Née sans étoiles

Chapitre 28 : Bella malade, Dr Cullen. Chorée Thriller d’Halloween.

3901 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 01/03/2019 14:52

Je rentrais chez Charlie en éternuant et bon sang, je m’aperçue qu’il n’y avait plus d’électricité, ni de chauffage vu le froid qu’il faisait. Rien ne fonctionnait, même pas le téléphone fixe. L’orage avait dû être très violent ici aussi ! Et j’étais tellement épuisée que je finis par monter les escaliers en titubant et m’effondrais sur le lit encore habillée et trempée. Je m’endormis aussitôt sans pouvoir résister.

 

Je me réveillais mardi matin en grelottant de froid. L’électricité n’était toujours pas rétablit et mon portable était déchargé. Trop malade, je n’avais même plus la force de me lever pour aller chercher du bois dehors pour la cheminée. Je finis par me rendormir complètement endolori, la tête sous la couette en tremblant.

 

Je me réveillais de nouveau et entendis des bruits sourds. Je me redressais violemment assise dans mon lit sans pouvoir ouvrir les yeux. Qui était chez moi ! Je n’avais pas mes armes prés de moi, tout était dans l’abri de jardin et à la Push. Merde ! Et mon cerveau n’arrivait pas à fonctionner correctement. J’avais des sifflements dans les oreilles et des étourdissements.

Je reconnue au son, la voix de Emmett puis Jasper.

Que faisaient’ ils chez moi, bon sang ! Je devais complètement délirer, je pense.

Trop épuisée pour dire quoique se soit, je rejetais ma tête en arrière sur l’oreiller et tirais la couette sur mon visage.

 

J’avais dut me rendormir après avoir entendu Emmett me demander comment j’allais. Je crois même que je n’avais pas répondu ou alors j’avais rêvé. J’ouvrais les yeux doucement et bordel, je n’étais pas dans ma chambre mais dans la chambre d’amis de la villa Cullen. Pourquoi j’étais chez les Cullen ? Je sursautais en entendant la voix de Carlisle me demandant comment j’allais. Je tournais la tête, il était assis sur le bord du lit avec une petite bouteille d’eau et des cachets.

Sérieux ? Encore des cachets ? Je repensais à l’histoire de la clinique et je frissonnais !

 

« Je vais mieux Carlisle, merci ! » répondis-je doucement.

J’avalais les médicaments sans broncher.

« Que c’est-il passé ? J’ai dormis longtemps ? » Demandais-je.

« Alice m’a appelé mardi à midi, tu n’étais pas en cours et ton téléphone était sur messagerie et comme tu n’es pas venu à notre rdv, j’en ai conclue qu’il se passait quelque chose ! Dans le doute j’ai demandé aux garçons d’aller chez toi. Les garçons t’ont trouvés au lit complètement frigorifiée et apparemment inconsciente. Je leur ais dit de te ramener chez nous comme je sais que tu n’aimes les hôpitaux! »

 

J’avais raté un épisode puisque Carlisle avait parlé de mardi au passé.

« Euh, mais on est quel jour ? » fis-je doucement commençant à paniquer.

 

On est mercredi et il est bientôt 15H00. » En souriant légèrement.

J’écarquillais de grands yeux. Non seulement j’avais raté les cours mais les répètes à la Push et ma représentation du mardi soir ! Nan ! Je tremblais dans la panique et enlevais la couette pour descendre du lit. Carlisle mit son index sur mon front et le poussa doucement, je partais en arrière et retombais sur l’oreiller sans force, étourdie.

 

« Jeune fille, tu vas me faire le plaisir de reprendre des forces avant de te lever ! Tu n’es pas en état !» Me fixant, un sourcil levé. Je fermais les yeux, il était hors de question que je rate un jour de plus pour les répètes et mon job à la station ce soir. Je serais virée de mes deux jobs. Je relevais la tête et sentie de nouveau son index sur mon front. Bon sang !

« Tu es peut-être têtue Bella, mais je le suis encore plus ! Esmée est montée te réchauffer de la soupe, il faut que tu manges, Bella. Tu as perdu beaucoup de poids depuis ton arrivée ! »

Je me figeais droite comme un I dans le lit. Comment avait-il vu cela !

Comment j’allais m’en sortir ! Et je n’avais surement pas perdu autant de poids mais fondue en graisse et reprit en muscles. Ce qui était différent !

 

« Carlisle, je vais bien ! Et si je n’y vais pas je vais me faire virer de mes deux jobs ! Et j’ai trop de dettes pour me le permettre ! » J’avais les larmes aux yeux.

 Pouvait-il au moins comprendre.

 

« Chérie, on a prévenue tout le monde, il n’y a pas de problème ! » Insista-t-il. Et je soupirais.

Il ne se rendait pas compte que je perdais de l’argent en restant là, allongée.

Et je ne pouvais pas tout lui expliquer à ce moment là, et ça m’énervait. Carlisle me laissa seule dans la chambre à me morfondre. Il fallait que j’aille à la Push.

