La face cachée du récit

Chapitre 3 : L'ordre du phénix

Catégorie: T

Dernière mise à jour 08/11/2016 14:48

Deux jours à peine après l’entretient avec Dumbledore, Circia fut surprise de voir débarqué le professeur McGonagall dans ses appartements un soir en semaine. Sans perdre de temps en fioriture, sa collègue la pria de la suivre en dehors de Poudlard afin de se rendre à une réunion de l’ordre. Circia marqua un temps d’arrêt, comme si entendre Minerva évoquer la société secrète lui permettait de réaliser qu’elle n’en avait pas fait que rêver et qu’une guerre se préparait bel et bien. La jeune femme tenta de questionner le professeur de métamorphose mais en vain, cette dernière restait très vague et finit même par la prier de ne plus poser de question. Circia se sentit un peu vexé parce qu’elle prenait pour un manque manifeste de confiance mais elle n’ajouta rien et accepta sans un mot de prendre le bras que lui tendait sa collègue afin de transplaner.

Après l’habituelle sensation d’oppression et de tournis qu’engendrait le transplanage, les deux femmes se retrouvèrent sur une petite place, à priori dans un quartier moldu. Circia observa rapidement les lieux, tout était sombre, les bâtiments qui les entouraient semblaient abandonnés, mais quelques lumières prouvaient le contraire. La jeune femme tenta d’ouvrir la bouche pour parler, mais le professeur McGonagall la coupa immédiatement en lui tendant un bout de parchemin.

Lisez-ça ! Souffla-t-elle en jetant des coups d’œil inquiets autour d’elle.

Circia attrapa le parchemin et se mit à lire une simple phrase : « Le quartier général de l’Ordre du phénix, se trouve au 12, square Grimmaurd, Londres. ». La jeune femme leva les yeux en direction d’un des bâtiments, une nouvelle maison venait d’apparaître, incrédule elle se tourna vers sa collègue mais Minerva s’avançait déjà vers la porte.

« Vous devriez détruire le parchemin, il pourrait tomber entre de mauvaise mains et alors nous n’aurions plus d’endroit pour nous réunir. » Lui lança le professeur McGonagall lorsqu’elle arriva sur le perron.

« Evanesco » s’exécuta la jolie rousse avant de franchir la porte de la maison que Minerva venait d’ouvrir d’un coup de baguette.

Toutes deux se retrouvèrent dans un grand hall plongé dans une obscurité totale. Circia se cacha le nez d’une main, il émanait de cette maison une odeur de renfermé insupportable.

« Ne trainons pas, ils doivent déjà avoir commencé. » Affirma le professeur McGonagall qui s’enfonça un peu plus dans le hall en direction d’une porte dont la serrure laissait filtrer un peu de lumière.

Circia quant à elle se retourna vivement lorsqu’elle eut l’impression que quelqu’un ou quelque chose venait de lui chuchoter à l’oreille. Elle observa un instant les mûrs mais rien ne pouvait avoir provoqué la sensation qu’elle venait de ressentir. Cette demeure lui donnait la chair de poule et elle se pressa de rejoindre le professeur de métamorphose qui pénétrait dans la cuisine. Alors qu’elle entrait à son tour, Circia se pétrifia lorsqu’un homme aux cheveux longs et brun, le visage creusé par la faim et la fatigue s’approcha d’elle, ayant vraisemblablement l’intention de se présenter.

« Bienvenue chez moi, je suis Sirius Black mais vue votre expression je pense que vous savez qui je suis. » Déclara-t-il avec un sourire largement amusé, ce qui eut pour effet de provoquer quelques rires autour de la grande table en bois de la cuisine.

La dernière fois que la jeune femme avait entendu parler de Sirius Black se résumait à « Mangemort, dangereux, prévenir immédiatement le ministère. » Pendant quelques secondes, Circia resta silencieuse et immobile mais constatant que personne ne semblait s’offusquer de la présence d’un dangereux fugitif elle termina par lui rendre son sourire et lui serra la main.

