Il n'est pas encore mort

Chapitre 10 : Poisson, banane, vieux pyjama, mouton, bœuf et truite

5319 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 13/11/2019 14:16


  La réunion des étudiants aux Trois Balais fut très agréable et Harry oublia tous ses problèmes par rapport à Halloween. Quand Harry mentionna l'alliance Potter-Londubat, le visage de Neville se fendit d'un large sourire.



- Je me demandais si tu en parlerais un jour, dit-il. Le fait que tu n'en a jamais parlé avant m'avait fait penser que tu n'avait aucun intérêt à la reconfirmer.


- Neville, répondit Harry. Jusqu'à récemment, je ne connaissait même pas cette alliance. Personne ne s'est jamais donné la peine de m'expliquer de telles choses.


  Neville parut gêné.


- J'imagine que je n'aurais pas du présumer que tu le savais.


- Ce n'est pas ta faute, Neville. Personne, à part Dumbledork.


  Tout le monde ricana. Dernièrement, les étudiants ont commencé à avoir une certaines suspicion envers leurs directeur.


- Alors comment pouvons-nous renouveler l'alliance exactement ? demanda Harry. Nous n'avons pas étudier cela dans ma classe des Coutumes Magiques.

  Les sang-pur à la table sourirent. Blaise Zabini, qui faisait partie du groupe ce leva.


- Écoutez, tout le monde ! appela t-il. Un pacte d'alliance est sur le point d'être fait !


  Toutes les têtes se tournèrent.


- Madame Rosmerta, continua Blaise. Il nous faut du vin, deux petits couteaux et un flétan.


  La grande sorcière partie.


  Harry avait plutôt l'air perplexe.


- Un flétan ?


- Tu verras, rit Daphne.


  Madame Rosmerta, ramena les objets demander, l'air radieuse. Le fait que deux héritiers de nobles et anciennes Maisons allaient jurer alliance dans son pub était définitivement bon pour les affaires.


- Bien, continua Blaise en versant deux verres de vin rouge. Tout d'abord, vous vous coupez légèrement vos paumes et ensuite serrez la main.


  Harry et Neville prirent chacun un couteau et suivirent les instructions.


- Neville, pourquoi n'y vas-tu pas en premier ? Tu connais le serment, dit Tracey.


- Moi, Neville Francis Londubat, héritier de l'Ancienne et Noble Maison Londubat, renouvelle mon alliance à mon frère d'arme, Harry James Potter, héritier de l'Ancienne et Noble Maison des Potter. Je jure sur la magie que je viendrais en aide à la famille Potter si jamais ils devaient faire appel à moi ou aux reste de la Maison Londubat.


- Moi, Harry James Potter, héritier de la plus Noble et plus Ancienne Maison des Potter, renouvelle mon allégeance à mon frère d'armes, Neville Francis Londubat, héritier de la plus Noble et plus Anciennes Maison des Londubat. Je jure sur la magie que je viendrais en aide à la famille Londubat si jamais ils devaient faire appel à moi ou aux reste de la Maison Potter.


  Il une étrange lumière brilla autour de leur mains jointes.


- Ce serment est reconnu par la magie et par ce qui témoignent en ce jour, déclara Blaise.


- La lumière gagna en intensité avant de s'éteindre.


  Blaise leur a ensuite demandé de boire du vin, le symbole de la camaraderie. Enfin, il y eu la partie du rituel qui impliquait le flétan.


- C'est ridicule, dit Harry. Blaise, es-tu sûr que cela est vraiment important ?


- Ceux-ci est un aspect ancien et important de la tradition, déclara Blaise, l'air scandalisé que Harry remet en question quelque chose d'aussi important.


- Je pense que les hommes qui ont inventés cette tradition, avaient un peu trop bus, déclara Fay.


  Une fois le rituel terminé, il y eut un tumulte d'applaudissement. Après que le bruit ait disparu, le groupe repris leur conversation. C'était au sujet de Rogue.


