Il n'est pas encore mort

  Dumbledore était dans une situation difficile. Il avait espéré qu'un Mangemort déguisé entrerait dans le château sous prétexte de faire participer Harry au Tournois des Trois Sorciers ; cela aurait créer un fossé entre Harry et les autres étudiants, qui penseraient qu'il avait triché cela isoleraient donc le garçon de ses partisans. Dumbledore était également certain que le moment serait venu pour Voldemort de revenir, ce qui signifiait que les plans du vieux directeur pouvaient continuer. Cependant, il devait prendre les choses en mains à présent.

- Ah, Ronald, merci d'être venu, dit Dumbledore.

- Certainement, monsieur, dit Ron. De quoi vouliez-vous me parlez ?

- J'ai besoin de ton aide pour une mission très importante.

  Ron gonfla sa poitrine avec arrogance.



- Bien sûr, Mr le Directeur.

- J'ai besoin que tu mettes ça dans la Coupe de Feu, Dumbledore tendis un parchemin.

  Ce parchemin contenait le nom de Harry Potter et il était spécialement enchanté avec un sort de Confondus, pour tromper le gobelet pour que la personne noter dans sur parchemin soit considérer comme le quatrième champion.

- Oui, mais monsieur... Comment vais-je franchir la limite d'âge ?

- La limite d'âge se désactive de minuit à une heure du matin. Cela devrait te laisser suffisamment de temps pour accomplir ta mission.

- Oui monsieur.

- Oh, et voici un mot au cas où tu rencontrerais des professeurs.

- Merci monsieur.

  Ron retourna à la tour de Gryffondor avec un air suffisant. Le grand Albus Dumbledore l'avait choisi lui, Ronald Weasley, pour une mission importante. Ce que Ron ne remarqua pas, c'est qu'il y avait un elfe de maison farouchement protecteur du nom de Dobby qui surveillait chacun de ses mouvements et qu'il avait magiquement changé le nom sur le parchemin.

  Pendant ce temps, dans un vieux manoir de Little Hangleton, un homme très diabolique... euh, en quelque sorte, était en ébullition. Rien ne semblait ce passer selon ses vœux ces derniers temps. Son espion avait été découvert avant même d'entrer dans le château et maintenant il n'avait personne pour s'assurer que Potter serait dans le cimetière. Voldemort n'a même pas eu la satisfaction de tuer le vieux gardien Moldu qui vivait sur la propriété car le vieil homme avait mystérieusement gagné des vacances payées dans les Caraïbes et il ne reviendrait pas le reste de l'année.

  Oui, les choses ne n'allaient pas bien pour Voldemort. Puis, une pensée vint au Noir Humide... euh, je veux dire Seigneur Noir.

- Lucius ! appela-t-il.

- Oui mon Seigneur ? répondit Lucius nerveusement.

- N'a tu pas dit que tu avais un fils à Poudlard ?

- Oui, mon Seigneur. Mon fils Drago.

- Ah oui, Dorko, je vois...

- Drago, mon Seigneur, corrigea Lucius.

- Ne me corrige pas ! Je veux que tu envoie un message à Dorko, en lui disant qu'il doit terminer le travail que Barty à échouer.

- Oui, mon Seigneur.

  Lucius se dépêcha d'envoyer une lettre à son fils. Il y joint un morceau de parchemin spécialement enchanter pour tromper la Coupe de Feu. Il demanda également à Drago d'utiliser un sortilège de lévitation pour contourner la limite d'âge. Ce que Lucius et Drago ne savaient pas, c'est que rien n'échappe à l'attention d'un elfe de maison fanatique du nom de Dobby.

  Tout se réunit pour le dîner le lendemain soir avec une grande impatience. Il était presque l'heure de la sélection des champions. Karkaroff était toujours dans l'impossibilité d'accéder au château et était en train de ruminer de sombre pensée ; Cependant, aucun de ses étudiants ne s'inquiétait de son absence. Harry, quant à lui, n'était pas inquiet sur le déroulement des événement, il avait confié à Dobby le soin de s'assurer que personne ne mettent son nom dans la Coupe (il aurait dut être plus précis dans ses instructions, comme il allait bientôt l'apprendre).

