One Shot, One Piece

Chapitre 13 : Sabo x Koala

5786 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 01/05/2017 09:19

Je fixe une personne avec un chapeau en haut-de-forme, qui d’entraîne avec Hack et j’aperçois qu’il m’envoie des regards très discrets. Pas si discret que cela vu que moi et Hack, on sait aperçu de ses nombreux regards, alors son adversaire essaie de le toucher quand ses yeux se posent sur moi. Quand il fait cela, je me sens aimée et belle à ses yeux. En plus, quand on n’est que tout les deux plus rien autour de nous ne compte.


Tout le monde nous a félicités pour notre couple et de l’heureux événement qui va bientôt montrer le bout de son nez, mais pour cela il faut attendre quatre mois. Normalement d’après le docteur, j’attends une fille qui est en bonne santé. Dragon est venu me féliciter, il m’a très clairement dit que je dois me reposer pour ne pas la perdre.


Cela va faire un bon mois maintenant que je fais chambre, salle d’entrainement, self, infirmerie puis retour à ma chambre sous les ordres très stricte du docteur en chef. On m’a interdit d’aller cinq minutes sur la terrasse à cause de la chaleur et du soleil, je n’aime pas rester sans rien faire mais aller le leur faire comprendre.


Même le futur papa et avec eux, le sale traître ! Je peux comprendre ! Mais, ils s’inquiètent trop pour moi et le bébé. Je vois que le combat est terminé, alors je décide de le rejoindre avec mon ventre bien arrondi. Quand il me voit ses bras s’ouvrent instinctivement pour me faire mon câlin du matin, c’est ce que j’aime chez lui. Il arrive à me comprendre juste à ma façon de marcher, et mes mimiques d’après lui.


Je m’engouffre avec le sourire aux lèvres, ma bouche vient embrasser la sienne et il répond avec la même intensité. Je l’aime tellement ! Depuis quand est-ce que je l’aime autant ? Depuis ma première rencontre, je présume ! Je coupe le baisé puis il me sourit chaleureusement, mon cœur s’emballe tout seul.

Je fonds comme le chocolat au soleil.


-Bonjour mon amour, tu as bien dormi ? « Me demanda-t-il »


-Salut. Oui avec toi à mes cotés, et toi mon chéri ? « Lui répondis-je »


-Oui, quand je suis avec la personne que j’aime. « Me répondit-il avec le sourire »


Je sens sa main se poser délicatement sur mon ventre, au même moment que ma fille me tape. Il s’abaisse jusqu’à mon ventre, le prend dans ses mains et y dépose un baiser remplit d’amour pour sa future fille.


-Bonjour ma fille.


Depuis une semaine mon terrible enfant, c’est abonné au foot.


-J’ai envie de la prendre dans mes bras, et de lui dire combien son père l’aime. « Me dit-il »


-Il faudra encore attendre quatre mois, avant que tu puisses le lui dire mon amour. « Déclarais-je »


-Oui, mon commandant en chef. « S’exprima Sabo »


Il revient me ré-embrasser en me volant un baiser, il m’oblige à aller m’asseoir mais mon ventre se manifesta au même moment.


-Tu as faim ?


-Oui.


Il me sourit et rebelote mon cœur repart au galop, je détourne le visage parce que mon visage vire au rouge pourpre. Deux mains chaudes viennent englobés mon visage, le soulevant, m’imposant de le regarder droit dans les yeux.


-Je t’interdis de détourner ton jolie d’ange. « M’ordonna-t-il »


J’hoche difficilement la tête, puis je lui offre mon sourire les plus sincères.


-Je préfère. « Fit mon blondinet »


Mon ventre se re-manifeste encore une fois, me provoquant un léger mal à l’aise.