Esmée toqua à la porte et apporta un plateau avec de la soupe, une tranche de jambon et un yaourt. Je lui fis un sourire de travers quand elle me pencha le plateau !

« Esmée, je voudrais aller à la Push, c’est vraiment important pour moi et je vais mieux, je vous assure ! » en l’implorant du regard.

 

« Est-ce qu’en y allant sous votre surveillance avec Carlisle et en vous promettant que je n’en ferais pas plus que nécessaire cela pencherait en ma faveur ? » fis-je doucement.

« Vous vous rendez compte que là je perds de l’argent et je vais déjà en perdre pendant les vacances, je ne pourrais pas faire réparer la voiture ! » insistais-je.

« Mange chérie, je vais en parler à Carlisle ! » me répondit-elle. Elle se leva et partie de la chambre et je grognais en sachant que je n’étais même pas dans le dressing et que c’était cela qui me donnait des étourdissements ! Je soupirais fortement.

 

Je finissais de manger et je partais m’habiller dans la salle de bain avec des vêtements d’Alice qu’Esmée m’avait déposé. J’attentais sur le bord du lit qu’ils redescendent avec une furieuse envie de me sauver par la baie vitrée. C’était moins une pour que je le fasse au moment ou l’on toqua à la porte de la chambre. Ils rentrèrent tous les deux. Et je baissais la tête. J’avais juste l’impression d’être prise en otage ! Et Charlie était bloqué sur Seattle.

« Ok, Bella ! Tu es encore plus pénible que ton père. On t’emmène à la Push si tu en fais un minimum, ok ? » Me suggéra Carlisle. Je lui fis oui de la tête. Et nous partîmes à la Push.

 

Arrivée à la Push, je vis Jacob sortir de l’établissement et courir vers moi l’air paniqué. Je fermais les yeux. Il me souleva du sol. Je souriais doucement en l’agrippant par le cou.

 

« Tu vas bien ma Petiote ? » me relâchant doucement. J’ouvrais les yeux et lui fis signe oui de la tête. Il m’attira contre lui et m’entraina à l’intérieur. J’étais heureuse de retrouver tout le monde. Le groupe était en train d’apprendre les derniers pas de danse avec Angy et je fus soulagée. Les Cullen me virent en premier et sautèrent de la scène. Je me reculais. Nan, nan , nan! Pas ça ! Pas tous en même temps ! Je fermais les yeux fortement et je sentie Jacob se mettre devant moi.

 

« Oh, les crétins, vous faites quoi, la ? » dit-il. En voyant les Cullen foncer sur moi !

Je rouvrais les yeux et répondis « c’est bon Jacob, ca va aller ! » J’allais les embrasser.

 

Je devais montrer que j’allais bien et que j’étais capable de continuer la chorée ! Et que j’arrivais mieux à gérer ma déficience, ce qui était un peu vraie sauf que j’étais épuisée.

Angy arriva et me sauta dessus, me faisant un gros bisou ! Je souriais ! Elle était de trop mon Angy .Je l’admirais ! Elle avait continué la chorée. Elle était plus forte que moi ! Bien plus !

 

Je finis par l’étreindre aussi et nous repartîmes vers la scène !

« Tu vas bien Bella ? » me fit’elle inquiète.

« Mais oui, c’est juste un coup de froid ! Je ne comprends pas pourquoi tout le monde s’inquiète d’un rien ! » Lui souriant. Il fallait que je reprenne le dessus.

Je finis par monter sur la scène en saluant tout le monde.

Angéla suivit ainsi que les Cullen qui reprirent leur place.

 

Je me plantais devant tout le monde et levais mon index ! Ils le regardèrent tous sans broncher ! bien ! J’étais de retour, mon index aussi ! Je souriais doucement !

« On reprend depuis le début ! Jacob, musique stp !» Fis-je doucement

 

Je voulais voir ou ils en étaient pour les reprendre là ou cela cafouillait. C’était tout de même moi la responsable, moi qui gérais mes chorégraphies. C’était important pour moi !

 

Au finale, ils se débrouillaient pas mal. A part un petit bug avec Ben.

On finit par leur apprendre toute la chorée. Il nous restait deux jours pour la mise en scène et les déplacements dans la salle. Pour notre ligne acrobatique, Angy et moi savions déjà ce que nous avions à faire, on le ferait samedi lors des répétitions générales en costumes.

Tout cela prenait forme, j’étais contente que tout le monde ait réussi à apprendre la chorée.

 

On arrêtait à 19H00 et Alice vint me voir avec un énorme sac.

Elle me montra les derniers costumes qu’elle avait pris et j’étais emballée. Ca faisait vraiment mort-vivant. Avec le maquillage et les perruques, ca allait être géant !

 

Esmée et Carlisle finirent par venir prés de moi.

« Bella, tu rentres avec nous, on passe chez Charlie pour que tu puisses prendre des rechanges ! Charlie ne rentre que demain à cause de la tempête et il m’a dit que tu ne bossais plus à la station à partir de ce soir, vu ce qu’il t’est arrivée! Tu dormiras chez nous ! » Me fit Carlisle. Sérieux il me surveillait ? Hors de question de rater mon job ! Je grognais.

