Il n'est pas encore mort

Chapitre 33 : Voilà pour Pathos

2268 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 30/07/2020 19:14

  C'était un doux après-midi d'été lorsque le Magenmagot fut rassembler pour juger Albus Dumbledore pour ses crimes. Personnellement, Harry aurait préféré organiser un pique-nique avec ses amies pendant les vacances d'été. Mais le désir de voir enfin Dumbledore condamné pour ces crimes l'avaient remporté. Comme Harry était l'une des victimes de ses manipulation, il ne participait pas au jugement, cependant il était présent dans les tribunes prêt à donner son témoignage et tout les détail nécessaire pour s'assurer que Dumbledore soit condamné. Il ne put dissimuler sa joie lorsqu'il vit le vieux directeur l'air misérable, affalé dans le fauteuil à chaînes magique pour retenir les délinquant dangereux dans son genre.


  La situation après la nouvelle bataille était redevenu normal et les plus grandes menaces à la vie et au bonheur de Harry Potter avaient été correctement neutralisées. Dumbledore allait être envoyé en prison, Voldemort n'était rien de plus qu'une flaque de bout sous un poids de 16 tonnes (qui avait été transformer en monument national) et quand à Ron et Ginny... enfin disons qu'ils ont de la chance de ne pas être mort pour se qu'ils ont provoqué. Ils furent tout les deux officiellement renvoyés de Poudlard, et peut importe ce qu'il leur après Harry s'en moquait.


- Que tous les partisans de la condamnation se désigne, dit le procureur.


  La décision était unanime.


- Albus Dumbledore, avait vous quelque chose à dire avant que nous rendions notre jugement ? dit Amelia Bones.


- Oui, madame Bones, j'ai quelques mots à dire, répondit Dumbledore avec hauteur. J'admets que depuis environ un siècle j'ai menti, que j'ai était escroc à deux visages mais je n'avais pas le choix, j'était en politique. Si vous le permettez, je vais me lancer dans les explication fastidieuse pour que vous sachiez que tout ce que j'ai fait été dans l'intérêt de tous et pourquoi je devrais rester libre malgré tout mes crimes.


  Il eut un gémissement parmi l'assemblée.


- Très jeune, je savais que j'avais le pouvoir changer la Grande-Bretagne voir le monde de la magie. Tout cela a commencé par un bel après-midi d'été, alors que je venais de mettre la bouilloire...


  Les gens sortirent des magazines et des romans pour passer le temps.


- Enfin, je ne pouvais tout simplement pas demander le renvoie de Tom Jedusor de Poudlard simplement parce qu'il était diabolique. Même si j'était le professeur le plus respecter, je ne pouvais pas ouvrir une enquête a l'époque, même si je savais que les Acromentule n'avaient pas le pouvoir de pétrifier...


  Certaines personnes somnoler sur place tandis que d'autre c'était déjà endormis. Et ainsi, Dumbledore passa en revue toutes sa vie en passant des moment particulier à chaque accusations qu'on lui reprochait et son discours parut tout aussi ennuyeux que le cours monotone du professeur Binns. Harry soupçonna que Dumbledore laisser son discours traînaient en longueur pour que le Magenmagot finissent par oublier la raison pour laquelle il était ici.


- Mais pendant combien de temps il encore parler ? murmura Fay à Harry.


- Aussi longtemps qu'il le voudra, gémit doucement Susan. Une lois veut que le témoins à le droit de faire une déclaration finales et sans limites de temps sans qu'on puisse interrompre.


  Harry remarqua que Hermione, d'habitude grande amoureuse des discours, commençaient à se taper la tête contre la table juste devant elle.


- Et bien sûr je nie totalement toute les accusations à propos de Harry Potter, peu importe ce que disent les rapport médicaux...


  Beaucoup de gens s'étaient endormis. Même madame Bones, qui devait être habituée à ce genre de discours de la part des accusées, se mit à somnoler.


- Ce qui d'ailleurs, me rappelle la fameuse histoire de l'origine de ma cicatrice sur le genoux gauche qui représente parfaitement les métros de Londres...


  Et enfin, Dumbledore arriva finalement à la fin de sa déclaration et tout le monde se réveilla.