-Aller vient ! Je vais te préparer un bon petit plat, digne d’un grand chef étoilé. « Déclara-t-il »


Il vient déposer un bisou sur le haut de ma main, j’entrelace nos doigts montrant indirectement mon amour pour lui. Nous commençons à marcher vers la seule porte qui mène vers l’extérieur de la salle d’entrainement, quand une femme à la chevelure violette accompagnée de son acolyte au cheveu blanc et orange entre en mode ouragan.


-Sabo ! Koala est vraiment enceinte ? « Hurla la femme à la chevelure violette »


-Oui, Ivankov. « Lui répondit le concerné »


Elle tourne le visage vers moi, puis descend vers mon ventre et avant que je m’en rends compte. Je sens une de ses mains sur mon ventre, je sursaute à son contact.


-Félicitation à vous deux. « S’exclamèrent les deux femmes »

-Merci.


Sans comprendre comment, Sabo et Ivankov parlaient de la mission que venait de faire celle-ci avec Inazuma. Je soupire à la durer de leur conversation, ayant marre je pars toute seule prendre mon second repas. Ca dépend des jours, je peux tourner entre 6 et 8 repas en une journée. C’est le gros point noir d’une grossesse, mais sur une vie se n’est rien neuf mois à manger plus que d’habitude.


Bref !


Je sors encore une fois seule, ah non ! Hack vient me rejoindre, au moins je peux discuter avec quelqu’un et m’accrocher à un bras.


-Il ta encore fait faux bond ? « Me dit-il en mettant son bras autour du mien »


-Malheureusement oui. « Soupirais-je »


-Je t’accompagne alors, au moins on pourra discuter. « Déclara-t-il »


-Avec plaisir.


Après une dizaine de pause jusqu’à la cuisine, mon collègue ouvre la porte battante avec son bras libre. Je m’engouffre avec lui, mon ventre se manifeste encore et j’ai la tête qui tourne. Hack a du le remarquer, parce qu’il m’obligea à m’asseoir sur la première chaise qu’on rencontre.


-Tu ne bouge plus. « M’ordonna-t-il de façon semi-autoritaire »


-D’accord ! « M’exprimais-je »


Je le considère comme mon grand-frère, et lui comme sa petite sœur quand nous sommes tous les trois. Mes yeux suivent chaque geste de mon collègue, j’hume la délicieuse odeur qui vient me chatouiller les narines.


-Sa sent extrêmement bon. « Dis-je en accord avec le bruit de mon estomac »


Il sort du frigo deux belles tranches de monstres marins, avec des légumes accompagné d’une sauce qu’il vient de préparer. J’espère que s’est son ingrédient secret, comme il m’avait dit l’année dernière avant que je ne tombe enceinte. Dix minutes plus tard, Hack s’attaque au dessert qui n’est d’autre une crème anglaise. Il vient me mettre tous ses bons petits plats devant mes yeux, le bruit de mon ventre augmente.


-Vas-y mange. « M’incita-t-il avec le sourire »


Je commence par l’entrée qui est une salade de riz, qui est très excellente puis dévore les deux tranches de monstre marins en moins de trois minutes. Je m’attèle maintenant à son accompagnement de petit légume, ensuite mon dessert préférée la crème anglaise et mon second plat préférée c’est l’île flottante.

La je mets du temps à la finir, prenant à apprécier son goût dans ma bouche. Ceci fait, il reprend tous les plats en les nettoyants. Je me lève pour l’aider mais son regard m’incite à ne pas continuer mon action, donc comme une grande fille je me rassois.


-Pourquoi tu ne veux pas que je t’aide ?


-Tu dois me connaître à force, mais maintenant j’ai une bonne excuse. « M’expliqua-t-il en montrant mon ventre »


-Mouais. « Dis-je pas très convaincu »


Il m’offre un sourire et je lui rends le même, tient sa fait un petit moment que je ne l’ai pas senti son terrible pied gauche. Il va être réputé son coup de pied, je me demande de qui elle peut tenir. Je suis comme mon homme, je suis impatiente de la tenir dans mes bras. Faudrait peut-être commencer à recherché un prénom à cette demoiselle, le prénom c’est vital pour un enfant et il sait que se sera son identité dans se monde de brute.


