Il n'est pas encore mort

Chapitre 22 : Continuez avec le spiel

6010 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 29/07/2020 20:26

  Tout le monde se réveilla le lendemain matin et se préparer à rentrer chez sois, à l'exception des deux ou trois étudiants qui avaient choisi de rester à Poudlard. Harry et ses amis s'entassèrent dans un compartiment et commencèrent à discuter de ce qu'ils allaient faire pour les vacances. Tracey avait été bouleversé lorsqu'elle apprit que Daphne et sa famille allaient rendre visite à de la famille en Grèce pour Noël. Ce qui signifiait que Tracey devrait se rendre chez elle cette année-là. Heureusement, Hermione lui proposa de passer les vacances chez elles au grand soulagement de Tracey. Neville avait invité tout le monde à une fête au Manoir Londubat le lendemain de Noël, un événement qui suscita l'intérêt de tout le monde. La conversation tourna vite sur la vengeance de l'article que Skeeter avait écrit.



- Je ne peux tout simplement pas la laisser faire alors qu'elle continue de vous blessez, insista Harry.


- Tout va bien, Harry, lui assura Daphne. Je n'ai pas honte de mon héritage, du moins pas après notre petite conversation.


- Skeeter à tout juste commencer, ajouta Hermione. Mais j'aimerais bien savoir qui étaient ces fameuses sources anonymes.


- J'ai une petite idée sur l'identité de ses personnes, murmura Harry. Et toi Luna ? Skeeter t'a insulté, toi et ton père, en mettant en doute ta santé mentale.


- C'est bon, Harry, j'y suis habitué, dit calmement Luna. Les Serdaigles disent que je suis bizarre, les gens autour de moi dises que je suis bizarre... Eh bien, je suis bizarre, mais je suis naturellement bizarre. Je n'utilise aucun produit chimique, ajouta-t-elle.


  Tout le mondes la regarda en fixant pendant quelques minutes.


- Dans ce qu'a, si la vengeance ne vous intéresse pas, qu'est ce que je vais faire avec ça ? dit Harry en tenant un bocal en verre.


- Qu'est-ce que c'est, Harry ? demanda Fay.


- Je vous présente, Rita Skeeter, dit Harry en désignant le scarabée à l'intérieur du bocal. Je l'ai trouvé entrain de voler autour de l'école.


- Attends, tu veux dire qu'elle est... ?


- Un Animagus illégal, oui. Je penserait que se serait un joli petit cadeau pour nous tous.


  Un sourire diabolique se dessina sur le visage des étudiants. Après avoir proposé de nombreuses idée sur le sort de leur captif, il fut décidé qu'ils l'envoyaient simplement à la DALM, bien que la suggestion de donner Rita à l'araignée de compagnie d'Astoria, la sœur de Daphne, Éric, était tentant.


  La vengeance mis à part, ils continuèrent de discuter joyeusement. Tout le monde parla de leur projet pendant les vacances.


- Je vais continuer à planifier mes réforme pendant Noël, déclara sombrement Harry. J'ai dois encore ajouter à Poudlard les cours de Mathématiques et Langues étrangères. Pour une raison étrange, il m'est plus difficile de trouver des enseignants pour ces matières que pour d'autre. Je dois ensuite revoir la Justice Magique et me débarrasser de certaines lois et pratique stupides dépassés.


- La première chose à faire est de trouver un moyen de se débarrasser des incompétent qui ne savent pas quoi faire à part suivre les pas de leur parents, expliqua Daphne.


- Je suis sûr que ma tante sera plus que disposée à t'aider, Harry, dit Susan. Elle se plaint sans cesse des nouvelles recrues dans le corps des Aurors qui ne savent pas tenir leur baguette.


  L'interruption habituelle de Ron et Drago arriva, mais elle fut gâcher par le fait que les deux jeunes hommes étaient arrivés en même temps, ils finirent donc par se battre à l'extérieur du compartiment. Les passagers finirent par faire un sort de silence pour ne pas être déranger par les bruits.


  La machine écarlate finit, par arriver à King's Cross où Harry parlait de son dernier plan de réforme pour l'éducation magique.


-... Je dis juste, ce n'est pas normal que les enfants magique doivent attendre d'avoir onze ans pour découvrir le monde magique. Les familles Moldus vont penser que quelque chose ne va pas avec l'enfant et ils risquent d'être maltraités à cause son《anomalie》et les familles magiques vont pousser l'enfant à bout pour qu'il puisse provoquer sa magie accidentelle.


