Il n'est pas encore mort

Chapitre 30 : C'est une arme offensive, c'est à dire ?

2288 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 30/07/2020 18:59

  La nouvelle année de Poudlard avait commencé depuis déjà quelques mois. Et Lord Sirius Black étaient actuellement dans son manoir avec sa femme Bathsheba Babbling et ils se préparaient à descendre pour le petit-déjeuner.



- Sirius, devine quoi, dit Bathsheba avec un sourire. Il y aura deux fois plus d'amour dans cette famille à partir d'aujourd'hui.


  Sirius la regarda quelques instants.


- Ont va le faire le matin aussi ?


- Non.


- On va jouer dans ton bureau ?


- Nous l'avons déjà fait.


- Le bureau d'un autre professeur.


- Sirius !


- Mais qu'est-ce que...


- On va avoir bébé.


  Sirius se figea. Sa mâchoire était tomber. Puis, lentement, un énorme sourire se fendit sur son visage et il prit sa femme dans ses bras.


  Il sortit ensuite de la pièce, en annonçant à tout ceux qu'il croiser cette joyeuse nouvelle.


- Severus, c'est agréable de vous voir parmi nous, dit doucement Voldemort.


  Severus Rogue avait été libéré d'Azkaban comme de nombreux Mangemorts. Le maître des potions voulait ce vengé d'un certains Harry Potter et de toute personne ayant un lien avec lui. Rogue contrairement aux autres été chargé des missions d'infiltration pour collecter des ingrédients et des informations, mais Voldemort décida de lui donner une nouvelle tâche.


- Mon Maître, dit Rogue d'un ton respectueux.


- J'ai une tâche importante à te confier, Severus. Une annonce à été faite dans ce journal.


  Voldemort lança une copie du Chicaneur vers Rogue. Celui-ci annonçait divers informations, pas toute importante, sauf peut-être l'annonce que Sirius Black allait avoir un héritier. Rogue eut un large sourire en pensant à ce qu'il allait devoir accomplir.


- Il s'agit d'une tâche des plus importante, Severus, continua Voldemort. Les Black nous gênent dans nos plans, et il représente un obstacle pour atteindre Potter. Allez à Poudlard et faites ce qui doit être fait.


  Rogue quitta la pièce l'air fier. Il allait retourner dans cette maudite école et il allait s'arranger pour rendre la mort de Black aussi horrible que possible, après s'être assurer qu'il voit sa femme torturer à mort. Pour Rogue, c'était qu'une simple revanche pour tout ce qu'il avait fait. Rogue n'était pas bête, il savait pour la barrières anti-Mangemorts qui entourait l'école, il n'avait donc d'autre choix que d'attendre que le bétail sorte de l'école.


  Mais la chose que Rogue n'avait pas pris en compte, c'était que le Destin accompagné de sa fidèle amie de Karma, allaient s'assurer de gâcher ses plans.


  Harry était actuellement installer à la table des Gryffondors, il lisait son courrier. Il avait envoyé à Mr Weasley, que Splunge Inc. était intéresser dans la création de voiture enchanter. C'était une idée qu'Harry avait suggérer dans la dernière réunion et il fut ravi de la voir menait à terme. Mr Weasley avait travailler d'arrache pied pour faire cette voiture elle était prête et ils allaient faire les premiers test. Le prototype serait livré samedi matin, autant dire qu'Harry l'attendait avec impatience.


  Harry fut tirée de ses rêveries lorsque les filles décidèrent de l'embrasser avant de se diriger vers leur cours. De son côtés Ginny Weasley avait pliée sa fourchette en deux, la colère qu'elle ressentait envers les six sorcières qui avaient volé son homme, la mettait hors d'elle.


  Lorsque samedi arriva Harry et plusieurs de ses amis ainsi que plusieurs membre du conseils assistèrent à l'arrivée du prototype se la voiture. La nouvelle voiture n'était pas une Ford Anglia bleu brillante, il s'agissait d'une Aston Martin vers foncé des années 1980. Harry demanda ensuite quelques volontaire pour venir avec lui dans la voiture. Seuls quelques garçons approchèrent, les autres étaient un peu méfiant vis-a-vis de la voiture.


  Donc Harry accompagner de Neville, Justin et curieusement Blaise entrèrent dans la voiture. Conformément aux instructions fournies par Mr Weasley, Harry démarra le véhicule et commença à monter dans les airs en faisant le tour de l'école.

- C'est tellement génial, applaudi Justin.


- On devrais se déplacer plus souvent comme ça, ajouta Neville. On peut allumer la radio ?


- Vas-y ! dirent les garçons.