Je dois absolument piquer les numéros d’escargophone de sa sœur et de ses deux frères, pour qu’au moins je fasse leur connaissance au lieu d’attendre derrière mon blondinet. Je pense savoir ou il les cache mais il me faut la clef, zut ! Une idée germe dans mon cerveau, un fin et terrible sourire étire mes lèvres. Hack me fixe avec un air suspicieux, je lève mes bras l’air innocent mais il n’est pas si dupe pour autant.


-Qu’as-tu préparé comme bêtise ? « M’interroge Hack »


-Rien ! « Déclarais-je innocemment »


-Mon œil ! Dit-moi de suite Koala ? « M’ordonna-t-il d’une voix très autoritaire »


-Du calme. « Essayais-je de l’apaiser »


Il ne me quitte pas des yeux, puis je lui explique mon sourire et mon plan. Il doit tout d’abord faire une diversion, ensuite je rentre en jeu en lui piquant sa clef dans sa poche de son blouson. Je m’éclipse ni vu ni connue, après j’accours à la cabine.


-Tu en pense quoi ? « Demandais-je »


-Bien. Mais il va vite comprendre que je t’ai aidé dans le coup, et il va me le faire payer indirectement. « M’informe l’homme poisson »


-Je sais, mais je te sauve en disant que c’est moi-même qui t’y est forcé.


Il hoche la tête en guise de réponse. Je me lève après qu’il est terminé de faire la vaisselle, je me dirige vers la porte quand celle-ci s’ouvre sur Dragon avec Sabo. Sa sens la mission à plein nez tout sa, je continue mon chemin en embrassant la joue de mon homme et saluant comme il se doit le chef des Révolutionnaires. Je ferme la porte derrière moi le cœur lourd, je sais que se moment aller arrivé de toute façon.


Je sens que je vais pleurer, quand tu es enceinte tu pleures pour un rien. Saleté d’hormone ! Je m’arrête quand je sens deux bras m’entourer à ma taille, je pris intérieurement que mes yeux ne sont pas rougit. Mon visage tourne très lentement sur ma droite et mon homme me sourit, mon cœur se serre encore plus quand il me dit :


-Je dois partir …


Et là c’est le coup de masse, je craque et mon visage se remplit de larmes.


-Hein ? Chut ! Je suis là. « Me réconforte Sabo »


-Mais … Mais tu vas … partir ? »Pleurais-je encore plus »


-Je vais juste à la prochaine île, pour remplir les réserves. « Murmura-t-il à mon oreille »


-Sur ? « Redemandais-je »


-A 100%. « Confirme le blond »


Je suis heureuse mais mes larmes ne s’arrêtent toujours pas, c’est quoi encore le problème ? Oh je pense savoir.


-Je peux venir avec toi ? « Chuchotais-je « 


- Tu ne peux pas, le médecin te l’interdit et tu le sais très bien. « Me répond le futur papa »


Je soupire quand enfin mes pleures se sont arrêter, je veux partir de se trou. Je vais leur faire faux bond et me promenait, je risque de prendre très chère quand ils vont s’en rendre compte. Je m’en fous ! Mais avant mon départ, je pique sa clef et quand ceci est fait, je fais semblant de bailler pour lui montrer que j’ai sommeil. Il me raccompagne dans notre chambre, ou il me borde comme une enfant de quatre ans.


J’aime beaucoup quand il fait sa, j’ai autre chose en tête quand le bruit de la porte qu’on vient de fermer parvient à mes oreilles. J’attends encore quelques secondes de plus avant de rallumer la petite lampe, et de sortir la clef que j’ai caché dans ma robe. Je la regarde comme un objet très rare, puis me dirige vers le bureau et y enfonce celle-ci. J’entends un cliquetis comme quoi il est bien ouvert, je l’ouvre d’un coup sec et regarde le contenu du tiroir.


