Il n'est pas encore mort

Chapitre 9 : Élever des gangsters pour le plaisir et le profit

5351 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 13/11/2019 14:00


  Le lendemain, Harry Potter et les jumeaux Weasley, étaient assis à la table des Gryffondor. Hermione leva un sourcil suspicieux vers eux, mais elle savait qu'il était inutile de demander ce qu'il avaient fait. En effet, Harry et les jumeaux avaient passé la soirée précédente à commettre des actes contre le règlement de l'école, la capacité de Métamorphage de Harry leur a été extrêmement utile dans la création d'alibis.


  Les trois garçons regardaient les gens qui s'installaient dans la Grande Salle, toujours en souriant. Une fois que tout le monde fut assis, leurs sourires s'élargirent.


- Trois.


- Deux.


- Un.


  A ce moment, chaque armure de la grande salle sauta de son socle de pierre et se mirent sur les quatre tables et commencèrent à chanter.


Nous somme les chevalier de la table ronde,

Nous faisons des routines

Et des scènes de chœur

Avec un jeu de jambes impeccable

Nous dînons bien ici à Camelot,

Nous mangeons beaucoup de jambon, de confiture !


  La musique sembla devenir plus forte et les armures commencèrent à danser. L'un d'entre eux donna un coup de pied à Marcus Flint derrière la tête.


Nous somme les chevaliers de la table ronde,

Sont des spectacles sont pour-mi-capable !

Mais plusieurs fois,

On nous donne des rimes

C'est assez singulier !

Nous sommes fous d'opéra à Camelot,

Nous chantons du diaphragme un loooot !


  La danse devint plus effréné encore, les armures commencèrent à faire des claquette à l'unisson. Plusieurs armures lancèrent leurs casque vers leur confrères, un des casque percuta Ron accidentellement.


En temps de guerre, nous sommes forts et capables !

Assez !

Entrez dans notre quêtes

Avec nos paillettes et nos gilets

Et imitez Clark Gable !

L'une des armures commença à faire son solo.

Je dois pousser le landau très loin !


  La musique se termina et les armures se penchèrent sous un tonnerre d'applaudissements. Même Hermione trouva cela amusant même si elle faisait de son mieux pour s'indigner face à la farce évidente, même si elle échouait de façon spectaculaire. Même les professeurs furent ravis de la farces ; enfin sauf Rogue, mais il n'a pas le sens de l'humour.


  Bientôt, il était temps pour Harry et Hermione de partir pour leurs cours d'ancienne runes. Les Runes se montrèrent aussi intéressantes que l'Arithmancie - encore une fois, Harry se frappa mentalement pour ne pas avoir suivi ce cours simplement parce que Ron Weasley ne voulait pas - . Ancienne Runes était enseigné par une jeune femme nommé Bathsheba Babbling, une blonde nerveuse aux yeux embués de gris pâle. Bien que le professeur Vector n'ait pas semblé aussi strict, le professeur Babbling avait une certaine prestance qui attirait l'attention des étudiants.


- Runes, dit-elle simplement à sa classe. Une des formes les plus anciennes de la magie anglo-européenne. Elle est issu des peuples germaniques, elle finit par devenir commune chez les Scandinaves, elle tapota sa baguette sur le tableau et des écritures apparurent.


Veit ek at ek hekk vindga meiđi a 

Netr allar nío,

Geiri vndapr ok gefinn Ođni,

Sialfr sialfom mer,

A peim meipi, er mangi veit, hvers hann af rótom renn.


Le professeur Babbling sourit et commença à réciter :


Je sais que je me suis accroché à un arbre venteux

Pendant neuf longues nuits,

Blessé d'une lance, dédié à Odin,

Moi-même à moi-même,

Sur cet arbre dont personne ne sait d'où provient ses racines.


  Il y avait une étrange lueur dans la pièce. Harry pouvait sentir une étrange puissance lui chatouiller la nuque. Cette sensation lui rappeler sa visite chez Ollivander, il avait eu la même impression dans le magasin.