- Harry, on est arriver, dit Hermione.


- Quoi ? Ah oui c'est vrai, bon je suppose que je vois revoit plus tard. Joyeux Noël.


  Harry fit ses adieux à ses amis et rejoignit sa famille. En quittant la station, Harry se demanda ce qu'il était advenue des Dursley depuis l'été dernier. D'après ses ancien souvenir l'oncle Vernon avait fait une crise cardiaque au début de l'été dernier. De toute façon, si quelque chose d'horribles leur arrivait, il ne se sentirait pas mal pour eux.


  Il se trouve que les Dursley ne se portaient pas aussi bien ces derniers temps. Après sa crise cardiaque, Vernon avait manqué un important dîner avec des investisseurs fortunés et avait perdus toute chance d'investissement. En plus, l'allocation que la famille recevait aux fils des ans pour s'occuper du《monstre》avait cessé d'entrer, en fait, il étaient maintenant submergé de dettes. Par la suite, certains voisins commencèrent à se méfier de la disparition soudaine du neveu des Dursley et de nombreuses rumeurs circulaient.


  Puis il y avait ce nouveaux gangs en ville. Comment cela était arrivés, les Dursley n'en étaient pas sûr. Mais une fois qu'ils étaient sur que Harry Potter ne vivait put a Privet Drive, la vieille Mme Figg avait invités certains de ses amis du Club de Tricotage et ils avaient commencé à faire du vélo dans le quartier en motocyclette en frappant sur la tête les membres du gangs sur leur passage (Dudley fut celui qui reçut le plus de coup car il était le plus lent et gros de ses copains). Le gangs ne fit pas grand chose, à l'exception de leur étrange habitude de voler des kiosques téléphoniques.


  Après une longue journée de travail, Vernon Dursley rentra chez lui. Il se demanda comment sa vie avait-elle autant dérapé, mais il fut frappé par une camionnette de touriste français.


- Et sur votre droite, vous verrez un gros cochons anglais, qui ne regarde même pas où il va, dit le guide d'une voix monocorde.


  Si quelqu'un de Poudlard avait été là lors de l'incident, celui-ci aurait juré que les Français dans la camionnette ressembler comme deux gouttes aux chevaliers français du portrait. Mais après tout il s'agit sûrement d'une coïncidence. N'est-ce pas ?


  Drago fut surpris quand il vit qui l'attendais à la gare, il ne s'agissait pas de sa mère mais d'un vieil amis de son père.


- Bonjour, Drago.


- Bonjour, Mr Yaxley. Que faites vous ici ?


- J'ai bien peur que tu ne puisse rentrer à la maison avant un moment, Drago.


- Pourquoi je ne pourrais pas ? Et où est ma mère ?


- Comment puis-je t'expliquer cela ? Yaxley eut l'air mal à l'aise quand il tendis finalement une lettre. Ta mère la envoyer à ton père.


  Drago ouvrit la lettre et commença à lire.


Cher Lucius,


Je suis désolé de vous dire ceci, enfin pas vraiment. J'ai demandé la permission de Lord Black pour dissoudre notre mariage. Vous avez apporté la honte et le déshonneur à la noble famille dont vous vous êtes associés en vous soumettre au bâtard qui se fait appeler Seigneur des Ténèbres. En plus de cela, vous avez laissez notre fils devenir un imbécile qui vient ce plaindre à chaque fois que les choses ne se passent pas comme il le souhaite. J'en ai assez.

Au revoir et adieu,

Cordialement,


Narcissa Cassiopeia Black.


  Drago resta bouche bée quelques instants avant d'exploser de rage.


- Comment ose-t-elle déshonorer la famille Malefoy comme ça ?! cria-t-il. Où est-elle ?! Où est cette femme pathétique qui me sert de mère ?!


- Aux dernières nouvelles, elle profite des avantages d'être une femme célibataire fortunée aux plages du sud de la France, expliqua Yaxley en haussant des épaules.

《Malheureusement pour toi Drago, j'ai bien peur que tu ne puisse rentrer au Manoir Malefoy.


- Quoi ? Pourquoi pas ? Depuis quand mon père aurait...


- Il semble que ton père ait mis l'acte de propriété du Manoir au nom de ta mère afin d'éviter les taxes foncières. Elle l'a donc en quelque sorte, vendu à Gringotts avant son départ.


