Il n'est pas encore mort

Chapitre 23 : Nous concluons maintenant cette arrestation avec un cantique

3994 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 29/07/2020 20:37

  Harry ne savait pas à quoi s'attendre lorsqu'il entra dans la résidence des Granger. Il fut présenté à la tante et aux cousines d'Hermione, et il eu la désagréable impression de se trouver en face de Dursley hyper maigre. Hermione et Tracey l'avaient toute deux salués par des câlins et un baiser sur la joue, mais quand Caitlin et Roslyn s'approchèrent avec le regard pétillant, avec l'intention non dissimuler de faire de même, Harry leva instantanément sa mains pour les arrêtaient. Les deux filles avaient l'air septiques alors qu'elles jetaient des regards furieux a Hermione.



- Alors , comment ce sont passé les vacances de Noël, Harry ? demanda Tracey.


- Ça a été génial, Tracey, répondit-il. Sirius a enfin réussi à demander en mariage Bathsheba.


- Oh, c'est merveilleux, dit Hermione.


- Oui, le mariage aura lieu cet été, en Norvège.


- Pourquoi la Norvège ?


- Il semblerais que beaucoup de membre de la famille de Bathsheba habitent là-bas. Vous êtes toutes les deux invités, bien sûr.


- Merci Harry, répondit Tracey.


  Caitlin et Roslyn se sentirent vexer d'être ignorer ainsi. Ni l'une ni l'autre ne pouvaient comprendre pourquoi ce jeune homme riche et assez séduisant préférer parler à leur cousine au visage de castor et à son amie plutôt que à eux. Elles ne pouvaient pas pensées que Hermione et Tracey pouvaient êtres plus agréables. Bien sûr, Caitlin et Roslyn n'abandonnerais pas sans combattre, elle commencèrent donc à se serrer de chaque côtés de Harry.


- Alors, on nous dis que tu es un seigneur ? dit Caitlin d'une voix qu'elle pensée être séduisante.


- C'est tellement fascinant, ajouta Roslyn. Nous n'avons jamais rencontrées de seigneurs avant.


- Bon dieu, je me demande pourquoi, dit Harry sur un ton sarcastique qui passa par-dessus leur têtes.


  Hermione et Tracey fixèrent Caitlin et Roslyn d'un regards noir, alors que les deux filles continuaient d'envahir l'espace personnel de Harry. Mais personne ne remarqua un certain elfe de maison nommé Winky qui se préparait à frapper. S'il y a une chose que vous ne devez jamais faire, c'est d'interférer avec le projet d'un elfe de maison, notamment d'obtenir un compagnon pour son maître ou sa maîtresse, et Caitlin et Roslyn étaient trop proches de Lord Potter au goût de Winky.


  La dernière chose que Caitlin et Roslyn se rappelèrent, avant de tomber inconsciente, c'était la sensation qu'un objet très grand et très lourd les avaient écraser. Tout les yeux se tournèrent alors vers Winky qui mit la poêle sur son épaule avec air fière.


- Veuillez à ne plus importuner Maîtresse Hermy et Seigneur Harry Potter ainsi que Maîtresse Tracey, dit Winky aux filles inconscientes.


- Winky, bien que j'apprécie ton geste, mais était-il vraiment nécessaire de les frapper avec la poêle ? dit Hermione. Cela aurait pu leur causer de grave dommage au cerveau.


  Enfin, dans le cas de Roslyn et Caitlin, cela serait sans doute une amélioration, pensa Hermione.


- Ne vous inquiéter pas, maîtresse, dit fièrement Winky. Winky à mit un sort sans faille sur la poêle. Ça fait mal comme une vrai poêle, mais cela ne cause pas de dommage.


- Oh, c'est un soulagement. Merci Winky.


  Winky s'inclina devant Hermione avant de se diriger vers la cuisine pour préparer le thé de l'après-midi.


- Winky à été d'une aide précieuse, expliqua Hermione. Mes cousines ont essayé de faire des farces à moi et Tracey depuis leur arrivée, mais Winky retourne toujours leur farces contre elles.


