Rise of the Big 5 and me

Chapitre 3 : Chapitre 3 : Petit grain de sable

1109 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 10/11/2016 01:53

Anna était entrain de se mettre de petites fleurs dans ses cheveux. J’ai alors remarqué qu’elle avait une plus grosse poitrine que moi (et oui, dans ce genre de cas, il m’arrive de penser à ce genre de chose). Jack vu l’objet de ma déprime, se rapprocha et me souffla dans l’oreille :

Jack : C’est sur que tu es une planche à pain comparé aux autres.

Brume : Je t’interdis de critiquer mon tour de poitrine !!Jack : Tu as quand même l’esprit assez mal placé pour penser à ce genre de chose…

Brume : Fous moi la paix !!

Je m’écartai et il se rapprocha encore une fois.

Brume : Mais tu me veux quoi à la fin ?!

Jack : Rien, je titille la petite bête.

Brume : Tu veux surtout que je fasse comme les filles et que je me mette à poil c’est ça ?!

Jack : Ce n’était pas dans mes intentions mais maintenant que tu le dis…

Il se rapprocha encore plus et me toucha la cuisse. A peine m’étai-je rendu conte de ce qu’il faisait, sans le vouloir, je créa une barrière d’eau et il tomba dans la partit profonde du bassin.

Merida : Brume, comment as-tu fais sa ?

Brume : Je ne sais pas, Jack ma tripoté et cette barrière est apparu.

Arold : Tu as tripoté Brume ?!

Jack : Bah ouais.

Brume : Je te prierais d’ailleurs de bien vouloirs arrêter.

Jack : De toute façon, on est dans la même chambre ce soir et je suis somnambule.

Brume : N’invente pas de faux prétextes pour venir me mater en chemise de nuit !!

Raiponce : Arrétez de vous disputer ou on vous mets dans le lit deux places !!

Brume : QUOI !!

Jack : Ca ne me dérange pas.

Raiponce : Ok, c’est tout vu, vous serez dans le même lit dans une chambre à part durant la première semaine.

Brume : Vous vous foutez de ma gueule là, c’est pas possible de pensez à se genre de chose.

La nuit venait de faire place et je me retrouvais dans ma chambre en la charmante compagnie de Jack, le spécialiste des mauvaises blagues. Je mis ma petite chemise de nuit à dentelle courte et m’assis sur le lit pensive. Jack sortit de la salle de bain torse nu et fixa les lacets défaient dans mon dos. Il monta sur le lit et me les fit. Je sursauta et me retourna.

Jack : Bah quoi ?

Brume : Je peux savoir pourquoi tu me touche comme si rien n’étais ?!

Jack : Ta chemise de nuit était détaché, je voulais juste te la lacet, rien de plus.

Brume : Bah je peux le faire moi-même !!

J’essaya de me l’attacher mais en vain, je ne réussit qu’à me mettre en situation embarrassante devant un gaçon.

Jack : … Tu es sur que tu ne veux pas un coup de main ?

Brume : Si, s’il te plais.

Jack : Tu vas voir, je vais réeussir en quelques secondes.Il me lança ma chemise de nuit et s’alongea dans le lit.

Jack : Dis moi Brume, tu m’trouve comment ?

Brume : Comme un mec qui a des pouvoirs magique et qui s’amuse à me faire peur.

Jack : Sa te dirais de boire un coup ?

Brume : Il n’y a aucune bouteille.

Jack : Elsa minterdit d’en boire, elle n’est pas là, je peux me faire plaisir.

Brume : Bon ok.

On se mit à boire et Jack commençait à être soul.

Brume : Et Jack, ça va ?

Jack : Nickel chrome chérie.

Brume : Putin mais t’es complètement bourré ma parole !! Au pieux et sans histoires !!

Je le fouttu sous les draps et m’alongea. Pas de bol, le lit était de taille moyenne et il était au mileux. Je commença à m’endormir mais un bras se mit sur mon épaule et me serra.

Brume : Jack : Ques-ce que tu…

Il me retourna et était à califourchon sur moi. Il commença à rapprocher son visage dangereusement du mien et alors que je tentais de me débattre, il m’embrassa longuement.

Brume : Jack, mais t’es fous !!

Il s’arrêta et une larme tomba de sa joue pour terminer son parcour sur la mienne. Il recommença mais cette foie si ce fut différent, il prit son temps. Sans réfléchir, je cria et un vent violent le projetta plus loin. Il reprit ses esprits et les autres arrivèrent.

Anna : Brume, ques-ce qui se passe ?

Brume : R…rien du tout.

Arold : pourquoi tu as projetés Jack contre le mur ?

Brume : Ce n’est rien je vous dit…

Elsa : Vous avez bu ?

Brume : Et bien… attends, comment tu le sais ?

Elsa : Une bouteille sur une commode blanche ne passe pas souvent innaperçut…

Jack : Ouaich, ma tête.

Il me regarda et vu que j’étais tétanisé. Il voulu me toucher l’épaule pour me rassurer, je me recula d’avantage.

Brume : Laisse-moi !!

Jack : Oh, tu ne vas pas recommancer avec tes histoires d’araignées ou de choses comme ça…

Brume : C’est pas ça, ne m’approche plus !!

Jack : Mais qu-es-ce que j’ai fais bordel de merde ?!

Brume : Tu m’as embrassé comme si ne rien n’était !!

La pièce s’assombri et un ombre apparu. Elle se mise à parler avec une voix lugubre.

Ombre lugubre : Ma chère Brume, tu ne te sens pas en sécurité avec les gardiens n’est pas ? Pourquoi ne pas venir avec moi ? Tu seras loin de cette école et de tous le reste.

Brume : Je…je… je ne veux plus rester une seconde de plus ici.Jack : Non, ne dis pas ça ou il t’emportera !!

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