- Ceci, fait partie d'un ancien rite pour donner aux runes leurs pouvoirs. Il y a eu beaucoup de grands et puissants sorciers et sorcières qui ont exploité le pouvoirs des runes pour faire des choses incroyables, ses yeux se posèrent brièvement sur Harry. La famille Evans, en particulier, avait l'habitude d'utiliser la magie runique pour devenir de grands mages de bataille. Les Peverell quand à eux auraient découvert une configuration runique leur permettant de communiquer avec les morts.


  Les yeux de Harry s'écarquillèrent. C'est ainsi que le deuxième frère avait créé la pierre de résurrection.


  Le cours continua, les étudiants apprirent les bases de plusieurs types de runes : Futhark ancien, Runes anglo-saxon, Rune Rök, Runes Hälsinge, Runes Marcomannic, Runes médiévales et même les Runes Dalecartian.


  Alors qu'ils se levaient tous pour partir quand la cloche sonna, le professeur Babbling eut une dernière chose à dire.


- N'oubliez pas, classe, les runes sont puissantes. Si vous vous êtes inscrit en pensant que vous jouerez avec des symboles étranges, détrompez-vous. Si vous jouez avec une magie ancienne, vous le regretterez et les conséquences pourraient être... assez grave. Passez une bonne journée.


  Le vendredi soir arriva bientôt, à 17 heures, les portes de la Grande Salle s'ouvrirent pour laisser entrer une femme âgée de petite taille vêtu d'une robe aux motifs floraux. Bien sûr, cette femme se dirigea naturellement vers Harry.


  La femme se présenta sous le nom de Irène Stoat et elle était là pour enseigner à Harry les coutumes magiques. Le professeur McGonagall est venu pour demander ce qui se passait maintenant, elle fut impressionnée par le fait que Harry ait trouvé un professeur pour enseigner les coutumes magiques. Elle trouva une classe pour qu'elle puisse donner cours et de nombreux né-Moldu assistèrent à ce cours, pour en savoir un peux mieux sur le monde magique.


  Hermione trouva la classe fascinante, même si certaines tradition lui semblaient plutôt ridicule. Les contrats de mariages étaient l'une des principales choses avec lesquelles elle avait des problèmes.


- Merci de m'avoir invité à ce cours, Harry, dit Hermione alors qu'ils se dirigeaient vers le dîner.


- Pas de problème, Hermione, répondit-il. Tu es mon amie, tu es la bienvenue dans tous mes cours particuliers. Oh en parlant de ça, je me demandais si tu voudrais bien participer aux cours d'Occlumencie que je commencerai bientôt.


- Qu'est-ce que l'Occlumencie ?


- C'est l'art de protéger son esprit. Tu vois, il y a des gens qui ont la capacité de pouvoir lire les pensée. On appelle cela la Légilimencie. Il y a deux experts en Légilimencie dans l'école. Il s'agit de Dumbledore et Rogue, et ils fouillent la tête des élèves quotidiennement.


- Harry, comment peux-tu accuser Dumbledore ?


- Réfléchie, comment s'est t-il tout ce qui se passe dans l'école ?


- Tu marque un point.


- Il est illégal de pratiquer la Légilimencie sur un mineur sans le consentement de celui-ci et de son tuteur. Si tu assiste à mes cours d'Occlumencie, tu pourras protéger ton esprit des attaques mentales.


- Quand est-ce que ces cours commencent ?


- Lundi prochain, après dîner. En attendant, essaye de t'exercer en organisant t'es pensées et t'es souvenirs. Voici un livre qui peut t'aider.


  A peine Harry récupéra le livre dans son sac que Hermione l'avait saisi et avait immédiatement commencé à le lire.


  Le petit déjeuner du lendemain fut une source d'excitation supplémentaires. Une nouvelle fois, les porte de la Grande Salle s'ouvrirent pour laisser entrer les nouveaux venus. Comme lors des récents événement, les deux hommes étaient là pour voir Harry. Ils portaient tout les deux des vêtement couleur sable. Harry remarqua que le plus petit des explorateurs avait un bras manquant.