- Il est vraiment en colère contre Mr Preston, déclara Tracey. Il a interdit à tout Serpentard d'assister a ses cours, mais comme vous le savez, cela n'a pas été respecter.


- Il est devenu vraiment méchant, ajouta Daphne. Enfin je veux dire, plus que d'habitude. Il a dit que quiconque se rendant aux cours de Mr Preston, serait en détention pendant un mois.


- Tu me laisse le vieux Snévillus, répondit Harry avec un sourire narquois. J'ai un petit quelque chose en réserve pour lui. Mais j'avoue que je suis surpris qu'il n'ait pas violé l'ordre restrictive dé le premier jour.


- Tu sais Harry, dit Fay. Il l'avait déjà violée quand il avait commencé a te crier dessus. Tu aurais pu alors porter plainte.


- C'est vrai, mais je ne voulais pas être trop pressé. C'est tellement amusant de jouer avec lui.


- Il a l'air plutôt bleu chaque fois que que tu rentre dans la Grande Salle, déclara Susan.


  Bientôt, ils changèrent de sujet et Rogue fut complètement oublié.


  Cependant, le maître de potions aux cheveux gras ne resterait pas oublié longtemps. Voyant que Remus serait indisposé pendant la pleine lune, un remplacement sera nécessaire. Bien sûr, Rogue tenta de s'emparer de cette position. Cependant, ses plans furent déjoués lorsque McGonagall arriva dans la salle des professeurs avec Mr Stearns pour annoncer que l'Américain avait accepté de remplacer les cours de Remus.


  Rogue était furieux.


- Comment pouvons-nous savoir si cette homme est compétent ? ricana Rogue, les yeux brillant de malice.


- Voulez-vous vraiment savoir ? répliqua calmement Stearns. 


  Rogue eut un autre sourire moqueur.


- Non, mais vraiment, souffla McGonagall. Severus, j'ai vue Mr Stearns au Club de Défense et c'est un excellent professeur.


  Rogue fixa Stearns alors qu'il lui tourner le dos. Les deux hommes commencèrent un combat silencieux au cours duquel Rogue tenta une attaque de Légilimencie, mais il se retrouva repoussé avec force par l'un des plus formidables boucliers mentaux qu'il ait jamais rencontré.


- J'apprécierais que vous n'essayiez pas d'entrer dans mon esprit, dit Stearns. Est-ce que cette école n'a pas de règle concernant la Légilimencie ?


  McGonagll était furieux.


- Severus ! Les règle stipulent très clairement que l'utilisation de la Légilimencie sur les étudiants, des collègues et des invités est strictement interdite !


  Stearns lança un regard noir à Rogue. Preston lui avait parlé de la nature instable et non professionnelle de cet homme ; maintenant pour lui, il était clair que l'homme était aussi hostile que belliqueux. Stearns et Preston prévoyaient d'envoyer un rapport au conseil scolaire. Un homme comme Rogue ne devait pas être autorisé à enseigner aux enfants.


  Mr Stearns s'est avéré être un aussi bon professeur que Remus. Il a décidé de donner à la classe un peu de variation. Ils décida d'enseigner à la classe des sortilèges de défense.


  A la grande joie des élèves, Mr Stearns ne croyait pas qu'il fallait donner de devoirs; il a toutefois fait remarquer qu'ils devraient commencer à travailler de leurs côtés afin de se préparer aux prochains cours.


  Rogue était plus méchant que jamais. Les quelques troisièmes années de Serpentard qui persistaient à assister aux cours de Mr Preston se retrouvèrent en détention. Harry parut agacer et il jugea qu'une punition était en règle.


  Tout le monde était assis dans la Grande Salle pour le petit déjeuner. C'était le jour du match, Gryffondor contre Serpentard, et comme la dernière fois, il pleuvait. Harry avait suggéré à Dubois que l'équipe mettent Impervius et divers charme de protection contre la pluie. Dubois fut enchanté de cette suggestion et l'appliqua.


