Il n'est pas encore mort

  Harry et ses amies traînaient au bord du lac, ils profitaient de la dernières journées ensoleillé. Tout le monde profitait à se manière de cette journée soit pour étudier ou s'amuser. Hermione, comme d'habitude, lisait le grimoire le plus volumineux qu'elle avait trouvé, tandis que Pattenrond était allongés sur ses genoux. Tracey avait sortit un panier de pique-nique et elle préparait le déjeuner. Fay et Luna se questionnaient sur leur connaissance à propos des créatures magiques. Susan écrivait dans son cahier des idées sur les nouvelles mesures de sécurités. Et Daphne pataugeait dans l'eau avec sa sœur Astoria en s'éclaboussant.



  En bref, c'était exactement le type de moment que Harry désiré le plus.

  Alors pourquoi il ne pouvait pas en profiter ?

  Ses doigts tapotaient l'herbe de manière frénétique et il lançait des regards en tout sens comme s'il s'attendait à ce qu'une attaque surgisse d'un coup. C'était une situation très désagréable pour lui, car malgré les efforts d'Amelia Bones et des Aurors, Voldemort et certains de ses meilleurs Mangemorts étaient toujours en fuite. Et Harry le savait que tant que Voldemort n'aurait pas été placé dans un trou dans le sol (ou incinéré, envoyer dans l'espace ou écraser par un poids de 16 tonnes) il n'aurait pas la paix.

- Arrête de t'inquiéter Harry, dit Fay. Voldemort et ses partisans ne vont plus tenir longtemps. Franchement à ta place je serais beaucoup plus inquiet au sujet de certains Weasley...

  Il dirigea son regard vers Ron et Ginny au loin. Elle et sont frère avait prit l'habitude de traquer Harry et son groupe.

- Ils ne savent pas quand abandonner, et puis franchement ça m'étonne que tu ne les est pas déjà renvoyé.

- J'attends qu'il fassent quelque chose, dit Harry. A la seconde ou ils font quoique ce soit, je peut vous jurez qu'ils seront renvoyé avant d'avoir put dire《Quidditch》. Mais même si Voldemort est traqué, rien ne l'empêche de faire du mal autour de lui. Et même lorsqu'il ne sera plus la, ses partisans pourront toujours se regrouper et peut-être qu'ils pourront recueillir le soutien dans des pays étranger et lancer une autre attaque. Nous pourrions avoir une nouvelle guerre à gérer et...

- Quelqu'un est redevenu pessimiste, déclara Tracey.

- Non, Harry à marqué un point, dit Luna. S'il y a moins de Mangemorts, il ne pourrais pas se rassembler.

- Heu, d'accord, ajouta Harry. Mais il faudrait que les Mangemorts disparaissent avant Voldemort.

  À l'insu de Harry, Luna était en proie à une de ses prémonitions. Un sourire légèrement maniaque sur son visage et tout le monde l'ignorer, car depuis le temps qu'ils passaient avec elles, ils savaient que Luna n'était jamais disposé à leur révéler ce qu'elle avait vue.

  Quelques temps plus tard, ils eut une recrudescence de meurtre violent parmi les Mangemorts et les puristes des sang-pur. Harry prit cela comme une bénédiction, il se sentait détendu maintenant que les Mangemorts étaient de moins en moins nombreux. Et même si cela était étrange, il ne voulait pas risquer de contrarier sa chance, car comme ces amies lui avaient souvent dit, ils n'y auraient pas de grand affrontement ni de tentative d'assassinat envers lui avant la fin de l'année.

  Harry se concentra donc sur ses devoirs et sur ses projets de vaccances. Il fut particulièrement ravi de constater que ses amies avaient décider de lui offrir son cadeau de Noël en avance. Les filles l'avaient attiré dans la Salle sur Demande le soir de l'avant dernier jour avant les vacances. Harry été un peut courber mais cela n'avait probablement rien à voir à ce qui c'était passé dans la Salle.

  Sirius se pavanait avec bonne humeur alors que le ventre de sa femme devenait de plus en plus prononcer. Bien que son attitude idiote et protecteur était agaçant, en particulier mon son épouse ; Bathsheba le prit bien et elle rassurer Sirius. Ce comportement empêchait Sirius de taquiner son vieil ami Remus pour avoir lui-même trouver une jolie fille, et ses commentaires ne se produisaient étrangement que quand Tonks était présent, mais cela n'est qu'une coïncidence.

  Albus Dumbledore était, pour le première fois depuis des mois, très heureux. Après des mois de fuite, il avait enfin un plan qui lui permettrait de retrouver gloire, respect et l'administration qu'il méritait. C'était un bon plan. Il savait que Voldemort préparait quelque chose et il y avait de bonne chances à que ce soit vers la fin de l'année scolaire (ce qui semblait être la norme pour les tentatives d'assassinat conte Harry Potter). Après être revenus en Grande-Bretagne, il avait réussi à obtenir assez d'informations sur la bataille à venir de la part d'un des Mangemorts, hélas cette pauvre âme mourut quelques minutes plus tard d'une mort prématuré.