- Tu est Harry Potter ? dit le plus grand.


- Oui monsieur, dit Harry.


- Je suis Hank Spim, et voici mon frère Roy. Nous sommes venus à propos de la carcasse de basilic. Voulez-vous bien nous montrez le chemin ?


- Oui, bien sûr. Oh faite, est-ce que ça irait si des amis nous accompagnaient ?


- Je ne vois pas de problème, n'est-ce pas Roy ?


- Non, tant qu'il ne cause pas d'ennuis, cela devrait aller, acquiesça Roy.


- Génial, dit Harry.


  Il se dirigea ensuite vers divers étudiants, en particulier ceux qui avaient été victimes du basilic, et il les invita à voir la chambre des secrets. Harry à également invité Luna Lovegood et lui a demandé d'envoyer un rapport à son père pour un article du Chicaneur.


  En fin de compte, de nombreux étudiants se sont retrouvés invités au grand événement. Harry demanda également présence de plusieurs professeurs. En s'approchant de la table des professeurs, Harry remarqua que Dumbledore était curieusement absent. A l'insu de Harry, le vieil homme fou était encore profondément endormi, l'elfe de maison chargé de le réveiller avait décider qu'il avait mieux à faire. Bien sûr, cela n'avait absolument rien à voir avec le fait qu'une puissance supérieur lui et ordonner de ne pas réveillé Albus. Pas du tout.


  Tout en marchant, les frères ont réglé les élèves avec des récits de leurs exploits de chasse.


- Le moustique est un petit bâtard intelligent, déclara Roy. Tu peux le suivre pendant des jours et des jours jusqu'à ce que tu saches vraiment que tu sais que je suis comme un ami. Il sait que tu es la et tu sais qu'il est là. Tu déteste ça, alors tu les respectes, alors tu les tues.


- Pourtant, ce n'est pas aussi mauvais que la chasse au papillons, hein Roy ? dit Hank. En gros, je suis le papillon de nuit dans l'hélicoptère pour l'éloigner des fleurs, puis Roy arrive et l'attaque avec des missiles air-air.


- Beaucoup de gens nous ont demandé, pourquoi nous utilisons pas de spray anti-mouche. Et bien, ou serait le sport dans tout ça ?


- Est-ce que quelqu'un comprenne de quoi ils parlent ? demanda Lee Jordan aux autres Gryffondor qui acquiescèrent. Oh, je pensais que c'était juste moi...


- Nous y sommes, annonça Harry une fois qu'ils eurent atteint l'extérieur des toilette pour fille.


- Ah ah ! déclara Hank. Bien sûr, c'est l'endroit le moins probable ou on pourrais trouver cette fameuse chambre.


  Harry les conduisit à l'intérieur. Bien sûr, il y avait quelque invités indésirables qui tentèrent d'entrer. Heureusement, la même puissance supérieur avait demander à un certains elfe de maison de protéger l'entrée pour que uniquement se qui ont été invités puisse entrer dans la chambre.


- Bonjour Harry, salua Mimi geignarde. C'est agréable de te revoir.


- Bonjour Mimi, dit poliment Harry. Nous somme tous sur le point de descendre dans la chambre des secrets pour récupérer la carcasse du basilic qui a causé votre mort.


- Oh, c'est gentil.


- Tu veux nous rejoindre ?


  Mimi eut une teinte blanchâtre et secoua la tête.


- Il y a une sorte de protection anti-fantôme qui m'empêche d'entrer. Merci cependant.


  Harry acquiesça puis il donna le mot de passe en Fourchelang et l'entrée s'ouvrit. Se sentant chanceux, Harry demanda alors des escaliers qui apparurent rapidement.


- Après vous, Mr Potter, dit Roy.