- Et donc, pour conclure, j'espère beaucoup que vous ne m'enlèverez pas ma liberté. Parce que, chers membres du Magenmagot, la liberté est une chose très prisé dans les pays civilisée. C'est une chose qui permet de se sentir comme un bourgeon sur le point de fleurir. C'est une chose très précieuse comme un sauveur, le bonheur, oui c'est une chose qui nous habite tous. Qu'est-ce qui libère un prisonnier lorsqu'il s'échappe de ses chaînes et de sa prison ? Qu'est-ce qui réveille les oiseaux le matin lorsque le soleil se lève ? Qu'est-ce qui motive les marins lorsqu'il voyage en mer ? Liberté ! Liberté ! Liberté !


  Il eut un moment de silence pendant lequel tout le monde finit de se réveiller.


- Merci bien pour cette... très intéressante déclarations, monsieur Dumbledore, déclara Amelia Bones. Le Magenmagot va maintenant donner sa sentence.


- N'importe quoi ! dit un membre frénétique. On s'en fiche ! Il suffit de se débarrasser de lui !


- S'il vous plaît ! ajouta un autre. Faites en sorte que lui et ses discours partent !


  Une fois que les membres excité du Magenmagot furent calmer la décision fut de l'enfermer à vie. Beaucoup aurait aimaient le condamné aux baiser du Détraqueurs, mais a ce moment la, plus personne ne se soucia de ce qui est arrivé au vieil homme quand il sortit de la salle d'audience. Dumbledore poussa un soupire de résignation alors qu'il était menotté.


- Vous êtes des agents juste, mais c'est la société qu'il faut blâmer, déclara-t-il.


- Franchement, je suis contre ceux qui donnent la libre parole à des hommes qui ne la méritent pas, déclara Luna.


  Tout le monde se tourna vers elle.


- Quoi ? J'ai le droit de ne pas aimer ça.


- Parfois Luna, tu a donne l'impression d'être presque normal, dit Hermione.



  Et la sixième année se termina, puis la septième, tout avait été calme. Harry finissait de remballer ses affaires et descendit dans la salle commune du quartier des fondateur pour voir les autres. Il se dirigea sur le bureau où se trouvaient jadis les piles de documents concernant Splunge Inc., les revues pédagogique de Poudlard, des idées de réforme politique, des notes sur de nouvelles affaires et des brochures sur des lieux exotiques.


- Tout est emballé ? demanda Neville.


- Je viens juste de finir, dit Harry. Quelles sont vos plan pour cet été ?


- Hannah et moi partons en expédition en Amérique du Sud pour étudier des espèces de plantes rares.


- Excellent, Neville. Harry se tourna vers ses amies. Et vous, qu'allez vous faire ?


- De courtes vacances suivies d'un examen d'entrée pour Miskatonic, dit rapidement Hermione.


- Travailler sur mon bronzage avant de travailler sur la maîtrise des potions, déclara Daphne.


- Rejoindre Daphne à la plage puis à l'école d'art, déclara Tracey.


- Je vais entrer dans une équipe de Quidditch, déclara Fay. Mais j'ai du temps libre avant que les entraînement commence.


- À la recherche du Snorkacks, déclara Luna. J'en suis venu à croire qu'il préfère les zones d'eau salé à l'eau douce. Puis je retournais travailler au Chicaneur.


- Je commence ma formation d'Auror en Automne, déclara Susan. Juste après un bref repos impliquant la natation, les bains de soleil, la danse et du volley-ball.


- Et bien, tout cela semble coïncider avec ce que j'ai moi-même préparer, dit Harry avec un sourire.


- Arrête ça Harry, dit Fay. C'est toi qui nous as invités à venir avec toi dans cet hôtel.


Harry renifla et se tourna vers Neville.


- Toi et Hannah pouvez passez n'importe quand, Neville. Ont aura de la musique des boissons fraîche et une suite supplémentaires pour vous deux.


- Elle n'a pas arrêter de parler se vos fiançailles, déclara Susan. Je ne peux m'empêcher de penser que je vais être demoiselle d'honneur.


  La nouvelle que Neville Londubat avait proposé Hannah Abbot en mariage le dernier jour s'était répandu comme une traînée de poudre, cela avait amené Harry à réfléchir à son avenir. Il était prêt à affronter la vie et il n'avait techniquement pas besoin de travailler, même s'il avait la ferme intention de continuer Splunge Inc., heureusement pour lui, les filles n'étaient pas prête à ce caser tant qu'elle n'aurait pas développer leur carrière respective. Donc voir Neville et Hannah unis de cette manière mettait Harry dans une situation de doute.