« Et moi Circia Merteuil… » Se présenta t’elle, en jetant un œil sur tout un tas de parchemin repartis sur la table.

« Il semblerait que les rumeurs soient vraies. » Lâcha l’homme une lueur charmeuse dans le regard.

« Les rumeurs… ? »Souffla-t-elle en secouant légèrement la tête dans un tic nerveux.

« La réputation de votre beauté vous a précédé ! » Affirma t’il sans sourcilier.

Circia le fixa un instant, stupéfaite par l’aplomb du maître de maison. Elle remarqua par ailleurs que sous son air fatigué, presque maladif se cachait une ancienne beauté aristocratique, probablement ravagé par des années de contact avec les Détraqueurs d’Azkaban. Alors qu’elle s’apprêtait à répondre une voix pénétrante s’éleva du fond de la salle.

« Nous avons des choses plus importantes à faire que de t’observer te pavaner Black ! »

Circia aurait reconnu cette voix méprisante entre mille, elle tourna la tête dans sa direction et ne fût pas surprise de croiser le regard accusateur du professeur de potion.

« La ferme Servilus… » Cracha Sirius, un air de défi dans le regard.

Rogue se leva d’un bond, renversant sa chaise ce qui provoqua un bruit assourdissant.

« Allons allons, nous ne sommes pas ici pour nous battre. »S’offusqua une petite femme rondelette qui s’était levé à son tour.

« Molly a raison, inutile de se battre entre nous, on a déjà assez à faire avec les Mangemorts ! » Ajouta la voix posée du professeur Lupin.

Cette dernière phrase eu pour effet d’apaiser l’atmosphère, Rogue releva sa chaise d’un coup de baguette magique et se rassit tandis que Sirius Black retournait à sa place en bout de table. Circia quant à elle se dirigea vers la seule chaise désormais libre entre la petite femme potelée et le professeur McGonagall.

La suite de la réunion se déroula sans autre accro majeur, le professeur Rogue et Sirius Black évitant soigneusement de se parler directement. Circia quant à elle eu droit à une mise au point particulière et découvrit avec une curiosité mêlé d’appréhension qu’Harry Potter, ce petit bonhomme si frêle qu’elle avait en classe, était selon une prophétie, le seul à pouvoir vaincre Lord Voldemort. Que la dite prophétie était en sureté au ministère mais qu’une surveillance par l’Ordre était indispensable puisque Dumbledore avait l’intuition que le seigneur des Ténèbres souhaitait l’acquérir au plus vite.
Les discussions s’orientèrent ensuite sur les Mangemorts potentiels qu’il fallait impérativement surveiller de près ou de loin. La jeune femme fût surprise d’entendre une liste de noms particulièrement longue qui s’apparentaient pour la plupart à des élèves de la maison Serpentard. Circia osa jeter un regard à Rogue et elle s’aperçut que celui-ci la fixait étrangement. Lorsque leur regard se croisèrent il détourna les yeux, elle l’observa un instant et les mots de Dumbledore lui revinrent en tête « Ma chère Circia, je pense que le professeur Rogue vous en veut d’être vous, et s’en veut à lui de n’être qu’un homme… ».
La jeune femme secoua la tête et reporta son attention sur un sorcier à la peau noir qui venait de prendre la parole. Il assigna à chaque personne présente une ou plusieurs tâches. Circia fut simplement chargée, comme chacun des professeurs de Poudlard de consigner sérieusement chaque évènement susceptible d’être en lien avec Voldemort, ou chaque comportement étrange au sein de l’école.

Il était près de dix heures lorsque la réunion se termina. La plupart des membres s’empressèrent de rentrer chez eux mais certains semblaient moins pressés, notamment le professeur Lupin et monsieur Weasley qui buvaient désormais ce qui ressemblait à du Whisky pur feu. Molly Weasley s’afférait à la cuisine aidée par une jeune sorcière à la chevelure rose bonbon. Le professeur McGonagall salua les autres membres et pris congé, Circia commença à la suivre ne voyant pas l’intérêt de rester dans cette maison plus longtemps mais une voix se fit entendre.