  Harry Potter devait mourir, mais pas pour l'instant. Dumbledore devait encore trouver les Horcruxes, et la batailles a venir serait simplement une occasion pour Dumbledore de se réconcilier avec le ministère. Il pourra s'arranger pour que les choses redevienne comme elle devait être, lui en tant que Directeur de Poudlard et Harry sans cette excès de liberté. Son plan avec Walter Davis avait échouer, mais il pouvait toujours le remettre sur pied. Walter Davis était l'une des seuls personnes qui avaient accepter de rester son alliés. Tout ce qu'il avait à faire c'était de forcer sa fille à épouser Harry, ainsi il pourrais contrôler le pouvoir et l'argent du jeune homme.

  Mais ce que Dumbledore n'avait pas prévue, comme beaucoup d'autre. C'était que Destin et Karma allaient, encore une fois, mettre des bâton dans les roues à tout les ennemis d'Harry Potter.

  Marissa Davis, né Rowle, attendait ce jour. Depuis fort longtemps. Elle avait écrit une lettre à Tracey qu'elle ne devait pas rester à la maison pendant les vacances, sans préciser la raison. On pouvait pensée que Marissa négligé sa fille et était plutôt sans cœur, mais Marissa aimait sa fille plus que toute autre chose.

  Si sa fille avait finit par épouser le fils des Goyle, Marissa aurait tranché la gorge de son mari et en aurait finit. Elle était heureuse que sa fille ai put trouver quelqu'un qui l'aime, et non qu'elle devait aimer car on lui avait imposé comme elle. Et maintenant, elle allait être libre... Elles allaient toute les deux être libres.

  Elle avait mis beaucoup de temps à préparer la potion. C'était une vieille potion familiale qui avait la capacité de tuer toute personne qui l'a boit, en étant totalement indétectable. Comme elle n'avait jamais été particulièrement doué pour les potions elle lui avait fallut beaucoup de temps pour la préparer.

  Mais la chance qu'elle avait attendus était enfin la. Elle s'était assurer que toutes les possessions de Walter était toujours présente pour Tracey. Et lorsqu'elle aurait réussi elle rejoindrai sa vieille amie Narcissa vers la Côte d'Azur. Marissa n'était pas complètement démunis bien sûr, son frère étant mort prématurément elle fut nommé comme la seul héritières de la famille Rowle.

  Le soir où les élèves partaient pour les vacances de Noël, Marissa était à l'oeuvre, elle avait mit dans le thé de Walter quelque goutte de sa potion.

  Elle laissa une lettre dans son testament qui expliqua à Tracey ce qu'elle avait fait et pourquoi. Marissa sentait que sa fille ne lui pardonnerais jamais après ce qu'elle avait fait, même s'il s'agissait de son salaud de père. 

  Tracey, de son côtés, passait d'agréable vacances entourée de gens qu'elle aimaient. Harry avait invités ses six petites amies, Neville et leur famille chez lui pour passez Noël, dans un manoir sous les tropiques. Le Manoir se trouvait sur une île cacher à de la vue des Moldus, en pleins milieu de se qu'on appeler《Le Triangle des Bermudes》.

- Est-ce que l'Atlantis était cacher ici ? demanda Harry à Sirius.

- Ne me dis pas que tu crois vraiment en l'Atlantide, dit Sirius. Il ne s'agit que d'une simple légende. Tout le monde sait que l'Atlantis et un gigantesque quartier commerçant sous-marin.

  Au centre du fameux triangle, se trouvait une pyramide géante faite d'une matière visqueuse. Cette pyramide était le plus grand quartier commerçant magique du monde et il fut nommée ainsi en l'honneur d'Atlanta Kallikrates, la sorcières qui colonisa les îles magiques des Bermudes.

- Qu'est-ce qui cause toute ces disparition ? demanda Hermione. Et toutes ces tempêtes ?

- Il s'agit d'accident de la nature, expliqua Sirius. Mais une théorie veut que les énergie présente dans le triangle et tellement concentrer qu'elle détraque parfois la météo. D'ailleurs cette énergies vient des îles elle même, on soupçonne une magie puissante et ancienne qui et encore à l'oeuvre.

  Malgré les interrogations sur la météo du triangle, celle-ci resta belle et ensoleillé. Il s'avéra que la famille Bayly possédait une île non loin de celle que Harry avait achetée. Ils passèrent ainsi de bonne soirée pendant les vacances de Noël.

  Tracey ne reçut pas la nouvelle de la mort de son père et du départ de sa mère avant son retour en Grande-Bretagne, car le courrier par hibou était indisponible dans le Triangle.

  Le reste du trimestre passa rapidement. Les méchants continuaient d'être battus, Harry développer toujours de nouvelles façons de faire entrer le monde magique de le 20ème et 21ème siècle en appréciant la compagnie de six petites amies et enfin Sirius devenait de plus en plus excité à la venus prématuré de son enfant.