  Drago était figer sur place. Yaxley ce pencha vers lui pour murmurer au garçon.


- Au moins, tu pourras être avec ton père. J'ai réussi à vous amener un Portoloin, il tendit à Drago une petite montre. Cela te transportera ici à la fin des vacances.


- Merci Yaxley, dit Drago avec un sourire hautain. C'est bon de savoir que des vrais sang-pur s'aident encore.


  Alors que Drago et ses bagages disparaissaient en un éclair, Yaxley laissa échapper un soupir de soulagement.


- Au moins, c'est lui qui sera torturé par le Seigneur des Ténèbres cette fois-ci...


  Tracey ne savait pas trop à quoi s'attendre lorsqu'elle fut présentée aux parents d'Hermione. Ils ne s'étaient vue qu'une seul fois à la fête du Nouvel An au Manoir Potter l'année dernière, même si elle avait une étrange impression de doute lorsque elle vit les Granger. Mais se serait différent, elle passerait environ deux semaines dans le monde Moldus, et elle pourrait recevoir leur aide pour ne pas se perdre. Tracey eu l'air timide lorsque Hermione la présenta à sa mère.


- Où est Papa ? demanda Hermione.


- Il avait un rendez-vous avec Mr Stapleton, expliqua Emma Granger.


- Ce n'est pas l'homme qui dirige la librairie ? Celui qui dit tout le temps au gens de partir et chercher une autre librairie ?


- Oui.


  Le visage d'Hermione s'assombrit. Mr Stapleton avait toujours refusé de lui vendre le moindre livres à chaque fois qu'elle venait en faisant en sorte qu'elle sorte du magasin. Hermione espérait secrètement que son père l'anesthésierais avant de les jeter dans la forêt. Personne n'empêche Hermione Granger de lire ses livres !


- Cela doit être ton amie, Tracey. Bonjour ma chérie, je suis le Docteur Emma Granger.


  Elle se serrèrent la main.


- Docteur ? dit Tracey nerveusement. Ce n'est pas ces guérisseur Moldus qui découpe les gens ?


  Emma rigola.


- Non, je suis Dentiste. Je m'occupe des dents des gens.


  Tracey hocha la tête, mais elle était toujours un peu inquiète.


- Bon, venez les filles, dit Emma Granger. Allons-y, nous devrions être à la maison pour le thé.


  Tracey n'était jamais monté dans une voiture, elle n'avait jamais pris le Magicobus parce que c'est parents considérer cela comme un moyen de transport de classe inférieur. Tracey réprima un rictus en pensant à ses parents. S'ils savaient qu'elle resterait avec des Moldus... elle ne voulait même pas penser à ce qu'ils feraient.


- Nous y sommes, dit Emma en entrant dans l'allée d'une maison de banlieue haut de gamme.


  Il entrèrent juste à temps pour voir Dan Granger sortir d'une section annexe rattacher à la maison, vêtu de son uniforme et entrain d'essuyer plusieurs de ses outils chirurgicaux.


- Comment s'est passé ton rendez-vous avec Mr Stapleton ? demanda Emma.


- Très bien, je pense, déclara Dan. Au début, il a refusé de coopérer, mais j'ai réussi à lui faire comprendre l'importance d'une bonne hygiène buccale.


  Tracey avait l'air vert.


- Oh, nous avons un autre client ? dit Dan Granger en regardant Tracey.


- Non chérie, c'est Tracey, amie d'école de Hermione, dit Emma.


- D'accord, je vois. Oh, Emma, ma sœur va passer demain avec ses filles.


- Oh, Dan, tu sais que je déteste ta sœur.


- Moi aussi, mais la famille c'est la famille.


  Emma donna un bruit d'indignation. Sa belle-sœur faisait partie des personnes les plus désagréable qu'elle ait jamais rencontrées et ses deux filles étaient pareils. C'était une vrai plaies pour sa famille, car sa famille avait toujours été d'honnête dentiste. Emma était fière de longue histoire familiale dans le domaine dentaire, même son oncle américain (qui a disparu dans les années soixante dans des circonstances mystérieuses) était un dentiste respecté qui fournissait des soins dentaire abordables aux personnes démunis vivant dans les rues.


- Hermione, pourquoi ne ferais tu pas la visite de la maison à ton amie ? dit Dan Granger. Ta mère et moi devons dire un dernier mot à Mr Stapleton avant son départ.


- D'accord papa.