- Qu'est-ce qu'elles essayent de faire exactement ?


- Oh, les trucs habituels : de la poudre qui pique dans nos vêtements, nous faire trébucher dans l'escalier, mettre des punaises sur nos sièges...


- Et c'est normal ? C'est le genre de choses que Dudley me ferait.


- Ce n'est pas grave, au moins nous avons Winky de notre côté, ajouta Tracey. Enfin, nous allons quand même devoir expliquer ce qui est arrivé à ces deux-là.


  Elle indiqua les deux filles encore inconscientes.


- Bon laissons les ici et allons prendre un thé, suggéra Harry.


- Oui allons-y, acquiesça Hermione.


  Caitlin et Roslyn restèrent inconscientes sur le sol pendant que les trois amis allaient prendre le thé. Lorsqu'on leur demanda où étaient les deux filles, ils répondirent qu'elles faisaient la sieste. Plus tard dans la soirée, quand les trois jeunes sorciers étaient dans la chambre d'Hermione, celle-ci suggéra qu'elle devrait peut-être ajouter une protection anti-nuisible pour empêcher à Caitlin et Roslyn d'entrer.


- Il y a autre chose que je me demandais Harry, dit Hermione.


- Quoi ?


- C'est au sujet de ton don au associations caritatives et votre annonce que toi et Sirius reprenez les anciens titres de vos familles dans le monde Moldu. Que se passera t-il si quelqu'un vient à chercher dans votre passé ? Tout vos documents son dans monde magique, n'est-ce pas ?


- Tu sais Hermione, le ministère de la magie à peut-être des problèmes, c'est peut-être même la branche la plus inefficace du gouvernement britannique, mais ils ne sont pas stupide au point de laisser un groupe de sorciers sang-mêlé ou né-moldu livrés à eux même. Si un sorcier à été élevés dans le monde Moldus mais qu'il se trouve être un sorcier, le ministère fournira des informations sur votre présence dans un pensionnat prestigieux pour les doués en Écosse. Si des milliers enfants disparaissaient chaque année sans laisser de trace, cela pourrait suciter des soupçons, n'est-ce pas ?


- En effet, oui, cela risquerais d'être très étrange sinon. Et donc, si quelqu'un vérifie ce que tu annoncé ?


- Ces personnes trouveraient des preuves solides qui corroboreraient mes dires.


  Neville était assis et attendait près de la fenêtre. Un hibou arriva soudain, en laissant derrière lui une lettre qu'il ouvrit empressement.


Cher Mr Londubat,


Je suis heureux de vous informez que vos calculs étaient corrects. J'ai modifié quelques erreurs mineures dans le processus de brassage, mais je peux affirmer avec certitude que la potion sera un succès. J'irais moi même à St. Mangouste avec vos recherches pour déterminer si votre demande sera accepter ou non.


Joyeux Noël à vous,


Professeur Robert Preston.


  Dès que Harry rentra dans le Manoir Potter, il fut abordé par un de ses elfes de maison.


- Elise est désolé de déranger le maître à cette heure dit l'elfe. Mais le portrait de Lady Cedrella vous demande. C'est urgent !


  Elise transporta Harry dans l'aile des femmes du Manoir Potter où il fut confronté au portrait très inquiet de Cedrella Weasley.


- Dieu merci, vous êtes la Lord Potter, dit-elle. Vous devez contactez les Aurors immédiatement et les faire venir au Terrier. Molly est allée trop loin cette fois-ci.


- Qu'est-ce qui ne va pas ?


- Elle a préparer une potion extrêmement illégal, Deditiopotentia. Vous devez avertir les autorités maintenant, sinon il y aura de grave problème pour certaines personnes.


  Molly et Arthur passaient la soirée ensemble. Les enfants étaient rentrés tôt, laissant les adultes à eux-mêmes. Molly tapota nerveusement les doigt sur sa chaise alors qu'elle attendait qu'Arthur ait fini de lire le Chicaneur.