  Bientôt, le magnifique festin d'Halloween disparu des tables et le silence s'abattu sur la salle.

- Eh bien, le gobelet est presque prêt à prendre sa décision, dit Dumbledore. J'estime qu'il faudra encore une minute. Maintenant, lorsque les noms des champions seront appelés, je leur demanderais de bien vouloir se rendre dans la salle situer derrière la table des professeurs, il recevront leurs premières instructions.

  Dumbledore balaya sa baguette et toutes les lumières s'éteignirent.

- Montrer nous.... murmura Harry.

  La Coupe de Feu se mit à crépiter, soudain un rouleau de parchemin s'envola dans les airs.

- Le champion de Durmstrang, déclara Dumbledore, est Victor Krum !

- Pas de surprises là-bas ! cria Ron alors qu'une tempête d'applaudissements balayaient la salle.

  Harry vit Victor Krum se lever de la table des Serpentards et se diriger vers Dumbledore, il tourna à droite et disparu derrière la porte du fond.

  Alors que les acclamations s'apaisent, le gobelet se remit à crépiter alors qu'un autre morceau de parchemin en sortait.

- La championne de Beauxbâtons, lut Dumbledore, est Fleur Delacour !

- Oh, regarde ils ont l'air déçu, dit Hermione en faisait signe en direction des étudiants se Beauxbâtons.

  Déçu était un peu petit, pensa Harry. Deux filles avait fondus en larmes et sanglotaient la tête dans leurs bras.

  Fleur se dirigea également vers le directeur avant de rejoindre Victor dans la salle voisine.

  Pour la troisième fois, les flammes du gobelet crépitèrent alors que le dernier parchemin sortit.

- Le champion de Poudlard est Cédric Diggory ! cria Dumbledore alors que les étudiants de Poudlard applaudissaient.

  Cédric, lui aussi, se dirigea dans la salle où les autres champions réside.

- Excellent ! dit Dumbledore. Eh bien, nous avons maintenant nos trois champions ! Je suis sûr que je peux compter sur vous tous, y compris les étudiants de Beauxbâtons et Durmstrang pour donner à vos champions toute l'aide dont ils pourrez bénéficier. En encourageant vos champions, vous contribuerez...

  Mais Dumbledore s'arrêta soudain de parler et tout le monde comprit pourquoi.

  La Coupe de Feu crépiter de nouveau. Sans que personne ne le remarque, Dumbledore sourit, de toute évidence son plan fonctionner. Ce sourire, cependant, disparut lorsque deux bouts de parchemin sortirent de la Coupe.

  Les yeux de Dumbledore s'écarquillèrent quand il lu les deux noms.

- Drago Malefoy et Ronald Weasley !

  Au moment où Harry et ses amis rentrèrent chez les fondateurs, il éclatèrent de rirent. Ron et Drago avaient tout deux réagis très différemment lorsque leurs noms fut appelés. Drago avait un air blafard et semblait très inquiet, alors que Ron était complètement extatique. Les juges avaient tous été scandalisés par ce qui venait de se passer, Dumbledore, lui, était devenu très morose et ne dit pas grand chose. La décision que tout le monde affirma était que Ron et Drago devaient être rivaux, car il avaient tout les deux été nommé champions.

- J'ai hâte de voir comment ils vont échouer, dit joyeusement Harry.

- Mais, Harry, tu n'a pas dit que les tâches étaient incroyablement dangereuses ? s'enquit Hermione.

- Oui, et je ne vais pas perdre un peu de sommeil si quelque chose devait arriver à la poubelle aux cheveux roux ou au furet albinos.

- Harry, je pense que ta vendetta contre Ron et Drago te fait oublier une chose importante.

- Quoi ?

- Nous somme censés faire bonne impression avec les autres écoles. Que crois tu qu'il va arriver.

- Elle a raison, Harry, concéda Neville.

- Je ne serais pas trop inquiet à ce sujet, déclara Luna.

- Pourquoi dis-tu ça, Luna ? demanda Harry.

