Le bohneur retrouvé de Steve et Bénédicte

Une semaine plus tard.

Parc.

Le 5-0, Joe White, Erci Russo, Kamékona et Max Bergman et Grace se sont réunis pour faire une partie de football americain. Steve qui parlait fut interrompu par Danny.

D: Steve. C'est pas Bénédicte là-bas?

Ils regardent tous dans la direction et voient deux femmes avec une poussette.

K(souriant): J'ai bien l'impression que c'est elle boss.

Tous le regardèrent.

S: Vous allez arrêter oui?

Il déposa le ballon et commença à partir.

D: Hé. Où tu vas?

S: Je vais les saluer. Je reviens.

L: T'as qu'a les inviter à nous rejoindre si elles veulent.

S: Arrêtez de vous moquer.

Il part.

Du côté des filles.

V: Béné...tu...tu vas jamais me croire. Y a ton beau commandant qui arrive vers nous.

B: Quoi? Comment je suis?

V: Magnifique comme d'hab.

S: Salut les filles.

V: Bonjour Commandant.

B: Bonjour.

S: C'est une coincidence de vous trouver ici.

B: Vous venez ici souvent?

S: Pas très non. Je suis avec mes amis. On se fait une partie de football.

V: De football. Béné t'adore le foot.

S: Ah oui?

B: Oui mais je fais que regarder à la télévision.

S: C'est super...Euh...je...enfin on se demandai si vous vouliez vous joindre à nous...Sauf si vous voulez continuer votr promenade.

B: Non non. Euh...se sera avec plaisir...Pas vrai Vicky?

V: Evidemment.

S: Génial.

Ils se dirigent vers les autres.

K: Salut les soeurettes.

B: Bonjour tout le monde.

S: Pour ceux qui ne connaitrait pas voici Bénedicte, Vicky et Luna. Les filles voici Joe White, Eric Russo, Max Bergman, Grace Williams, la fille de Danny et Kamékona.

B: Enchantée.

V: Ravi de faire votre connaissance.

G: Elle est trop mignonne. C'est ta fille?

B: En quelque sorte. Lieutenant Williams vous avez une très jolie fille.

D: Merci.

L: Bon on s'y met à cette partie de football?

Ils composèrent les équipes. Steve en capitaine choisit naturellement Bénédicte, Kono, Joe et Eric. Danny quant à lui choisit sa fille, Lou, Chin et Max.

Vicky faisait la baby-sitter auprès de Luna et Kamékona était l'arbitre.

Le match démarra. Ce fut une bonne partie de plaisir. Vicky encourageait les deux équipes pour qu'il n'y est pas de jaloux. Bénédicte elle s'amusa comme un folle, même qu'elle marqua deux touchdown. Le match se termina et Kamékona désigna l'équipe de Steve vainqueur.

K: Hey soeurette. Où t'as appris à jouer comme ça?

B: Nulle part. J'ai dû l'apprendre en regardant les matchs.

K: C'est super.

S: Les amis. Ça vous dit d'aller déjeuner chez Kamé?

C: Okay pour moi.

E: Moi aussi. J'ai la dalle.

S: Les filles vous venez aussi?

B: D'accord.

Chez Kamékona.

Ils dejeunèrent dans la bonne humeur.

Plus loin, Bénédicte fit faire son rot à la petite. Steve la rejoint.

S: Hey. Tout va bien?

B: Oui. Merci pour l'invitation. Vos amis sont hypers sympas.

S: Oh ce sont les tiens maintenant.

Elle lui sourit.

S: J'étais en train de me dire. Tu devrais adopter Luna...

B: Adopter? Tu veux dire que je serai sa mère?

S: Oui.

B: Steve elle en a déjà une...

S: Je sais mais vu que Sharon s'en est pris a elle je pense pas qu'elle pourra en avoir la garde.

B: C'est sur.(à Luna) Ça te plairait que je sois ta maman, mon trésor?

L: A...aaba..aa...

S: Je crois que ça veut dire oui. Si tu veux je peux en parler au Gouverneur...

B: Attend n'allons pas trop vite. Je dois encore y réfléchir.

S: Je comprends.

Plus tard.

Luna s'était endormie dans sa poussette.

V: Je crois qu'on va y aller. La petite est épuisée.

B: Au revoir tout le monde.

C: Bye.

S: Au revoir.

E: Salut...

Elles se dirigent vers la voiture de Bénédicte.

D: Qu'est-ce que t'attends?

S: Quoi?

D: Va l'inviter à dîner. Dépêche avant qu'elle parte.

C: Allez mon frère. T'as rien à perdre.

Il se leva et couru vers les jeunes femmes.

S: Bénédicte.

B: Steve qu'est ce qu'il y a?

