Il n'est pas encore mort

Chapitre 26 : Je suis tombé de la chaise, Brian

2665 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 29/07/2020 21:11

  Harry était assis dans le bureau de Dumbledore, ses pieds posés sur le bureau de l'homme alors qu'il était assis sur le siège des invité en souriant. Il savourait de voir le vieux Dumbledore se faire verbaliser par Amelia Bones. La journée s'était améliorer par rapport aux événement de la vielle, heureusement que la championne de Beauxbâtons et sa petite sœur n'avait pas subis de dommage, sinon Dumbledore serait déjà dans une cellule du ministère pour sa faute.



- Je vous assure, Madame Bones, je ne savais pas...


- Sottise ! Amelia frappa sur la table. Vous auriez dû bien faire votre travail en vérifiant que les conséquences des tâches pour chaque champions ! Il était évident qu'une fille d'origine Vélane aurait un désavantage dans une tâche à base d'eau, il est commun que les créature d'eau et de feu ne s'apprécient.

《 Je peux rajouter ça a votre liste, en plus des autres choses que j'ai sur vous, dont je suis presque sur dont vous êtes responsable. Je vous préviens, Dumbledore, encore un《incident》comme celui-ci et je vous enfermerez dans une des prisons du ministère.


- Madame Bones, vous permettez ?dit Harry. Directeur Dumbledore, je dois ajouter quelque chose. Si comme déjà l'a dit Madame Bones, un autre événement de cette nature devait se reproduire, je n'aurai d'autre choix que de vous renvoyer.


- Harry, tu ne peux pas faire ça ! s'exclama Dumbledore.


  Harry lui lança un regard perçant.


- Je pense que vous savez qu'en tant que propriétaire légitime de cette école, j'ai parfaitement le droit de renvoyer quelqu'un que je considère comme un danger pour les étudiants. Vous avez déjà montré, à maintes reprises, que vous aviez échouez à cela. Pour être honnête, la seule raison pour laquelle je ne vous ai pas encore mis à la porte, c'est parce que je sais qu'il y a encore des gens assez stupides pour vous faire confiance et qui vont tout faire pour éviter de vous faire condamner. Je tiens donc à vous avertir, si un nouvelle incident, quelques soit, venait à se produire, j'utiliserais toutes les méthodes nécessaire pour que vous ne représentez plus jamais un danger pour qui que ce soit.


  Harry se leva de son siège.


- Je vous souhaite une bonne journée, madame Bones, il se tourna vers Dumbledore. Je ne vous souhaite pas une chose, Directeur.


  Harry quitta le bureau pour rejoindre ses amis pour le dîner.



  Harry avait prévenus ses amis d'aller manger pendant sa conversation avec Dumbledore. Le groupe d'amis venait d'entrer dans la Grande Salle pour s'installer, lorsque Gregory Goyle s'approcha d'eux, avec un air sérieux encore jamais vu. Il s'arrêta devant Tracey et fit une révérence polie et respectueuse.


- Miss Davis, salua-t-il d'une voix digne à la mesures de ses capacités mentales, comme vous le savez sûrement, ma famille à reçut une offre de fiançailles de votre part. Cependant, je dois malheureusement refuser cette offre généreuse, j'ai déjà informé mes parents que je n'accepterai aucun contrat de ce type car j'ai déjà trouver une meilleur perspective. Je vous souhaite toute les chances possible à vous ainsi qu'à la famille Davis. Bonne soirée.


  Il fit une dernière révérence puis il se retira vers la table des Serpentard, prenant place entre Milicent Bulstrode et Vincent Crabbe.


- Je crois que l'ancien garde du corps de Malefoy n'a jamais autant parler, dit Daphne


  Le visage de Tracey se fendit en un large sourire. Dès que Harry franchit les portes, Tracey se jeta sur lui en le prenant dans ses bras.


- Merci, murmura t-elle.


- Euh, de rien ? dit Harry, qui ne savait pas encore ce qui venait de se passer.