- A cause de la tactique de représailles. Le reste de l'école ne se montrera pas gentil avec Ronald et Drago après ça et ils ne seront plus que disposé à en faire ses exemples.

- Qu'en est-il de la politique anti-intimidation ? Vous savez pertinemment que toute forme d'intimidation doit être punie, même si les victimes sont des idiots qui le méritent.

  Luna souri.

- Chaque règle à une échappatoire.

  Alors que la nouvelle politique de lutte contre l'intimidation préconisait de mettre fin à la discrimination, notamment les farces cruelles et dégradante (à l'exception des gentils et innocente), à la violence et à d'autres types actes pouvant nuire au bien être physique et mental d'une personne, il y avait quelques concession. Par exemple : s'il s'agit d'une légitime défense, de défense de quelqu'un d'autre ou de protection des bien personnels ou de le côté.

Ronald et Drago devraient apprendre ça à la dure.

  Drago avait surmonté sa peur initiale et avait l'impression que c'était une bonne chose pour sa réputation et sa mission. Il avait tenté de convaincre ses anciens partisans de porter les insignes : Weasley crains / Supporter Drago Malefoy. Cependant, bien que les autres Serpentard auraient voulut insulter Weasley, il leurs était impossible de soutenir une ponce comme Malefoy. Dans sa colère, Drago avait essayé d'ordonner à un groupe de Serpentards de première année de porter les insignes, quand ils avaient refusé ils avaient tenté de les lancer un sort. Ce fut une énorme erreur car l'une des premières élèves qui tenta de lancer un sort était Astoria Greengrass, et il se trouve que Daphne entra dans la salle commune à ce moment précis. Drago se retrouva avec beaucoup, beaucoup, de blessures en plus d'une semaine de retenue.

  Ronald avait commencé à attirer l'attention le lendemain matin. Il s'était promené dans la Grande Salle et avait giflé plusieurs jolies filles à l'arrière et avait sauté sur la table des Gryffondors pour demander à ce qu'on l'acclame. Le résultat à cette demande fut que que ses deux frère l'assommèrent.

- C'était pour sa propre protection, assura Fred, s'il avait continué, il aurait été grièvement blessé.

  Ron avait maintenant plusieurs sorcières en colère qui complotaient pour sa disparition.

  Bien sûr, les camarades étudiants avaient des choses plus urgente que Ron et Drago à gérer. Il se trouve le lendemain, les deux garçons reçurent des Beuglantes de leurs mères respective. Tout au long du petit-déjeuner, les voix de Molly Weasley et Narcissa Malefoy avaient crié dans la Grande Salle, les deux femmes les réprimander pour la décision d'avoir participer au Tournois des Trois Sorciers. Drago ne s'était jamais senti aussi gêné de toute sa vie, alors que Ron se contenta d'ignorer la lettre et de se reprendre une autre part d'œuf avec du bacon.

  Harry présenta des excuses sincères envers Beauxbâtons et Durmstrang, en leur assurant que cela était totalement inattendu et que ni Ron, ni Drago, ne représentaient Poudlard. Étonnamment, les deux autres écoles furent conciliantes à ce qui c'était passé (enfin mis à part Karkaroff). En fait, les écoles visiteuses étaient très compréhensives, car elle avaient tout deux des étudiants comme Ron et Drago qui avaient laissé derrière pour ne pas causer d'embarra.

  Le jour de la présentation des baguettes ramena beaucoup de souvenirs déplaisants à Harry, jusqu'à ce qu'il se souvienne qu'il n'y participerait pas. Cela provoqua chez lui un certains sourire malicieux qui ne rassura pas ses amis.

- Harry, est-ce que ça va ? demanda Hermione alors qu'ils arriveaient en classe de potions.

- On ne peut mieux, Hermione, toutes les choses de ma vie s'améliorent. Au cas où tu l'aurais oublié, je te rappelle que c'était moi le quatrième champion dans la dernière chronologie.

- Oh, d'accord. Je comprend pourquoi tu partait si heureux dans se qu'à.

