Amour secret

Chapitre 3 : Pardonne moi

1297 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 09/11/2016 15:16

Cela faisait quelques mois que nous sortions ensembles, le Caporal Livaï et moi, sans que le reste du Bataillon d'Exploration ne soit au courant. Rare étaient les fois où nous arrivions à avoir un moment d'intimité, avec son devoir de supérieur et moi de subordonné. Mais dès que nous y arrivions, c'était l'extase. Nous nous aimions de plus en plus au fur et à mesure que les jours passaient.

C'était le jour de nos 5 mois, nous revenions d'une exploration assez éprouvante, surtout pour notre chef. En effet, ayant eu un problème avec mon équipement tridimensionnel, j'avais failli me faire bouffer par un titan. Livaï me secouru à temps mais se tordu la cheville et le poignet durant la manœuvre de sauvetage. Nous rentrions à la base, tous épuisés et je voyais que mon aîné en avait après moi.

Il était tard quand nous nous couchions, mon amant était de son côté du lit et moi du mien. Je voyais qu'il avait du mal à changer ses bandages.

« Argh. Tu fais chier, gamin. Ça fait un mal de chien, merde.» Me dit-il d'un ton plus froid que d'habitude.

« Je ... Je suis désolé. Attendez, laissez moi vous aidez. »

« Non, je sais me débrouiller tout seul, pas comme certain présent dans cette pièce.» Cette phrase me fit l'effet d'une claque.

« Non, c'est faux ! Ce n'est pas de ma faute si mon équipement était défectueux ... » Lui dis je pour me défendre.

Il était rouge, rouge de colère envers moi. Bien sûr que c'était de ma faute si mon équipement était tombé en panne, je n'avais pas fait tous les contrôles nécessaires avant de partir. J'avais eu la tête ailleurs à ce moment là, j'étais heureux d'avoir passé le cap des 5 mois avec mon amant et m'imaginais déjà cette nuit de rêve à ses côtés.

« Je vois bien que vous avez mal. Laissez moi vous aider, je vous foutrais la paix autant de temps que vous le souhaiterez après. Je sais que vous m'en voulez et c'est de ma faute. J'ai eu tort, je ferais plus attention la prochaine fois. Mais s'il vous plaît, laissez moi me faire pardonner et prendre soin de vous. Je vous aime, vous savez ... »

Il soupira. « C'est bien parce que c'est toi ... Moi aussi je t'aime, même si tu es un bel emmerdeur parfois. » Je lui souris, content de pouvoir prendre soin de lui.

« Bien ! Laissez moi faire alors, sinon je vais devoir vous punir ! » Lui dis je en rigolant pour détendre d'avantage l'atmosphère.

Je me mis donc face à lui, et lui étala de la pommade sur son poignet, lui remis son bandage et l'embrassa avec amour.

« Vous voyez, ce n'était pas la mer à boire ! Allez, couchez vous maintenant, pour que je m'occupe de votre cheville. »

Il s'exécuta, je fis la même opération pour son pied. Il voulu se relever mais je me mis sur lui avant qu'il ne puisse bouger.

« Qu'est ce que tu fabriques encore ? » Me dit il d'un ton agacé tout en me lançant un regard noir.

« Tchuuut, j'ai dit que j'allais prendre soin de vous et je n'ai pas encore fini. » Lui répondis je d'une voix sensuelle.

Je lui retira lentement sa chemise et lui caressa les cheveux. Ils étaient si doux ... Je l'embrassa, lui fis un suçon dans la nuque et descendis au niveau de son torse. Il était musclé, comme il le fallait.Tout était parfait chez lui, même son sale caractère. Il frissonna, sûrement de plaisir. Je continua d'embrasser son corps chaud. Mon membre commença à devenir dur. Arrivé à la limite de son pantalon, je le lui retira sans plus attendre. Le Caporal bandait tout autant que moi. Je lui caressa la bosse de son boxer tout en lui léchant un téton. Je savais qu'il aimait ça, et moi aussi d'ailleurs. Je lui retira son dernier vêtement et vis la masculinité de mon supérieur fièrement tendue. Je changea de position afin d'être dos à lui et commença à le sucer langoureusement tout en titillant on anneau de chair se trouvant plus bas. J'aimais l'entendre gémir.

Mon amant, quant à lui, me retira mes vêtements du bas afin de me caresser les bourses et à me lécher l'anus. Je gémis à mon tour, il commença à faire de plus en plus chaud.

« Caporal ... Est ce que je peux vous prendre ? Je ferais attention à vous. C'est toujours moi qui prend d'habitude, s'il vous plaît ... » Lui demandais je avec un regard suppliant.

« Et tu appels ça prendre soin de moi, hein ? Mais bon, si ça peut te faire plaisir, gamin. » J'étais heureux, on aurait dit un gamin de 7 ans.

Sans plus attendre je me remis face à lui et l'embrassa comme jamais. Je lui écarta les jambes et m’enfonça en lui lentement, par peur de lui faire mal. Il était si étroit, si chaud que je n'en pouvais plus d'attendre. Je rentra donc d'un coup. Livaï émis un cris de surprise et de douleur.

« Dé-désolé ... Mais c'est si bon d'être en vous, Livaï. » Je n’eus qu'un grognement de sa part en guise de réponse.

J'allai d'abord doucement pour ensuite accélérer la cadence. Mon amant gémissait, ce qui m'excita encore plus. J'allais de plus en plus fort en lui, jusqu'à taper sa prostate, ce qui lui fit pousser un râle de plaisir. « Caporal, ... j-je viens ... » Je fis un dernier va et viens et je me lâcha en lui. Épuisé, je me retira, en le regardant timidement.

« Précoce. Je n'ai pas encore fini moi, ne commence pas à faire ton égoïste. » Me dit il, essoufflé.

Sans le faire attendre d’avantage, je commença à le sucer comme il aimait tant, jouant avec ma langue sur son gland et sa verge tout en lui caressant les bourses.

« Tu ... T'améliores ... Je ... » Il éjacula dans ma bouche. J’avalai sa semence encore chaude et m'effondra sur lui.

« Je vous aime Livaï, de tout mon être. »

«Ne commence pas dans le romantisme, gamin. Je t'aime aussi.» Me répondit il en m'embrassant le front avant de s'endormir de fatigue.

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