  Harry conduisit tout ceux qui étaient invités dans la chambre. Curieusement, le plus de personnes qui tentèrent d'entrée et qui furent refusée étaient des Serdaigles, particulièrement Cho Chang et Marietta Edgecombe. Il va sans dire que ni Ronald, ni Ginny Weasley ne purent entrer. Parmi les enseignants, seuls Severus Rogue ne put entrer, ce qui l'énerva.


  Une fois que les étudiants et professeurs se trouvaient au bas du passage secret, Harry les conduisit jusqu'à la porte de la chambre.


- Tu sais, dit Hermione. C'est curieux que personne ne l'ait découverte quand ils ont installé la système de tuyauterie. Pardonne-moi si je me trompe, mais je ne crois pas qu'elle existait au moyen âge.


- Oh, mais quelqu'un l'a trouvé, déclara Harry. La plomberie à été installé au 18ème siècle. Cependant, Corvinus Gaunt, un descendant de Salazar Serpentard, qui était à Poudlard à l'époque, avait découvert la trappe. Il s'occupa alors de se secteur pour empêcher que quelqu'un tombe dans la chambre pendant la construction.


- Monsieur Potter, dit McGonagall. Comment avez-vous appris tout ça ?


- Disons simplement que j'ai de très bonne sources.


  Harry ouvra ensuite la porte de la chambre et tout le monde entra. Tout le monde a part Harry et les frères Spim, fut sous le choc en voyant le serpent géant gisant mort sur le sol de la chambre.


- Harry, dit Hermione. Tu a réellement fait face à ça ?


- Ben, ouai, dit Harry.


- Attendez, intervint Roy Spim. Vous voulez dire... qu'un enfant de douze ans avec un lien autour de son noyau magique à put tuer ça ? il désigna le cadavre géant.


- Oui.


- Mon garçon, je peux affirmer que tu seras toujours le bienvenu dans le Clubs des Chasseurs et Explorateurs Magique.


- Euh, merci... ?


  Alors que Hank et Roy s'occuper de mettre des charmes de conservation sur la carcasse du basilic, Susan Bones s'approcha de Harry.


- Mr Potter, dit-elle.


- Oui, Susan n'est-ce pas ?


- Oui, dit-elle d'un signe de tête. J'ai une ou deux questions à vous poser.


- Bien.


- Seriez-vous prêt à faire une déclaration officielle sur ce qui c'est passé exactement ici pour que je puisse l'envoyer à ma tante ? Elle est à la tête de la DALM.


- Oh, oui, j'ai eu le plaisir de la rencontrer pendant l'été. Bien sûr, je vous ferais un rapport.


- Je voudrais aussi vous demander, si vous avez enquêté sur cette chambre. Cela me semble étrange que le basilic soit la seule chose qui se cache ici.


- Tu pense qu'il pourrait y avoir une pièce secrète ?


- C'est possible.


- D'accord, je contacterais Gringotts cette semaine pour leur demander d'envoyer un briseur de sort, au cas où il y aurait quelque chose de dangereux.


- Très bien, Mr Potter.


- S'il te plaît, appelle moi Harry.


- Très bien, Harry, et tu peux m'appeler Susan.


- Je le faisait déjà, je te rappelle.


- Oh... c'est vrai, Harry remarqua que la fille commençait à rougir. Les filles le faisaient souvent quand il leur parlait, réalisa Harry.


  Les frères Spim finirent bientôt avec les sort de conservation, Harry demanda à Colin Crivey de prendre des photos de la créature. Une fois les photos prises, les Spim ont mis le basilic dans dispositif de transport spécial.




  Plus tard dans la soirée, dans le dortoir des filles de Serpentard...


- Tracey ?


- Oui, Daph ?


- Que penses-tu de Harry Potter ?


  Tracey cachais son visage derrière un magazine. Tracey savait que Daphne avait un béguin pour Harry, mais la vérité c'était qu'elle aussi avait le béguin pour Harry.


- Je pense qu'il est très courageux et gentil, et il est... différent, mais dans le bon sens.


- Et il a l'air en forme, ces derniers temps, ajouta Daphne.



- Ça aussi.