- Hé ! Potter ! vint une voix familière, Harry se retourna et vit Malefoy toujours entrain de se pavaner. Je suppose que je suis plus fort que toi, hein Potter ? Qui est le champion cette fois ?

- Cédric Diggory ? dit Harry perplexe.

- Non ! Enfin oui, mais je le suis aussi ! Et je montrerait à cet idiot de beau garçon qui est le vrai champion de Poudlard.

- Malefoy. Ni toi, ni Weasley ne serez jamais, je le répète, jamais les champions de Poudlard. Vous êtes peut-être dans le Tournois, mais Cédric Diggory est celui qui représente le mieux notre école.

  À l'insu de Harry, une classe de Poufsouffles passaient et la nouvelle se répandit comme une traîner de poudre.

  Malefoy, cependant, se sentant investi par la mission de Voldemort, avait oublier le pouvoir que Harry posséder et décida d'attaquer. Comme la dernière fois, Malefoy lança un sortilège de grossissement qui frappa Hermione, Harry l'attaqua en provoquant sur son visage une pousser d'acné violente.

- Mais qu'est-ce qui se passe ici ?! s'exclama Mr Preston en sortant de la salle de cours.

- Malefoy a attaquer Harry ! cria quelqu'un dans la foule.

- Hermione à reçu le sort à ma place professeur, ajouta Harry en relevant son amie qui essayait désespérément de cacher ses dents qui grossissaient rapidement.

- Escortez Miss Granger à l'infirmerie, ordonna Mr Preston.

- Potter m'a également attaqué, professeur, répliqua Malefoy. Regardez ce qu'il a fait à mon visage !

- Vous osez dire ça après avoir attaquer une élève ? Mr Preston examina le visage de Malefoy. Je vous direz bien d'aller à l'infirmerie mais je reconnais cet hexagone. Cela ne peut-être dissiper par magie, tu va devoir attendre que l'acné s'en aille toute seule.

- Monsieur Preston ! cria un élève de deuxième année. C'est leur de la présentation des baguettes. Tout les champions doivent être présents.

- Est-ce que c'est vraiment si important ?

- Je ne suis pas sûr, monsieur. Mais Mr Bagman a parlé d'un journaliste et d'un photographe de La Gazette du Sorcier.

Mr Preston et les autres étudiants durent réprimé leurs fout rires.

- Très bien, dans ce qu'a Mr Malefoy vous pouvez y aller.

  Malefoy bouda et suivit l'élève. En chemin, ils croisèrent Collin Creevey qui accompagner Ron. Les deux rivaux de quatrième année se dévisagèrent et commencèrent à se vanter de la façon dont il prévoyez de surpasser l'autre. Inutile de dire que Creevey et l'autre élève furent soulager lorsqu'ils sont finalement arrivés dans la salle où se tenait la réunion.

  Pendant ce temps, Harry tenait la main d'Hermione alors que Madame Pomfresh rétrécissait ses dents. Harry sourit légèrement quand Hermione demanda à l'infirmière de continuer à les réduire.

- Tu n'avais pas à faire ça, dit Harry alors qu'ils retournaient en classe. Tes dents étaient très bien comme elles étaient.

- Je sais que ces idiot, dit Hermione. C'est juste que je ma faisais souvent taquiner quand j'étais petite à cause de la taille de mes dents. Mes parents m'ont toujours dit qu'ils s'en occuperais un jout, mais j'ai pensé que ce serait plus simple.

  Hermione n'avait pas cessé de sourire depuis qu'ils avaient quitté l'infirmerie.

- Et bien, je suppose que ça en valait la peine si tu souris comme ça plus souvent. Harry prit un air sombre. Je vais devoir parler du comportement de Malefoy à sa mère.

  Plus tard, alors qu'ils se dirigeaient vers le dîner, Harry fut abordé par une autre personne qui figuré dans sa liste noire. Rita Skeeter fit son apparition.

- Lord Potter, quel plaisir de vous rencontrez enfin, dit-elle avec un regard affamer dans les yeux. Cela ne vous dérangerez pas de me donner une petite interview sur le Tournois, n'est-ce pas ?

