Lady of the shadows

Chapitre 49 : La baguette de Sureau et l’amour (Attention Lemon)

2599 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 09/11/2016 06:29

CHAPITRE 49 : La baguette de Sureau et l’amour (Attention Lemon)

Voldemort revint de l’attaque contre Potter, très en colère, ce gamin lui avait encore échappé et en plus la baguette de Lucius, c’était brisée comme un vulgaire brin de paille. Il rendit à Malefoy père sa baguette cassée, il devait savoir ce qui s’était passé avec celle de Potter, il descendit donc à la cave pour interroger Ollivanders.

 

Pendant ce temps, Judith et Drago s’entraîner sur les sorts magiques, Lady était leur professeur ;

-         On peut pas faire une pause, fit Drago essoufflé

-         Tu crois que ton ennemi, va te laisser faire la sieste, dit Lady dans l’oreille du jeune homme

Ce dernier sursauta et se releva prêt à combattre, Lady face à lui, avec un sourire narquois. Ils étaient face à face, quand ils entendirent une rire joyeux résonnait dans la pièce.

-         Judith, pourquoi ris-tu ? demanda Hermione

-         Et bien, vous auriez vu vos têtes !

-         Judith, j’essaie de vous enseigner des techniques de combat, vous n’avez pas l’air très concentrés

-         Et bien, moi, j’ai réussi à vous déstabilisés tous les deux, c’est déjà un début, fit fièrement la jeune fille dans un sourire coquine

-         Si on veut ! répondit Lady

Lady, Drago et Judith reprirent l’entrainement quand un vacarme retentit dans le hall. Ils descendirent tous les trois pour vois les Mangemorts arrivaient pour une réunion.

-         Il va falloir que tu y ailles, Drago, murmura Lady

Le jeune homme soupira et descendit les escaliers, suivant son père et sa mère…

 

Le soir venu, Judith se glissa lentement hors de sa chambre, et avança en silence dans le couloir. Elle arriva devant une porte, elle resta la main posée sur la poignet pendant une bonne minutes, elle soupira et s’apprêtait à faire demi-tour, quand elle entendit des gémissements. Elle ouvrit la porte doucement et entre dans la chambre, et referma derrière elle.

Judith était prés du jeune homme, il s’agitait dans son sommeil, il faisait un cauchemar, la jeune fille lui parla doucement en le rassurant. Tous les deux se calmèrent et s’endormirent.

 

Quelques minutes, une autre silhouette sortit de l’ombre et entra dans la chambre d’Hermione, la jeune femme était allongée, la silhouette s’approcha d’elle, et le réveilla doucement. Lady ouvrit les yeux et croisa le regard de Tom, elle attrapa par le cou et le fit tomber sur le lit. Il embrassa Hermione, il lui fit l’amour avec un peu plus de « douceur » que d’ordinaire, ce qui surpris Lady.

Le lendemain matin, Voldemort se leva et insonorisa la pièce, puis il s’assit dans un fauteuil et attendit que la jeune femme se réveilla, ce qui ne tarda pas. Elle ouvrit les yeux, et se leva en enfilant une robe de chambre, et regarda Tom, elle allait dire quelque chose, quand il se leva vers elle.

-         Tu vas me dire ce qui va arriver ?

-         Tom !

Voldemort la fit basculer sur le sol, et la tenait fermement, et répéta sa question.

-         Tu vas me dire ce qui va arriver ?

-         Je te l’ai déjà dit, si je parle trop, je risque changer les choses et tu perdrais la bataille, la guerre.

Voldemort sentit une grande colère l’envahir, et déclencha son pouvoir, ce qui fit tomber le plafond.

-         Skolir, fit Hermione retenant le plafond avant qu’il ne s’écrase sur leurs têtes.