Ensuite je trouve le petit calepin ou il y a tous les numéros des escargophone, je le feuillette et trouves mon bonheur avec le sourire aux lèvres.


-Enfin je les trouve. « Fis-je à moi-même »


Je prends un stylo noir avec une feuille, et marque leur numéro de den den mushi ensuite je remets tout en place quand j’entends des pas rapide. Comme si quelque chose n’allait pas et qu’on aillait devoir se battre, ma respiration s’accélère au même rythme que mes battements de cœur. Je prends la batte qui est gentiment posé contre le bureau, je me mets en position de combat prête à donner le premier coup.


La porte s’ouvre sur deux personnes inconnues pour moi, je les assomme avec toute ma force détenue dans mes bras. Mais une crampe survient dans le bas ventre, je serre les dents avant de voir entrer Hack, Dragon, Sabo accompagné d’une femme aux cheveux bleus. Je me tiens le ventre après avoir lâché la batte, Hack et Sabo accourt vers moi mais la douleur est trop forte que je sombre et tombe dans les pommes.


Je sens qu’on me soulève, puis sens quelque chose de mou et de dur à la fois. La douleur à mon bas ventre disparaît petit à petit, quand on m’a injecté quelque chose dans le sang. Je le sens aussi, parce que tout mon corps se détend au même rythme que l’avancé du calment. Je m’endors sassement sous peu !

Je me réveille d’un bon et remarque que le soleil est encore là, par contre je ne sais qui était les trois autres personnes qui étaient de mon chef. Bref ! Mon regard croisa celui de mon homme qui me regarde inquiet, ma main se pose délicatement sur mon ventre bien arrondi et dis d’une voix très ensommeillée :


-Je vais bien Sabo.


-Tu m’as fait peur, j’ai crû que mon cœur aller s’arrêter de battre sous le choc. « Me raconta-t-il en posant sa main sur la mienne »


Je baisse la tête honteuse de lui avoir fait autant peur, je me triture les doigts montrant que je suis honteuse de mon geste. Il remet ma tête à la même hauteur que lui, ses douces lèvres viennent caresser les miennes puis m’embrasse avec une telle passion. Je réponds le cœur apaiser quand ses yeux me le font savoir, on coupe notre baiser ensuite je sens ses mains remonter sur mes cotes me faisant vibrer.


Mon corps réagit de suite en cherchant un contact avec le sien, un sourire étire ses lèvres en collant doucement corps au sien. Ses mains se glissent derrière mon dos, me déboutonnant tous les boutons de ma robe. Je l’aide, en soulevant ma masse de muscle. Il me l’enlève vite fait bien fait en prenant bien soin de frôler ma peau bien brûlante, qui est très réactive à ses touchés. Un petit gémissement de frustration s’échappa de ma bouche, suivit de mon soutien-gorge puis de ma petite culotte qui ont rejoint le même endroit que ma robe.


-Toujours aussi sexy. « Affirma l’homme en face de moi »


Aucun mot ne sort de ma gorge, mais mes joues étaient en feux comme si on venait de me les brûlés vives. Je le vois se relevé puis enleva très lentement ses affaires, me permettant de prendre du plaisir à le regarder. Ses bras me soulèvent du lit moelleux. Je tourne la tête vers la direction ou il voulait qu’on n’aille, un micro sourire apparue sur mon visage quand je reconnue la porte de la salle de bain. Sa fait longtemps qu’on n’a pas pris un bon bain tout les deux en amoureux, à vrai dire je mens souviens même quand c’était le dernier bain.


J’apprécie la douche, mais le bain te permet de relaxer tout tes muscles. J’ouvre la porte et je reste sans voix, il y a des pétales, des bougies qui sentent la fraise des bois partout dans la pièce. De la ou je suis, je peux voir la vapeur d’eau sortir de l’immense baignoire. Sur le rebord de celle-ci mes yeux s’arrêtent que le petit flacon de couleur bleu, je pense que c’est de la mousse à mon parfum préférée. Sabo aussi apprécie se parfum, qui est le chocolat.