- Alors est-ce que tu penses que je devrais... je ne sais pas, lui demander de sortir un jour ?


- C'est une rupture du protocole. Traditionnellement, c'est le garçon qui demande à la fille de sortir.


- Je sais, mais Harry ne semble pas être du genre à s'intéresser à ce genre de chose.


- Encore un autre point en sa faveur.


  Daphne fit une pause pendant un moment.


- Tracey ?


- Mmm ?


- Est-ce que... tu sais, comme Harry ?


- Bien sûr que je le suis, comment ne pas l'aimer ?


- Non, jeux dire, l'aime tu de la même façon que moi ?


  Il y eut un silence gênant.


- Allons nous coucher Daphne, c'était une journée très épuisante.




  Le reste du week-end s'est passé avec un calme relatif par rapport aux événement dramatiques de la première semaine. Bien que Harry se soit fréquemment trouvé l'objet de beaucoup d'attention de la part des fans et des bienfaiteurs, tous désireux d'entendre Harry raconter l'histoire de son combat contre le basilic. Harry cependant, qu'ils pourraient lire l'histoire dans la prochaine édition du Chicaneur.


  Quand l'article parut, Harry reçut un nombre incroyable de lettre, la plus part venait de parent reconnaissant de son courage visiblement, le fait que le garçon qui a survécu ait utilisé l'épée de Gryffondor pour défendre les étudiants de Poudlard avait fait son effet.


  Bien sûr Dumbledore fut choqué lorsqu'il découvrit ce qui s'était passé pendant qu'il était endormie. Il fit de nombreuses tentatives pour parler avec Harry. Cependant, Harry répondit que à moins que le sujet concerne les études supérieurs, le vieil homme devrait organiser un rendez-vous avec lui et son parrain.


  Sirius, cependant, était trop occuper pour pouvoir venir.


  Il s'était rendu à Square Grimmaurd, à contrecœur, et avait commencé à rénover sa maison ancestrale. Kreattur était naturellement mécontent de la présence de Sirius, mais Sirius avait suivi les instructions de Harry et avait essayé d'être civilisé avec l'elfe de maison, bien sûr Sirius demanda aussi à Kreattur le médaillon que Régulus avait voulu détruire.


  Harry avait raconté à Sirius ce qu'avait fait Régulus pour essayer de tuer Voldemort ; cela avait poussé Sirius à faire un hommage à son frère au cimetière familial.


  Sirius plaça le médaillon dans un conteneur sécurisé afin que lui et Harry puissent l'emporter à Gringotts pendant les vacances de Noël. Sirius avait demandé à Harry pourquoi il voulait attendre, il lui avait répondu que le Diadème ce trouver dans le château et qu'il préférer présenter tout les objet aux gobelins en une seul visite.

  Sirius, cependant, n'était pas la seule personne occupé.


  Lundi soir, Harry et Hermione étaient prêts pour leur première leçon d'Occlumencie. L'instructeur que Harry avait embauché était encore un autre Américain, Patrick Stearns, un sorcier né-Moldu de New York. Mr Stearns avait à peu près le même âge que Mr Preston et les deux semblaient connaître certaine connaissance de l'Institut Salem. Stearns était très grand, avec des cheveux noirs balayés par le vent, des yeux bleu clair, il avait aussi une cicatrice du à un sur la joue gauche. Harry admit (sans trop de difficultés) que Mr Stearns était bien meilleur que Rogue pour enseigner l'Occlumencie. Plutôt que de pénétré l'esprit de Harry, Stearns apprit à ses étudiants comment les construire. À la fin du cours, Harry et Hermione étaient pouvaient repousser les attaques mentales mineures.


  Ron et Hermione semblaient toujours ne pas se parler, ce qui voulait dire que Harry était désormais leur intermédiaire.


  Cependant, Harry avait très peu de choses à dire a Ron ces derniers temps (vous savez pourquoi). Harry et Hermione avaient commencé à se faire beaucoup d'amis dans d'autres maisons. En fait, ses amitiés avec les autres étudiants ont finalement conduit à la création d'un clubs de défense, tout le monde était le bienvenu, y compris les Serpentard ; à la grande surprise de certaines personne.