S: Tu fais quelque chose ce soir?

B: Rien pourquoi?

S: Ça te dirait de dîner avec moi ce soir?

La jeune femme fut très surprise. Elle se tourna vers sa meilleure amie.

V: Evidemment que je te garde Luna.

B(à Steve): C'est d'accord. J'accepte.

S: Génial. Je passe te prendre à 20 heures?

B: Parfait... A ce soir.

S: C'est ça.

Maison de Steve.

Il rentra chez lui pour se préparer pour son rencard. Il eut la surprise de voir sa soeur Mary. Ils discutèrent pendant quelques moment puis monta se doucher. Ensuite il s'habilla et descendit. Il trouva sa soeur avec sa mère.

M: Frérot. Où vas-tu beau comme ça?

S: Je sors.

D: Il n'y aurai pas une femme là-dessous?

S: Si. C'est Bénedicte. Je t'en ai parlé.

D: La jeune femme qui a perdu son frère et qui a recueilli sa fille? Mon coeur tu crois que c'est une femme pour toi?

S: Doris. Je suis assez grand pour savoir ce que je fais. Cette fille me plaît qu'elle ait un enfant ou non.

D: J'ai compris.

M: Allez vas-y où tu vas être en retard.

PDV Bénédicte.

Maison de Bénédicte Grey.

C'est pas vrai. Steve m'avait invité à sortir. Je n'imaginais pas que ça allait être aussi rapide.

Vicky et moi on regardait dans mon armoire et je me préparai.

PDV externe.

On sonna à la porte. Vicky alla ouvrir.

V: Steve. Déjà là?

S: Oui. Comment ça va depuis tout à l'heure?

V: Bien merci.

La petite Luna en le voyant se déplaça à quatre pattes vers le seal et tendit les bras vers lui.

S(la prenant sur lui): Salut beauté...

La petite fille rit aux éclats.

V: Apparemment elle t'adore.

S: Je l'aime beaucoup aussi.

V: Euh... je crois pas que Béné soit prête.

B(arrivant): Si je suis prête.(à Steve) Bonsoir.

S: Salut. On peut y aller?

B: Oui.

Elle embrasse sa nièce et Vicky.

V: Passez une bonne soirée.

20 minutes plus tard ils arrivèrent au restaurant. Steve se comporta en veritable gentleman en lui ouvrant la portière et tirant sa chaise pour qu'elle s'asseye. Ils commandèrent chacun un cocktaïl.

S(en attendant leurs plats): Si tu me parlais de toi?

B: Que veux tu savoir?

S: Tout.

B: Bien. Alors je suis née un 15 septembre 1986 ce qui cette année me fait 30 ans. Je suis originaire de Miami et je suis le deuxième enfant d'une famille riche. Au départ j'étais censé faire des études de droits, mais j'ai vite abandonné. Je me suis retourné sur le métier d'infirmières mais je me suis rendu compte que j'étais plus à l'aise avec les enfants. Que ce soit les nourrissons ou les gosses de l'âge de Grace. J'ai eu mon diplôme du premier coup et l'année suivante j'ai commencé à exercer. Il y a trois ans je suis venue m'installer à Hawaii.

Le serveur les interrompi en les amenant leurs plats.

S: Pourquoi t'as quitté Miami?

B: Euh.. je voulais me rapprocher de mon frère et voir ailleurs. J'en avais assez de la routine....A toi maintenant.

S: Je suis né ici à O'ahu, le 24 août 1977. A 16 ans mon père nous a séparés ma soeur Mary et moi en nous envoyant sur le continent. Je suis devenu seal à 20 ans et je suis revenu sur l'île il y a 5 ans à la mort de mon père.

B: A part jouer les super-héros. Il y a d'autres choses que tu sais faire?

S: Cuisiner.

B: Là tu marques des points. Sinon des loisirs?

S: J'aime pêcher. Le base-ball et le football.

B: Faire du shopping comme la plupart des femmes...le football et il y a un sport que j'adorai apprendre.

S: C'est quoi?

B: Le surf.

S: T'es ici depuis trois ans et t'es jamais monté sur une planche?

Elle secoua la tête négativement.

S: Je t'apprendrai si tu veux.

B: Okay.

Steve paya et il proposa à la jeune femme d'aller se promener sur la plage.

B: Tu sais. Ça fait près de deux semaines qu'on se connait et...j'ai l'impression que c'est depuis toujours.

S: Pareil pour moi.

B: Ah. Alors laisse moi te psychanalyser un peu. Tu as énormément souffert de la séparation et la mort de ton père. Tu es quelqu'un qui a besoin d'amour et de tendresse. Et sous tes apparences de dure à cuire, tu es très sensible.