Je continue mon balayage visuel quand une grande boîte me fait de l’œil, j’essaie de lire l’inscription mais Sabo, la recouverte d’une feuille de papier journal. Le bougre ! Il entre dans l’eau puis me pose, je soupire de pure bonheur ensuite je colle mon dos contre son torse finement musclé. En plus il a de superbe tablette de chocolat, mais celle-là ne peuvent pas fondre au soleil. Dommage ! Je profite un maximum de se bain et de mon homme, je pose délicatement mes mains sur ses cuisses et le masse avec mes doigts fins.


Je remonte petit-à-petit vers le haut de la cuisse, je le sens vibrer sous mes doigts. Cela m’incite à continuer, par contre lui me dévore le cou. De temps en temps il me le mordille et par-dessus il y dépose un suçon, je rougis violemment. Donc j’arrive en haut de sa cuisse, j’avance mon bassin et enfonce mes mains dans l’espace qui sépare nos deux corps. Un petit gémissement me parvient aux oreilles, je continue mon petit massage sur cette zone très sensible chez ses messieurs.


Après dix minutes, je le sens se crispé et un gémissement très rauque sortit de ses lèvres montrant sa délivrance. J’enlève mes mains tout sourire, la respiration de mon conjoint est encore saccadé.


-Tu es un ange pour ça. « Me dit-il en m’embrassant »


Je réponds amoureusement à se baiser, mais il fut de courte durée quand la voix d’ Hack nous parvient.


-Sabo, Koala ? « Appela-t-il »


-Oui. « Répondit mon beau blond »


-Sabo dépêche-toi, ils vont bientôt repartir en mer. « Déclara-t-il »


-Ok ! On arrive ! « S’exprima l’homme »


Mais de qui parlent-ils ?


Je commence à me dire, qu’il me cache quelque chose c’est deux là. Mais quoi ?! Peut-être, est-ce en rapport aux trois personnes que j’ai vues avant de sombrer. La porte de notre cabine claque contre l’encadrement, montrant que mon collègue vient de partir. Donc on sort du bain, se rhabille en n’oubliant pas de nous sécher les cheveux. Suivit une marche rapide vers la salle de réunion, du couloir ou on se trouve on peut parfaitement distinguer les sujets des discussions.


Je peux reconnaître la voix d’Ivankov, Dragon, d’Inazuma et certains de mon grade. Par contre je ne distingue pas celle de Hack, et des trois autres voix qui titille mon ouïe. Sabo pousse la porte peinte en beige, je peux voir les deux autres personnes que j’ai frappées avec la batte. Quand une douce voix mélodieuse m’interpelle :


-Vous devez être Koala ? « Me dit une femme aux cheveux bleus »


-Oui et vous ? « Demandais-je en me collant à Sabo, marquant ma propriété »


-Je suis Monkey D Sakura, sa grande sœur et voici Ace, Luffy que tu as eue l’honneur de rencontrer. « Me dit-elle tout sourire »


Je leur offre un sourire tendu, je sens mon malaise revenir quand leurs yeux m’observent dans chaque détail. Ils doivent m’en vouloir de leurs avoir frappé, mais quelle idée de rentrer dans une cabine ou ils pouvaient être sommé eux aussi. Le mal est fait et je ne peux pas revenir en arrière, je regarde les deux bruns qui me sourient comme si rien ne s’était passé.


-Je m’excuse de vous avoir assommée. « M’excusais-je auprès d’eux »


-Oh ! Sa ! Ne t’inquiète pas, je ne tends veut pas. « Me répondit Ace »


-Exact ! Je ne tends veut pas, tu fais désormais partie de la famille. « Rajouta le chapeau de paille en mangeant un bout de viande »


J’apprécie déjà Ace et Luffy, mais Sakura je la vois comme une potentielle ennemie. Quand celle-ci se mit de profil, mes yeux se bloquent sur l’énorme ventre et je sens un grand soulagement envahir chaque veine de mon corps.


