Il n'est pas encore mort

Chapitre 24 : Mais maintenant, un peu de plaisir

3724 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 29/07/2020 20:45

  Le Manoir Londubat était autrefois un lieux où les plus importantes personnes du monde le magie britannique venaient se réunir. La vieil maison avait accueilli de nombreux sorciers et sorcières, les accueillant tous avec égalité. Ces jours avaient disparu depuis que Lord Frank Londubat et sa femme, Alice Londubat avait été torturé par les Lestranges. Les beaux jours du manoir Londubat semblait définitivement appartenir au passé. Du moins jusqu'au jour de Noël 1994, lorsque le jeune fils du couple handicapé, Neville, l'héritier des Londubat, avaient créé un remède contre le mal qui a handicapé ses parents.



  Le manoir semblait revenir à la vie maintenant que son seigneur et sa dame étaient revenus. L'air poussiéreux se dissipa et l'ancien hall ternes et mornes brillaient de nouveau. Même si Frank et Alice ne s'étaient pas complètement remis de ses treize ans d'état végétatif, mais il étaient sur le chemin de la guérison grâce au traitement miraculeux de leur fils. D'ailleurs il participaient à un bal que Neville organiser le lendemain soir.


  La salle de bal du Manoir Londubat était plus petite que celle du Manoir Potter, mais elle était de loin la plus opulente. Les hautes fenêtres étaient dorées et formées des rubans ainsi que que des spirales complexe qu'un métallier ordinaire rêver de recrée lui-même, le plafonds était peint d'une fresque qui représentait un ciel en mouvement, complété par des nuages, des chérubins ainsi que des oiseaux chanteurs. La salle de bal d'origine avait était créée par Lady Alexia Londubat à ou le style baroque de monde Moldu avait une énorme influence, les générations suivantes améliorèrent la salle au fur à mesure des styles des époques.


  C'est ici que se rassembla cette année la pour célébrer la nouvelle année ainsi que le retour de la famille Londubat. Un orchestre jouait de la musique classique et moderne et tandis que les invités discutaient, riaient et échangeaient des histoires. Harry Potter entra dans la salle de bal, accompagné de Sirius, Remus et de Bathsheba et ils s'approchèrent de la famille Londubat.


- Joyeux Noël, Neville, dit Harry.


  L'autre garçon serra son ami dans ses bras.


- Merci Harry, dit-il. Si tu n'avais pas été la, je pense pas que tout cela aurait pu être possible. Viens, je veux te présenter mes parents.


  Frank et Alice étaient heureux lorsque leur fils présenta son meilleur ami, Harry Potter. Alice avait espéré que les feux garçons seraient meilleurs amis, tout comme elle et Lily à l'époque et cela lui réchauffa le cœur de savoir que son fils et lui se soutenaient. Cependant, Frank avait certaine chose à dire à Harry.


- Harry, je me demandais si je pourrais avoir un mot avec toi, dit-il.


  Harry acquiesça et suivi Frank Londubat jusque dans un coin de la salle. Frank s'assura qu'aucune oreille indiscrète n'entende leur conversation avant de s'adresser à Harry.


- Harry, comme je suis handicapé depuis environ treize ans, je n'ai jamais pu te prévenir, dit-il doucement. J'ai appris des choses assez... désagréable sur Dumbledore, mais il faut absolument que tu sois au courant, Harry.


- Je ne pense pas que cela peut-être pire que ce que j'ai vécu toute ces années, lorsque j'ai découvert ce que Dumbledore m'avait fait j'en ai profiter pour le diffuser dans les médias, répondit Harry avec désinvolture.


  Frank resta immobile pendant quelque instant. Il s'était attendu à ce que le garçon ait été soumis à un lavage de cerveau de Dumbledore. Au moins, cela lui faciliterait la chose.


- Harry, reprit-il, Dumbledore nous a préparé moi et ma femme a être attaqué. Dumbledore à fait exprès d'envoyé notre gardien du Secret en mission pour l'Ordre du Phénix, mais il savait qu'il serait capturés par les Mangemorts. Alice et moi voulions réclamer ta garde après la mort de tes parents, mais Dumbledore le savait. Si je devais deviner, je dirais qu'il vous a tous les trois préparer aussi.


  Harry sentit ses yeux le brûler. Il savait que Dumbledore était un vieux bâtard manipulateur, mais s'il était responsable au départ de la mort de ses parents...


- Est-ce que cela a quelque chose à voir avec la prophétie ? demanda Harry.