- En fait, cela me dérangerait, répondit Harry. Vous voyez, j'ai signé un accord avec Le Chicaneur. Si quelqu'un d'autre que ce magazine publie quelque chose qui me concerne sans ma permission, risqua de faire l'objet d'un procès.

  Skeeter ne sembla pas du tout satisfait et Harry avait le sentiment que ce ne serait pas la dernière fois qu'il la verrait. Mais Harry n'était pas trop inquiet, après tout, elle ne pouvait rien écrire sur lui et il savait qu'elle était un Animagus illégal.

  Narcissa Malefoy fut très choqué de recevoir une lettre de Harry Potter ce soir-là et elle fut profondément contrarié lorsqu'elle découvrit ce qu'on imbécile de fils avait essayé de faire. Narcissa n'avait jamais voulu épouser Lucius et détestait chaque instant qu'elle passait avec lui ; le fait qu'il laissait toujours leur fils citer le nom de Malefoy comme si c'était un laisser passer automatique pour obtenir tout ce qu'il souhaite, ne faisait que la mettre en colère. Même si Narcissa se souciait de son fils, il était indéniable que le garçon était stupide, arrogant et entêté.

  Narcissa prit un moment pour réfléchir à ce qu'elle voulait de la vie et son esprit se figea soudain, puis elle prit deux parchemin et commença à écrire.

  La première lettre était une excuse envers Harry pour le comportement de son fils. La seconde, cependant, était pour Sirius.

Cher Lord Black,

En tant que fille de la noble et très ancienne Maison des Black, je vous demande humblement l'autorisation de demander le divorce contre mon mari et d'être réintégrée dans la famille en tant que Black. Je n'ai jamais eu l'intention d'épouser Lucius Malefoy et c'est quelque chose que je regrette profondément. Je ne porte aucune mauvaise volonté envers vous et votre famille, et je n'ai aucune dévotion sincère envers celui qui s'appelle Voldemort. Je pense que continuer à être marié à Lucius Malefoy serait une honte extrême pour la famille Black.

Cordialement,

Narcissa Cassiopeia Malefoy, née Black.

  L'article de La Gazette du Sorcier fut amusant, surtout par l'attitude ridicule de Malefoy et Ron qui essayer sans cesse de se mettre le plus en avant dans la photo. Pour les nouvelles authentique sur le Tournois, les gens s'en remettaient au Chicaneur.

  Bien sûr, Ron et Drago devaient tous les deux partager une section de l'article qui ne faisait qu'un paragraphe. Sur la photo de présentation, on voyer les deux champions entrain de se pousser mutuellement.

  L'article disait ceci :

Le destin est surprenant : Le soir où les champions pour le Tournois des Trois Sorciers ont étaient sélectionner, deux autres étudiants furent nommer en plus du champion de Poudlard Cédric Diggory. Il s'agit d'un Serpentard de quatrième année, Dorko Malefoy, le fils du Mangemort reconnu, Lucius Malefoy et d'un Gryffondor de quatrième année, Ronald Obvious. On ignore comment les deux garçon ont réussi à tromper la Coupe de Feu pour se faire nommer champion, cependant nous leur souhaitons les meilleurs chances.

  Ce n'est qu'après que le journal eu été imprimé et distribué que Rita se rendit compte qu'elle avait accidentellement donnée par erreur à Ron le nom de famille de son cousin Cracmol. Cependant, elle jugea cela sans importance et retourna à sa tâche principal, se venger de Harry Potter pour avoir refusé de lui accorder une interview.

  Le samedi précédent la première tâche, Harry et ses amis se dirigèrent vers Pré-au-Lard. C'était un matin de novembre glacial et tout le monde était très emballé. Pré-au-Lard était très différent de l'an dernier, il y avait beaucoup plus de magasins et l'ajout d'un parc était plus que bienvenu. Mais c'est la patinoire qui attira le plus d'attention.

- Je ne suis pas sûr de pouvoir le faire, Harry, dit Daphne inquiète. Je n'ai jamais fait de patinage sur glace auparavant.

- Quelle coïncidence, dit-il. Moi non plus.