- Arthur, mon chérie, veux-tu du thé ?


- Mmm ? Oh, non merci, Molynette, je n'ai pas soif.


- Arthur, je pense vraiment que tu devrais prendre du thé.


- Je n'en veux pas merci.


- Arthur... dit Molly d'un ton sévère.


  Arthur poussa un soupir. Sa femme agissait très étrangement ces derniers temps, surtout depuis leur discutions à propos de Ron et Ginny. Il avait aussi trouvé d'étrange bouteille qui ressemblait à de l'Amortentia dans le placard alors qu'il cherchait un en cas de minuit. Lorsqu'il demanda à Molly ce qu'elle faisait avec cette substance désormais illégal, elle l'avait accusé de ne pas lui faire confiance. Arthur n'était peut-être pas le plus brillant dès individus, mais même lui pouvait sentir que quelque chose ne tournait pas rond.


- Oui chérie, j'aimerais une tasse de thé, répondit Arthur avec lassitude.


  Molly se leva et alla dans la cuisine. Alors qu'elle versait la tasse de thé pour son mari, elle sortit un flacon de la potion qu'elle préparait secrètement et en mit trois gouttes. Même si elle ne pensais pas qu'Arthur puisse réellement faire quelque chose pour l'arrêter, il posait trop de questions à son goût. Elle supposa que la potion pour qu'il reste fidèle qu'elle avait mit dans sa nourriture au fil des ans avait finalement perdu de son effet, il était donc logique d'utiliser un peu de Detitiopentia qu'elle avait préparé pour Ginny.


  Elle revint bientôt et elle tendis la tasse à Arthur, mais il la posa sur la table.


- Arthur, tu ne va pas boire ton thé ? dit-elle sur un ton d'impatience.


- Dans un instant, j'attends qu'il refroidisse.


  Molly fixa Arthur, celui-ci lança un regard suspicieux.


- Molly, y a-t-il quelque chose que tu ne me dis pas ?


- Bien sûr que non ! Qu'est-ce qui te donne cette impression ?


- Juste un présentement, il prit la tasse de thé et la renifla légèrement. Le thé à une odeur étrange, Molly. Peut-être qu'il est périmé.


- Il n'est pas périmé, c'est... c'est juste une nouvelle marque.


- Mmm... Molly, je crois qu'il se passe quelque chose ici.


- Quoi ? Mais tu n'a rien vu d'anormal, n'est-ce pas ?


- Non, mais je pense qu'il se passe quelque chose.


- Arthur, crois moi. Il ne se passe absolument rien.


  A ce moment précis, la porte se ferma dans un grand bruit et une troupe d'Aurors apparurent.


- Très bien, que personne ne bouge, dit l'Auror. Cette maison est encerclé. Je veux voir vos baguette loin de vos mains, maintenant. Je suis l'Auror Edwards et ceci est une perquisition.


- Soir, Edwards, dit vivement Arthur.


- Oh, bonjour Arthur.


- Attends, s'il s'agit de la voiture volante, pour ma défense, je n'ai jamais eu l'intention de la faire voler...


- Ce n'est pas toi que nous somme venus cherchez, Arthur. C'est ta vieille mégère qui te sert de femme le problème.


- C'est un outrage ! cria Molly.


- Silence ! Nous avons des raisons de croire qu'ils y a certaines substances en ces lieux.


- Quelle sorte de substances ? dit Arthur.


- Certaines substances.


- Oui mais, quel sortes de substances exactement ?


- Certaines substances illicite.


- Pourriez vous être plus précis ?


- Ces substances doivent être prit pour analyse.


- Mais pourquoi vous êtes la exactement ?


- Nous soupçonnons qu'il y a de grande quantités d'une potion hautement illégal appeler Deditiopotentia cachée ici. Qu'est-ce que c'est ?


  Il désigna la tasse de thé qu'Arthur tenait encore dans les mains.


- Ce n'est que du thé, dit nerveusement Molly.