  Harry était en train de se servir du porridge quand les portes de la Grande Salle s'ouvrirent. C'était Rogue, il avait le teint violacé, un peu comme l'oncle Vernon lorsqu'il est en colère. Rogue fit un pas en avant et tout le monde éclata de rire. Rogue marcha comme une oie jusqu'à la table des professeurs, ce qui était très difficile compte tenu de sa lourde robe noire qui le gênait.


  Personne n'avait jamais rien vu d'aussi drôle arriver, depuis que le donjon avaient été envahi par la végétation. Quelques personnes ont dû être conduits à l'infirmerie.


  Rogue se tourna pour regarder Harry. Il avait large sourire, il était sur le point de lui crier des jurons et de le menacer de l'expulser lorsqu'il se souvint de l'ordre restrictif. Si il le violait, cela signifiait que les Aurors s'arrêteraient pour une visite. Rogue eut un frisson, la dernière chose dont il avait besoin c'était qu'Amelia Bones l'attrape, la femme n'avait aucune sympathie pour lui car elle haïssait les Mangemorts avec passion (surtout ceux en liberté). Rogue ne pensa pas à ce que Bones lui ferait si elle savait qu'il était non seulement responsable la mort des Potter (Amelia étant la marraine de Harry), mais également de la mort de sa famille ainsi que son fiancé Michael McKinnon. Il savait qu'il subirait probablement un sort pire que tout ce que le Seigneur des Ténèbres pourrait lui infliger. Non, il ne devait pas violer l'ordonnance restrictive, les choses iraient très vite et Rogue doutait que Dumbledore puisse sauver sa peau une seconde fois.


  Ignorant des yeux les élèves qui riaient, Rogue se dirigea (avec beaucoup de difficultés) vers la table des professeurs et essaya de faire comme si tout été normal.

  Harry et l'équipe de Gryffondor, ayant fini leurs petit-déjeuner, se dirigèrent vers les vestiaires. Ils ont rapidement changer et se dirigèrent vers le terrains. En chemin, un groupe d'élèves les avaient arrêter avec des applaudissements et des acclamations; Harry fut surpris de voir Daphne et Tracey parmi eux.


- Crois-le ou non, Harry, dit Tracey. Nous préférons que Gryffondor gagne.


- Malefoy sera insupportable si il gagne, ajouta Daphne. Ils est assez ennuyant comme ça.


  Hermione était la aussi ; elle attira Harry dans ses bras et lui demanda de rester prudent. Luna aussi était présente, elle conseilla à Harry de surveiller les Humberbards, car ils sont souvent attirés par des endroits où il y a beaucoup d'anxiété et provoquent une perte de concentration et des prédisposition aux erreurs.


  Il faisait sombre et la pluie martelait fortement le sol lorsque les équipes entrèrent dans le stade. Heureusement, grâce à la suggestion de Harry, les Gryffondors étaient relativement confortable et secs, tandis que les Serpentards étaient trempés jusqu'à l'os et avaient l'air complètement misérables. Flint et Dubois se serrèrent la main (même s'ils semblaient tout les deux vouloirs se briser la mains) et les joueurs enfourchèrent leurs balais.


- A mon coup de sifflet, déclara madame Bibine. Trois, deux, un !


  Le sifflet retentit, et ils étaient partis.


  Harry chercha le vif d'or, immensément reconnaissant de ne plus avoir besoin de lunettes, cependant, cela n'a pas rendu le vif plus visible.


  Puis il le vit.


  Environ dix mètres plus bas, à la base de l'un des poteaux de but de Serpentard, se trouvait un petit éclat d'or. Harry jeta rapidement un coup d'œil en arrière et vit Malefoy planer derrière lui. Harry se pencha alors en avant et plongea, Malefoy le suivant. Harry se redressa juste avant de toucher le sol. Malefoy réussit à peine à se relever à temps pour éviter de s'écraser. Harry accéléra et se dirigea vers les les but de Serpentard ou il avait repérer le vif. Le vif semblait avoir compris qu'il était sur le point d'être attrapé car il monta tout droit en chandelle. Harry le poursuivit.


