil. Ne t'inquiète pas Luna, je lui dirais de ne pas t'appeler comme ça.


- Merci, Harry.


  À l'insu de Harry, la jeune fille blonde commença à rougir lorsqu'il fit cette promesse. Personne d'autre que son père ne l'avait défendue auparavant.


  Harry la conduisit au compartiment. Fred et George étaient partis depuis, et le compartiment ne contenait plus que Ron, Hermione et Lupin. Quand Ron vit Luna, il eu un mouvement de recul.


- Harry, dit Ron avec l'intention de se faire entendre. Que fais-tu avec Looney Lovegood ?


- Elle s'appelle Luna, et elle est mon amie Ron, souffla Harry. Ne t'avise pas de te moquer d'elle.

  Après un moment, Remus s'excusa et partit voir le machiniste.


  Hermione décida de faire en sorte que Luna se sente la bienvenue, malgré la personnalité excentrique de la jeune fille. Ron quand à lui avait une attitude qui indiquait clairement qu'il ne voulait pas d'elle. Au bout d'un moment, Neville vint à leur compartiment et Harry l'accueilli avec joie.


- Oh, Harry, dit Neville. Je te dois vraiment un grand merci de m'avoir parlé du truc avec les baguettes. Lorsque j'ai expliqué à ma grand-mère ce que tu m'a dit sur la façon dont la baguette choisit le sorcier. Elle m'a donc emmener chez Ollivander pour vérifier, et maintenant... il leva fièrement sa nouvelle baguette. Bois de cerisier avec du crins de licorne.


- Si ma question ne te dérange pas, pourquoi tu n'avais pas ta propre baguette Neville ? demanda Hermione.


  Neville rougit un peu.


- J'ai utilisé la baguette magique de mon père. Grand-mère m'a fait en faire usage ces deux dernières années parce qu'elle pensait que si j'étais aussi doué que mon père je pourrais m'en servir.


- Pourquoi utilisais-tu la baguette de ton père, n'en a-t-il pas besoin ? demanda Ron sans tact.


- Ron, interrompit Harry en donnant un léger coup sur la tête. C'est une question personnelle et il ne pourrait pas avoir envie d'y répondre.


- Bon sang, Harry quand es-tu devenu Hermione ?


  Neville lança un regard reconnaissant à Harry.


- Félicitations Neville, dit Harry. Le fait que tu puisse faire de la magie avec une baguette qui n'est pas la tienne est un bon signe, tu est probablement un puissant sorcier.

- Merci, Harry.


  Quelques minutes plus tard, ils furent interrompus par trois invités indésirable.


- Regarder qui est la, dit Malefoy. Potter et son poteau. J'ai entendu dire que ton père avait enfin réussi à mettre de la main sur de l'or cet été Weasley, ta mère n'est pas morte sous le choc ?


- Malefoy, t'es blagues deviennes de plus en plus enfantines chaque années, dit Harry sans même daigner le regardé.


- Tais-toi, Potter, tu pense que tu as de la chance parce que Black ne veut pas te tuer ?


- Non, mais j'ai de la chance car Sirius est mon parrain et le chef officiel de la Maison Black dont votre mère est membre. S'il le souhaitait, mon parrain pourrait faire dissoudre le mariage de vos parents, et vous expulser vous et votre mère hors de la famille Black. Qu'est-ce que cela signifierait donc pour toi, Malefoy ?


  Drago avait l'air, si possible, plus pâle que d'habitude. Si Black faisait ce que suggérait Potter, alors Drago serait un bâtard sans nom. Cependant, Drago n'était pas connu pour son cerveau et décida de sortir sa baguette pour menacer Harry. Malheureusement pour Drago, Harry avait appris une chose ou deux. Dans craquement soudain et un éclair de lumière, Drago fut remplacé par un furet blanc.


  Il y eut un silence assourdissant avant que des éclats de rire ne remplissent tout le compartiment.


- Harry, dit Hermione sur un ton exigeant. C'était très irresponsables et... comment appris à faire cela ?


- Je te le dirais plus tard, dit-il avec un haussement d'épaule. Il se pencha ensuite vert le furet qui se débattait frénétiquement et l'attrapa. Alors, Malefoy, as-tu appris ta leçon ? Le furet hocha la tête avec frénésie. Très bien, dans ce qu'a...


  D'un geste de sa baguette, Harry ramena Malefoy à son état d'origine.


  Malefoy et ses sbires s'en s'en allèrent le plus vite possible.


- C'était génial Harry ! s'exclama Ron.


- Je dois admettre que, ajouta Hermione, c'était un acte de magie très impressionnant, comment as-tu fait Harry ?


- J'ai fait un peu de pratique cette été.


- Mais... nous ne somme pas autorisé à faire de la magie en dehors de l'école.


- C'est ce qui veulent vous pensiez. Vous voyez, nous avons quelque chose qui s'appelle la trace, cela rapporte toute nos utilisation magique au ministère jusqu'à nos 17 ans. Cependant, la trace ne montre que le lieux et le sort utiliser, mais pas qui a utilisé la magie. C'est d'ailleurs à cause de ça que j'ai eu des ennuis l'été dernier lorsque Dobby à utilisé de la magie chez les Dursley.


  A présent tout le monde écoutait attentivement, même Luna, même si elle ne regarder pas.


- Alors, tu dis que nous pouvons utiliser la magie dans un endroit où il y a d'autres sorciers ? Et nous n'aurons pas de problèmes ? demanda Hermione.