- Quoi ?!

  Mais avant que Daphne eu le temps de protester, Harry l'avait emmenée sur la patinoire. Les autres applaudirent lorsque Harry et son charmant compagnon commencèrent lentement à glisser sur la glace. Heureusement pour eux, la patinoire avait subis un sort anti-dérapant.

- A mon tour ensuite ! dit Tracey alors qu'ils passaient.

  Sirius et Bathsheba étaient également sur la patinoire, mais ils effectuaient des mouvement beaucoup plus gracieux que les étudiants. Remus observa son ami avec amusement pendant que Nymphadora...

- Appelle moi comme ça et tu meurs !

  Je disais donc... Tonks discutait amicalement avec lui. Quand Remus demanda pourquoi Tonks n'était pas sur la patinoire, elle fit remarquer que même avec le sortilège anti-dérapant, elle se moquerait probablement d'elle même, ce à quoi Remus refusait catégoriquement de croire.

  C'est un groupe joyeux qui fit son chemin vers les Trois Balais pour aller prendre des bière au beurre chaude, ignorant qu'ils étaient suivis par une certaine journaliste. Harry s'amusa beaucoup ce jour-là, alors qu'il avait involontairement laisser tomber sa garde lorsqu'il se retrouva assis au milieu de son groupe d'amis.

  Il fut soudain tiré de sa rêverie par le flash d'une caméra et la vue de Rita Skeeter.

- Bonjour à nouveaux, Lord Potter, dit-elle avec un sourire à pleine dents. J'espère que je n'interrompt rien.

- En fait, si, rétorqua Harry. Et je dois vous rappeler que toute utilisation non autorisée de mon nom ou de mon image vous vaudra des problème assez désagréable.

- Oh, mais ne vous inquiétez pas, Lord Potter. Je peux vous assurer que votre image restera en dehors de cette photo.

  Harry n'aimait pas la façon dont elle avait dit ça.

  Sans un autre mot, Skeeter et son photographe firent leur départ.

  Ce ne fut que tard dans la soirée que Harry se souvint qu'il n'avait pas encore informé Cédric des dragons. Il venait tout juste de se lever pour partir à la recherche du champion de Poudlard quand il s'arrêta, il se demandait si la première tâche impliquait toujours des dragons. Il venait juste de songer à enfiler sa cape d'invisibilité et à sortir pour fouiller les bois, lorsque Hedwige lui donna une lettre.

- Merci Hedwige, dit Harry en prenant la lettre.

Cher Harry,

Comme vous le savez sûrement, je suis en très bon terme avec Charlie Weasley qui travaille dans une réserve de Dragon en Roumanie. Vous voudriez peut-être savoir ce qu'il va prévu d'être présent pour la première tâche《pour s'assurer que son frère s'en sortira.》 Ils ont eu un peu de difficultés avec certaines négociations à la réserve, mais la situation devrait être résolu avant mardi prochain.

Oh, et j'envoie aussi tout mes meilleurs vœux à Cédric Diggory. Il est temps que Poufsouffle soit reconnu.

Cordialement,

Red.

  Harry eu un petit rire. Red avait prit le soin de lui envoyer le message codé le moins subtil au monde. Alors que Harry partait à la recherche de Cédric, il se demanda s'il devait le dire à Ron et Drago. Bien sûr, les deux étaient des bâtard complets, mais d'un autre côtés...

Eh bien, Harry était sur qu'il trouverait un moment pour leur dire.

  Pendant ce temps là, Ginny Weasley faisait des complots. Elle était déterminée à gagner l'affection de Harry Potter d'ici la fin de l'année. Malheureusement, elle n'avait pas réussi à lui faire boire une seuls des potions d'amour que sa mère lui avait envoyées. Ginny décida alors de conquérir Harry à l'ancienne, avant de risquer une autre tentative de philtre d'amour. Elle avait récemment acheté de nouveaux vêtements et du maquillage et elle saisissait maintenant toutes les occasions possibles pour attirer l'attention de Harry. Elle espérait que Harry remarquerez que elle aussi et une femme comme ce rat de bibliothèque d'Hermione, la bimbo sans cervelle ou même ces deux salopes de Serpentard, Greengrass et Davis.