  Juin arriva et la bataille final aller bientôt arriver.

  Ce qui restait des Mangemorts, était de nouveaux cachée dans une planque sur cette fois si. Leur maître avait donné une date précise pour le rejoindre lorsqu'il lancerais son attaque contre Potter. C'était un bon plan, il lui avait fallut beaucoup de travail et Rookwood avait rassembler suffisamment d'information. Le Seigneur des Ténèbres leur avait conseillé de ne pas le contacter avant d'être avertis de la bataille ; et il valait mieux pour eux qu'il vienne sinon il risquerais de subir la colère de Voldemort.

  Ce que Voldemort ne savait pas, c'est qu'aucun de ses Mangemorts ne vivrait assez longtemps pour être présent à cette fameuse bataille.

  Alors que les Mangemorts étaient rassembler en expliquant pourquoi ils détestaient les Moldus, ils entendirent un bruit sourd venant de l'extérieur de la salle. Des cris de douleur résonnèrent alors. Les Mangemorts se regardèrent tous, puis en haussant les épaules ils continuèrent de se plaindre. Il eut une série de bruit de percussion comme si on jeter quelqu'un sur un mur.

- Il doivent faire la fêtes à côtés, déclara Yaxley. McNair, peut tu aller voir ?

  McNair, parfois connu de ses amis sous le nom de... Tim se leva à contrecœur de son siège et ouvrit la porte pour dire aux résident d'en face d'arrêter ce bouquant. Mais des qu'il ouvrit la porte il la claqua aussitôt, révélant à ses camarades un visage blanc de terreur.

- Qu'est-ce qu'il y a ? demanda Lucius Malefoy. Qu'est-ce qui ne vas pas ?

- Elle est ici ! haleta McNair. La Bête de Caer Bannog.

- Qu'est-ce que c'est ? demanda Yaxley.

- Il s'agit d'une créature si cruelle que personne n'ose lutté contre elle une fois qu'elle vous a choisi pour cible ! Apparemment elle se sert du squelette de ses ennemis comme d'un lit dans son repaire... Alors, mes amis, si vous ne voulez pas perdre à jamais votre courage et votre vie, n'avancez pas par la, car seul la mort attend derrière cette porte !

  Lucius et les autres Mangemorts regardèrent avec des yeux rond McNair.

- Nous allons risquer d'avancer, dit Lucius. Ouvre la porte McNair.

 McNair s'approcha de la porte en tremblant, puis il l'ouvrit suffisamment pour permettre aux autres de voir en dehors. Mais il n'y avait rien, à part peut-être un lourd silence pesant.

- D'accord, j'y vais, déclara Lucius. Laisse ouvert.

- Trop tard ! Il est la, dit McNair en pointant le coin de pièce. Tout le monde vit un petit lapin blanc moelleux.

- Où ? demanda Lucius.

- Juste la !

- Derrière le lapin ?

- C'est le lapin...

  Tout le monde éclata de rire.

- Tu est un imbécile.

- Quoi ?

- Tu nous a dérangés pour rien.

- Mais ce n'est pas un lapin ordinaire ! C'est le rongeur le plus grossier, le plus cruel qui existe, je l'assure !

- La ferme ! dit Yaxley. Tu nous a fait peur idiot.

- Mais faites attention au lapin bon sang ! C'est un tueur vicieux !

- Un tueur en peluche, déclara Nott Sr.

- Ça devrais te faire plaisir mon pote.

- Va-te-faire voir, dit Parkinson.

- Je vous préviens il va...

- Quoi nous mordiller les fesses ? ricana Yaxley.

- C'est un monstre, vif... Il peut à tout moment...

- Vas-y Amycus, explose lui la tête, ordonna Lucius.

- Bien, par ici petit rongeur, dit Amycus Carrow en sortant sa baguette. Et un ragoût de lapin...

- Regardez ! cria McNair.

  Le lapin laissa échapper un couinement, et en un instant il attrapa la gorge de Carrow avant de lui arracher la tête.

- PAR LA BARBE DE MERLIN ! cria Lucius.

- JE VOUS AVEZ PRÉVENUS ! cria McNair d'un air résigné.

  Luna Lovegood se glissa dans le quartier des fondateurs avec un sourire au lèvres, en ignorant les regards que Hermione lui lançaient.

- Euh, Luna ?

- Oui, Hermione ?

- Pourquoi es-tu couverte de sang ?

- C'est une questions intéressante, Hermione. Une autre plus intéressante, cependant, pourquoi n'es-tu pas couverte de sang ?

- Tu n'a rien fait de mal, n'est-ce pas ?

- Bien sûr que non, Hermione ! Je t'assure que cela n'aura aucune conséquence pour nous, d'ailleurs tu n'as rien vu.

  Hermione sentait qui valait mieux de ne rien dire aux autres et décida de retourner à son livre.