  Hermione conduisit Tracey à l'étage.


  Les parents Granger entrèrent dans la pièce où leur《patient》était attaché sur une chaise.


- Bien, Mr Stapleton, êtes vous décider à parler ? dit Dan.


- Je vous l'ai déjà dit, je ne sais rien ! plaida l'homme.


- Mauvaise réponse, dit Emma en s'emparant d'instrument. Je pense que cela vous apprendra à ne pas jeter dehors notre fille, alors qu'elle cherchait un exemplaire de《L'histoire illustré de fausses dents》. En version intégral, bien sûr.


  Neville rentra chez lui au Manoir Londubat, et après le thé de l'après-midi avec sa grand mère, il s'était rendu dans la serre pour poursuivre ses recherches. Pendant une bonne partie de l'année, Neville avait travaillé sur un projet qu'il avait conçu après avoir lu le livre que Harry lui a donné l'année dernière, il a donc décidé de mettre son nouveau don en pratique. Après avoir aux plantes, Neville avait appris qu'il existait de nombreuses plantes aux propriétés réparatrice de l'esprit qui, si elles étaient combiné correctement, elles pourraient très bien accomplir son projet.


  Après quelques heures, il partit à la recherche d'un hibou pour envoyer ses conclusions à une autorité compétente en matière de potions.


  Lorsque les enfants Weasley étaient revenus chez eux, Arthur Weasley vit que deux de ses enfants fulminaient contre Harry Potter qui avait gâché leur vie. Ron pensait que Harry avait conspiré pour s'assurer qu'il ne trouverait pas de rendez-vous pour le bal de Noël, l'obligeant d'y aller avec Malefoy. Ginny, de son côtés, sangloter sur le fait qu'un groupe de salope avait volé《son Harry》, lui faisant oublier de l'emmener au bal. La fille monta ensuite les escaliers et resta le reste des vacances dans sa chambre.


  Arthur laissa échappa un soupir et demanda aux jumeaux ce qui s'était vraiment passé. Fred et George lui dirent que Harry avait simplement escorter un groupe de ses amies les plus proches car il ne voulait blesser personne en choisissant quelqu'un en particulier et qu'il n'avait jamais promis d'y aller avec Ginny.


  Alors que la soirée passée et que tout le monde se dirigea dans sa chambre respectif. Arthur était assis en face de Molly dans salon et il voulait parler de ce qui était arrivé.


- Molynette, ne pense-tu pas qu'il y a quelque chose qui ne va pas avec Ron et Ginny ? demanda-t-il.


- Quoi ?! s'écria la femme. Pourquoi diable demande tu une choeur pareille ?!


- C'est juste que, eh bien... Ron semble penser que Harry essaie de ruiner sa vie juste à cause d'une dispute qui, d'après ce que j'ai entendu dire, semble avoir commencé par Ron.


- Les amitiés ont souvent leur haut et leur bas, je suis sûr que Harry et Ron vont bientôt oublier leur problème et revenir leur bonne vieil amitié.


  Arthur leva un sourcil. Il doutait sérieusement que Harry et Ron redevienne aussi proche qu'il l'était. Arthur continua :


- Et Ginny... elle semble bien avoir en tête que Harry est son petit ami, ou le sera, mais il ne semble pas du tout porter le moindre intérêt pour elle... jamais.


- Ce n'est qu'une question de temps, Arthur. Je suis sûr que Harry réalisera que Ginny lui conviendra parfaitement. Après tout, ne penses-tu pas qu'ils ressembles à une autre version de James et Lily ?


  Arthur répliqua que Harry n'était pas James et que Ginny ne ressemblait absolument pas à Lily, à l'exception d'une légère ressemblance physique. Arthur réfléchit, il avait vraiment l'impression que Molly penser que Harry serait automatiquement attiré par Ginny en se basant uniquement sur son apparence. Arthur grimaça intérieurement, pourquoi mais pourquoi n'avait-il pas écouté les conseils de sa mère, qui était de se marier avec Abigail, une née Moldus calme et réfléchit, avec qui il était sortit avant de s'intéresser à Molly ? Avec Molly toute les choses devaient être fait à ça manière ; au moins Abigail écoutée ses opinions plutôt que d'essayer d'imposer ses décisions.


- Molly, j'essaie de te parler de quelque chose d'important, dit-il fermement. Je ne pense pas que Harry et Ron vont redevenir amis et je ne pense pas pas non plus qu'il soit sain que Ginny soit obsédé par Harry, surtout quand on voit que ses sentiments sont clairement ailleurs.