-Tu es enceinte toi aussi ? « Questionnais-je »


-Oui ! Il faut juste attendre deux mois, avant qu’ils ou elles ne montrent leur bout du nez. « M’expliqua-t-elle avec le sourire »


-Félicitation Sakura-chan, et qui est le père ? « Demandais-je »


-C’est Marco le Phénix, le premier commandant de la flotte de Barbe Blanche. « S’exprima-t-elle en touchant son ventre »


Je fais la même chose mais sur le mien, puis je regarde les deux D qui sont entrain de dévorer tout les plats sur la table sans nous prêter attention. Avant même que je ne puisse ouvrir ma bouche que ses deux la s’endorment sur leur assiette, je suis choquée sur le coup après je me souviens qu’Ace est narcoleptique. Et son frère s’endort de temps en temps, je m’avance vers la table et picore comme ma belle-sœur. Après qu’on n’est tous mangés un bout et parlés, je garde le papier de leur den den mushi dans mon pantalon.


Je les raccompagne jusqu’à l’un des navires, je veux les revoir et faire un peu plus connaissance avec la bleutée. On sait promit de se rencontrer toute les deux dans une île avec nos futurs enfants, maintenant que j’y pense on n’a pas de nom pour notre fille. Le bateau s’éloigne doucement du ponton et je ne le quitte pas des yeux jusqu’à qu’ils ne soient qu’un point noir au milieu de l’océan, je me retourne pour partir quand Sabo me regarde comme si je venais de faire une énorme connerie.


-Quoi ? « Répliquais-je »


-Tu peux me la rendre maintenant. « Me répond-t-il en me tendant sa main »


-Te rendre quoi exactement ? « Redemandais-je »


Je ne vois pas ou il voulait en venir, puis quand il me montre une clef, je tilt enfin. Sauf que je ne sais ou est-ce que je les posais, avant que ses frères entre en trombe dans la chambre. Je me gratte l’arrière de ma tête pour savoir ou est-ce que je peux l’avoir mis, je me palpe ensuite je regarde apeurée mon homme et lui dis tendu et confuse en même-temps :


-Je ne l’ai pas sur moi, mais elle peut être dans la chambre.


-Allons-y ! « Fit-il tout sourire »


Je croise les doigts pour qu’elle soit là-bas, je ne veux pas qu’il me haït pour avoir perdu sa clef. Je veux savoir pourquoi, il y tient autant à cette chose en métal. Nous arrivons devant la porte, on s’y engouffre et on commence par fouiller dans la pièce principale. Plus les minutes passent plus j’angoisse et culpabilise de l’avoir perdu, quand je la retrouve et la lui tend. Il semble plus apaiser, je le suis aussi mais pas pour la même chose.


-Pourquoi tiens-tu autant à cette clef ? « Questionnais-je »


-Parce qu’elle renferme toute mon enfance.  « S’exprima-t-il en fixant le tiroir »


-Je comprends. « Répondis-je »


Il la remit dans sa poche puis il m’ entraîne au sous-sol, je ne me sens pas alaise dans se couloir sans fin avec juste une loupiote toute les 10 mètres. En plus, elles n’éclairent pas grand-chose. D’un seul coup une porte s’ouvre cela me provoque un sursaut, accompagner d’un cri de peur.


-Calme-toi ma puce. « Me réconforta-t-il »


Je me remets de ma surprise et fusilla des yeux l’homme en face de moi, par contre lui me sourit avec tendresse et amour. Il reprend ma main, puis nous continuons de marché pendant une quinzaine de minutes. Je n’en peux plu, j’ai trop mal aux pieds. Il pose sa main libre sur la poignée puis tire d’un coup franc et mesurer, un grincement horrible s’échappe cette porte comme si sa faisait plusieurs années qu’on ne l’avait pas ouverte.