- Comment as-tu su... ? dit Frank avec surprise. Dumbledore n'en a parler qu'avec moi, ma femme et tes parents.


- Disons simplement que j'ai de bon contact. C'est pour ça que vous avez tous dû vous cachez. Dumbledore vous à parlez de la prophétie et que celui qui pourrait vaincre Voldemort serait soit moi, soit Neville.


- Exactement, Dumbledore voulait savoir vers quelle famille il se dirigerait, ces pourquoi il nous a dit de choisir un Gardien du Secret. J'avais suggérée que Lily soit notre Gardien et moi le Gardien des Potter, mais Dumbledore rejeta l'idée. Tu sais maintenant pourquoi.


- Ne vous inquiétez pas, Mr Londubat, je vais m'assurer que Dumbledore quitte Poudlard d'ici la fin de l'année.


- Si tu as besoin d'aide, Alice et moi somme à ton service.


  Le reste de la soirée dans le Manoir Londubat fut plus gai. Le protocole obligea Harry, en tant que gentilhomme actuellement seul, à danser avec des filles qu'il ne connaissait pas, mais cela ne l'empêcha pas de donner à Hermione, Daphne (qui avait reçu un Portoloin pour assister à la fête), Tracey, Susan, Luna et Fay une danse. Hermione et Luna étaient toute les deux assises à une table en regardant Harry faire tournoyer Fay sur la piste de danse.


- Fait-il semblant... murmura Hermione avec perplexité.


- Il est vraiment désemparé, n'est-ce pas ? dit Luna.


- Eh bien, ce garçon, à besoin de six femmes. Et quand six filles se présentent pratiquement sur un plateau d'argent, il ne fait que des approches amicales.


- Je ne me souviens pas d'avoir été sur un plateau d'argent quand j'ai rencontré Harry.


- Je parlais métaphoriquement, Luna. J'aimerais juste que Harry réalise que nous sommes toutes plus que disposés à êtres ses petites amies.


- J'aurais pensé que tu serais contre les relations polygames, Hermione, dit Daphne en s'approchant avec Tracey. Après tout, je ne crois pas que une telle chose soit légal dans la communauté non magique.


- Croyez le ou non, mais acquérir une meilleure compréhension du monde magique m'a rendu plus ouverte d'esprit. De plus, nous savons qu'aucune de nous ne se contentera de quelqu'un d'autre qu'Harry.


- Et partager, c'est bien après tout, dit Luna. J'ai déjà élaboré des plans pour la Lune de miel.


Elle sortit un petit sac de son cartable et montra son contenu aux autres filles.


- Et bien Luna... c'est très... mais Hermione, les joues rouge, n'en dit pas plus.


- Vif, termina Tracey.


- Alors c'est réglé, dit Luna. Nous allons travailler ensemble pour séduire Harry.


  Luna sourit. C'était si agréable d'avoir des amies avec qui partager des choses, en l'occurrence Harry. Elle se demanda d'ailleurs, pourquoi tout le monde rester bouche bée à chaque fois qu'elle faisait une observation brillante ou exprimait un point de vue très perspicace.


  Amelia Bones était actuellement profondément endormie dans son bureau, partiellement ensevelie sous une pile de papiers. Non seulement elle avait un nombre hinabituel d'affaire classique pendant Noël, mais il y avait aussi l'affaire Weasley qui lui demande beaucoup de travail.


- Madame Bones...


- QUOI ?! cria Amelia en se levant d'un coup, éparpillant du même coup les papier ensevelie. Kingsley, combien de fois dois-je te dire de frapper ?


- Désolé, madame, mais nous avons obtenus les réponses de Molly Weasley, comme vous l'avez demandé, déclara Kingsley.


  Amelia soupira et se pinça le nez. Elle remit ensuite son monocle en place et elle fit signe au jeune Auror de continuer.


- Il se trouve qu'elle planifie depuis des années d'amener Harry Potter à tomber amoureux de sa fille et elle a tenter d'empoisonner le jeune homme avec des potions d'amour au cours des deux dernières années, expliqua t-il. Mais ce n'était pas la première fois qu'elle utilise les potions d'amour, quand elle était à Poudlard, elle utilisa une potion pour séduire d'Arthur Weasley.


- A-t-elle expliquer pourquoi elle a fait ça ? demanda Amelia.


- Vous ne vous en souvenez peut-être pas, mais jadis les Weasley possédaient une somme d'argent considérable. D'après les registres, la famille Malefoy avaient réussi à tromper les Weasley pour s'emparer de cette fortune peu après le mariage entre Arthur et Molly.