  Molly leva les yeux de son tricot et jeta un regard noir à son mari.


- Arthur, va me chercher du thé, dit-elle avec indignation.


- Quoi ? Mais j'était juste...


- Tout de suite.


  Les épaules d'Arthur s'affaissèrent et il se dirigea vers la cuisine. En quittant la pièce, il jeta un bref coup d'oeil sur le portrait de sa mère. Cedrella Weasley regarda son fils avec sympathie et prononça les mots suivants :


- Je te l'avais bien dit.


  Drago Malefoy était en train de passer les pires vacances de sa vie. Au début, il avait pensé que servir le Seigneur des Ténèbres serait génial ; le Doloris qu'il avait reçut pour son incompétence avait tué cette idée. Quand il s'était plaint à son père, l'homme lui a juste dit de se taire et de se conduire en homme (et de pleurer plus tard dans la nuit comme une petite fille).


- Écoute, imbécile ! siffla le bébé Voldemort. J'ai trouver une solution pour compenser t'es erreurs et de faire en sorte que Potter soit là pour le rituel.


  Tandis que Voldemort se plongeait dans son plan du extrême complexité, personne ne remarqua que quelqu'un les observait. C'était un faucon pèlerin aux yeux verts.


  Caitlin et Roslyn étaient les cousines d'Hermione ; quatorze et quinze ans, respectivement. Toutes deux étaient grandes, et maigre au points de penser qu'elles sont anorexique, elles avaient les cheveux mais il s'agissait en vérité d'une teinture et elles portaient des vêtements qui laisser trop voir leur formes. Pendant des années, ces deux-là avaient tourmenté et harcelé sans relâche leur cousine tordu des livres ; certaines de leur《farces》étaient souvent abusifs voir carrément sadique. Leur mère, Priscilla, semblait penser que ses précieuses filles ne pouvaient rien faire de mal et semblait toujours mauvaise quand il s'agissait d'Hermione.


  Il va sans dire que Hermione n'était pas contente de les recevoir. Tracey n'était pas vraiment impressionné par les filles. Jusqu'ici, elle avait eu une impression très positive du monde Moldus, mais elle a vîtes compris que ces personnes était sur la liste des mauvais aspects.


  Une fois que les adultes laissèrent les quatre filles seuls, Caitlin et Roslyn ont immédiatement attaqué Hermione.


- On dirait que les parents d'Hermann ont finalement décider de lui acheter une amie, ricana Caitlin.


- Évidement, ajouta Roslyn. Je veux dire, ce n'est pas comme si la face de castor pouvait trouver des gens qui l'aime.


  Les deux filles ricanèrent avec prétention.


  Hermione, cependant, n'allait pas laisser leurs insultes l'affecter. Elle avait vue des choses que les gens normaux ne pouvaient que rêver, et pour elle ses cousines n'étaient rien de plus des imbéciles arrogante avec des illusions de grandeurs.


- Vous continuez à parler mais tout ce que j'entends de vous c'est 《blablabla》, dit calmement Hermione. Vos insultes sont clairement trop juvéniles et dépourvu d'imagination pour que quelqu'un de mon intelligence puisse considérer cela comme autre chose que des sifflement de singes. Allez, Tracey, je veux te faire visiter la ville.


  Caitlin et Roslyn restèrent sur place, le visage rouge, alors que leur ancien sac de frappe favori partait bras par bras avec son amie.


  Sirius faisait les cent pas devant la portes du salon principal du Manoir Potter, en pensant à ce qu'il allait dire à la belle sorcière qui l'attendait à l'intérieur. Harry et Remus le regardèrent avec une impatience croissante.



- Allez, vas-y et demande lui, dit Harry.

- Je ne peux pas ! s'exclama Sirius. Je n'ai pas la moindre idée de ce que je fait. Et si elle disait non ? Et si elle dit oui ?


- Tu l'aimes, n'est-ce pas ? dit Remus.


- Oui, bien sûr !


- Alors, amène ton cul dans cette pièce et demande-lui de t'épouser, dit fermement le Loup-garous.


- Tu ne comprends pas, Lunard !


- Non, tu ne comprends pas, si tu n'arrête pas de pleurnicher et que n'entre pas maintenant, je vais... je vais... Je vais te couper ta réserve de jouets qui grince pendant un mois !


