Il n'est pas encore mort

Chapitre 20 : Jour de salade

4348 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 15/12/2019 16:11

  C'était le matin de la première tâche et Harry se s'était jamais senti aussi soulager. Il avait essayé, à plusieurs reprises, de convaincre Ron qu'il y avait des dragons mais l'imbécile arrogant ne l'écoutait pas. Par conséquent, Harry décida que ce serait de la faute de Ron s'il finirait rôti. Malefoy sembla plus pâle que d'habitude et sembler marmonner des chose dans sa barbe.



  Le petit déjeuner passa lentement, Harry remarqua quelque chose alors qu'il discuter avec ses amis. Daphne, qui était assise à la table des Gryffondor ce matin-là avec le groupe de Harry, continuer de lancer des regards noirs en direction de Fleur Delacour.


- Est-ce que il y a une raison particulière pour laquelle tu n'aime pas la championne de Beauxbâtons ? demanda doucement Harry.


- Non, répondit Daphne. Qu'est-ce qui ta donnée cette impression ?


- Tu continue de la regarder comme si elle avait mangé ton chaton ou quelque chose dans ce genre.

  Daphne jeta un coup d'œil rapide vers Tracey, qui parut soudain très intéressée par son problème d'Arithmancie.


- Ce n'est rien, Harry, nia Daphne.


- Daph, tu sais que tu peux tout me dire, non ? Nous somme tous amis ici.


- Je sais, dit-elle doucement.


  Harry décida de ne pas insister davantage. Il était évident que Daphne cachait quelque chose et Tracey était au courant, mais Harry décida de respecter une vieil promesse à lui qui est de ne pas se mêler des affaires des autres. Ils finirent tous rapidement leur petit-déjeuner, suivirent leurs cours du matin, puis retournèrent pour le déjeuner quand ils remarquèrent que McGonagall ordonnait à Weasley et Malefoy de se rendre sur le terrain où se déroulait la première tâche.


- Hé, Harry, dire Fred et George alors qu'ils s'asseyaient.


- Nous nous demandions... dit Fred.


- C'est juste une petite idée... ajouta George.


- Mais certainement, mon cher Lord Potter.


- Nous somme à peu près certains que Cédric aura les meilleurs notes.


- Bien que Krum et la championne de Beauxbâtons aient toute leurs chances également.


- Cependant le plus gros paris...


- Est c'est la que c'est intéressant...


- Malefoy ou notre cher petit frère ?


  Harry et Hermione échangèrent un regard incertain.


- Tu paris vraiment sur la gravité des blessures de ton propre frère ? dit Hermione.


- Ne t'inquiète pas, Granger, dit Fred avec dédain. Je suis sûr que le ministère a mis en place des mesures pour protéger les champions en cas de danger mortelle.


- Ouais, ils ne voudraient pas que les massacres qui on eu lieu dans les ancien Tournois se répètent, ajouta George.


- Attention, à tout les étudiants !


  Tout le monde leva les yeux, c'était le professeur McGonagall.


- La première tâche est sur le point de commencer. Veuillez terminer vos repas et descendre au stade.


- Stade ? dit Neville alors qu'ils se levaient tous. Depuis quand avons-nous un stade ?


- Ils l'ont préparé pour la première tâche, expliqua Harry. En tant que propriétaire de Poudlard, j'ai du donner mon autorisation.


  Ils se dirigèrent tous vers la forêt où le grand stade avait été érigé. Il n'était pas aussi grand que celui de la Coupe du Monde, mais il pouvait certainement accueillir tout Poudlard, et même plus. Harry et ses amis venaient de trouver une rangée de banc quand ils furent arrêtés par une voix familière et importune.


- Bonjour, mon cher Harry.


  C'était Molly Weasley, accompagné de Ginny.


- Bon après-midi, Mme Weasley, dit Harry les dents serrées.


- Je suis venus pour encourager mon petit Ronnikins. Je suis terriblement inquiète s'il lui arriver malheur.


- Oui, ce serait une... tragédie.


  Le sarcasme de Harry passa au-dessus de la tête de la femme.


- Quoi qu'il en soit, mon cher Harry, pourquoi ne viendrais tu pas t'asseoir à côtés de Ginny ?