- Exactement, vous pouvez même en pratiquer chez les Moldu à condition d'avoir de bonne protection.


  Hermione avait les yeux écarquillés et brillant, Harry savait qu'elle suppliait en silence pour savoir comment mettre en place ses protections. Harry poussa un soupir.


- Oui Hermione, je vais contacter les personnes qui peuvent protéger ta maison.


  Sans prévenir, Hermione se jeta sur Harry et le serra dans ses bras.


- Merci, merci, merci ! Je pourrais enfin montrer à mes parents ce que j'ai appris à l'école.


- De rien, Hermione. J'allais te le suggérer de toute façon. Après tout avoir ta maison avec des protections est bon pour d'autres choses aussi. J'ai un catalogue d'une très bonne compagnie qui s'occupe de ça. Tu veux voir ?


  A peine Harry retira des prospectus intitulé Bulwark's Warding Compagny que Hermione lui arracha des mains. Harry remarqua que ses yeux devenait livide alors qu'elle lisait chaque mot devant elle. Ron lança un regard dégoûté à Hermione, comme s'il ne comprenait pas pourquoi quelqu'un voudrais lire quelque chose qu'il n'est pas obligé de lire.




  Il ne fallut pas longtemps avant que le train arrive à la gare de Pré-au-Lard. Harry était très curieux de savoir s'il serait ou non capable de voir les Sombrals. En effet, des chevaux ailés squelettique tirés les diligences ou les étudiants montaient. Harry tendit la mains vers le museau d'une des créature.


- Harry, que fais-tu ? demanda Hermione.


- Je caresse un Sombral, répondit Harry.


- Un quoi ?


- Je peux les voies aussi, intervint Luna.


  Ron dit tournoyer un doigt près de sa tête, pour suggérer quelque chose à propos de la santé mentale de Luna.


- Harry, poursuit Hermione. Il n'y a rien, les diligences avance toutes seules.


- En fait Hermione, dit Neville. Je les vois aussi, ils ressemblent à des sortes de chevaux squelettique.


- Sombrals, répéta Luna. Ils ne peuvent être vus que par ceux qui ont vu la mort.


  Hermione sembla mal à l'aise, Ron lui commençait à s'impatienter.


- Peut importe, dit le rouquin. On peut monter ? Je meurs de faim.


  Harry, en tant que gentleman, offrit à Hermione puis à Luna une main pour monter. Une fois installer la diligence se dirigea vers le château.


- Y a une drôle d'odeur, se plaignit Ron.


  C'est vrai, la voiture avait une légère odeur de moisi. A noter, pensa Harry, pensez à rénover les calèches.


  Il commença à pleuvoir lorsque la voiture s'arrêta devant le hall d'entrée. Ron et Neville furent les premiers à sortir, Harry aida les filles à descendre. Alors qu'ils se dirigeaient vers la grande salle, le professeur McGonagall appela Hermione. Une minute plus tard, elle les rejoints.


- Qu'est-ce qu'elle voulait ? dit Ron.


- Oh, rien, répondit Hermione avec un sourire.


  Harry sourit en connaissance de cause.


- Bon, c'est bientôt l'heure de la répartition allons nous asseoir, dit-il.


  Luna leurs fit un geste de la mains avant de rejoindre sa table. Bientôt les première année entrèrent dans la salle.


- Est-ce que nous avions l'air aussi terrifié ? demanda Harry en plaisantant.


- Je pense que oui, répondit Hermione.


  Le professeur McGonagall amena la Choixpeau et l'installa sur le tabouret. Il commença alors à chanter




Emmanuel Kant était réel


Qui était très rarement stable


Heidegger, Heidegger était un mendiant nul


Qui pourrait vous penser sous la table


David Hume pourrait consommer


Schopenhauer et Hegel


Et Wittgenstein était un porc porcin


Qui était aussi scholshé que Schlegel


Nietzsche ne pourrait rien apprendre


Bout le lever du poignet



Socrate lui-même était définitivement énervé


John Stuart Mill de son plein gré


Sur une demi-pinte de panaché était particulièrement malade


Platon disait-il pourrait s'en sortir


Une demi-caisse de whisky tous les jours


Aristote, Aristote était un bougre pour la bouteille


Hobbes aimait son drame


Et René Descartes était un pet ivre : Je bois donc je suis


Oui, Socrate lui-même nous manque particulièrement


Un adorable petit penseur mais idiot quand est énervé.




  À la fin de la chanson, un grand nombre d'étudiants né-Moldu et métis étaient hystérique et applaudissaient sauvagement. Presque tous les sang-purs de la salle étaient confus, mais la plus part applaudissaient poliment.


- Je n'ai pas compris, déclara Fred.


- La chanson se moquait ses intellectuels Moldu célèbres, répondit Hermione. Elle insinuait que tous les philosophes célèbres étaient des ivrognes.


- Ce qui est probablement vrai, dit Harry. Cependant, j'aurais aimé que le chapeau mentionne Diogène et Cynique. C'était des philosophes Grec qui croyait que les biens matériels était une mauvaise choses, ils ont donc passé la plus grande partie de leurs vies à vivre nu dans un tonneau.


  Fred et George regardèrent Harry d'une manière étrange.


- Harry, comment en sais-tu autant sur les philosophes Grecs ? demanda Hermione.


- Et bien, quand vous êtes le garçon qui a survécu, vous devez savoir ce genre de chose, dit Harry avec un haussement d'épaules.

  Trente minutes plus tard, les élèves furent réparties et la festin commença.


  Oui, pensa Harry. C'est bon d'être à la maison.

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