- Non, tu ne le feras pas !


  Remus attrapa son ami par le col.


- Alors va à l'intérieur, gronda t-il.


  Et il jeta son vieux copain dans les portes qui s'ouvrirent devant une Bathsheba Babbling très étonné.


- Des jouets qui grince ? demanda doucement Harry.


- Ne demande pas, répondit Remus en secouant la tête.


  Les portes de la pièce se refermèrent derrière lui et Sirius se redressa.


- Hum hum, Bathsheba, il y a quelque chose que j'aimerais te demander, dit nerveusement Sirius.


- J'écoute.


- Nous nous connaissons depuis un certains temps et j'ai l'impression que nous avons... un lien spécial...


  Derrière les portes, Harry et Remus écoutaient, l'oreilles contres la porte en marmonnant :


  Vas-y.


- ... Il n'y a personne d'autre avec qui je me sens vraiment bien...


  Vas-y, dit une voix qui ressemblait étrangement au père de Sirius dans le fond de son esprit.


- ... Il n'y a personne d'autre d'aussi intelligent, spirituellement, enjoué et tout aussi belle que toi à mes yeux, et...


- Pour l'amour de Dieu, Patmol, allez-y ! crièrent le portrait de James et Lily au-dessus de la cheminée.


- Bathsheba, veux-tu m'épouser ? dit Sirius en ouvrant un petite boîte qui contenait une bague en diamant.


  Bathsheba cligna plusieurs des yeux avant de parler.


- Je suppose que je n'aurais que des avantages, dit-elle alors qu'un sourire se formait sur son visage.


- Alors... c'est un, oui ?


- Bien sûr que ça l'est, crétin.


- Enfin ! s'exclamèrent les voix à l'extérieur de la salle.


  Tracey avait passé plusieurs jours à la résidence Granger et elle était devenu amoureuse de tout ce que les Moldus pouvaient offrir (enfin à l'exception des cousines et de la de Hermione). Elle et Hermione venaient tout juste de rentrer après une séance de shopping avec la mère d'Hermione, quand ils remarquèrent qu'une enveloppe était dans la boîte au lettre.


- Cela doit être les photos du bal de Noël, dit Hermione.


  Harry avait eu la brillante idée de proposer à Colin Creevey de prendre des photos pour le bal et les couples. Heureusement, les étudiants qui vivent chez des Moldus on pu obtenir des photos qui ne bougeaient pas afin de ne pas enfreindre le Pacte du Secret.


- Qu'est-ce que tu as là, Herman ? ricana Roslyn une fois que la mère d'Hermione était hors de portée de voix.


- Ce sont les photos du bal de notre école, répondit Hermione.


- Bal ?


  Hermione sourit, elle retira les photos et les présenta à ses deux cousines. L'une des photos montrait elle et Harry, une seconde assises à leur table et une troisième qui montrait Harry avec toutes les filles.


- Nous avons décider d'y aller en groupe, expliqua Hermione à ses cousines choqués.


- Ça ne peut pas être toi, cria Caitlin. Il n'y a aucun moyen de trouver un gars comme ça, même si tu y va en groupe.


- Et pourtant, nous y sommes allez.


- Harry n'a-t-il pas dit qu'il passerait bientôt ? demanda Tracey.


- Oui. Mais il doit faire un événement important avec son parrain avant. Je crois me souvenir qu'il s'agit d'un don.


  Roslyn sortit de sa stupeur.


- J'ai hâte de rencontrer le genre d'imbécile qui se débrouille pour s'occuper d'ordure comme vous, face de castor, déclara-t-elle.


- Tu continu à parler, Ros, mais tout ce que j'entends c'est un charabia stupide, dit Hermione avec dédain.


- Harry, murmura Sirius en le poussant légèrement. Harry.


  Harry laissa échapper un grognement indéfinissable et mit sa couverture sur sa tête.


- HARRY !


- QUOI ?! s'exclama Harry alors qu'il volait pratiquement hors du lit. Ne fait plus jamais ça !


- Je voulais juste m'assurer que tu était debout. Ont doit se préparer pour un grand événement aujourd'hui.


  L'esprit de Harry resta embués quelque minutes en ne comprennent pas ce que Sirius disait, jusqu'à ce que les fils électriques de sa tête s'activèrent d'un coup. Le jeune surexcité ce précipita sur son armoire à la recherche de quelque chose de présentable à porter.