Ils se levèrent tous les deux et sortirent de la chambre, et le plafond tomba. Hermione, regarda sa chambre, Voldemort s’éloigna sans un regard ou un mot pour elle… Lady soupira et ferma la porte, et la condamna encore une chambre qu’elle ne pourrait plus utilisé, bientôt il n’y aurait plus de pièce dans le manoir. Heureusement avec le sort d’insonorisation, personne n’avait été réveillé par le bruit.

Voldemort était partit à la recherche de Gregorovitch, un fabriquant de baguette aussi réputé qu’Ollivanders, peut-être que lui aurait une explication à ce phénomène.

 

Drago ouvrit les yeux et vit une tête brune prés de lui, Judith était là dans es bras, il le regarda dormir dans un bruit, puis la jeune fille se réveilla, avec le sourire et dit :

-         Bonjour Drago

-         Bonjours, princesse !

La jeune fille sourit et embrassa Drago, ce dernier lui rendit son baiser. Puis il réalisa ce qui se passait, il se détacha de Judith, et se leva.

-         Drago ? demanda-t-elle surprise

-         Comment peux-tu être là, après ce qui s’est passé avec Dumbledore

-         Je ne sais pas trop quoi dire, Drago ! Je t’aime, arrête de culpabilisé ! Embrasse-moi encore !

Drago se retourna vers la jeune fille, elle était à genoux, sur le lit, un sourire sur le visage, le jeune homme fit un pas vers elle, et posa ses lèvres sur les siennes.

 

Hermione et quelques Mangemorts s’infiltrèrent au ministère de la magie. Elle alla jusqu’au bureau du ministre et y entra. Scrimgeour était assis, et vit la jeune femme, il sursauta et pointa sa baguette magique vers elle. Lady sourit et deux autres Mangemorts entrèrent dans la pièce, il eut un combat, mais l’un des mangemort put lancer au ministre le sort fatal. Pendant quelques minutes se fut un peu la cohue, puis Thicknesse fut promu ministre de la magie et le fichage des nés-moldus commença. Hermione avait voulu récupérer le médaillon au cou d’Ombrage, mais cette dernière n’était pas au ministère ce jour-là, elle entra donc au manoir Malefoy, un peu déçue, mais elle avait tout préparer pour récupérer la coupe…

Lady, sous une autre apparence, celle de Bellatrix, elle lui avait volé un cheveu, et fabriqué une potion de Polynectar, entra dans la banque de Gringotts. Un gobelin la conduisit à son coffre. Avec la clé, qu’elle avait subtilement dérobé, elle ouvrit la porte, entra dans la pièce, et prit la petite coupe en or, elle lui jeta plusieurs sorts, et se retrouva avec deux coupes, elle en reposant une dans le coffre et prit l’autre. Elle ressortit du coffre et de la Banque.

En marchant, elle sourit à l’idée que dans quelques mois, elle détruirait cette pâle copie avec un crochet de basilic dont le corps reposait toujours dans la chambre. Elle transplana, et cacha ailleurs la coupe, elle attendit une heure que la potion perde son effet et rentra, sans rien dire à Voldemort.

 

Les jours passèrent, Drago et Judith apprirent la nomination de Severus Rogue comme directeur de Poudlard, mais aucun d’eux n’avait envie de retourner à Poudlard, cette année.

Judith avait encore un peu de mal, avec Rogue, à chaque fois qu’ils se croisaient, Severus baissait la tête, et Judith soupirait, ne sachant pas trop quoi faire. Tous les signes indiquaient que Rogue se sentait coupable, mais la jeune fille savait aussi que son grand oncle avait toujours planifié les choses à sa façon. Si il était mort en haut de cette tour, c’est qu’il l’avait sans doute voulu d’une certaine manière.