- En fait, Mme Weasley, j'allais m'asseoir entre Hermione et Neville. Sans vouloir vous offensez, mais ils sont plus proches de moi que Ginny.


  Mme Weasley parut abattu. Ginny lui avait écrit au moins une fois par semaine depuis que l'école avait repris, elle savais que toute les tentatives de philtre d'amour avait échoué. Molly était persuadée que le garçon avait juste besoin d'être mis sur la bonne voix, ce qui signifiait l'amour de Ginny.


  Harry, cependant, connaissait l'intrigue depuis le début de l'année.


- J'espère que cette tâche ne durera pas trop longtemps, dit calmement Harry en s'asseyant entre ses amis. Je fois assister à une réunion du Magenmagot plus tard dans la journée.


- Oh, Harry chéri, je ne vois pas pourquoi quelqu'un d'aussi jeune que toi devrais être impliqué dans la politique, déclara Molly. Je suis sûr qu'il y a beaucoup de personne de confiance et fiables qui pourrez vous représentez sur place.


  Harry soupçonna qu'elle faisait référence à Dumbledore.


- Je crains que je doit être personnellement présent. Je vais présenter un projet de loi visant à officialisé l'illégalité des potions d'amour.


  Molly et Ginny semblèrent prêtes à s'étouffer.


- Harry, dit nerveusement Ginny, pourquoi voudrais-tu faire ça ?


- Les potions d'amour sont fondamentalement la version magique de ce que les Moldus appellent drogue, expliqua t-il. J'ai l'intention de faire en sorte que plus personne ne soit jamais soumis à une telle choses et je m'arrangerais pour que ceux qu'ils s'en servent sois punis. Gravement.

  La mère et la fille se turent et regardèrent l'arène, Harry, lui, arboré un sourire satisfait.


  Pendant ce temps, dans la tente des champions...


  Les champions attendaient tous nerveusement que la tâche commence. Enfin, tous sauf Ron ; il lisait tranquillement un magazine sur le Quidditch et mangeait des bonbons qu'il avait volées dans la malle des jumeaux (ignorant qu'il s'agissait en fait de farces expérimentales qui ne prendraient effet que plus tard). Ron leva les yeux de son magazine lorsqu'il entendit le bruit d'une dispute à l'extérieur de la tente.


- ... mettant en danger toute une génération de dragons, déclara la femme.


  Ron reconnu la voix, c'était la fille étrange que Charlie avait invité à la Coupe du Monde durant l'été ; c'était elle qui l'avait dit d'apprendre à bien se comporter à table.


  Hmmpf, que sais t-elle ? dit Ron mentalement alors qu'il remis son attention sur le magazine.


- Je vous assure que les œufs de dragons seront parfaitement en sécurité, répondit Ludo Bagman à la femme en colère. De plus, sa sera plus authentique et...


- Lord Potter m'a spécifiquement informé que aucun véritable œuf de dragons ne se trouveraient dans l'arène, sous le motif du risque d'être endommagés, rétorqua Red. Charlie, soutiens moi.


- Elle raison, Mr Bagman, acquiesça Charlie. Les œufs d'or que les champions récupéreront sont les seuls œufs utilisée dans la tâche.


- Mais, mais... bafouilla l'homme.


- Franchement, il mettent vraiment n'importe qui a la tête des départements ces temps-ci, dit Red alors que elle et Charlie s'éloignaient. Quoiqu'il en soit, bonne chance pour garder ces dragons sous contrôle Charlie.


- J'en aurai besoin. Ce Magyard a pointes et ce Pansedefer ukrainien sont de véritables monstre. Je plains vraiment ce qu'ils vont devoirs les affronter.


- Eh bien, voici un Tournois qui promet d'avoir du succès, conclu Red, en donnant au jeune un baiser rapide sur la joue. OK se voit après la tâche; on sortira prendre une bière au beurre.


  Tandis que Charlie souriait en partant, les champions étaient appelés. Mr Bagman est entrée dans la tente pour s'adresser à eux.


- Eh bien, maintenant que nous somme là, il est temps de vous mettre au courant, dit-il. Les spectateurs et les juges sont rassemblés à l'extérieur et je vais maintenant faire passer ce sac à chacun d'entre vous. Vous en retirerez un modèle de la chose que vous devrez affronter. Elle sont toutes différentes, est votre objectif et de récupérer un œuf d'or qu'elle gardera. Il se tourna vers Fleur. Les dames d'abord.