- Allez-vous nous rejoindre pour le petit déjeuner, Prince Harry ? Ou devrions-nous envoyer vous envoyez un elfe de maison avec un plateau ? dit Sirius en essayant de taquiner Harry.


  Harry ne fit pas attention et continua de se préparer. Sirius eu un sourire, le garçon ressemblait vraiment à sa mère. Qu'il s'agissait de monstre ou de mage noir, Harry et Lily pouvait dégager un calme et une grande concentration, mais mettaient les dans une situation qu'ils ne comprennent pas et ils se mettent à partir dans tout les sens.


  Partout en Grande-Bretagne, les gens allumaient leur télévision pour voir une annonce très intéressante.


- Bonjour à tous, dit le journaliste alors qu'il se tenait dehors dans la neige. Il semble que l'esprit de la générosité est accompagné l'esprit de Noël. Nous avons le grand privilège d'annoncer que deux seigneurs, récemment revenus d'ignominie au public britannique, ont décidé de faire des dons considérables envers des œuvres caritatives.


  La caméra se rapprocha de Sirius et Harry, qui serraient la main d'un certain nombre de responsable gouvernementaux importants. Le journaliste continua.


- Lord Sirius Orion Black et son filleul, Lord Harry James Potter, qui ont été réunis il y a un peu plus d'un après sa libération pour un emprisonnement illégal pendant dix ans. Les famille Black et Potter d'après nos source n'ont pas occupé leur poste politique depuis plus de deux. Qu'est-ce qui vous a décidé à revenir maintenant ? demanda le journaliste.


- Nous voulions avoir le temps de récupère et d'apprendre à nous connaître avant de rétablir notre place dans la société, expliqua Sirius. La dernière fois que j'ai vu mon filleul il avait à peine un an, et je ne voulais pas que mes obligations m'empêche de passer du temps avec lui.


- Pourquoi avez-vous été séparé exactement ?


- Il y a plus de treize ans, une ancienne organisation terroriste attaquait activement des civils innocents. Mes anciens amis, les regrettés Lord et Lady Potter et moi-même, faisions partis d'une organisation voué à sa destruction de ces monstres quittent à devenir nous même des cibles. James et Lily sont donc allé se cacher avec leur nouveau née alors que le chef des terroristes les visaient en particulier. Hélas l'une des personnes de confiance à trahis James et Lily en révélant à son chef la cachette de mes amis, c'est un miracle que Harry et put en sortir vivant. Moi, j'ai décidé de traquer ce traître, mais après l'avoir coincé, il bluffa en prétendant que j'avais trahis mes amis avant de faire exploser une poche de gaz qui coûta la vie à une douzaine d'innocents.

《J'ai ensuite été envoyé en prison sans procès et mon filleul fut envoyé chez la sœur de sa mère.


- Lord Potter, continua le journaliste, si vous avez vécu avec eux pendant toutes ces années, pourquoi ne sont ils pas la aujourd'hui ?


- C'est très simple, répondit Harry. Pendant des années, ils m'ont traitées comme une poubelle pendant plus de dix ans, ils m'on mentis sur mon héritage et ont convaincu toutes leur connaissance que j'était un délinquant et un menteur, et aussi pendant que leur grosse baleine de fils était autorisée de me frapper aussi souvent qu'il le souhaitait.


- Est-ce pour cela que vous avez privilégié les associations caritatives ?


- Oui, j'ai donné de l'argent à la Société pour la prévention des abus envers les enfants, à la protection de l'enfance, aux hôpitaux et aux système d'orphelinat afin que d'autres enfants puissent êtres sauvé pour que personne ne vivent ce que j'ai enduré toute ces années de la part de Vernon et Pétunia Dursley. Oh, peut-être que je n'aurais pas dû dire leur nom à la télé. Enfin, au moins je n'ai pas mentionné qu'ils habitaient au numéro 4, Privet Drive, Little Whinging, Surrey. 

《Mais ce n'est pas grave. Ça leur apprendra que s'ils me m'avaient pas traiter comme un esclave sous humains, j'aurais sans doute partager mes richesses avec eux.


- Oui, cinq million de livre sterling représentent beaucoup de dépenses pour une seule personne, sans parler des associations caritatives, déclara le journaliste.


- Mon autre raison pour laquelle j'ai fait cela est parce que que les riches ont l'obligation se prendre soin des moins fortunés. Peut-être que si davantage pouvaient comprendre ce fait simple, nous n'aurions pas autant de misère dans le monde.