- Je vois, déclara Amelia. Comme l'aîné de la famille hériter de l'argent de sa famille, Molly à donc demandé à Arthur d'obtenir l'argent de sa famille. Mais comme cela a échouer elle a donc les yeux rivés sur l'argent des Potter.


  Tout semblait avoir de sens, les pièce s'assemble. Cependant il manquer quelque chose d'essentiel malgré tout...


- Les ingrédients de la Deditiopotentia sont extrêmement rares, poursuivi-t-elle. Pour les obtenir, elle a dû avoir besoin de l'aide d'une personne suffisamment influente pour réduire les formalités administratives.


- Nous avons essayer de lui demander, mais il semblerait quelle soit soumise a un serment inviolable qui bloque le Veritaserum.


  Ils échangèrent tous deux un regards. Ils savaient exactement qui aurait pu aider Molly Weasley dans ses projets. Malheureusement, sans preuves tangibles, ils ne pouvaient pas condamné Dumbledore. L'un des inconvénients du nouveau système du ministère était qu'il ne pouvait arrêter n'importe qui sans preuves.


- Cela me semble être un plan merveilleux, Albus, déclara Walter Davis.


- Je suis heureux que vous le pensiez, Walter. Avec votre fille en tant que Lady Potter, nous aurons un contrôle sans précédent sur le monde magique.


- Et si Potter ne si conforme pas ? Ma fille et peut-être amie avec lui, mais je doute qu'il soit plié à son influence pour toujours.


- Cela ne posera pas un problème, assura Dumbledore. Le garçon est destiné à mourir de la main de Voldemort. Comme votre fille deviendra sa veuve, sa fortune et ses titres lui reviendrait.


- Qu'en est-il des autres titres ? Potter doit avoir une femme pour chaque titres.


- Ce sera délicat, mais les titres peuvent être combinés en un seul, à condition que le Magenmagot nous donne son soutien.


- Mais seul Potter peut faire pression pour que cela se produise et je doute qu'il soit disposé à nous écouter sur un sujet comme celui-ci, d'autant plus que la fusion de plusieurs titres n'est pas très appréciée dans notre société. La société magique s'attend à ce que les six lignées continue à travers six lignées différentes, Albus.


- Je pense que nous pouvons ignorer cela, Walter. Ta fille obtiendra un contrôle sur les six lignées les plus puissantes du monde magique.


  Walter Davis, réfléchissait. Oui, il pourrait ignorer les traditions si cela lui permettrait d'avoir une influence sur ce pouvoir. En tant que chef de la famille Davis, tout l'argent et les titres que recevrait sa fille tomberais directement sous son contrôle puisqu'il s'agissait d'une femme. De plus, Tracey à tout intérêt à coopérer pour attirer l'attention de Potter si elle ne voulez pas épouser Goyle.



- Cissy, c'était absolument merveilleux de te revoir, dit Andromeda en embrassant sa petite sœur. Et si tu a besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas.


- Il y aurait bien un chose, répondit Narcissa. Est-ce que ton mari, Ted, à de gentils amis gentleman ? Je pense qu'il serait amusant que Lucius apprenne qu'il a été remplacé par un séduisant Moldu ou né-moldu.


- Oh, Cissy, j'aime la façon dont ton esprit fonctionne.


- Dommage que Bella, n'ait pas de bon sens comme nous.


  Ted entra dans le hall en traînant les bagages derrières lui.


- Ted chérie ? Es-tu sur se vouloir continuer à transporter tout ça tout seul ? dit Andromeda. Je pourrais enchanter les bagages.


- Non, ça va, j'ai la situation parfaitement... mais il eut un bruit de craquement. Mon dos !


- Je vais chercher de l'aide, dit Andromeda avec un soupir.


  Elle fit signe à l'un des employés de la station.


- Mr Manuel, pourriez-vous escorter mon mari a l'infirmerie ?


- Ah si, signora... euh, je veux dire, oui madame, répondit l'homme avec un accent espagnol.



  Harry et ses amis étaient encore une fois, dans le Poudlard Express et direction de l'école. Luna était entrain de lire à voix haute le dernier article du Chicaneur.


Le tueur blanc est toujours en liberté, déclara-t-elle. Apparemment, il a mangé l'Auror Dawlish la nuit dernière.


  Harry sourit, Dawlish était un des Aurors qui avaient vendu la Grande-Bretagne pour aider les Mangemorts. D'après ses souvenirs, c'était un crétins qui a tenté d'attaquer la grand-mère de Neville avant de perdre la vie par celle-ci.