  Fleur tendis la main et sortit du sac un Vert gallois. Après elle, Krum s'avança et retira le Boutefeu chinois. Ensuite, Cédric arriva et reçut le Suédois à museau court. Tremblant, Malefoy s'approcha et sortit le Magyard à pointes, provoquant presque l'évanouissement du garçon.


- Monsieur Weasley, à votre tour, dit Bagman.


- Hein ? Oh, c'est vrai. Ron tendis la main dans le sac et poussa un petit cri de douleur, le Pansedefer ukrainien venait de lui mordre un doigt. Petit bâtard, grogna Ron. Attendez, pourquoi on doit faire ça déjà ? Bah ce n'est probablement pas important. Je me demande quelle sera la première tâche. Probablement quelque chose digne d'un champion comme moi !


- Très bien, alors Mr Diggory, il semble que vous soyez le premiers à passez l'épreuve, dit Bagman. Vous entrerez dans l'arène quand vous entendrez un cor. Bonne chance à tous !


- Vous savez quelque chose ? dit Harry. C'est vraiment stupide.


- Je suis d'accord, dit Susan depuis le siège derrière Harry. Comment est-ce que quelque chose qui ressemble à un combat de gladiateurs est censé renforcer la coopération magique internationale ?


- Oh, il y a ça, mais je faisais allusion à l'idée que des étudiants se battent contre des dragons. Cela ne dit pas vraiment grand-chose sur un établissement si c'est la façon dont nous prenons la sécurité de nos enfants.


- Oh, regarde, c'est le tour de Malefoy, dit Luna en pointant le bout de l'arène.


  Malefoy s'immobilisa de terreur alors qu'il fixait le monstre géant auquel il était supposé être confronté. Cette paralysie dura environ trente seconde avant qu'il ne crie et commence à courir, le Magyard a ses trousses. Harry dut se battre pour ne pas rejoindre le fous rire général qui résonnait dans les tribunes. Les éleveur de dragons, réalisant que tout se passait mal, tentèrent d'intervenir pour sauver le pauvre adolescent, malheureusement, il y avait une chose qu'ils n'avaient prévu. Quel que soit le produit que Malefoy mettait dans ses cheveux, il contenait un ingrédient qui avait un parfum particulier, indétectable pour l'homme, qui ressemblait nettement aux phéromones de la nourriture préféré du Magyard à pointes : le mouton.


  Le Magyard n'agissait pas pour défendre l'œuf d'or, mais par le désir de manger son repas de midi. Ce qui est curieux à propos des habitudes alimentaires des Magyard à pointes, c'est qu'ils aiment jeter leurs proies en l'air et envoyer envoyer un jet de flammes pour faire rôtir avant de les laisser tomber à terre pour le dévorer. Malheureusement pour Drago, c'est exactement ce que le Magyard commençait à faire. Il avait attraper le jeune homme par l'arrière de ses vêtement et l'avait jeté dans les air en crachant des boule de feu. Avec une grande rapidité, l'un des éleveurs de dragon parvint à envoyer un sortilège qui éloigna Drago des flammes et fit apparaître un coussin sur le lieux de sa chute. Par un étrange séquence d'événement, le feu du dragon avait touché l'œuf d'or que Drago put saisir lors de sa descente.


  Il fallut quelques instants au jeune Serpentard avant qu'il ne réalise à quel point l'objet qu'il tenait était brûlant. Il laissa échapper le pire cri de fillette du monde. Tout compte fait, Malefoy n'eut pas une si horrible note que prévu, Madame Maxime lui donna un cinq, Bagman six, le représentant de Durmstrang (Karkaroff ne pouvant toujours pas entrer dans l'enceinte de l'école) lui donna un quatre, Dumbledore un sept et Mme Crump donna un autre cinq.


- Bien, cela était... intéressant, dit Harry.


  Il savait que Drago était un lâche, mais voir le furet courir et crier comme ça était juste embarrassant. Harry était soulager de n'avoir jamais véritablement reconnu Drago comme son véritable ennemi juré, réservant ce titre à l'ancien Voldemort, car considéré Drago comme un véritable danger serait plus qu insultant.