  Pendant ce temps, dans les tréfonds du Ministère de la Mort, Shirley se tenait devant une grosse substances bleuté qui flottait du sol au plafond. Dans ses mains, elle tenait deux objets en cristal qui ressemblait beaucoup à un ensemble d'aiguilles à tricoter. La substance bleu, était plus connu sous le nom de la Tapisserie du Destin qui représentait la nature même du temps et de l'espace. Les objets entre les mains de Shirley étaient les Aiguilles du Temps, un ensemble d'instrument utilisé par les Manipulateur pour déterminer le Destin.


- Voyons comment faire déjà ? réfléchit Shirley à haute voix. Si je me souviens bien, faut passer à l'intérieur, puis extérieur puis relier la trame à... bon sang, maintenant je sais pourquoi maman m'a dit que le tricot était une compétence important dans ma non-vie.


- Besoin d'aide ? dirent trois voix monotone.


  Shirley se retourna pour voir trois personnage familier.


- Oh, salut. Clotho, Lachesis, Atropos comment allez-vous ? dit timidement Shirley. J'était juste entrain de...


- Nous savons, déclara Clotho.


- Nous savons tout, ajouta Lachesis


- Nous savons également que si vous déplacez le prochain flux de la Tapisserie, vous allez déclencher une succession d'événement horrible aux proportions cauchemardesques sur la Terre, conclu Atropos.


  Shirley se mit à regardez les Aiguilles du Temps comme s'il s'agissait d'une bombe sur le point d'exploser. Soudainement, Atropos repoussa Shirley et attrapa les Aiguilles du Temps.


- Pour un ange du Ministère de la Mort, vous n'êtes pas très discrète, vous le savez n'est-ce pas ? dit Clotho.


- Nous savons que le jeune Potter ne fait pas beaucoup de progrès avec ses futures épouses, déclara Lachesis.


- Et si vous avez demandez notre aide, nous n'aurions pas hésitez à vous aidée, déclara Atropos. Veuillez vous rappelez que nous savons tout ce qui est, était, pourrait être, sera. Maintenant, sortez de notre salle de tapisserie.


  Shirley partit aussi vite que possible.


- Haaa, les agents du Ministère de la Mort, dit Clotho. Peu importe le nombre de fois que vous leur dites que vous pouvez faire votre travail, ils voudront toujours le faire à leur façon.


- Au moins, ils ont bien travaillé avec le jeune Potter, déclara Lachesis. Mais ils devraient savoir que tout est sous contrôle maintenant.


- Pouvons nous attendre de régler l'échec de Shirley ? demanda Atropos.


- Je pense que oui, déclara Clotho. L'horrible fléau peut attendre quelques millénaires de plus.


  Ensemble, les trois infâmes Sœurs du Destin se mirent aux travail. D'ordinaire, elle laisser simplement l'univers s'épanouir en laissant au mortel leur libre arbitre. Malgré leur nom, les sœur préférée laisser le destins ouverts à de multiples possibilités, car elle ne souhaitait pas devenir responsable de tout les maux de l'humanité.


  Les Sœurs du Destin avaient réputation de ne pas tenir compte des sentiments des autres en ce qui consiste leur travail, un peu comme Dumbledore. Mais s'étaient les Gardiennes du Destin, elle n'avaient pas de réelle pouvoir pour influencer sur les événements. Mais elles avaient assez de liberté pour aider Potter pour régler le problème avec ses futures femmes.



  Arthur Weasley se leva de son siège pour répondre à un coup à la porte. Il avait passé en revue les événement de ces derniers moi et il se demanda ce qu'il devait faire. Sa femme, cette femme avec laquelle il était depuis des années, l'avait utilisé et elle était prête à utiliser Harry Potter aussi pour ses intérêt. Il avait assisté au procès de Molly, lorsqu'il la vit il eu l'impression de voir enfin son vrai visage. L'une des raisons pour laquelle Arthur n'était pas partit de Poudlard pour aller travailler n'était pas Molly, mais Abigail Martin, il était amoureux d'elle depuis des années mais il n'avait jamais osé lui avouer. A l'époque Arthur avait cru que c'était parce que il était devenus plus amoureux de Molly.