Il arrivait souvent à la jeune fille de pleurer la mort d’Albus et de se demander où était son père, ce qu’il faisait, et de vouloir lui dire qu’elle allait bien, mais elle se savait jamais comment trouver les mots sur son papier…

 

Voldemort avait retrouvé le fabriquant de baguette, mais celui-ci ne lui avait rien appris d’intéressant sur la baguette qu’il recherchait, alors qu’il était sur le chemin du retour, Nagini l’appela, elle avait capturé Harry Potter. « Godric’ Hollow ». Il transplana dans la maison de Balmilda, là où il avait mis Nagini aux aguets. Il monta dans la chambre, se précipita vers la fenêtre pour voir un homme et une femme, Harry et Hermione tournoyaient sur eux-mêmes et disparaître. Il hurla de rage.

A de nombreux kilomètres de là, Lady se réveilla en sursaut dans quelques jours, Harry aurait l’épée mais elle ne s’inquiétait pas, elle avait bien caché la coupe, et sa copie était parfaire.

 

Drago faisait les cent pas dans sa chambre, il était amoureux de Judith, la jeune fille était belle, innocente, gentille, attentionnée, mais lui il avait fait tué son grand oncle, il regarda ses mains, couverte de sang… Et puis elle était la petite fille de Voldemort, il soupira et laissa retomber ses bras. Quand la porte s’ouvrit en grand, Judith entra et se jeta sur lui, ils tombèrent, heureusement le lit arrêta leur chute…

-         J’ai réussi ! s’écria-t-elle

-         Quoi ? demanda Drago

-         Et bien, à utiliser la magie sans baguette, regarde !

Elle ouvrit sa main, et la petite pierre, se mit à voleter un peu, mais cela lui demandait beaucoup de concentration…

-         Tu vois ?

-         Oui, je vois ça ! répondit Drago.

Il se dégagea et se leva, Judith fit de même, le sourire toujours aux lèvres à faire voler sa petite pierre, mais le jeune homme avait d’autre pensées dans sa tête.

-         Pourquoi m’aimes-tu, Judith ?

Judith le regarda surpris, et posa son caillou sur la table de nuit et s’approcha de lui, elle prit sa main et répondit :

-         Si je le savais, Drago, ça ne serait plus de l’amour mais de la pitié. C’est comme ça, et puis c’est tout ! On ne choisi pas ce qui on va tomber amoureux.

Judith le prit dans ses bras, et Drago fit de même, ils restèrent un moment comme ça, puis le jeune homme l’embrassa et l’amena vers le lit, il l’allongea et commença à la caresser. Judith passa ses bras autour de son cou, et lui tira sa robe de sorcier par dessus sa tête, puis la jeune fille fit de même. Drago l’embrassa et attrapa un des ses seins dans sa main, Judith gémissait pendant que Malefoy titillait son téton. Il descendit sa bouche pour attraper un téton entre ses dents et glissa sa main dans la culotte de la jeune fille, pour atteindre le cœur de sa féminité. Judith se cabra et gémissait, sa main accroché dans les cheveux du jeune homme. Il ota la culotte de la jeune fille et fit de même avec son caleçon, il s’allongea sur la jeune fille, et glissa un doigt dans son intimité. Judith, les yeux fermés, savourait les caresses de Drago, elle était si bien dans ses bras…

Le jeune homme lui écarta les jambes et se glissa entre.

-         Drago, je…

-         Chut, ma puce !

Il l’embrassa et commença à la pénétrer, Judith sentit un douleur fulgurante dans son bas ventre, et se mit à crier..

-         Arrête ! Arrête !

Drago se dégagea et la regarda, elle cachait son visage dans ses mains et sanglotait :

-         Pardon ! Pardon !

Le jeune homme s’allongea et lui caressa les cheveux en silence…

 

Les semaines passèrent, et un jour où Judith, Drago et Lady étaient entrain de s’entrainer, Lucius entra dans la pièce et demanda à son fils de l’accompagner. Plus tard, Judith et Lady entendirent des cris. Judith voulut se précipiter, mais Lady l’empêcha.

-         Ne t’inquiète pas, ils vont s’échapper !

-         Qui est en bas, entrain de se faire torturé ? demanda la jeune fille.

-         Moi ! répondit Lady.

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