La vie n'est plus la même...

Chapitre 45 : Tireuse de mérite? Moi?

1315 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 22/02/2016 21:43

Rick : On ne peut pas utiliser Daryl. Ils surveillent le moindre de ses mouvements. –me regarde- Et toi aussi, fais attention. Ils te surveillent. 

Carol : C’est bon. Vous savez ce qui est génial ici ?

Moi : -hoche la tête-

Rick : -sans voix-

Carol : J’ai réussi à être invisible de nouveau. –sourit-

Moi : Bon, ben, je pense qu’on peut aller se préparer pour la fiesta.

Carol : Comment tu vas t’habiller ?

Moi : -la regarde et souris- Étant donné que Shane va s’habiller classe... Je pense que la robe va être de mise.

Rick : Je vais pas m’y faire de te voir en robe. –rit-

Moi : -le bouscule gentiment- Tu vas pourtant devoir.

Carol : Je pense que je vais rester simple. –les regardent-

 

On se voit tout à l’heure.Je me dirigeais vers la maison, pour retrouver Shane dans la salle de bains.

 

Moi : Toc, toc...

Shane : Entre, mon coeur, je t’ai choisie une robe.

 

Accrochée sur la porte, une jolie robe noire cintrée à la taille m’attendait, ainsi qu’une paire d’escarpins vernis.

 

Moi : Elle est superbe. –l’embrasse-

Shane : Je vais mettre un pull noir, on sera accordés.

Moi : -le regarde- Près du corps, au moins ?

Shane : Aussi près que possible, pour te faire saliver sur mon corps de rêve. –me prend par la taille et m’embrasse- 

Moi : Ouh, sympathique. –souris-

Shane : Je vais m’habiller. 

 

Sorti de la salle de bains, je prenais la robe pour l’enfiler. Mais un problème persistait. Cette foutue fermeture éclair qui ne voulait pas se fermer.

 

Moi : Merde.

 

J’essayais comme possible de la fermer, mais malheureusement, rien à faire. Sortant de la salle de bains pour trouver mon mari, ce fut une autre paire de mains qui m’aida. Celle d’Abraham.

 

Abraham : Voilà. Toute jolie, Mme Walsh.

Moi : -le regarde- -lui dépose un baiser sur la joue- Merci, sergent.

Abraham : Je vous en prie, Lieutenant.

 

La robe mise, les chaussures enfilées, et coiffée par les soins de Rosita, je rejoignais Shane dans la chambre, ce dernier ayant fini de s’habiller. Très classe, jean serré, pull moulant, et chaussures de ville. Encore une fois, le parfait couple de petits bourgeois. Tout le monde était prêt, nous pouvions y aller. Carol, Carl, moi, Shane ainsi que Rick et Judith (dans ses bras) entrions les premiers, accueillis comme des rois. Rick avait sortie sa plus belle chemise claire, allant parfaitement avec le bleu de ses yeux. Judith était toute vêtue de rose, trop mignonne. La maison état déjà remplie, et nous fument accueillis par une Deanna très enjouée. 

 

Deanna : Bienvenue ! 

Carol : Bonjour. –tout sourire- 

Deanna : -à Carol- Ça me fait plaisir de te voir. –à Carl- Salut Carl, merci d’être venu. –regarde Judith- Je n’ai pas eue la chance d’interviewer cette charmante demoiselle. –nous regarde, Shane et moi- Vous êtes superbes tous les deux. 

Shane : Merci. Vous êtes en beauté, Deanna.

Deanna : -rit- Moins que votre sublime femme.

 

Un compliment ? Pincez moi, je rêve. 

 

Deanna : -regarde Judith- Je l’envie.

Rick : Pourquoi ?

Deanna : Elle verra ce que deviendra cet endroit. –nous regarde, tous- Venez, entrez.

 

Chacun alla dans une direction différente. Carl rejoignait ses amis, Carol allait apporter ses cookies en cuisine, tandis que Rick suivait Deanna. Shane et moi allions prendre une bière à la table, et trinquions.

 

Shane : A nous, princesse.

Moi : -le regarde- A nous.

 

Lui déposant un léger baiser sur le coin des lèvres, nous fument interrompus par la dame qui m’avait coupé les cheveux, ainsi que par son mari.

 

?? : Vous êtes venus ? Génial.

Moi : -me retourne- Oh, vous m’avez fait peur. –à Shane- Chéri, je te présente...

?? : Jessie, je m’appelle Jessie. Votre femme m’a beaucoup parlé de vous. –serre la main de Shane-

Shane : -au mari de Jessie- Votre femme a transformée la mienne. 

?? : Elle est super.

 

Ils s’en allèrent, nous laissant seuls de nouveau. Rosita et Abraham arrivèrent à leurs tours, Rosita moins enjouée que d’habitude. Abraham ferma la porte, ils nous saluèrent tous les deux avant de prendre également une bière et de trinquer avec nous. Rosita sans son uniforme et son short... C’est bizarre, mais il faut s’y habituer.

 

Abraham : Je ne sais rien à ce propos. 

Rosita : -souffle- Au moins, ils ont des bières. 

Abraham : Je vais essayer.

 

Il s’en alla, et Rosita me complimenta pour la robe.

 

Moi : Choisie par mon cher mari.

Toi aussi, tu es très en beauté. 

Rosita : Merci.

 

Rick était dans son coin, vite rejoint par Deanna et un homme assez grand. Shane fit un tour avec Abraham, tandis que Rosita et moi fument vite rejointes par Glenn, Maggie et Noah, qui étaient déjà là. Daryl n’était pas de la partie, à mon grand regret. La nuit était déjà tombée, et nous étions toujours bière à la main. Après plus d’une heure, nous retrouvions Maggie et les autres un peu plus loin, Noah étant reclus dans son coin.

 

Glenn : -à Noah- Ça va ?

Moi : Ouais, t’as l’air tendu, mec. 

Noah : -regarde autour de lui- Ça n’a jamais été mon truc. Que de regards compatissants, nous vivions tous un enfer. 

 

Noah : -se relève- Je crois que je vais y aller. 

 

Je le stoppais doucement de la main, en riant.

 

Moi : Hop hop hop, on y est tous, alors tu compatis aussi. Et tu souffres en silence. G

lenn : Tu t’en sortiras pas comme ça. On est dans la même galère, mec. Tu es ici avec nous maintenant. 

Moi : Même famille, mêmes emmerdes, mon vieux. 

Maggie : -à Noah- Tu es avec ta famille. 

 

Glenn le prit amicalement par l’épaule, avant de l’emmener avec nous.

 

Glenn : Viens. 

 

Tous au centre de la pièce, à discuter de tout et de rien, à rire comme de bons amis de longue date, il manquait toujours une personne. Daryl.

 

Carol : Ne t’inquiète pas pour lui, ma belle, tout va bien. Il est dehors, chez Aaron et Eric.

 

Sans même dire un mot, je lâchais un soupir de soulagement. Carol me frotta les bras avant d’entamer une discussion peu commune.

 

Carol : Vous saviez qu’Athena est une excellente tireuse ? Elle possède un fusil de précision qui est plutôt rare. Et, je dois dire que personne ne se met en travers de sa route quand elle a son fusil entre les mains. –rit-

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