  Les coups devinrent plus insistants.


- J'arrive, cria Arthur.


  Avec un soupir, il ouvrit la porte.


- Bonjour, Arthur.


  Arthur resta figer en voyant la femme qui se tenait devant sa maison. Elle avait à peine quelques centimètres de moins que lui, avec ses longs cheveux bruns et ses yeux bleu foncé. Ses traits doux et rond, bien que marqués par le poids ses années, étaient rose et chaleureux. Cela lui prit un moment, mais il la reconnut.


- Abigail ? demanda-t-il.


- Je crains de ne pas avoir beaucoup de temps pour bavarder, mais je voulais saluer un vieil ami d'école avec qui je vais bientôt travailler au ministère, déclara Abigail.


- Au ministère ? Travailler ensemble ?


- Oui, j'ai fait une demande pour un poste dans les relations entre les Moldus. C'était vraiment étrange, pendant des années, j'ai essayé d'obtenir ce genre d'emploi mais on me refusé sous prétexte que je n'avais pas de bonne relations. Mais maintenant le ministère semble plus ouvert aux personnes d'origine non magique comme moi.


  Arthur savait que c'était grâce à Harry. Il faisait pression aux Magenmagot en faveur ce certaines lois. Son département avait même obtenu une augmentation de budget.


- Abigail, voudrais-tu prendre une tasse de thé ? J'aimerais savoir ce que tu a fait depuis Poudlard.


- Crois tu que ta femme serais d'accord ? demanda Abigail. De ce que j'ai entendu dire tu était marié à Molly Prewett.


- Tu n'a pas entendu parler du scandale des potions d'amour dans lequel Molly est impliquée ? 


- Arthur, j'ai bien peur de ne pas avoir entendu beaucoup parler des actualités magiques depuis longtemps.


- Et bien, on peux dire que je suis entrain de divorcer. Alors, veux tu du thé ?


  Abigail eut un sourire amical et suivit Arthur dans la cuisine.



  Il était tard dans la soirée et les six filles les plus proches d'Harry étaient installer dans le salon du quartier des fondateurs. Luna souriait alors qu'elle faisait semblant d'étudier un livre de biologie. Elle savait que quelque chose allait arriver très bientôt.


- Mesdames, je crois que nous avons une opportunité qui nous est ouverte, dit-elle soudainement.


- De quoi tu parle, Luna ? dit Hermione.


- Et si je disait que les Soeurs du Destins étaient sur le points de nous donner nos souvenirs de la chronologie dont Harry vient ?


- Mais de quoi tu parle c'est...


  Susan n'eut pas le temps de finir sa phrase, les souvenirs du futur qui n'existait plus maintenant inonda son cerveau. Les autres filles avaient toutes le même états de choc aussi.


  Les yeux d'Hermione étaient écarquillés alors qu'elle se rappelait avoir suivi Harry dans sa quête des Horcruxes, se faire torturer par Bellatrix Lestrange et voir Harry vaincre Voldemort. C'était une chose d'entendre les événements de la part de Harry, c'était une autre chose de les voirs. En voyant les années après la bataille, elle vit sa vie misérable en étant mariée à Ron Weasley. Elle vit les longues nuits de bagarre pour essayer de convaincre Ron de l'accompagner chez un conseiller conjugal, mais il était toujours aussi obstiné et con. Plus elle en voyait, plus la colère montait pour cette imbécile aux cheveux roux. C'était encore pire que ce que Harry avait décrit.