  Le vif sembler aller de plus en plus haut. Harry ne voulait pas savoir à quelle hauteur était-il maintenant. Harry n'était plus qu'à quelques centimètres du vif, même Malefoy était à la traîne, clairement terrorisé par la tempêtes. Harry s'empara alors vif, mais venant de nulle part, un éclair le frappa et Harry était séparer de son Nimbus.


  Il commença à tomber, vite, de plus en plus vite. Il arriver à entendre les cris de la foule. Harry se mit à réfléchir extrêmement vite ; il avait le drôle de sentiment que le vieux Dumbles n'allait pas le sauver. Il sentit son coeur battre de plus en plus fort, quand par instinct il leva la main. Il ne savait pas comment et pourquoi mais une formule lui vint et il cria :


ASSURGO !


  Soudain, un vent souffla à ses pieds et il atterrit indemne sur le sol. Regardant les gradins autour de lui, Harry tendis le bras pour montrer le vif.


- Harry Potter a attrapé le vif d'or et a effectué une démonstration spectaculaire de magie sans baguette ! cria Lee Jordan à la foule. Incroyable ! Je n'ai jamais rien vu de pareil.


  Harry, toujours souriant, sentie ses forces le quitter et s'effondra, alors que le restes de l'équipe se précipitait vers lui.




- C'est la chose la plus incroyable que j'ai jamais vue !


- Je pensais qu'il allait mourir.


- Ne sois pas stupide. C'est Harry Potter, la mort le dépasse.


  Harry entendit des voix au-dessus de lui. Certains étaient impatients, d'autres inquiets. Harry sut immédiatement qu'il devait être dans l'infirmerie, vu le nombre de fois où il y avait finit. Harry gémit de douleur et se redressa.


- Harry ! s'exclama Fred. Comment vas tu ?


- Endommagé, répondit Harry.


- Je m'attendais à ce que tu le sois, dit Hermione avec reproche. Je t'ai dit de ne pas essayer de te faire tuer. Honnêtement, c'est comme si tu faisait tout ton possible afin de mourir. J'étais inquiète j'avais peur que tu sois blessé ou pire...


- Renvoyer ? dit Harry avec amusement.


- Mort, corrigea Hermione. Harry, je ne peut pas supporter l'idée de te perde. Ne me fais plus jamais peur comme ça.


- Nous avons gagné, n'est-ce pas ?


- Tout à fait, mais vraiment, c'est ridicule. Quelqu'un doit changer les règles pour les matchs de Quidditch. Jouer lors de tempêtes, comme celle-ci, est un bon moyen de faire tuer des gens. C'est presque arrivé aujourd'hui.


  Harry eut un petit rire. Certes, il était d'accord avec Hermione sur le fait que les règles devaient être changées.


- Où est Dubois ? demanda Harry.


- Il et complètement hystérique, il est au douche, dit George avec un sourire.


- Au fait, Harry, dit Angelina Johnson. Comment as-tu fait cette chose ?


- Tu n'était qu'à quelques mètre du sol, poursuivi Katie Bell. Ont pensaient que tu allais t'écraser.


- Honnêtement, dit Harry. Je ne sais pas moi-même. Au fait, quelqu'un a récupérer mon Nimbus.


  Tout le monde eut l'air soudain mal à l'aise.


  Apparemment son Nimbus avait percuté le Saule Cogneur aussi fort que dans la dernière chronologie. Harry savait qu'il pourrait probablement se permettre d'acheter un Éclair de Feu pour chaque élèves de Poudlard et à peine faire une brèche dans sa fortune, mais quand même. Son Nimbus 2000 avait été son premier vrai balai et il était difficile pour Harry de recevoir cette mauvaise nouvelle une seconde fois.


  Harry fut surpris lorsque les portes de l'infirmerie s'ouvrirent pour laisser entrer Sirius Black. Sirius paraissait très inquiet.


- Harry ! Est-ce que ça va ? demanda t-il.


  Quelques personnes dans la pièce le regardèrent mal à l'aise, ils n'étaient toujours pas habitués à l'idée que Sirius Black soit innocent.