S: Whahou! Tu t'es trompé de vocation. Moi aussi je t'ai cerner. Tu es une femme déterminée et forte mais auss sensible et vulnérable. Et toi aussi tu as besoin d'amour et de tendresse. Et je vois aussi que tu as un passé douloureux.

Elle leva les yeux vers lui se demandant comment il peut le savoir.

B: C'est vrai.

Ils s'arrêtèrent de marcher et Bénédicte fit face à Steve.

B: Ecoutes. C'est vrai j'ai eu une relation particulièment douloureuse et à cause de ça, j'ai arrêter de faire confiance aux hommes et j'ai arrêter de croire en l'amour. Mais depuis que je t'ai rencontrer je ressens...je ressens quelque chose que j'ai plus ressenti depuis ces trois dernières années. Alors je me dit que ça pourrait être ma chance de pouvoir être heureuse.

Steve n'avait toujours rien dit. Il prit le visage de la jeune femme entre ses mains puis il posa ses lèvres et l'embrassa. Ce fut d'abord un baiser doux et tendre puis il s'approfondit. Ils se séparèrent à bout de souffle.

B: J'ai passé une excellente soirée.

S: Moi aussi mais elle n'est pas encore terminé. On peut aller chez moi.

B: Je sais pas... Euh d'accord.

Ils partirent.

PDV Bénédicte.

J'arrive pas à y croire. Steve est tellement beau, tellement prévenant avec moi. Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas senti ausi bien avec un homme. Et c'est là que ça a étè une évidence: le baiser. On s'est embrassés. C'est arrivé tellement vite que je n'y crois pas. Ce baiser était merveilleux. Je l'aime c'est un faite. Il me proposa d'aller chez lui poir continuer cette merveilleuse soirée. Je ne sais pas quoi lui dire tellement je suis gêné. Si jamais il veut qu'on fasse l'amour qu'est-ce que je lui dit? Mais finalement je lui dit oui et nous partons chez lui.

PDV externe.

Maison de Steve.

S: Je t'en prie entre.

B: Merci.

Mary sort de la cuisine.

M: Oh. Euh bonsoir.

B: Bonsoir.

S: Mary je te présente Bénédicte. Bénédicte, Mary ma petite soeur.

B: Ravie de vous rencontrer.

M: On a qu'à se tutoyer. Les amies de Steve sont aussi mes amies.

B: D'accord.

M: Bien alors je vous laisse. Bonne nuit.

S: Bonne nuit Mary.

Elle monte à l'étage. Steve prit une bouteille de vin, deux verres et une couverture puis ils allèrent s'installer sur la plage. Bénédicte en profita poir envoyer un message à Vicky et la prévenir qu'elle passait la nuit chez Steve. Ils discutèrent de tout et de rien. Il commençait à se faire tard et les deux avaient du mal à garder les yeux ouverts. Ils décidèrent d'aller se coucher.

Chambre.

B: Est-ce que tu aurais une chemise à me prêter?

S: Bien sur.

Il ouvrit un tiroir et lui tendit une chemise grise. Elle alla dans la salle de bain, retira sa robe et son soutien gorge et se mit la chemise. Elle sortit et vint se coucher à côté de Steve.

Alors qu'il dormait profondément, Steve fut réveillé par des hurlements. Bénédicte se débattait furieusement en poussant des hurlements. Il prit la jeune femme dans ses bras et tenta de la calmer.

S: Là. Bénédicte c'est fini calme toi.

La jeune femme se calma et ouvrit les yeux. Elle s'accrocha à Steve comme à une bouée de sauvetage.

B: Steve serre moi. Serre moi fort.

S(tout en lui caressant le dos): Si tu me racontais ce cauchemar?

B: Non non. Il était horrible je peux pas.

Au même moment, Mary et Doris entrèrent.

D: Qu'est-ce qui se passe?

S: Rien. Juste Bénédicte qui a fait un cauchemar.

M: Il devait être horrible vu les hurlements.

B: Pardon. Je suis désolée de vous avoir réveillées.

D: Tu trembles...Mary tu veux bien allez lui chercher un verre d'eau?

M: J'y vais.

Elle sort.

S: Bénédicte je te présente ma mère Doris.

B: Etrange manière de faire connaissance, madame.

D: Oui. Je suis ravie de vous rencontrer enfin. Steve n'arrête pas de parler de vous depuis des semaines.

Elle sourit légèrement et Mary reviens avec le verre.

M: Tiens.

B: Merci.

Elle but deux gorgées.

S: Est-ce que tu te sens mieux?

B: Oui.

D: On va vous laisser.

B: Merci pour tout.

M: C'est normal pour la chérie de mon frère.