- Très bien, nous allons confisquer cela pour analyse, il se tourna vers les autres Aurors. Alors, les gars...


- Je vous demande pardon ? dit une fille.


- Et les filles... je vous charge de fouiller la cuisine. Ne laissez rien au hasard jusqu'à ce que vous trouviez cette potion. Quand à vous madame, dit-il en se tournant vers Molly, j'ai bien peur de devoir vous emmener avec moi au poste.


- Quoi ?!


- Vous voyez, même si nous ne trouvons rien, le protocole de la DALM exige qu'en cas de perquisition nous devons emmener le coupable potentiel.


  Alors que Molly était emmenée par les Aurors, elle ne put s'empêcher de remarquer le portrait de sa belle-mère qui souriait d'un air suffisant.



  Pendant ce temps, dans une station balnéaire du sud de la France, Narcissa Black (anciennement Malefoy) profitait de tous les avantages d'être une femme célibataire, attrayante et riche. Elle remarqua soudain une personne qu'elle n'avait pas vue depuis longtemps. Bien qu'il ne s'étaient pas vue depuis longtemps, Narcissa reconnu sa grande sœur, Andromeda, et l'homme qui transportait vingt tonnes de bagages devait être son mari. C'était un Moldus qui s'appeler... Tod, Terry, ou quelque chose du genre.


- Andy, salua Narcissa.


- Cissy, répondit Andromeda.


  Narcissa regarda le mari de sa sœur qui semblait prêt à s'effondrer.


- Bien que cela soit amusant de le regarder se débattre, pourquoi n'a tu pas mit un enchantement de légèreté ou une extension sans fond que vos bagages ?


- Ted insiste pour qu'on fasse un maximum de chose à la manière des Moldus, répondit Andromeda. Il ne veut pas devenir trop dépendant de la magie.


Les deux sœurs se fixèrent encore pendant de longue minutes avant de fondre simultanément en larmes et en se prenant dans les bras, en oubliant complètement Ted qui, sous le poids des bagages, s'était écrouler. Heureusement, le personnel de l'hôtel s'activa pour le sauver. 



  Amelia Bones n'était pas heureuse, mais pas du tout. Elle avez dû interrompre ses vacances avec sa nièce. Mais l'affaire présente demander son intervention, une saisie de drogue illégale, ce qui impliquait, hélas, beaucoup de paperasse.


- Très bien, dite moi ce que vous avez exactement trouvé, demanda Amelia à l'Auror Edwards.


- Alors Mrs Bones, nous avons fait une perquisition dans le logement de Molly Weasley et nous avons trouver une grande quantité de substances illégales, alors on a enquêter. Elle a tenté de corrompre son mari avec de la Deditiopotentia. Nous avons donc fouiller la maison, en particulier la cuisine ou nous avons trouver cette caisse.


  Amelia se frotta les tempes et compta les flacons, il y en avait une dizaine. La Deditiopotentia était considérer comme la potion la plus illégal au monde. Ses effet étaient similaire au sort de l'Imperium, à la différence qu'aucun signe extérieur ne pouvait être vu. La potion était conçue pour permettre à celui qui l'administre de pouvoir contrôler complètement sa victime alors que celle-ci pense agir de son propre chef.


- Est-ce que Molly Weasley à dit pourquoi elle a préparer cette horrible potion ? demanda Amelia.


- Nous avons essayé, mais la femme nie les fait en plus de nous accuser de fabriquer des preuves.


- Donnez lui du Veritaserum. Je veux des réponses.


- D'accord, madame !


- Oh, et Edwards...


- Oui, madame Bones ?


- Donne moi un sandwich.



  Le jour de Noël vint une fois de plus, avec ses cadeaux, son amour et sa joie, une fois de plus, il essuya le sol... En plus des trois cent soixante-quatre autre...


  Oups, désolé, mauvaise histoire. Le contrat du narrateur stipule qu'il n'est pas autorisé à chanter des chansons pendant ses fonctions.