  Je vais bien, Sirius, répondit Harry. Comment as-tu su que j'étais ici ?


- Bathsheba, ma envoyé un hibou disant que tu as été frappé par la foudre et que tu a failli mourir, dit Sirius.


- Tu connais le professeur le professeur Babbling ?


  Sirius eut soudain l'air gêner.


- Hem, oui, depuis quelque temps. Elle m'a envoyé des hiboux en tant que Chef de Maison.


  Il était bon à savoir que le professeur Babbling prenait son rôle de Chef des Gryffondor aux sérieux.


  Les portes s'ouvrirent de nouveau et Dumbledore entra.


- Ah, Sirius, dit-il chaleureusement. C'est un plaisir de te revoir. Je me demandais si je pourrais te voir, toi et Harry, dans mon bureau...


- Dégage, répliqua sèchement Sirius. Mon filleul c'est presque fait tué et vous avez le culot de vous pavaner ici et d'exiger quelque chose de moi ?


- Sirius, je souhaite simplement demander...


- C'est Lord Black, pour vous. Harry ne va nulle part jusqu'à ce qu'il soit rétabli. Sachez que ni Harry, ni moi, ne seras dans votre bureau à moins qu'il s'agisse uniquement des études. Maintenant poussez vous, vieux fou.


  Dumbledore était sous le choc. Jamais il n'avait connu un tel licenciement. Il jeta un regard noir à Sirius avant de se tourner les talons pour partir, ce n'était pas une bonne idée d'irriter davantage le jeune Seigneur.


- Oh et monsieur, ajouta Harry. Veuillez me rendre les objets que vous avez volées dans mon coffre-fort. Je détesterais à envoyer l'Inquisition Gobeline après vous.


  Dumbledore se figea les étudiants haletaient. Il ne s'était pas attendu à l'Inquisition Gobeline. Il avait entendu parler de personnes qui avaient eu la malchance de recevoir leur visite. Mais il ne pouvait pas laisser le grimoire des Potter tomber entre les mains de Harry; il serait impossible de dire à quel point le garçon deviendrait puissant avec ce genre de connaissances. Si seulement Dumbledore lui-même pouvait accéder au livre, ce type de connaissance serait utile pour le Plus Grand Bien.




  Dumbledore ignorait que la situation allait empirer pour lui.


  Dans les jours qui suivirent, Dumbledore s'aperçut que le château lui-même semblait s'être retourné contre lui. Aucun des passages secrets ne s'ouvrait pour lui, les armures essayaient de le renverser, les fantômes avaient commencé à chuchoter à chaque fois qu'il passait, les portraits le regardaient de manière suspect (sauf le portrait des chevalier français qui étaient insupportable et l'insulter ouvertement dans son bureau dans leur langue), la gargouille qui gardait l'entrée de son bureau grogner à chaque fois qu'il s'approchait. Même Fumseck semblait être en colère contre lui ces derniers temps.


  Pour Harry, en revanche, les choses allaient beaucoup mieux.


  Bien que Mme Pomfresh ait insisté pour que Harry passe le reste du week-end à l'infirmerie, Harry n'a pas été privé de compagnie.


  Les jumeaux passèrent beaucoup de temps avec lui à préparer les nouvelles farces qu'ils feraient. Il sourires malicieusement quand Harry suggéra quelque chose impliquant Rusard, un cactus et un maillet de croquet.


  Hermione s'assura de passer. À l'origine, son intention était d'aider Harry à faire ses devoirs, mais elle fut surprise de voir avec quel facilité Harry termina ces devoirs sans difficulté finalement ils finirent par beaucoup discuter.


  Tracey, qui aimait bien cuisiner, s'est arrêtée avec un panier de muffins ; et Daphne, qui l'accompagnait, donna à Harry un rapide baiser sur la joue et le félicita pour sa victoire.


  Luna fut extrêmement utile à Harry pour garder le moral pendant les périodes d'ennuis dans l'infirmerie, elle raconta à Harry un certain nombre d'histoires très intéressantes sur des créatures spéciales.