  Ginny s'était plainte à Ron de la façon dont Harry ne la remarquait pas, mais Ron était plus concentré sur sa propre fierté blessée. Elle évoqua ensuite l temps que Harry passait avec les autres filles, pas seulement Hermione, mais plusieurs des sorcières les plus attrayantes de l'école, et Ron furieux, avait accepté d'aider Ginny.

  La plus jeune des Weasley n'était pas la seule qui l'encourager dans sa conquête de Harry. Le directeur Dumbledore l'avait appelée dans son bureau et lui avait demandé de conquérir Harry part tout les moyens nécessaires, car il état impératif que Ginny devienne la nouvelle Lady Potter (en plus de toutes les autres familles dont Harry était le Seigneur). Dumbledore avait beaucoup insisté sur le fait que Harry besoin que d'une femme pour tout les titres, est que Ginny était la première candidate. La raison de ce choix particulier était que Ginny était du côtés de Dumbledore, comme sa mère et son frère ils étaient donc très faciles à manipuler. Avec Ginny Weasley en tant que Dame de toute ces familles, Dumbledore aurait le moyen de contrôler toute cette richesse et ce pouvoir, tant que Harry se laisserait influencer par Ginny qui se faisait influencer par Dumbledore.

  Le seul problème avec ce plan c'était que Harry ne semblait n'avoir aucun intérêt apparent pour Ginny.

  Après une longue discussion avec Hermione sur le dilemme moral de savoir s'il fallait ou non, dire à Ron et Drago la nature de la première tâche, Harry décida finalement de les prévenir Lundi matin sur l'insistance d'Hermione qui ne trouvait pas cela《juste》et que cela devait dépasser sa simple colère.

- Ron, dit Harry aussi poliment que possible, je voulais juste que tu saches que la première tâche implique des dragons.

- Bah ! Comme si j'allais y croire, ricana Ron.

- Vraiment Ron, il y aura des dragons.

- Je ne me fait pas avoir aussi facilement, Harry. Tu essayes juste de me faire peur parce que tu es jaloux que je sois le champion et pas toi.

- Je ne plaisante pas sur quelque chose comme ça, Ronald Weasley, dit Harry avec colère, il fut surpris de savoir à quel point il ressembler à Hermione en cet instant. Je voulais juste te prévenir car tout les autres champions le savent, je voulais que ça soit juste. Mais si tu ne me crois pas, c'est ton problème.

  Alors que Harry s'éloigna, Ron parut agacé.

- Il est impossible qu'ils nous fassent combattre des dragons, déclara-t-il. Je ne vais pas me faire avoir.

  Harry décida d'être moins direct avec Drago, il savait que qu'il réagirait de la même manière. Il prit donc le soins que la petite amie de Drago, Pansy Parkinson,《surprenne》une conversation.

- Alors, Harry, dit Neville une fois qu'ils étaient certains que Parkinson était à l'écoute, quelle sera selon toi la première tâche ?

- Je ne suppose rien, Neville, répondit Harry. Je sais ce que vont être toutes les tâches.

  Pansy se figea en écoutant plus attentivement.

- Est-ce que tu vas le dire à Weasley et Malefoy ?

- J'ai essayé de le dire à Ron, mais il ne voulait rien entendre. Quant à Malefoy, je lui dirais mais doute qu'il m'écoute aussi. Ils me détestent tellement qu'ils croyent que je blague sur une chose aussi dangereuse. Dommage, mais après tout ce n'est pas comme si quelqu'un pourrait envoyer ce message pour moi. Oh bien, j'espère que les dragons vont aimer le goût de ces deux abrutis.

- Y a-t-il vraiment des dragons, Harry ?

- Absolument. Un pour chaque champion. J'ai hâte de voir le spectacle de demain.

  Pansy s'empressa de dire à Malefoy son destin funeste... euh défi.

  Harry, réalisant qu'il avait fait la bonne action de la journée, se dirigea vers on cours d'éthique.