« Miss Merteuil, vous prendrez bien un verre avec nous ? » S’exclama Sirius Black installé comme un pacha dans un fauteuil à bascule qui menaçait de se renverser à toute instant.

La jeune femme hésita un instant, derrière elle un raclement de gorge amer attira son attention. Severus Rogue se tenait dans le hall, il enfilait sa cape, ses yeux de nouveau fixé sur elle. Il semblait attendre sa réponse, le visage lugubre alors que Sirius faisait de même mais avec un regard presque suppliant.

« Je… » Ses yeux passaient de Sirius à Rogue à une vitesse affolante.

« C’est très gentil de votre part mais j’ai des cours à donner demain et… » Alors que sa phrase n’était même pas terminé, un sourire arrogant étira les lèvres du professeur de potion. Dès son arrivée Circia avait parfaitement compris qu’une sorte de haine et de compétition habitait les deux hommes, elle n’en connaissait pas la raison mais il n’y avait aucun doute sur le genre de relation qu’ils entretenaient. Cependant Circia ne voyait pas ce qu’elle venait faire dans cette histoire, elle ne saisissait pas pourquoi Rogue semblait s’intéresser autant à sa réponse, aimait il seulement l’idée que Sirius se sente frustré si elle déclinait l’invitation, ou était-ce une autre raison aussi étrange que l’homme lui-même ?


« Finalement, un verre me ferait du bien… » Répondit elle en se retournant complètement vers Sirius dont le visage sembla s’illuminer l’espace d’un instant. A contrario, Rogue ne parut pas apprécier, un bruit de cape qui frappait l’air raisonna dans le hall et la porte d’entrée fut violement refermée.


Circia Merteuil avait trouvé cette première réunion tout autant passionnante que surprenante. D’une part elle était loin d’imaginer que des gens aussi ordinaires que madame Weasley et son mari puissent être doté d’un courage et d’une volonté que bien des gens plus riches ou plus connus pourraient leur envier. D’autre part, la jeune femme avait fait la connaissance d’un homme qui était l’opposé de ce qu’elle avait jusqu’alors entendu sur lui, Sirius Black n’était pas le Mangemort sanguinaire et sans âme que la gazette du sorcier s’obstinait à dépeindre chaque jours, bien au contraire, elle l’avait trouvé drôle, charmant et d’un charisme renversant. Alors qu’elle se dirigeait vers la grande salle pour prendre son petit déjeuné, Circia repensa à Rogue et à la colère qu’il avait montré lorsqu’elle avait accepté de rester prendre un verre au quartier général après la réunion. La jeune femme avait également été surprise par son appartenance à l’Ordre, certes elle avait intégré l’idée que le directeur de Poudlard puisse avoir confiance en lui pour ce qui était des cours mais pas au point d’être membre d’une société ayant pour but de vaincre Lord Voldemort. Plus le temps passait et plus Circia avait du mal à cerner le maître des potions, elle ne savait plus du tout quoi penser de lui. Arrivée dans la grande salle, la jeune femme fût surprise par le brouhaha des chuchotements, habituellement les élèves étaient plutôt amorphes le matin, mais elle remarqua que beaucoup d’entre eux étaient penchés sur la gazette du sorcier.

« Qu’est-ce que… »Lâcha t’elle en arrachant un exemplaire des mains d’une jeune élève de première année.

« Le ministère veut réformer l’éducation, Dolores Ombrage nommée grande inquisitrice »

Circia n’en croyait pas ses yeux, elle commença à lire l’article mais s’arrêta rapidement écœurée par ce ramassis de bêtise. La jeune femme rendit violement le journal à sa propriétaire avant de poser son regard sur la table des enseignants. Le professeur Ombrage affichait un visage radieux, les yeux rempli d’une lueur de triomphe. Circia se sentit nauséeuse à cette vue, elle tourna les talons, ce crapaud venait de lui couper l’appétit.