- Cette tâche et vraiment inutile, déclara Neville. Je pourrais être de retour au quartier des fondateurs pour continuer les recherches sur mon projet.


- Attendons simplement de voir si Ron s'en sort en un seul morceau, dit Harry. Ensuite on pourra partir.


  Après que les éleveurs eut enlevés le Magyard, ils sortirent le Pansedefer ukrainien. Il était plus gros que le Magyard et paraissait beaucoup plus méchant. Il n'avait peut-être pas de grande pointes, mais le sourire démoniaque et ces yeux rouges indiquaient qu'il était impatient de trouver sa proie.


  Ronald, cependant, n'était pas du tout inquiet, lorsqu'il entendit le cor il entra dans l'arène. Il jeta un coup d’œil autour de lui, avec un sourire il chercha un jeux d'échecs géant lorsqu'il entendit un grognement au-dessus de lui avec une vague de chaleur. Il leva la tête et croisa le regard du dragon qui souriait avec démence. Ron décida que le moment était sans doute venus d'engloutir le reste des bonbons qu'ils avaient trouvés chez les jumeaux, et les effets qui jusqu'à présent ne s'étaient pas activer s'activèrent alors.


- Fred ?


- Oui, George ?


- Ce n'est pas notre sac de farces expérimentales que Ron mange ?


- Je pense que ça l'est, mon frère.


  Les deux frères échangèrent un regard nerveux.


- Quel crétins ! s'exclamèrent-t-il.


  Voyez-vous, pendant l'été, les jumeaux ont travailler sur des farce en utilisant certaines des suggestions que Harry avait indiqué. L'un des bonbons a été conçu pour faire pousser des tentacules. Une autres des friandises était basée sur un sortilège qui pouvait transformer une personne en pingouin pendant une période prolongé. Une combinaison de ces bonbons en plus d'autres bonbons sur lesquelles Fred et Georges travaillaient provoqua une réaction étrange chez le jeune frère.


  Devant tout Poudlard et plusieurs responsables du ministère en plus de reporters, Ronald Weasley se transforma en un pingouin géant électrique avec de longue tentacules vertes.


  Ron poussa un cris, agita les bras... les ailes... les tentacules ? Dans sa panique, il fini par frapper le dragon, le rendant fou furieux sûrement à cause des drôles de pointes au bout des tentacules.


  Le dragon se précipita vers Ron, mordit l'une des ailes et causant au garçon... oiseau... à la chose une panique supplémentaires.


- RONALD ! cria Molly Weasley en essayant de sauter dans l'arène pour sauver son fils.


- Ne t'inquiète pas, maman, assura Charlie Weasley. Je vais m'en occuper !


  Charlie n'était peut-être pas très proche de son jeune frère, mais il était toujours un Weasley et il devait sauver sa famille. C'est ainsi que le jeune éleveurs de dragons sauta sur le dos du Pansedefer ukrainien et tenta de le calmer.


- Tout doux, Mary ! dit-il au dragon. Installe toi, là-bas ma fille !


  Ce n'était pas par hasard que Charlie sauta sur le dragon, il c'était occuper du dragon depuis l'œuf et seul lui pouvait la calmer. À contrecœur, Mary, abandonna sa proie et toucha avec sa tête noire et écailleuses son humain préféré.


- Bonne fille, dit Charlie.


  Ron, de son côté, courait toujours frénétiquement et les Aurors eurent du mal à le maîtriser. Il va sans dire que les notes de Ron étaient nulles, seul Dumbledore lui attribua un score généreux de quatre point.


  Tandis que les Aurors réussirent à mater Ron et à le transporter à l'infirmerie, Charlie échangea un regard avec le dragon.


- Je ne vois pas quel est le problème, dit-il. Ce n'est qu'une petite plaie après tout.



  Le Magenmagot était rassembler, les seigneurs et dames prirent leurs place. Harry, qui espérait faire passer un projet de loi, devait prendre la parole en premier. Il jeta un coup d’œil nerveux à Hermione, Neville et Luna qui étaient assis dans la section des invités, ils lui sourirent tous d'un air rassurant.


- Seigneurs et dames du Magenmagot, commença-t-il. J'aimerais d'abord vous remercier de m'avoir donner la chance de présenter mon projet de loi, pour mettre fin à ce que je considère comme une menace sérieuse pour notre société. Je veux parler de ces ignobles substances connues sous le nom de《 philtre d'amour 》.