Elles sortent alors que Steve rallonge la jeune femme dans ses bras. Elle se rendormit mais son sommeil en fut agité. Le lendemain à 5 heures Steve se leva et alla nager. Il se doucha et s'habilla mais avant de descendre il contempla la jeune femme. Elle dormait profondément. Il l'embrassa sur le front et s'en alla chercher Danny.

Camaro.

D: Yo! Ça a pas l'air d'aller.

S: Salut. J'ai passé une mauvaise nuit. Bénédicte a passé la nuit à la maison et elle a fait un cauchemar.

D: Qu'est-ce que c'était?

S: J'en sais rien. Elle a pas voulut me le dire.

D: Pourquoi t'as pas pris la matinée?

S: T'inquiètes Danno. Ça va aller.

PDV Bénédicte.

Cette soirée avait été merveilleuse. Mais il fallait évidemment que je fasse ce cauchemar...Et quel cauchemar...de lui...de ce malade de Mickaël. Je réussi à me rendormir dans les bras rassurant et protecteur du beau Steve. Ce matin je me réveillais mais il n'était pas dans la chambre. Je supposais qu'il était partit travailler. Je me leva, pris une douche et la salle de bain portait encore son odeur et m'habilla. Je descendis et trouva Doris et Mary dans la cuisine.

M: Salut.

B: Bonjour vous deux.

D: Comment tu te sens, ma belle?

B: Mieux. Je vous remercie Doris. Steve est parti travailler?

M: Ouais. Si tu veux tu peux rester...

B: J'aurai adorer mais je dois rentrer me changer pour aller travailler et j'aimerai voir Luna.

M: D'accord. Tu prend un café et après je te ramène chez toi.

B: Entendu.

Je pris un café et ensuite nous partimes avec Mary.

Maison de Bénédicte.

B: Merci bye.

Je rentre chez moi et trouve ma meilleure amie avec Luna. Je lui dit bonjour et prend ma nièce dans mes bras.

B: Mon trésor. Tu m'as manqué chérie.

V: Comment s'est passé cette soirée avec le prince charmant?

B: C'était merveilleux. Steve est tellement prévenant, charmant, romantique, galant et tout ça... Mais ça a dégénérer.

V: Que c'est il passé?

B: J'ai rêvé de Mike... Vicky c'était affreux.

Et là je m'effondrai dans ses bras.

V: Il se passait quoi dans ce rêve?

B: J'étais avec Steve...on était sur la plage et là...Mike est arrivé. Il me frappait et me violait et Steve pouvait rien faire pour m'aider.

V: Oh ma chérie. Ça va aller... Tu sais tu devrais prendre ta journée pour te reposer.

B: Non. C'est pas la peine. J'ai des consultations que le matin je pourrais me reposer cet après-midi.

V: Comme tu veux. Je t'attends ici.

B: D'accord.

PDV Steve.

Après-midi.

Après le boulot, je me rendis chez Bénédicte. Je sonnai à la porte et elle ouvrit. Elle avait Luna dans les bras et elle avait aussi les traits tirés par la fatigue.

B: Salut toi. Qu'est-ce que tu fais ici?

S: Je venais voir comment tu allais.

Elle me fit entrer et nous allâmes dans son salon.

B: Je vais bien...Il faut juste que je dorme un peu. Mais mademoiselle Luna refuse de faire sa sieste. Ça fait une demi-heure que j'essaye.

S: Hey princesse. Alors comme ça tu ne veux pas dormir?

La petite fille va sur Steve.

L: Ababahba...areuh...

B: Hé bien hé bien...C'est Steve qui te fait autant d'effet ma chérie?

S: Il parait que je fais ça à toutes les femmes.

Elle me sourit.

S: Tu sais quoi. Je vais m'en occuper. Je vais lui faire faire sa sieste et toi tu vas te reposer.

B: Je veux pas te déranger.

S: Ça ne me dérange pas vraiment.

B: Okay. Merci.

Elle embrassa sa nièce sur la joue et déposa un baiser sur mes lèvres et partit en direction de sa chambre. Je m'assit dans le fauteil et posa la petite sur mon torse qui me regardait avec ses grands yeux verts. Elle était aussi belle que sa tante.

S: Tu sais quoi ma puce? Je crois que je suis amoureux de ta tante. Alors il faut que tu m'aides à la courtiser. D'accord?

L: Voui...Teve...

Cette petite était adorable. Je l'aimais beaucoup comme avec Grace. Il ne fallait pas plus de quinzes minutes pour qu'elle s'endorme dans mes bras. Je me levai en faisait attention de ne pas la réveiller et allait la déposer dans son berceau. Puis j'allai dans la chambre de Bénédicte et la trouvait endormie. Je me couchai à ses côtés et m'endormit à mon tour.