  La radio était réglée sur une station appeler Salut les Sorciers, et une musique entraînante été actuellement diffuser.


  Les garçons ce mirent donc à chanter tous ensemble en continuer de faire le tour de l'école. Harry, entraîner par la chanson ne regarda plus ou il conduisait. Il fit donc un atterrissage en urgence hors de l'école aux bord de la forêt.


- Oh mon dieu ! s'exclama Harry.


- Dommage, c'était amusant, dit Blaise.


- Tout le monde sort !


  Harry sortit de la voiture et regarda autour de la voiture, il poussa une exclamation lorsqu'il vit une forme humaine sous la voiture.


- Qu'est-ce qu'on va faire ?


- Attendez, je sais. Neville creuse un trou près de lui. Harry, Justin vous traînez le corps hors de la voiture. Moi je vais déplacez la voiture.


- Qui que ce soit, je pense qu'il est encore en vie, dit Neville. Il faut juste reculer la voiture.


  Harry prit le volant, malheureusement son stress le fit appuyer sur l'accélérateur.


- Oups.


  Il recula.


- Oups.


  Il fit plusieurs manœuvre douce avant de pouvoir dégager le véhicule. Il sorti ensuite de la voiture pour rejoindre ses amis.


- Harry, je crois que c'est Rogue, dit Justin.


- Quoi, vraiment ? dit Harry.


- Je confirme, dit Blaise. Je reconnais ses cheveux gras.



  Voldemort fut très contrarié lorsqu'il lut l'article sur la capture de Rogue. Depuis son retour, il avait été obligé de changer de cachette car les Aurors les traqué sans cesse. Leur nouvelle planque était un cagibi dont Voldemort c'était servit comme premier quartier général lorsqu'il a officialisé les Mangemorts.


  Voldemort réfléchissez en tapotant son crâne poilus. Il devait accomplir quelque chose d'impressionnant pour rappeler au monde des sorciers qu'il était toujours une menace terrifiante et imposante. Et en plus de la capture de Rogue, certains de ses Mangemorts avaient disparus après être partit assassiné une autre famille qui protéger Harry Potter, les Bayly.


  Voldemort devait trouvé un moyen de récupérer son honneur et sa dignité. Il devait tuer Potter pour que Rookwood puisse accomplir son rituel afin de récupérer son apparence et ses pleins pouvoirs, mais il voulait aussi faire payer Potter pour l'avoir humilier. La meilleurs façon de procéder était de s'emparer d'un de ses amis pour l'attirer à l'extérieur de l'école.


  Alors qu'il réfléchissait sur la manière pour réaliser son plan, il se figea soudain. Il sentie une drôle de sensations, comme si quelqu'un venait de lui passer une brosse sur son crâne.


- BELLATRIX ! 



  Poudlard organisait une sortie éducative pour montrer aux étudiants comment le ministère fonctionne, c'était une bonne idée car la majorité d'entre eux n'avait jamais visité cet endroit. C'était une excellente manière pour que les étudiants réfléchisse a leur avenir aux ministère. Harry fut étonné que Poudlard et le ministère n'ai jamais fait ça avant, vue que le ministère était un des principaux lieux d'emploi dans la communauté magique.


  Ainsi, le joyeux groupe d'étudiants de Poudlard visita le ministère et purent voire les différentes carrière qui leur étaient proposé après Poudlard. Lorsque le groupe de Harry visita le Département de l'application des lois magique, et on leur montra les salles d'interrogatoire, ont leur a expliqué les différentes méthodes utilisées par les Aurors. Les salles d'interrogatoire n'était pas plus grande qu'une cabine téléphonique, un miroir séparer le prisonnier des Aurors et un micro Moldu permettait de communiquer.


  Luna eut un large sourire lorsqu'elle vit Severus Rogue. Le vieux maître des potions était sévèrement interroger de manière intensifs par un Auror, Luna lui tapota alors l'épaule.


- Est-ce que je peut essayer ? demanda t-elle.


- Ce serait contraire à l'éthique, sans parler que ce serait une violation du protocole, donc bien sûr allez-y, déclara L'Auror.


- Bonjour, professeur Rogue, dit joyeusement Luna par le microphone magique. Je me disais que vous vouliez entendre les récentes nouvelles. Moi et cinq de mes amies sortons avec Harry Potter et nous allons nous marier avec lui ! Et dans quelques années, il y aura toute une armées de petits Potter qui courrons les rues. N'est-ce pas merveilleux ?


- Woua, dit l'Auror. Je n'ai jamais vue un condamné réagir de cette façon.


  Rogue, en effet, était rouge et tenter vainement de détacher frénétiquement ses liens.