  Susan se rappela comment sa tante Amelia avait été assassiné si soudainement par les Mangemorts et Voldemort. Elle était seule au monde, ses parents, son oncle Edgar et finalement sa tante Amelia lui on été arrachés, parc qu'ils ne souhaitaient pas ce régime monstrueux. Susan elle-même avait été gravement blessé lors de la dernière bataille, mais elle finit par se rétablir et devint la partenaire de Harry dans les corps des Aurors. Elle se rappela comment elle avait dû intervenir lorsque Ginny avait commencé à traquer Harry après le divorce du couple et comment elle avait dû emmener Ginny à St. Mangouste pendant un mois lors d'une confrontation particulièrement mauvaise.


  Tracey frissonna en voyant son avenir alternatif se dérouler. Sans l'aide de Harry, le contrat de mariage avec les Goyle avait été signé. Tracey avait fait partie d'une poignée de Serpentard à se battre contre les Mangemort lors de la bataille finale, aux côtés de Daphne, Astoria, Blaise Zabini et Théodore Nott. Tracey se battit avec tout ce qu'elle avait, car avec le contrat de mariage elle n'avait plus grand chose à perdre. La dernière chose qu'elle vit, était un éclair vert qu'un Mangemort avait lancé sur elle, c'était Yaxley dont elle avait briser le masque.


  L'avenir alternatif de Daphne n'était pas aussi mauvais. Elle avait survécu à la bataille mais elle avait épousée Blaise Zabini simplement pour annuler une dettes que la famille Greengrass devait aux Malefoy. Blaise ne fut pas un mauvais mari, mais une fois plus âgés il était évident que Blaise amoureux de d'Astoria, qui avait été forcée d'épouser Drago Malefoy pour rappeler la dettes des Greengrass. Daphne ne s'était marié que pour s'assurer que Malefoy ne mettent la main sur la fortune de sa famille, Drago ayant épuiser la siennes. Daphne ne put rien faire, elle et sa sœur passèrent le reste de leur vie dans un mariages qu'elles ne voulaient pas. Mais à part ça s'était pas trop mal.


  L'avenir de Fay avait été brillant, du moins au début. Fay était retourné à Poudlard pour aider et protéger ses amis. Comme Neville, elle se dressa contre les frères Carrow et elle s'était battue jusqu'au bout. Après avoir aidé la DA à combattre les Mangemort, sa famille à put être en sécurité grâce à sa mère qui les avaient cacher. Fay avait ensuite rejoint les Harpies en Folie en tant que batteuses , ou elle eut la malchance de devoir travailler aux côtés de Ginny Weasley. Fay et Harry devinrent amis lorsque celui-ci s'arrêta pour voir une séance d'entraînement. Ginny n'avait pas aimer ça et avait menacé Fay en lui disant se s'éloigner de Harry. Fay finit par boire régulièrement pour soulager ses nerf, constamment stresser car elle devait travailler avec Ginny. Sa vie prit fin brutalement quand elle fit un match particulièrement violent en compagnie de Ginny quand elle tomba soudainement de son balais. Même si sa mémoire était floue, parce qu'elle avait était un peu en état d'ivresse à l'époque, elle savait qu'elle n'était pas tombée par accident.


  Luna était la seule des six filles à avoir déjà su son avenir. Elle aurait épouser Rolf Dragonneau, un garçon gentil mais qui n'avait pas vraiment parler à l'école, et qui ne comprenait pas les excentricités et il pensait qu'elle avait besoin d'aide. Ce ne fut pas une mauvaise vie, mais ce ne fut pas aussi épanouissant que ce que Luna aurait voulue.


- C'est vraiment une bonne chose que Harry soit revenus, n'est-ce pas ? dit Luna à haute voix.


- Oh, mon dieu, s'exclama Fay.


- Ça aurait pu être pire.


- Comment cela aurait pu être pire ? demanda Susan.


- Eh bien, vous auriez pu être tué dans une explosion de Chaudron au fromage, déclara Luna. Ou tu aurais pu être déchirer au milieu d'une tempête de chouettes.


- Est-ce que nous voulons savoir de quoi tu parle, Luna ? dit Hermione.


- Probablement pas, certaines choses valent mieux de rester secrètes.

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