  Plusieurs autre filles se sont arrêtées pendant le week-end, dont Susan Bones et Fay Dunbar.


  Quelques amis de Harry se sont arrêtées pour s'assurer qu'il allait bien et pour le divertir avec des jeux pour passer temps, Madame Pomfresh chassa d'ailleurs Seamus et Dean lorsqu'ils ont apporter un jeu de bataille explosif.


  Enfin, bien qu'elle ait hésité à la faire, Mrs Pomfresh libéra Harry de l'infirmerie dimanche soir.


  Quand Harry fit son apparition dans la Grande Salle pour le dîner, il eut un torrent d'acclamations. Les gens lui firent d'amical tapes dans le dos en lui demandant comment il avait fait cette étrange magie à la fin.


  Ron était moins gai.


  Il bouda tout à long du dîner et ne réussit à avaler qu'environ quatre portions de nourriture. Bien qu'il soit heureux que Gryffondor ait gagné, il ne pouvait pas oublier le fait que Harry avait de nouveau pris la vedette. C'était tellement injuste !


  Ginny regardait Harry avec un désir non dissimuler. Si elle n'avait pas déjà désire Harry avant, elle l'aurais fait maintenant. Dans l'esprit de la jeune rousse, elle était absolument certaine à cent pour cent que Harry Potter était son mari destiné. Après tout, il l'avait sauvée de Vol... de vous-savez-qui l'année dernière. De quelle autre preuve avait-elle besoin ?


  Harry passa une semaine d'école tranquille (enfin aussi tranquille que peut-être une semaine a Poudlard). Les cours étaient plus intéressants que jamais. Le professeur Vector avait commencé à leur enseigner les schémas Arithmantiques utilisés pour créer un lien dans des objet inanimés, tandis que le professeur Babbling les avait initiés aux cercles d'invocation. Même Hagrid, qui n'avait aucune raison d'être inquiet car Harry avait empêcher l'incident avec Buck, il avait prévu pour ces prochaines leçons d'étudier des créatures beaucoup plus douces, ce fut quelque chose pour lequel Harry était reconnaissant, car il n'avait aucune envie de voir une répétition des Scroutt à Pétard en quatrième année.


  L'hiver arriva bientôt sur Poudlard. Une épaisse couche de neige recouvrait le terrain et un vent glacial soufflait dans le vieux château. Noël approchait et bientôt la plupart des étudiants seraient partis pour les vacances.


C'était le dernier voyage à Pré-au-Lard du semestre. Harry descendit au village avec un groupe d'amis nombreux et gai ; Harry se demanda pourquoi il n'avait jamais cherché à avoir plus d'amis dans la chronologie précédente alors que quand il était plus jeune il n'aurait souhaiter que ça. Ensemble, ils entrèrent dans les Trois Balais, ce fut très festif. Clairement, l'esprit de Noël était à la fêtes.


  Ils étaient tous assis devant de la bière au beurre quand Neville prit la parole.


- Harry, c'est pas ton parrain ?


  Harry jeta coup d'œil à l'endroit où Neville indiquer, il vit Sirius dans les bras du... professeur Babbling ? La jeune institutrice blonde riait joyeusement à propos d'une chose que Sirius avait dit à son oreille.


- Tu te souviens de ce qui s'est passé à peu près en sixième année ? demanda Babbling.


  Les yeux de Sirius s'illuminèrent.


- James et moi avons transformé le vieux Snévillus en manchot et tu m'as appris à faire du patin à glace, répondit-il.


  Sirius remarqua Harry, et lui fit un sourire et un signe de mains. Harry lui rendit.


  C'était tellement étrange de voir son parrain faire des choses normales. Sirius était évidemment en rendez-vous avec le professeur d'Ancienne Runes. C'était quand même agréable de voir l'homme s'amuser, il le méritait après toutes ces années à Azkaban. 


  Alors que presque tout les troisième année était à Pré-au-Lard, deux Serdaigles avaient décidé de célébrer leurs vacances un peu différemment. Cho Chang et Marietta Edgecombe suivaient Luna, attendant que la petite blonde arrive à un cul de sac avant de lancer leur attaque.