  Luna tourna la page du magazine.


- Ooh, on dirait que Molly Weasley a été arrêté, annonça t-elle.


- Luna, ton père imprime le Chicaneur, pourquoi agis tu comme si tu était surpris ? demanda Hermione.


- Parce que je veux savoir ce que sa fait de lire les histoires pour la première fois, même si je sais déjà ce qui arrivé. Hermione, tu devrais apprendre à ne pas gâcher le plaisir des autres gens.


- Je dois avouer que c'était qu'une question de temps avant que Molly soit arrêtée, déclara Susan. Cela fait des années qu'elle joue avec des potions, mais personnes n'a jamais pu le prouver. Ce me rappelle, que quand j'était petite, les Weasley sont venus au Manoir Bones pour une soirée et étrangement Molly pousser à jouer avec Ron.


- Qu'est-il arrivée ? demanda Fay.


- A un moment, je l'ai vue mettre quelque chose dans la tasse qu'elle m'avait donner, j'ai attendus qu'elle tourne le regard avant de jeter son contenus. Malheureusement, comme je m'était débarrasser de la preuves, ma tante n'a jamais été en mesure de prouver quoi que ce soit.


- Quel âge avais-tu quand c'est arrivé ? demanda Neville.


- Neuf ans, ma tante avait organisé une fête pour ses collègues et leurs amis.


- Molly Weasley cherchait déjà quelqu'un pour Ronald ? dit Harry avec dégoût.


- Ce n'est pas difficile à comprendre, vu qu'il était déjà un imbécile à l'époque. Je pense que Molly voulait s'assurer que son plus jeune fils ait une petite amie avant même d'arriver à Poudlard.


  Susan eut un frisson, la pensée qu'elle aurait put sortir avec Ron Weasley la dégoûter.


  Il continuèrent de parler de l'article pendant un moment.


- Tracey, tu es inhabituellement silencieuse, quelque chose ne va pas ? dit Daphne.


  Tracey leva les yeux, ont pouvait voir quelle avait l'air morose.


- Mes parents ont proposer un contrat de mariage aux Goyle, répondit-t-elle d'une voix morte.


  Tout le monde eut le souffle coupé, Daphne prit sa meilleure amie dans ses bras.


- Il ne peuvent pas faire ça ! protesta Harry. Y a-t-il quelque chose que nous puissions faire pour l'arrêter ?


- Pas grand chose, à moins que tu n'aies l'idée de tuer Goyle ou de m'épouser toi-même.


- Je n'aime pas trop l'idée de tuer Goyle, surtout depuis que lui et Crabbe ont coupé les pont avec Malefoy.


  Tracey jeta un regard vers Harry.


- Harry, je préfère avoir un contrat de mariage plutôt que de te forcer à m'épouser, dit-elle.


  Quoi, tu ne veux pas m'épouser ? dit Harry en riant.


Tracey rougit et balbutia :


- Ce... ce n'est pas ce que j'ai dit. C'est juste que... que Dumbledore à parlé avec mon père ces derniers temps. Pour autant que je sache, ils veulent que je t'épouse pour pouvoir te contrôler. Mais même si j'aimerais annuler ce contrat de mariage, je ne vais pas céder à leurs stratagèmes et les aider à obtenir le moindre contrôle sur toi.


- Tracey, ne t'inquiète pas je vais empêcher cela d'arriver. Est-ce que les Goyle ont accepté le contrat ?


- Non, pas que je sache.


  Harry sourit, un plan se forma dans son esprit.


- Et si les Goyle ne pouvaient pas accepter le contrat parce que le jeune Gregory veut épouser quelqu'un d'autre ?


  Tout le monde regarda Harry.


- Mais qui sur cette terre serait assez désespérée pour tomber amoureux de Goyle ? dit Fay.



  Milicent Bulstrode pensait souvent qu'elle n'avait pas grand chose dans la vie. En quatre ans à Poudlard, la seule personne qui semblait avoir tissé des liens d'amitié était Pansy Parkinson. Mais Milicent savait que Pansy la considérer plus comme un garde du corps que comme une véritable amie. Bien que Milicent n'était pas spécialement《laide》, elle manquait de jolie forme comparer à certaines femmes Bulstrode dans le passé. Une chose qui l'avait encore plus exclus des autres Serpentard, c'était qu'elle été de sang-mêlé, son père avait rompu dès siècles de tradition en épousant une né-Moldu, entraînant le déshonneur sur la famille, heureusement ils pouvaient toujours conserver le nom de Bulstrode.