  Il y eu un murmure parmi les membre du Magenmagot.


- Lord Potter, je ne vois pas en quoi les potions d'amour sont nocives, déclara l'un des seigneurs, elles semblent assez inoffensifs.


- Inoffensifs, Lord Jenkins ? Permettez-moi de vous poser une question. Pourquoi le sort Imperium est-il illégal ?


- Car cela enlève le libre arbitre d'une personne, en la forçant à obéir à une autre personne.


- Et que fait un philtre d'amour ?


  L'homme s'arrêta un instant de réfléchir, puis ses yeux s'écarquillèrent soudain.


- Je vois, dit-il doucement. Vous avez un argument valable, Lord Potter ?


- Je ne vois toujours pas le problème, ricana une sorcière plutôt méchante. Les potions d'amour n'ont jamais été considérées comme nuisibles et beaucoup de gens les utilisent dans les mariages arrangés.


- Vous réalisez qu'une telle chose est déjà jugée illégal ? dit Harry. Qu'on le veuille ou non, la communauté magique est toujours soumise aux lois de la Grande-Bretagne. Forcer quelqu'un a s'engager via l'effet des potions d'amour est considéré comme un viol. Harry fit une pause pendant un moment. Et si vous pensez toujours que les potions d'amour sont toujours inoffensifs, alors laissez-moi vous prouvez le contraire.


  Harry commença à faire les cents pas dans la pièce, observant chacun des seigneurs et dames.


- En l'année 1925. Un jeune homme imprudent du nom de Tom Jedusor rencontre par hasard une sorcière appauvrie du nom de Merope Gaunt. Merope lui offrit un verre qu'il accepta, ignorant que le breuvage contenait l'une des plus puissantes potions d'amour au monde. Le jeune homme a été pris au piège de la potion, et contre sa volonté, il fuit avec Merope et abandonna son avenir, sa famille et sa propre fiancé.

《 Au cours de l'année, Merope tomba enceinte et cessa de d'administrer le philtre d'amour car elle croyait que Tom était véritablement tombé amoureux d'elle, au pire il resterait pour l'enfant. Cependant, Tom libérer de la potion, fut choqué et horrifié lorsqu'il réalisa tout ce qu'il avait fait.《Qu'auriez-vous fait à sa place ? Restez avec votre violeur dont la présence même vous repousse, ou partir immédiatement et essayez de sauvez une partie de votre ancienne vie ? Harry remarqua que la pièce était devenu incroyablement silencieuse. Au final, cette substance que vous disiez inoffensifs à permis à la naissance de Lord Voldemort !

《 Je vous le redemande donc à nouveaux. Pensez-vous que les potions d'amour son inoffensives ?


  Il eut un petit moment de silence avant le vote. La décision fut presque unanime, les potions d'amour étaient maintenant et pour toujours illégale à utiliser, vendre, acheter ou brasser, sauf pour un but éducatif.



- C'était... satisfaisant, dit Harry une que lui et ses amis furent installé dans le quartier des fondateurs.


- C'était une bonne chose, Harry, dit Hermione avec un sourire. Mais à quoi pensez-t-il ? Ils ont laisser les potions d'amour sans contrôle pendant des siècles. Tu a probablement sauver d'innombrables innocents.


  S'il y avait une chose que Hermione admirait plus que toute autre chose, c'était la justice pour changer une société arriéré et remplies de préjugés. Cela explique pourquoi elle s'était si battu pour les droits des elfes de maison dans l'ancienne chronologie.


  En parlant des elfes de maison, Harry se souvint de Winky. Mr Croupton l'avait renvoyé comme la dernière fois, enfin peut-être ? Curieux de savoir si Winky était dans les cuisine de Poudlard, Harry se leva et partit en ignorant les questions sur sa destination. Il ne lui fallut pas longtemps pour atteindre les cuisine.


  Harry se retrouva face a la peinture qui représenter un bol fruit qui gardait l'entrée de la cuisine. Il chatouilla l'image de la poire et le portrait pivota aussitôt. Harry ne fit même pas deux pas qu'il fut accueilli par un essaim d'elfes de maison.