-Faudra que je la graisse. « Marmonna-t-il à lui-même »


-Oui ! Elle fat mal au tympan, mais que fait-on ici exactement ?


-Entre et découvre par toi-même mon amour. « Me dit-il en m’invitant à entrer »


J’entre sur mes gardes, mes yeux balais la pièce sombre du regard. Je tapote sur les deux murs pour trouver l’interrupteur, je fais une légère pression dessus et la lumière fut. Je reste sans voix devant autant d’objet poussiéreux, je remarque des objets qui sont destines pour les météorologues. Je sais quoi lui offrir pour son anniversaire, un livre sur les météorites et les planètes. Je suis persuadée qu’il va apprécier.


 -Waouh !


-Tu as vu ! J’ai mis du temps à en trouver un en si bon état. Sa me rappelle la forêt de Goa et tous les gens que j’aime, c’est Ace qui ma donner le virus de la galaxie et qui reçu le virus de sa sœur. « Me dit-il en dépoussiérant le télescope noir »


Il n’arrête pas de parler d’eux, mais sa vraie famille n’existe plus pour lui. Je me rappelle de ce jour où il m’a tout raconter, j’ai ressenti ses émotions et la rage m’avait envahi. Mais la rage et la haine ne peuvent pas recoller les pots casser, alors pendant une semaine je me suis défouler sur un pauvre sac de boxe. De mon coté c’est à peu prêt la même chose, mais je me sens coupable de la mort de l’homme qui m’a sauver de ses monstres de bourgeois.


Il avait pris des risques pour moi et mes parents …


-Koala tu vas bien ? « M’interrompt-il »


Je le regarde quand ma vision se trouble, je sens de l’eau glisser lentement sur mes joues puis vers menton pour disparaître de mon visage. Je hais mes parents pour ça, et encore plus les marines qui lui ont tirés dessus. Et se sentiment me permet d’avancer et d’être forte, je veux lui montrer ma reconnaissance et ma détermination dans mon rêve. Et pour cela, je me dois d’être une fière révolutionnaire et défendre les prisonniers de ses ignobles dragons célestes.


Nous passons une bonne heure dans les bras l’un de l’autre, cette haine est retourné d’où elle venait. Je continue mon exploration des lieux quand la pièce s’assombrit, montrant que le soleil va bientôt aller se couché. Une main entrelace mes doigts et m’entraîne vers l’extérieur ou nous croisons Hack avec d’autres révolutionnaires, on reprend le même itinéraire que précédemment. En arrivant en haut je remarque que quelque chose ne va pas, Sabo le remarque aussi et demanda d’une voix peu rassuré :


-Que se passe-t-il ?


Un énorme silence lui répond, nous rassurant pas du tout avant qu’ Inazuma le prenne dans les bras.


-Je suis désolée Sabo-Kun. « Marmonna-t-elle contre lui »


-Il est arrivé quelque chose à ma famille ? « Hurla le blond »


Toutes les têtes s’abaissent montrant leurs condoléances, je sens la main de mon homme trembler et je la serre un peu plus fort dans la mienne. Un bruit sourd s’entend comme si on venait de tomber, Sabo sangloter dans les bras réconfortant de la jeune femme. Je veux être à sa place mais je ne peux pas en tant que femme enceinte, mes yeux croisent ceux de Dragon qui a un visage des plus glacial. Je me sens avancer vers lui comme si mon corps bouger tout seul, il me fixe ne montrant aucune émotion mais je sais qu’il souffre en silence.