  Harry avait également engagé Mr Stearns pour aider dans le club de défense et un certain nombre d'étudiants furent impressionnées par tout ce que l'Américain savait sur les sorts de défense. Bien sûr, Remus a également été invité à jouer le rôle de modérateurs pour le club, il a été très utile en montrant à chacun une variété de sorts pouvant être utilisé en combat.


  Cependant, début octobre, Harry avait autre chose à faire, quelque chose de si agréable qui lui fit presque oublier ses excellents cours. La saison de Quidditch approchait et Olivier Dubois, le capitaine de l'équipe de Gryffondor, convoqua une réunion jeudi soir pour discuter de la tactique à adopter pour cette nouvelle saison.


  Harry s'était rendu compte que, puisqu'il avait empêché Malefoy de se blesser, Gryffondor jouerait contre Serpentard comme prévu à la place des Poufsouffle. Harry savait qu'il ne risquait plus d'être attaqué par des Détraqueurs, mais cela ne changeait pas le fait que le temps serait aussi terrible que la dernière fois.




  Harry décida qu'une des choses qu'il changerait une fois qu'il assumerait ses responsabilités en tant que propriétaire de Poudlard c'était les règles concernant les matchs de Quidditch. En cas de mauvais temps, il était logique que le match soit reporté afin que les joueurs ne risquent pas de se faire tuer.


  De retour à la tour de Gryffondor, après une longue séance d'entraînement, Harry découvrit que tout le monde était réunie dans la salle. Le professeur McGonagall était sur une petite estrade accompagner du professeur Babbling.


- Je demande votre attention, dit-elle. J'aimerais faire quelques annonces. Tout d'abord, au sujet de la première sortie à Pré-au-Lard...


  Harry était plutôt étonner. Pendant toute sa scolarité à Poudlard, McGonagall n'avait jamais une de réunion de maison, alors que d'après les autres élèves des autres maison eux ils avaient une réunion tout les mois. Ce que Harry ignorait, c'était que la seule raison pour laquelle McGonagall n'avait jamais fait ça, c'était que en plus de ses responsabilités en tant que Chef de Maison elle était aussi la directrice adjointe en plus de la métamorphose.


- Enfin, dit-elle d'un ton plus sérieux. Je dois vous annoncer ma démission en tant que Chef de Maison.


  Il y eu quelque murmure dut à cette annonce. McGonagall agita sa mains pour demander le silence.


- J'ai réfléchie, et je me suis rendue compte que je n'avais pas remplie mes fonctions deChef de Maison. J'ai passé trop de temps à me concentrer sur mes fonctions de directrice adjointe et de professeur de métamorphose, j'ai donc négligé mes étudiants. Je m'excuse, il y eu un moment de silence. J'ai demandé au professeur Babbling de me succéder, à compter de maintenant considérer la comme la nouvelle Directrice des Gryffondor.


  Bathsheba Babbling s'avança sous de faibles applaudissements. Elle fit un petit discours, puis elle partit avec le professeur McGonagall.


- Je pense que c'est très bien, dit Hermione avec un sourire.


- Je suis d'accord, dit Harry. Elle est jeune, elle pourra donc plus facilement communiquer avec les étudiants.


- Elle est également plus accessible que McGonagall, déclara George Weasley.


- Nous somme en Runes aussi, ajouta Fred. Babbling est facile à vivre.


- Ouais, tant que tu ne fait rien qui pourrait blesser toi ou les autres.


- Elle nous a même donné un guide sur quelques farces innocentes qui peuvent être activé en inscrivant certaines runes sur des objets.


- Sur ceux, nous devons y aller.


- Oui, on a beaucoup à faire.


  Alors que les jumeaux partaient, Hermione se tourna vers Harry.


- Je n'aurais jamais pensé que ces deux là prendrais au sérieux quelque chose comme ça, déclara-t-elle.