- Notre seigneur et venus nous voir ! dit un elfe.


- Que pouvons nous faire monsieur ? ajouta un autre.


- Euh, du thé sa irait bien, dit Harry incertain.


  Harry réalisa soudain qu'il avait sans doute provoquer une guerre entre les elfes de maisons dont l'enjeu était sa tasse de thé. Heureusement, Harry fut sauvé par l'apparition de Dobby.


- Dobby à préparer du thé pour Maître Harry Potter, dit fermement Dobby au autres elfes. Dobby et l'elfe personnel du Maître !


  Les autres elfes regardèrent Dobby avec envies, mais il savaient qu'il ne valait mieux pas protester. Harry prit place sur une table voisine et Dobby installa le service à thé.

- Merci, Dobby.


- Je ferais tout pour Maître Harry Potter, monsieur.


- Dobby, je me demandais si de nouveaux elfes ont rejoints Poudlard ces derniers temps ? demanda Harry en buvant une gorgée se thé.


- Il y en a une, Maître Harry Potter.


- Qui ?


  Dobby indiqua la cheminée où Winky était blottie tristement ou elle était en train de boire de la Bièraubeurre.


- Dobby à emmener Winky à Poudlard après que le méchant Croupton lui ait donné des vêtements. Dobby pense que Winky n'est pas contente de servir l'école, monsieur. Mais si Winky continue comme ça son état risque de se détériorer.


  Harry se dirigea lentement vers Winky, il s'agenouilla près du petit elfe.


- Bonjour, Winky, dit calmement Harry.


- Vous devez être Harry Potter, monsieur, dit-elle. Dobby parle tout le temps de sa joie de travailler pour vous.


- J'espère vraiment qu'il est heureux de travailler pour moi. Comment vas-tu Winky ?


- Le maître manque à Winky, sanglota l'elfe. Winky est un mauvais elfe de maison ! Elle a laissé tomber Maître Croupton.


- Tu n'es pas un mauvaises elfes, Winky. Tu es un très bon elfe et je pense que Mr Croupton à eu tort de te renvoyer.


- Winky n'aime pas travailler pour l'école, monsieur. Winky veut servir un maître ou une maîtresse.


  Harry réfléchit un instant, qui avait besoin d'un elfe personnel ? Il avait déjà Dobby et Winky voulais clairement servir son propre maître ou maîtresse. Un pensée le frappa soudain, il pria pour que Hermione lui pardonne ce qu'il était sur le point de faire.


- Je pense que je connais une sorcière qui a besoin d'un elfe de maison, dit Harry.


  Les grands yeux de Winky s'illuminèrent d'espoir.




- S'il te plaît, Hermioe, supplia Harry.


- Harry tu connais mon avis à ce sujet, répondit la brillante sorcière. Si j'accepte Winky comme mon elfe de maison, qu'obtiendra-t-elle en retour ? Si je ne la dédommage pas pour son aide, ce sera de l'esclavage.


- Hermione, tu sais que je n'approuverais jamais quelque chose comme l'esclavage. Les elfes de maison contrôlent leur magie par le liens qui possède avec leur maître ou maîtresse. Les elfes de maison de Poudlard survivre parce qu'il travaille pour le château qui semble avoir sa propre volonté, mais Winky ce veut pas se liée au château. Regarde la ! Il montra l'elfe de maison qui leva ses yeux vers Hermione avec une expression suppliante. Si elle ne se lie pas, sa magie va se détériorer et elle finira mourir. S'il te plaît, Hermione...


  Hermione regarda le petit elfe et senti son coeur se serrer, même si elle ne l'admettrait jamais, elle savait qu'il n'y avait pas d'autres solutions. Harry lui avait assuré que même si certains sorcier cruels abusaient de leurs elfes, ce lien entre sorcier et elfe n'était pas de l'esclave en soi. C'était en vérité une relation symbiotique qui se liée entée les deux.


- Winki, dit Hermione, si tu veux, je serais heureuse de te prendre pour mon elfe de maison.


  Le regard de joie que le visage de Winky exprima aurait réchauffé même les cœurs les plus gelés. Hermione et Winky joignirent leurs mains et un lien se créa. Presque instantanément, Winky avait l'air plus en forme.


- Que peut faire Winky, Maîtresse Hermy ?


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