Des yeux me suivent en cas que je ne tombe sous le coup des émotions, je les sens frapper à ma porte pour qu’ils m’envahissent ensuite. Je ne ferrais jamais sa, j’ouvre mes bras automatiquement et prend délicatement mon chef dans mes bras. Il n’oppose aucune résistance à ma grande joie, deux bras s’enroulent autour de moi et un chuchotement me parvient :


-Sakura …


Il doit me prendre pour sa fille, se doit être le choc de la nouvelle mais je serais comme sa propre fille si il veut ça. Du coin de mon œil droit, je peux avoir un œil sur mon mari qui est encore réconforté par Inazuma. Le Monkey D me chuchote plein de chose, sur pourquoi ils les avaient laissé tous se temps. Les heures défilent que je commence à avoir mal aux jambes, mes paupières s’abaissent automatiquement mais je me force à les laissés ouverts.


Je ne peux plus combattre la fatigue, tellement elle est forte que je sombre en quelques secondes. Je n’entends plus rien à par qu’on me porte vers ma chambre, enfin je présume ! Mon dos heurte quelque chose de froid, de moelleux, et avant que la porte ne se referme je me laisse entraîner dans un sommeil profond et reposant …


Quatre mois ont passés depuis ce jour tragique, Sabo et Dragon se soutiennent mutuellement quand l’un des deux flanches. Moi et mon blond nous avons enfin trouvé un prénom pour notre fille, j’ai due batailler pour qu’il m’aide dans cette tâche. Ca à mis au moins, deux semaines pour qu’on se mette d’accord mais nous l’avons trouvé enfin c’est lui qui a trouver le premier. Mais le plus important pour moi maintenant c’est que je viens de perdre les os, et que j’ai beau crier que j’ai mal au ventre et que j’ai perdue les os, mais personne ne m’entends.


Ils sont où c’est idiots ! La porte s’ouvre sur Hack encore ensommeillé, il me fixe puis s’approche de moi quand je lui dis :


-Maëlys arrive


-Je t’apporte à l’infirmerie. « Me déclare Hack »


-Non ! La petite est déjà bien engagée dans mon bassin, si tu me bouges de mon lit j’accouche dans le couloir. «M’époumonais-je »


J’enclenche les exercices de relaxation qu’on m’a appris depuis un mois, sa ne marche même pas leur truc. Ca empire de minute en minute, une énorme contraction pointe son nez. Je serre le bras de mon collègue, en poussant et hurlant de douleur. J’essais de penser à Sabo qui n’est pas là, il est sur le retour d’une petite mission. Après que je lui ai rendu son bras qui à gonfler, il décampa comme une fusée allant surement chercher les médecins de garde.


Plusieurs contractions ont fait surface depuis qu’il est parti, un troupeau de blouse blanche entre ma chambre et s’active pour m’aider à accoucher dans de meilleure condition. Le docteur piaille des ordres aux autres têtes de flans, je me re-concentre sur Hack qui ma repris ma main et sur ma future fille qui ne demande qu’à sortir de son cocon bien chaud. Je pousse quand il y a une contraction, je sens sa tête passer dans mon bassin puis suivi les épaules. Le plus douloureux quand votre enfant sort, c’est le passage des épaules.


Parce qu’ils essayaient de ne pas vous faire mal, alors qu’ils font l’inverse c’est imbécile. Cela fait, le corps suivit et un petit cri me parvient aux oreilles me montrant sa belle voix. Hack me fixe quand on lui demander si il voulait couper le cordon ombilical, j’hoche la tête pour lui donner l’autorisation. Le docteur me pose délicatement Maëlys sur ma poitrine, après que homologue masculin est couper le cordon. Nous nous regardons pour la première fois, et elle ressemble beaucoup à son père.


Une touffe jaune entre dans mon champ de vision, un sourire vient étirer mes lèvres quand il la prit dans ses bras pour l’embrasser.


-Enfin je peux te porter ma fille. « Déclara Sabo »


Il m’embrasse le front et me chuchote des félicitations pour mon travail, je sens mon corps se détendre après tout cette effort. Maintenant on peut officiellement dire qu’on n’est une famille …


Laisser un commentaire ?