- Oh, tu serais surpris Hermione, dit Harry. Ils prennent le soin d'apprendre certaines choses pour que leur magasin de farce et attrape.


- Magasin de farce ?


- Tu ne le savais pas ? C'est leur rêves de d'ouvrir leur propre magasin et de faire tomber Zonko.


- Je parie que leur mère adorerait ça, dit Hermione d'un ton sarcastique.


- Tiens, Hermione Granger, tu plaisante ?


- Contrairement à la croyance populaire Mr Potter, j'aime bien rire de temps en temps.


  Ils furent interrompus par des cris furieux. Ronald Weasley, secouer Pattenrond qui s'était accrochées accrochées sa jambe en sifflant.


- Dégage, espèce de chat stupide ! cria-t-il.


  Il donna un bon coup de pied et Pattenrond, le chat fit un petit vol planer avant de retomber sur l'un des canapés. Pattenrond se secoua, fit un autre sifflement à Ron, puis se dirigea vers Harry et Hermione.


- Garde ton monstre, HORS D'ICI ! cria Ron à Hermione.


- Qu'est-il arrivé ? demanda Harry, pas du tout désolé que Pattenrond ait attaqué son ancien ami.


- J'étais la haut, dans le dortoir en train de prendre... euh, je veux dire, je faisait la sieste et son chat stupide ma attaqué.


  Harry avait la forte impression que Ron n'était pas tout à fait honnête.




Quelques minutes plus tôt...


  Ronald Weasley, était lassé des annonces du professeur McGonagall après qu'elle eut finit de parler du week-end à Pré-au-Lard. Au lieu de rester pour écouter le reste, il se dirigea vers le dortoir.


  C'est alors que Ronald fut frappé par une pensée, aussi rare qu'elle soit.


  Toute cette histoire autour de la Chambre des Secret avait rendu Harry incroyablement plus populaire, et cela irritait les nerf de Ronald Weasley. Comment Harry ose-t-il lui faire ça ? Ils étaient censés être meilleurs amis.


  Ron, décida qu'il devait faire quelque chose pour se faire remarquer ou peut-être pour se venger de Harry, il se dirigea vers la valise de Harry. Il venait juste de l'ouvrir et se pencha pour prendre la cape d'invisibilité de Harry.


  Je parie que je peux faire plein de trucs avec ça, se dit Ron. Soudain quelque chose de orange vif lui griffa la main.


- Aie ! s'exclama Ron, il regarda dans la direction de son agresseur quand il reconnu Pattenrond. Oh, c'est toi, grogna t-il.


  Pattenrond fit une imitation presque parfaite de Hermione quand elle avait un regard indigné.


- PSCHITT !! siffla Ron, mais Pattenrond ne bougea pas.


  Au lieu d'écouter la voix de la raison, Ron décida de donner un coup de pied au chat. Pattenrond, fit un bond sur le côté en donnant un sifflement. Énervé, le chat sauta rapidement sur Ron, en le griffant autant que possible. Le chat renvoya le garçon hors de la pièce et le fit dégringolé dans la salle commune.




  Après la scène avec Ron et Pattenrond, Harry se dirigea rapidement vers les escaliers pour découvrir quelqu'un avait fouillé dans sa valise. Harry n'avait pas besoin de supposition pour savoir que le coupable était un certains ex-meilleurs amis au cheveux roux. Harry tendis sa mains dans la valise et sortit un miroir que Sirius lui avait envoyé.


- Sirius Black, dit Harry.


  L'image de son parrain apparue alors sur le miroir.


- Harry ! dit Sirius. Tout va bien ?


- En quelque sortes, répondit Harry alors qu'il parla de l'incident à Sirius.


- Quel petit imbécile, dit Sirius. Harry, je connais d'excellents sortilèges de protection que tu peux mettre sur ta malle pour empêcher l'entrée de certaines personnes indésirables.

  Harry eut un sourire diabolique pendant que Sirius décrivait les sortilèges qu'il pouvait utiliser pour protéger sa valise.