En retournant dans ses appartements, Circia croisa le professeur Rogue, elle fit mine de ne pas l’avoir vu mais ce dernier s’approcha d’elle un sourire sardonique accroché aux lèvres.

« Alors agréable cette fin de soirée ? » Rallia-t-il d’un faux air détaché.

Circia savait parfaitement qu’il parlait de ce verre bu en compagnie de Sirius Back, elle ne voyait pas ce qui pouvait franchement l’intéresser après tout elle n’avait de compte à rendre à personne et encore moins à cet homme aigri et antipathique. La jeune femme s’apprêta à l’envoyer se faire voir mais quelque chose la poussa à entrer dans son jeu.

« Très ! Ce Sirius Black est un homme charmant ! » Répondit elle dans un sourire exagéré.

Les yeux de Rogue se plissèrent, et Circia y détecta un certain agacement.

« Vous m’en direz tant ! Black n’est qu’un lâche, un criminel fraîchement échappé d’Azkaban ! » Cette fois, aucun sourire aussi malsain soit il n’apparaissait sur son visage. Seule une rage, une haine brûlait dans son regard.

« Il semblerait alors qu’il ne soit pas le seul membre de l’Ordre au passé douteux ! »Cracha-t-elle sans vraiment y réfléchir. Circia resta immobile quelques instant fixant son interlocuteur droit dans les yeux. Elle n’avait pas voulu dire ça, du moins elle n’aurait pas dû mettre le passé de Mangemort de Rogue sur le tapis.

Rogue laissa échappé une grimace mais une seconde plus tard son visage était redevenu insondable, pas la moindre signe de colère, d’agacement et encore moi de peine.

« Je vois… »Siffla t’il en s’approchant un peu plus de la jeune femme qui ne bougeait toujours pas.

« Vous ne m’impressionner pas ! » Lança-t-elle en faisant également un pas en avant.

Un rictus étira les lèvres du maître des potions qui sembla cette fois ci s’abstenir de faire un pas de plus.

« Ce n’est nullement mon attention, je voulais seulement vous faire comprendre que les apparences sont parfois trompeuses et qu’il est dans votre intérêt de vous méfier de certaines personne. » Répondit-il d’une voix presque pénétrante.

« Je sais parfaitement de qui me méfier ! » Cracha-t-elle presque accusatrice.

Le professeur Rogue ne sembla pas s’en offusquer et tourna les talons après lui avoir jeté un dernier regard glaçant.

Circia soupira, depuis quatre ans leurs conversations se résumaient à des menaces, des mises en garde, des joutes verbales. Quelque chose chez cet homme faisait ressortir en elle ce qu’elle avait de plus noir, combien de fois avait-elle eu envie de le gifler, de le faire souffrir ? Il semblait la détester, elle le voyait dans ces yeux, à chaque fois qu’il posait son regard sur elle, elle avait l’impression de ressentir une haine qu’elle ne comprenait pas. Délicatement elle passa une main lasse dans ses cheveux et regarda sa montre. Le premier cours de la journée allait bientôt commencé, il fallait qu’elle se dépêche.


Dix minutes plus tard le professeur de sortilège pénétra dans sa classe, suivit des sixième année, une fois de plus elle était d’une humeur massacrante, ce que les élèves avaient probablement remarqué puisque tous sortirent leurs affaires sans aucun bruit. Circia sortit de son bureau une pile de parchemin et fit signe aux deux élèves du premiers rang de les distribuer.

« J’espère que ces notes ne sont que le reflet d’un manque considérable de travail et non pas la simple expression d’une médiocrité… »Commença t’elle tout en jetant un regard foudroyant à plusieurs élèves.

Alors qu’elle allait se tourner pour inscrire une nouvelle formule au tableau, une masse rose et difforme attira son attention au fond de la classe.

« Je peux vous aider Dolores ? » Demanda-t-elle d’une voix acide.