  Quoiqu'il en soit, le jour de Noël était de retour en Grande-Bretagne et tout était heureux. Enfin, presque tout le monde.


  Drago et Luicius passaient leur vaccances à la merci de leur maître. Même si Voldemort n'était plus que l'ombre de lui-même, il était toujours aussi terrifiant pour eux. Voldemort ne tolérer pas les fête en particulier celle de Noël. Mais la plus que Noël le jour qu'il détestait vraiment c'était le jour du Nouvel An, car c'était son anniversaire et cela lui rappeler sans cesse sa misérable existence.


  L'ambiance était tendus chez les Weasley depuis l'arrestation de Molly. Quand il apprirent que Molly avait confessé sous Veritaserum qu'elle avait l'intention d'utiliser la Deditiopotentia pour que Harry Potter soit amoureux de Ginny et quelle était sur le point de l'utiliser pour contrôler Arthur, en bref, autant dire que la joie n'était pas présente. Arthur se reprocha d'avoir laissé Molly le manipuler pendant toutes ces années, mais ses fils aînés le rassurèrent que ce n'était pas sa entièrement sa faute, car Molly l'avait clairement manipuler depuis leur mariage. Ron et Ginny étaient très inquiet à propos de l'arrestation de leur mère, même si Ron semblait plus contrarié du fait de ne pas avoir sa maman pour cuisiner sa nourriture, mais Ginny était beaucoup plus inquiète car elle se demanda comment ferais t-elle pour conquérir Harry si sa mère ne lui prépare pas de potion.


  Charlie et Percy avaient tous les deux invité leur petites amies pour Noël. Heureusement, Frieda et Pénélope étaient des cuisinières relativement décentes et proposèrent de préparer le dîner, étant donné qu'aucun des garçon Weasley ne savait cuisiner (Fred et George aurait pu le faire vu leur notes en potions mais personne ne leur faisait confiance en ce qui concerne la préparation de quelque chose). Même si tout le monde était triste d'avoir perdu un membre de la famille pour Noël, personne ne se sentaient désolé pour Molly, surtout après avoir apprit ce qu'elle voulait faire.



  De retour au sud de la France, les deux sœurs Black et le mari d'Andromeda étaient assis pour le dîner, même si Ted avait un air grognon à cause du protège cou qu'il portait.


- Mais pourquoi ne fait tu pas appelle à un guérisseur pour soigner son cou ? demanda Narcissa.


- Disons simplement qu'il y a une raison pour laquelle notre Nymphadora est si têtue, répondit Andromeda. Mais je trouve ça adorable. N'est-ce pas vrai, chérie ?


  Andromeda pinça la joue de son mari.


- J'aurais aimée que Luicius ait ce genres de qualités, dit Narcissa avec regret. Mais pour se bâtard gluant, tout ce qu'il l'intéresser c'était d'avoir un héritier masculin. Après cela, je devais juste me faire belle pendant les réceptions.


- Oh, Cissy, je suis vraiment désolé.


- Tu sais, j'ai toujours voulu avoir plus d'enfant. Surtout depuis que j'ai réaliser à quelle point Drago était minable. Un jour j'ai dit à Lucius que je ferais mieux d'avoir d'autres enfants si il voulait toucher ceci à nouveaux, elle indiqua son physique assez attirant. Mais non, évidement, ce bâtard ne voulait pas courir le risque de diviser l'argent de la famille entre plusieurs héritiers.


- Et quand tu a refusé ses avances ?


- Il m'a dit que si il ne pouvait pas le faire moi, alors il trouverait quelqu'un pour le faire au bon prix.


- Ho, mon dieu, Cissy, haleta Andromeda.


- Tu as de la chance d'avoir un homme qui t'aime autant, Andy. Je ne vois pas comment Ted puisse te causer du chagrin.


- Il sais comment me faire sortir des sentiers battus. N'est-ce pas vrai, mon chérie ?


  Ted marmonna quelque chose à propos de la folies des soeurs Black.