  Chacune des ses petites amies poursuivait ses intérêt et elle était toute enclins à suivre Harry, mais il ne souhaiter en aucun cas les empêcher de réaliser leur objectif. Harry était parvenus à la conclusion que Hermione, Luna, Fay, Tracey, Daphne et Susan étaient les femmes qui lui était destiné (si le destin existe), mais il ne s'interposerais dans leur désir de façonner le monde, maintenant que celui-ci devenait un peut désintéressé à présent que les principaux ennemis n'étaient plus présent.


  Pour le moment, il ferait de son mieux pour les aider, les aimer et les soutenir dans tout ce qu'elles faisaient.


- Je souhaite donc les meilleur chance pour notre promotion, déclara la directrice McGonagall pendant que les élèves lançaient leur chapeau en l'air.


  Tandis que Harry parcourait la foule, pendant que ses camarades lui donnaient des tapes dans le dos, il en profita pour regarde autour de lui. Sirius et Bathsheba étaient présent, accompagné de leur petite fille Céleste, ainsi que Remus et Tonks et de leurs fils Teddy. Partout il y avait des diplômé joyeux, souriants, ils vivraient des vies paisible et prospères, sans le traumatisme d'une guerre inutile.


  Les choses finissaient bien, elle finissaient bien pour tout le monde.


  Conformément à la tradition de Poudlard, les diplômés traversèrent le Lac Noir dans les même barques qui les avaient emmener à l'école la première années. Harry monta sur la barque, en ne se préoccupant pas de savoir qui était avec lui, et lentement elle se mirent tous à traverser l'eau. Le calmar géant sortit une de ses tentacules pour leur faire un dernier adieu.


  Tout allait bien pour tout le monde.



Plusieurs années plus tard...


  Ils étaient en vacances, cette fois pour visiter l'île de Santorin. Ils avaient chacun la vingtaine, tout le monde étaient établis dans leur carrière ou ils avaient finit leur études. Ils se prélassaient actuellement autour d'une piscine en admirant le magnifique paysage. Harry avait profité de ses vacances pour prendre l'occasion de déménager avec ses amies. Harry avait demandé à Hermione d'organiser un calendrier pour visiter les différentes demeures avec chacune des filles pour voir si cela leur plaisaient.


  Les filles portaient chacune une bague de fiançailles qui représentait le titre auquel elle se mariaient. Hermione comme Lady Potter, Fay comme Lady Gryffondor, Susan comme Lady Poufsouffle, Luna comme Lady Serdaigle, Daphne comme Lady Serpentard et Tracey comme Lady Perevell. Les filles avait accepter de se marier au printemps prochain et Luna avait déjà suggérer la décoration ainsi que les robes.


- On dirait que le vieux Dumbledore à claquer, dit Susan en levant les yeux du Chicaneur. A mon avis, il aurait dut mériter pire.


- Oh, dit Harry. De quoi il est mort ? L'âge, la maladie ?


- Aucun des deux. Vous vous souvenez du mangeur-blanc qui terrorisait la Grande-Bretagne il y a quelque années ?


- Quoi, il l'a mangé ? demanda Fay.


- Il a essayé. Il était entré dans la prison et avait mangé un certains nombre de prisonnier, puis il trouva Dumbledore. Dumbledore, cependant, résistait plus qu'il le penser. Puisqu'il n'avait pas de baguette sur lui, il ce battit avec ses poing et il parvint a l'avaler.


- Quoi ?


- Vous vous rappelez de cette dépendance que Dumbledore avait pour le citron ? Et bien, il fit tellement privée de sucre en prison qu'il... qu'il a mangé le mangeur-blanc. Mais comme il avait consumer trop de sucre d'un coup il mourut d'une crise cardiaque.


- J'avais toujours pensée que Dumbledore finirait dans un grand événement dramatique, déclara Daphne.


- J'aurais aimait que cela ce déroule autrement, déclara Tracey.


- Avec une déchiqueteuse, dit Fay.


- Une déchiqueteuse ? répondit tout le monde.


- En fait ce n'est pas une mauvaise idée, répondit Harry. Mais c'est trop tard maintenant.


  Les pensée de Dumbledore et de son effroyable décès se perdirent dans l'esprit de Harry. Luna de son côtés décida de laisser tomber le haut de son bikini et les autres filles la suivirent.


  La seule chose que Harry pouvait penser en cette instant c'était :


   Décidément, je suis le bâtard le plus chanceux du monde.

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