- C'est vrai. Et vous Lord Black, avez-vous une raison en particulière ?


- Eh bien, tout d'abord j'ai choisi de faire un don aux maisons d'hébergement pour les sans-abri de Grande-Bretagne parce que je comprends l'expérience de la famine et de la peur de mourir dans la rue, déclara Sirius. Deuxièmement, j'ai choisi de faire un don aux hôpitaux public en raison des soins de qualités qui m'ont permis de me remettre en bonne santé. Et enfin j'ai choisi de faire un don à la Société pour la lutte contre les abus envers les animaux, parce que j'ai une profonde affection pour les animaux, surtout les chiens.



  La famille Dursley étaient choquer en voyant le garçon qui venaient de donner d'énorme quantité d'argent aux œuvres caritatives. Vernon était fous de rage, et hurla à quelle point ce morveux monstrueux venaient d'insulter sa famille. Pétunia avait l'air d'avoir manger un citron entier ; elle n'avait jamais su que le garçon possédais autant d'argent, dire qu'elle aurait pu vivre au top de la mode si elle avait traiter ce morveux comme un être humain. Dudley avait du mal à comprendre, le monstre venait de donner cinq million de livres sterling à un groupe de fainéant sans valeur (c'est comme ça que Vernon décrivait les pauvres), Dudley commença à se demander pourquoi il l'avait frappé pendant toute ces années.


  Les Dursley ne le savaient pas encore, mais leur monde venaient de s'effondrer. Tout le monde savaient à présent qu'elle genre de monstre étaient les Dursley en plus de savoir comment ils traitaient les autres. Plus personne ne croiraient leur mensonge maintenant qu'il savait ce qu'ils avaient fait à Harry Potter.



  Hermione, Tracey et les parents d'Hermione regardaient la télé en souriant tandis que Priscilla et ses filles restaient bouche bée en regardant le jeune homme de la télévision qui ressemblait trait pour trait aux photos de Hermione. La femme et ses filles pourries gâtés n'arrivaient pas à croire qu'Hermione était réellement ami avec lui, cela devait être un mensonge.


- Lord Potter, j'ai cru comprendre que vous alliez dans un internat exclusif pour les plus doués ? demanda le journaliste.


- C'est vrai, j'ai été mis sur la liste d'inscription depuis ma naissance, répondit Harry. Mes parents étaient d'anciens élèves de l'école et après une enquête sur mon arbre généalogique, il est apparu que j'étais le propriétaire légitime de l'établissement. Il y avait beaucoup de problème, principalement liés au programme scolaire et à l'abus de pouvoir par le directeur, mais j'ai réussi à régler ces problèmes.


- Y a-t-il des personnes qui vous on aidée ?


- Tout d'abord, mon parrain juste après sa libération, ma été d'une aide précieuse. Bien sûr, je n'aurais pas eu le même succès sur je n'avait pas eu mes amis ; En particulier mon amie le plus ancien et le plus proche, Hermione Jean Granger.


  Caitlin et Roslyn semblait être sur le point de s'évanouir. Hermione rougit jusqu'au oreille et Tracey lui donne à léger coup espiègle.



  Très loin, dans une petite maison appelé le Terrier, le portrait de Cedrella Weasley regarder sa belle fille qui préparait un certains nombre de potions mystérieuses. Cedrella avait depuis toujours était doué pour les potions, en particulier celle de nature dangereuse. Lorsqu'elle réalisa ce que Molly préparait exactement, elle sur qu'elle devait en informer Lord Potter au plus vite. Mais pour l'instant elle attendit, en laissant Molly s'enfoncer dans son crime.


  Mais pourquoi Arthur ne l'avaient pas écouter ? Elle lui avait dit que les femmes de la famille Prewett avaient tendance à être corrompus. Les hommes eux, étaient généralement des gens honnêtes comme Gideon, Fabiab, Ignatius et bien sûr Ambrose et ses descendants. Les femmes Prewett avaient la vilaines habitude de se transformer en Molly, voir pire encore comme Muriel Prewett. Ces pourquoi sa familles s'étaient toujours farouchement opposée à ce que l'un de leur fils épouse une femme Prewett, ils ne voulaient pas que la malédiction des Prewett touche leur lignées.


  Cedrella sortit de sa stupeur et continua d'observer sa cible. Il était temps que Molly paye pour tout ce qu'elle avait fait contre sa famille.


Laisser un commentaire ?