  Ils venaient tout juste de tourner un coin, dans l'intention de frapper la jeune fille et de l'enfermer dans un placard à balai comme l'année dernière, seulement Luna n'était plus la.


- Attends une minute, dit Cho perplexe. Comment c'est possible ? C'est le couloir des sortilèges, mais nous étions du côtés de la classe de Métamorphose.


  Ils regardèrent autour d'eux, à leurs grand étonnement, ils se trouvaient bien dans une partie complètement différente du château.


- Ce n'est pas possible, dit Marietta.


- Mais où est passé Looney ?


- On devrais y aller, je n'aime pas cette endroit.


  Les deux filles partirent en direction de la tour de Serdaigle pour se retrouver dans les cachots. Peu importe la direction qu'elles prirent, elles se retrouvèrent toujours dans un endroit différents du château. Ce n'est qu'au dernier jour d'école que les deux filles ont pu regagner la Tour de Serdaigle. Cependant, la porte leur posa une question à laquelle elle ne pouvait répondre :


Quelle est la capitale de l'Assyrie ? 


  Et ils attendirent dehors jusqu'à ce que Luna apparaisse en disant que l'Assyrie n'avait plus de capital car elle n'existait plus, mais quand elle existait c'était d'abord Assur et plus tard Ninive.


- Mais ce n'est même pas une énigme ! s'exclama Cho avec colère.


  Luna haussa les épaules et fut balayée par les deux filles frustrées.




  Comme c'était le dernier jour d'école, Harry pensa qu'il devrait jeter un coup d'œil dans la Salle sur Demande. Il était temps de rassembler les Horcruxes en commençant par le diadème. À trois reprises, il arpenta le couloirs du septième étage et la porte apparue.


  La pièce était identique aux souvenirs de Harry, grand et encombré. Harry progressa dans le bazar de la salle et trouva le diadème, il enfila rapidement ses gants en peau de dragon pour ne pas se faire maudire accidentellement. Une fois qu'il récupéra l'artefact ancestral, Harry demanda à la pièce un sac résistant aux malédiction, un sac sortit alors de nulle part et Harry le prit. Après avoir sécurisé le diadème dans le sac, Harry commença à regarder le contenu de la pièce.


  Il y avait un ensemble de vieux balais qui semblaient toujours en très bon état, un assortiment de manteaux, de nombreux joyaux étranges, des bouteilles bouchées au contenu étrange et obscur, une statue du premier directeur de Poudlard, l'armoire à disparaître, de très vieille armes et, bien sûr, des montagnes de livres. Harry pensa que si Hermione voyait ça, il serait impossible de l'arracher de la pièce pour les quatre prochaines années, voire plus longtemps.


  Harry retourna plusieurs fois dans la Salle sur Demande, notamment pour récupérer plusieurs objets. Il rassembla plusieurs bijoux pour les stocker à Gringotts jusqu'à ce qu'il décide quoi en faire, il savait que certaines pierre précieuse sur les bijoux pouvait avoir des propriétés magiques cela pourrait se révéler utiles. Il récupéra les balais, qu'il amena ensuite à madame Bibine qui était ravie d'avoir enfin de nouveau balais pour l'apprentissage des 1er année, puis il s'intéressa aux livres. Il faudrait des siècles pour trier tout ces livres, mais ensuite une pensée lui vint : Attend, mec, c'est la Salle sur Demande. Je dois simplement demander d'organiser tous ces livres pour moi.


  À peine cette pensée lui était venue à l'esprit que tous les livres s'envolèrent. Quelques minutes plus tard, la pièce se transforma en une énorme bibliothèque, les livres étaient ranger par sujet, puis par ordre alphabétique.


- J'adore la magie, dit Harry à voix haute.




  Le lendemain, tout le monde partit pour le Poudlard Express. Harry passa un agréable séjour dans le trains en riant et s'amusant avec ses amis, seul un ex-meilleur ami aux cheveux roux n'était pas présent.