  Mais même avec les changements apportés à l'école par Potter, elle se sentais toujours exclue.


  Donc, quand ses camarades, Daphne Greengrass et Tracey Davis, arrivèrent en jetant Gregory Goyle dans son compartiment, en lui souhaitant les meilleurs chances, elle ne raterai pas cette occasion. Même si elle et Goyle n'avaient jamais vraiment échanger le moindre mots, en regardant le jeune homme, elle réalisa à quel point il était facile de parler avec lui.


-Tu veux m'aider à écraser des ingrédients pour mon cours de potions ?


  Goyle regarda pendant un moment avant qu'un sourire fende son visage.



- Milicent Bulstrode ? dit Hermione alors que elle et ses amies monter dans une diligence.


- Pourquoi pas ? répondit Daphne. Ils sont pas très bavard et ils aiment bien écraser des choses.


  Hermione se frotta le cou, l'incident Bulstrode en deuxième année était encore bien encrée dans son esprit.


- Arrêter, je voudrais oublier cette image terrible, dit Harry. Bulstrode et Goyle ensemble... j'avais pensée organisée un rendez-vous galant avec Crabbe. Au moins il sont déjà amis. Oh non...


  Harry se frotta le crâne sous le rire général de ses amis.


- Haaa, Harry que ferions nous sans toi ? dit Fay.


- Certains d'entre nous soufrirer sûrement d'une mort atroce de la part des Mangemorts, dit Luna avec enthousiasme.


- C'est assez explicite, dit Neville.


- Quand est notre prochaine réunion ? demanda Harry.


- Demain, répondit Hermione. Les nouveaux téléphone de Splunge Inc. sont prêts à être commercialisés. Ils sont spécialement enchanter pour contourner les barrières de Poudlard.


- Pourquoi nous avons tout simplement pas modifier les barrières ? dit Tracey.


- Tracey, tu ne comprends clairement pas le fonctionnement des affaires, dit Daphne avec affection.


- Au fait, j'ai trouvé un nom pour nos nouveaux téléphones, déclara Neville. Que pensez vous de Spell Phone.


- C'est accrocheur, déclara Susan. C'est bien mieux qu'un nom comme WizPhone.


- Nous allons faire entrer le monde magique dans le vingtième siècle, bientôt dans vingt et unième siècle, déclara Harry. Quelle seras notre prochains projet après Spell Phone ?


- Pourquoi les ordinateurs Moldu ? suggéra Hermione.


- Je pensais que ce n'était qu'une mode.


- Harry, l'idée que les ordinateurs étaient un mode était drôle au début des années 90. Mais nous somme en 1995... c'est pitoyable maintenant.



  La fêtes ce soir-là se déroula le plus normalement du monde, mais lorsque Dumbledore se leva pour faire son discours la farce de Harry s'enclencha. Dumbledore aurait vraiment du faire attention à ce que personne ne trafique ses esquimaux au citron. Donc vers le milieu de son discours, Albus Dumbledore le plus grand sorcier du monde, se mit à cracher des arcs-en-ciel. Harry estimait qu'il faisait vraiment preuve de beaucoup de retenu envers le directeur, après tout les choses auraient put être pire...


  Ron avait tenté de menacer Harry pendant le dîner, car il se rappela qu'il avait oublier de le faire pendant le trajet du train. Les menaces de Ron aurait peut-être été plus intimidante (enfin peut-être pas) s'il n'avait pas essayé de manger en même temps deux morceaux de poulet. Le professeur Babbling qui avait remarqué le trouble à rapidement donner à Ron une détention.


  Harry dut réprimer son sourire lorsqu'il vit Malefoy. Le furet blond n'avait visiblement pas passer un merveilleux Noël avec Voldemort. Enfin, au moins Drago était encore officiellement l'héritier des Malefoy puisque Narcissa avait choisi de divorcer plutôt que d'annuler son mariage avec Lucius.


  Les élèves des autres écoles étaient également revenus, après que Harry et fournit des Portoloin pour qu'il puisse rentrer chez eux pendant les vacances. Harry s'était toujours demander pourquoi, dans l'ancienne chronologie, n'avaient pas le droit de rentrer chez eux.


  Ce fut une agréable soirée, Harry et ses amis proche se retirèrent dans les quartiers des fondateurs.


- C'est bon d'être de retour, murmura Harry pour lui-même.

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