« Hum..Hum…Comme vous avez dû le lire ce matin dans la gazette du sorcier, notre cher ministre m’a nommé grande Inquisitrice de Poudlard, à ce titre j’ai le devoir d’inspecter chaque professeur afin de m’assurer de leurs compétences. » Répondit elle d’une voix d’enfant qui semblait se délecter de son nouveau pouvoir.

Circia releva un sourcil et l’observa quelques instant avec dédain. Comme si son altercation avec Rogue ne suffisait pas, elle allait maintenant devoir gérer cette sangsue assoiffée de pouvoir. Sans prendre la peine de lui répondre, elle donna un coup de baguette et une formule s’inscrivit immédiatement au tableau : A-G-U-A-M-E-N-T-I.

« Qui peut me parler de ce sort ? Oui, Miss Bell ? »

« Aguamenti permet de faire apparaître un jet d’eau. » Répondit une jeune fille de Gryffondor.

« Bien ! Cinq points pour Gryffondor. Comme vous l’avez sans aucun doute déjà remarqué, il est possible de décomposée la formule « Agua » issue du mot latin « aqua » qui signifie eau ainsi que « menti » qui signifie esprit. Vous avez devant vous une coupe, je veux qu’elle soit pleine d’ici la fin de l’heure ! » Termina-t-elle avant de s’avancer entre chaque table pour surveiller et donner des conseils aux élèves.

Alors qu’elle reprenait un jeune garçon sur sa prononciation, elle sentit la présence du professeur Ombrage dans son dos. Circia tenta de l’ignorer mais un raclement de gorge la rappela à l’ordre et elle ne put feindre l’ignorance plus longtemps.

« Vous enseigné depuis longtemps ? » Questionna l’inquisitrice, prête à griffonner sur un calepin d’un rose criard.

« C’est ma troisième année à Poudlard, mais j’ai enseigné huit ans à Beauxbâtons, l’école de sorcellerie Française. » Répondit-elle en observant l’écriture enfantine de son interlocutrice.

«Bien…Je suppose donc que c’est de France qui vous tenez cette habitude vestimentaires, ou bien est-ce en lien avec vos origines Vélane ? »Renchérit Ombrage en prenant soin de toisez la jeune femme avec un abominable sourire.

Circia resta stupéfaite quelques instant, ce qu’elle portait aujourd’hui n’avait rien de déplacé, un bustier finement lacée sur les côtés, une jupe droite qui lui tombait à mi-cuisse et une paire de botte à talons aiguille. Certes sa tenue était féminine mais elle n’avait rien de provocante.
Certains élèves s’étaient retourné et observait la scène. Circia sentit la colère se répandre dans ses veines.

« Mais je ne vous permet pas ! »S’exclama-t-elle outrée par de tels propos et insinuations.

Un sourire dégoulinant de mépris étira les lèvres de l’inquisitrice.

« Ce n’était qu’un constat ! Une dernière question, vous êtes un animagus n’est-ce pas ? En quoi vous transformez vous ? »

Circia fronça les sourcils et répondit sans cacher son exaspération.

« Comme je l’ai indiqué au ministère lors de mon arrivée en Grande Bretagne, je suis capable de me transformer en renard mais je ne vois pas l’utilité de votre question puisse que vous avez sans aucun doute accès à mon dossier ! Ma déclaration est parfaitement en règle ! »

Ombrage nota quelque chose sur son calepin et tourna les talons satisfaite. Circia avait une terrible envie de la stupéfixier, des étincelles rouges scintillaient d’ailleurs à l’extrémité de sa baguette magique mais elle entendait la voix de Dumbledore dans sa tête lui conseiller de se contrôler. Un juron s’échappa de ses lèvres, ce qui fit rire les élèves assis à la table voisine. Ombrage ne lui adressa plus un mot jusqu’à la fin de l’heure, elle avait certainement sentit qu’une autre phrase de travers et le professeur de sortilège allait lui sauter au cou.

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