  Halloween arriva et Harry était plutôt morose.


  Il n'avait jamais aimé Halloween, non seulement ce fut le jours où ses parents sont morts, mais aussi quelque chose de grave semblait toujours se produire ce jour là. Harry s'assit dans son lit et pensa : Non, ma mère et mon père n'auraient pas voulue que je me morfonde. C'est la première sortit Pré-au-Lard et je vais bien m'amuser.


  Harry décida de ne pas laisser ses mauvais souvenirs ruiner cette journée. Il avait promis à Hermione qu'ils iraient ensemble visitaient le village ensemble.


  Harry se redressa, enfila des vêtements chauds et se dirigea vers vers l'escalier pour rejoindre Hermione. Ils se rejoignirent auprès du professeur Babbling qui recueillait les formulaires de permission. Harry donna fièrement son formulaire signé par Sirius puis ils se dirigea vers une calèche avec Hermione.


  Alors que la diligence transporter Harry et Hermione à Pré-au-Lard, Hermione croisa le regard de Harry.


- Harry, dit-elle soudainement. J'aimerais te demander quelque chose. Tu n'a pas à répondre si tu ne veux pas, mais j'aimerais savoir.


- Vas-y, Hermione, répondit-il.


- Pourquoi moi, Harry ?


- Quoi ?


  Hermione roula des yeux avec bonne humeur.


- Pourquoi m'as-tu choisi, parmi n'importe quelle autre élèves de Poudlard, pour être ton meilleurs amis ? Pourquoi as-tu sauté sur ce troll pour moi la première année ? Elle lui sourit. Pourquoi as-tu embrassé ma joue alors que j'étais pétrifié et que tu pensais que je ne savais pas ce qui se passait autour de moi ?


  Harry la regarda avec un léger choc.


  Il n'avait pas su que Hermione était au courant.


  En deuxième année, Harry avait rendu visite à Hermione à l'infirmerie après avoir été pétrifiée. Il n'avait jamais été tout à fait sûr de ce qui l'avait pousser à le faire, mais il avait embrassé la joue de Hermione parce qu'il se rappelait avoir lu dans un livre de conte de fées, que la princesse se réveillait d'un sommeil sommeil éternelle par un baiser du héros.


  Harry, âges de douze ans à l'époque, n'avait pas pensé à l'histoire comme à une histoire romantique et que le baiser était traditionnellement sur les lèvres. Ils avaient juste espéré à l'époque, que peut-être les règles des histoires de contes de fées s'appliquaient dans le monde magique.


- Et bien, je... Harry chercha ce qu'il allait dire.


  Il n'avait jamais été particulièrement doué pour parler de ce qu'il ressentait. Même à l'âge de dix-huit ans, il n'arrivait pas à parler de ces choses là.


- Oh, regarde, nous somme arriver ! s'exclama t-il, heureux de pouvoir changer de sujet.


  Hermione, bien que déçu par le manque de réponse de Harry, décida de laisser les choses aller. Elle ne voulait pas risquer son amitié avec Harry pour ça.


  Les deux amis sont ensuite partis explorer le village ensemble. Harry remarqua quelque imperfections, et il avait raison, car à part la boutique de farce et attrape et la confiserie il n'y avait pas grand chose digne d'intérêt. Harry se souvint de quelque chose qu'il avait lu dans l'un des livres qu'il avait acheté sur la famille Potter.


En 1792, Gordian Potter et Branche Londubat, lancèrent une campagne visant à encourager les entreprises du monde magique à se développer. Ensemble, les deux hommes investirent dans le développement de nombreuses entreprises parmi les plus réputé, telles que Nimbus Broom Compagny et Whizzo Chocolate Compagny (les fabricants des Chocogrenouille). Leur partenariat a été un tel succès que les familles Potter et Londubat ont formé une alliance, alliance qui existerait toujours...


  Alors que la Taverne des Trois Balais se rapprochait de plus en plus, Harry décida qu'il était temps de renouveler l'alliance Potter-Londubat.

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