  Lorsque le train s'arrêta à King's Cross, Harry remarqua immédiatement Sirius et Remus qui l'attendaient. Lorsque Harry récupéra ses affaires ils se dirigea vers eux, cependant, il fut abordé par Mrs Weasley qui l'attrapa dans ses bras.


- Bonjour, mon chère Harry, dit-elle.


- Bonjour, Mme Weasley, dit Harry qui essayait de ne pas grimacer.


- Je ne savais pas que tu quitter Poudlard pour noël. Bien sûr, tu est plus que bienvenu pour venir au Terrier, si tu le souhaite.


- Merci pour l'invitation, Mme Weasley, mais je vais passer beaucoup de temps avec mon parrain. Vous voyez, ces un homme libre depuis la fin de l'été...


- Oh, mais bien sûr, mon petit. Il pourras venir aussi.


  Mais qui était cette femme ? Elle ne pouvait pas comprendre qu'il avait déjà des projets ?


- Je passe Noël au Manoir Potter, expliqua lentement Harry. C'est la maison ancestrale de ma famille, je veux mieux la connaître.


- Bien sûr, mon cher Harry. N'oublie pas que notre porte est toujours ouverte.


  Finalement, Mme Weasley partit et Harry rejoindre les deux Maraudeurs. Sirius, taquina sans pitié Harry alors qu'ils partaient. Sirius avait décidé qu'ils se rendraient au Manoir Potter avec la nouvelle voiture qu'il avait achetée, le vieux chien aimait toujours autant les véhicules Moldu.


- Sirius, dit Harry. Tu a un permis de conduire, n'est-ce pas ?


  Sirius ne répondit pas, mais Harry remarqua ces yeux étincelants. Harry eut un soupir.


- Mais avant de nous rendre au Manoir Potter, nous devons emmener les Horcruxes à Gringotts, déclara Harry.


- Bonne idée.


- Quels Horcruxes ? demanda Remus.


- Tu ne lui a pas dit, Patmol ?


- Je pensais que tu allais le faire !


- Quels Horcruxes ?


  Harry soupira à nouveau.


- D'accord. Cela va prendre un moment.


  Une explication sur les Horcruxes de Voldemort plus tard, ils arrivèrent tous les trois à Gringotts et présentèrent le médaillon et le diadème au directeur Ragnok. Naturellement, Ragnok fut indigné d'apprendre que quelqu'un ait utilisé une telle magie sur des objets historiques. Harry expliqua alors l'histoire des Horcruxes au directeur Ragnok, il émit aussi l'hypothèse qu'un autre Horcruxes pourrait être cachée dans le coffre-fort d'un Mangemort ; Harry suggéra de d'abord fouiller le coffre de Bellatrix Lestrange.


  Les gobelins informèrent Harry qu'il faudrait plusieurs mois pour mettre en place la procédure nécessaire pour exorciser les objets car aucun gobelins ne souhaitait détruire des objets d'une telle valeur. Harry mentionna aussi que Voldemort avait volé une bague à Morfin Gaunt et qu'il l'avait probablement transformer aussi en Horcruxes et qu'il l'aurait sans doute cachée dans la cabane des Gaunt, naturellement Harry prévins qu'il risquait d'avoir des protections et qu'il faudrait sans doute faire appelle à une équipe de Briseur de sort. Harry révéla aussi que s'il avait une connections si fortes avec les Horcruxes c'était qu'il en avait un dans sa tête, bien sûr les gobelins avait l'air perplexe lors de cette annonce mais il décidèrent de vérifier quand même. Autant dire qu'ils furent horrifié lorsqu'il s'aperçurent que c'était vrai.


  Quand Harry quitta Gringotts ce jour-là, il n'était pas conscient de tout le respect qu'il avait gagner, à la fois pour avoir déjà détruit un Horcruxe mais aussi d'en avoir capturer plusieurs autres. Quelques jours plus tard, la Coupe de Poufsouffle fut découverte dans le coffre-fort de Lestrange.

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