  Dumbledore, de son côtés, ne passait pas une bonne journée. Il semblerais que les Bulgares avaient informé à beaucoup d'autre pays que Dumbledore n'avait pas tué Grindelwald. Dumbledore était donc naturellement scandalisés par leur ingratitude. D'accord il avait laissé Grindelwald vivre malgré tout ce qu'il avait fait, mais pourquoi ces personnes ne pouvaient comprendre que laisser Grindelwald vivre étaient la seuls manière pour qu'il se rachète ? Tout le monde méritait une aide.


  Mais malgré tout, cela n'était pas le plus important. Ce qui importait pour Dumbledore, c'était de trouver un moyen de rentrer en Grande-Bretagne pour vaincre Voldemort avec le même niveau de splendeur dont il avait fait preuve pour vaincre Grindelwald. Pour faire simple, laisser quelqu'un d'autre faire tout le travail et le fatiguer jusqu'au moment où Dumbledore pourra intervenir et prendre toute la gloire. Dumbledore avait juste besoin que Harry soit coopératif, le garçon avait un destin à accomplir ; celui de mourir aux mains de Voldemort.


  Dumbledore devait se montrer patient, pour que ces plan se réalise. En attendant, il devait fuir cette foule Serbe très en colère.



  Ginny Weasley regardait les six sorcières avec une grande fureur. Elles bavardaient gaiement en se dirigeant vers les diligence pour rejoindre Harry à Pré-au-Lard. Étant donné que Ginny n'était pas plus maline que son frère, elle décida de défier ouvertement les six sorcières, en oubliant qu'elles étaient plus puissantes qu'elle.


- Vous ne gagnerez pas, grogna-t-elle. Harry est à moi et je ne vous laisserez pas m'éloigner de lui.


- Qu'est-ce que tu raconte, Weasley ? dit Fay.


- Ce que je dis, sais que si vous savez ce qui est bon pour vous, éloignées vous de Harry.


  Les six filles échangèrent un regards. Elles avaient déjà eut à faire à ce genre de filles qui avaient déjà montré leur animosité, mais elle était beaucoup plus menaçantes que Ginny Weasley.


- Écoute, Weasley, dit Susan d'un ton détaché, nous sommes plutôt occuper et nous n'avons pas le temps d'écouter des idioties comme celle-là.


- Tu n'a jamais pensé que Harry ne t'aimais pas ? dit Tracey. Peut-être qu'il est déjà satisfait avec des femmes qui l'aiment pour lui et non pour sa renommée ou son argent ?


- Non ! déclara Ginny d'un petite voix aux six filles. Harry est à moi ! Vous ne pourraient jamais l'aimaient comme je l'aime.


- Fait face au fait, Weasley, dit Daphne. Harry à déjà six petites amies, en sachant que deux d'entre nous sont à Serpentard. Alors que toi tu n'est qu'une harceleuse obsessionnel.


- Non ! protesta Ginny. Harry m'aime ! Il m'appartient !


  Les six filles échangèrent de nouveaux un regard.


- D'accord, cette conversation à vite tourner en rond, déclara Fay.


- Je suis d'accord, dit Hermione. On va prendre des glaces ?


- Allons-y, déclarèrent les autres.


  Elles tournèrent toute le dos à la tousse furieuse.


- HEY ! cria Ginny. JE N'EN AI PAS FINIT AVEC VOUS !


- On en a finit avec toi , Weasley ! répondit Daphne.



  Quand Harry et les filles arrivèrent à Pré-au-Lard, Harry se retrouva bombardé de journalistes. Il soupira de frustration en voyant à quelle point ces imbéciles ne comprenaient pas qu'il avait un contrat d'exclusivité avec Le Chicaneur. La majorité des questions posées concerner le fait que Harry était《l'élue》pour vaincre Voldemort.


- Ça suffit ! gronda Susan. Hors de notre chemin, parasites !


  Elle poussa les journalistes indignés de se faire ignorer de la sorte. Fay qui était aussi une femme assez forte l'aida à se frayer un chemin à travers l'essaim de reporters.


  Une fois qu'il furent en sécurité dans les Trois Balais, Susan se dépêcha de faire entrer les autres à l'intérieur avant de jeter un regard noir aux journalistes.


- A moins que vous ne souhaitez être blessez, je vous conseille de fourré le camp ! conclue-t-elle.


  Alors qu'elle était sur le point de fermez la porte, Luna s'approcha pour faire une dernière déclaration.


- Et pour infos, ce n'est pas l'élue, c'est un très vilain garçon, dit-elle avec un léger rire.

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