  Le Noël des autres étaient beaucoup plus simples. Il y avait des singeries réconfortantes et la douceur typique de ces histoires, mais intéressons nous a une famille en particulier.


  La famille Londubat venait de s'installer pour le dîner de Noël. Comme d'habitude, deux siège étaient inoccupés, c'était les siège de Frank et Alice Londubat. La famille Londubat n'était composé que de Neville, sa grand-mère, sa grande-tante et son second époux Enid, deux cousins plus âgés que lui et le frère de sa grand mère, Algie.


- Levons nos baguette et portons un toast, déclara Augusta Londubat. Pour Frank et Alice.


  A ce moment précis les portes de la salle à manger s'ouvrirent. Un grand silence balaya la pièce et Augusta laissa tomber son verre qui se brisa sous le choc. Accompagné d'un guérisseur de St. Mangouste, Frank et Alice Londubat, les regardés d'un air soucieux.


- Joyeux Noël à tous, ont vous à manquer ? dit Frank.


  Dans un éclair de vitesse que personne ne pensait jamais possible du garçon, Neville se précipita sur ses parents et les serra dans ses bras pour la première fois depuis son enfance.



  A Poudlard, Albus Dumbledore était contrarié. Noël était normalement une fête qui le rendait heureux, mais c'était une fois de plus une mauvaise année pour lui. Déjà que les choses l'année dernière fut assez pénibles, mais maintenant que Molly Weasley avait était arrêter c'était pire. Comment Harry allait-il faire confiance aux Weasley maintenant qu'on savait que Molly avait essayé de le persuader de tomber amoureux de Ginny ? Il savaient que les gobelins comprendraient que le contrat de mariage qu'il avait arranger entre Harry et Ginny ne pourrais être respecter.


  Aucune des jeunes filles avec lesquelles Harry passe du temps n'était une bonne option pour contrôler le garçon.


  Miss Granger était une née moldus, et les vieilles familles ne l'accepteraient jamais comme Dame de toute les famille, en plus elle était devenu plus méfiante vis-a-vis de l'autorité. Elle n'était donc pas idéal.


  Miss Greengrass appartenait à une famille obscur qui n'avait jamais vraiment fait confiance à Dumbledore.


  Miss Lovegood était imprévisible et pas totalement stable mentalement, de plus, elle et son père avaient été très clairs pour leur aversion envers Dumbledore.


  Miss Bones aurait été une bonne candidate, métis certe, mais avec un nom de famille très respecter, en plus d'être une fille orpheline elle et sa tante étaient définitivement du côtés de la lumière. Cependant, elle et sa tante ne faisaient plus confiance à Dumbledore depuis l'incident de Severus.


  Miss Dunbar était une sang-mêlé, mais elle avait un nom de Moldus, mais elle était une Gryffondor donc dû côtés de la lumière, mais encore une fois la jeune fille ne faisait pas confiance au vieil homme.


  Enfin, il y avait Miss Davis. Une sang-pur issu d'une vie famille fermement attaché au statuquo. Walter Davis avait accepté de soutenir Dumbledore au juste prix dans le passé, l'homme était avide d'argent et de pouvoir. Marissa Davis, née Rowle, n'avait pas voulu épouser Walter, mais ces parents ne lui avaient pas laissé le choix. Marissa ne serait donc que trop heureuse de voir sa fille épouser un jeune homme qui l'aimerait et la respecterait. Dumbledore avait aussi entendu parler que Walter Davis avait prévu d'organiser un mariage entre Tracey et le jeune Gregory Goyle.


  C'est alors qu'une idée frappa le vieux directeur. Un sourire sinistre se répandit sur son visage alors qu'un plan commençait à se former dans son esprit. Dumbledore prit un parchemin et une plume et commença à écrire. Il venait tout juste de finir sa lettre quand un hiboux déposa une lettre. Dumbledore ouvrit la lettre. Ses yeux s'écarquillèrent lorsqu'il lu ce que son espion à St. Mangouste venait de lui rapportait.


- Oh, ce n'est pas bon...

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