« Carlisle, je vais bien ! Je peux rester chez Charlie ! Déposez-moi chez lui, s’il vous plait ! »

Fis-je doucement.

« Euh…non ! Tu rentres avec nous ! Ordre du chef ! » Répondit-il sérieusement.

« D’accord ! » soupirais-je. Je baissais la tête. Bon sang ! Pourquoi Charlie me faisait ‘il cela !

 

Nous partîmes dans les voitures. J’allais chercher des rechanges chez Charlie et en sortant de la maison je tournais la tête en direction du garage ou était entreposée ma moto. Je fis un pas léger vers le garage et j’entendis un bruit de vitre électrique. Je sursautais quand Carlisle me dit « N’y compte même pas ! » Je baissais la tête en soupirant, bon sang, il se prenait pour mon père ?

 

On repartit tous à la villa. J’étais plutôt en colère contre Charlie qui avait passé le mot à tout le monde que je ne bossais plus à la station. Du coup, je n’avais plus un œil sur ce qu’il se passait à Forks et j’avais un salaire en moins.

Je détestais l’idée que Charlie puisse décider à ma place alors que j’étais émancipée !

Il allait falloir qu’on ait une discussion tous les deux ! En plus, je perdais de l’argent !

 

Nous rentrâmes à la villa et je demandais à Carlisle pour parler dans son bureau.

« Alors Bella, tu voulais me parler de quoi ? » me fit Carlisle.

« Je voulais m’excuser d’avoir raté notre rdv ! » fis-je doucement en baissant la tête.

« Oh, ce n’est pas grave ! Tu veux qu’on en parle maintenant ? »

Je sortais mon porte feuille et mon dossier dont j’avais enlevé certaine chose récente.

« Oui, si cela ne vous dérange pas ! C’est combien la visite ? » En sortant quelques billets.

« Bella, tu veux me vexer ? » un sourcil levé. Je baissais les yeux. Il était pénible lui aussi.

 

 « Docteur ! » Soufflais-je « Êtes-vous vraiment intègre ! Je veux dire, vous avez prêté serment, n’est ce pas ? » Il me regardait et je ne lui laissais pas le temps de répondre.

« Vous savez ? Je jure par Apollon médecin, par Asclépias, par Hygie et Panacée que tous les Dieux et toutes les déesses… » Il me coupa.

« Les prenant à témoin, ce serment et ce contrat de considérer d’abord mes propres...Mais comment connais-tu ce serment Bella ? » me répondit ‘il surprit.

 

« Euh, je l’ai lu quelque part ! Je crois ! » N’osant pas trop répondre.

« Bella, j’ai besoin d’en savoir plus sur toi ? Bien sûr que je garde le secret professionnel mais tu parles très peu de toi et tu m’as l’air très intelligente donc, tu peux vraiment me parler de tout? » Comment devais-je annoncer toute cette merde ! J’avais déjà la nausée.

 

Je lui présentais mon dossier en me mordant fortement la lèvre. Un peu trop fort.

Il regarda mon dossier et au bout de quelques minutes il releva les yeux vers moi en fronçant les sourcils. « Pourquoi n’es-tu pas venu me voir à ton arrivée, Bella ? »

« J’avais mes médicaments comme Charlie vous l’a dit ! » fis-je en baissant les yeux.

Il me tendit un mouchoir en papier. Mais je ne pleurais pas ? Qu’est ce qu’il me faisait !

« Tu saignes à la lèvre ! » en montrant ses lèvres de son index.

Merde ! Ca commençait bien ! Il fallait que je me calme. J’inspirais à fond.

 

« Alors en premier, je dois vous dire que j’ai une déficience…d’inhibition latente ! »

Et déjà, je voulais m’enfuir très loin. Je n’aurais pas dut lui parler. Je n’aurais pas dut venir !

« Ok, ton père est au courant ? Que je ne fasse pas de boulette ! » En souriant légèrement.

« Je ne pense pas que maman lui ait dit, en tous les cas, pas moi, encore moins pour mon dos! »

 

« Ok, et donc ton dos, c’est dut à quoi ? »

Que pouvais-je dire ! J’optais pour la chute, vu que j’avais dit cela aux enfants Cullen. Ca paraissait plausible et de toute façon, il ne savait pas ce que Nicolas avait comme équipements.

« Une chute sur un agrès ! » En baissant ma tête, tirant sur mes manches

« Je vois que tu es une grande prématurée, de combien de mois ?» Il regarda de nouveau mon dossier.

« Heu, Je suis née avant 6 mois, 5 mois et 2 semaines et je suis morte une fois ! A ma naissance ! Charlie est au courant, bien sur ! » Fis-je doucement. Ca pour le coup, c’était bien vraie !

« Hé donc en plus des micros fractures, le canal rétréci au lombaire est de naissance ? » Rajouta-t-il.

« Oui ! » soufflais-je.

 

 

Du temps des arrières grands-parents, les anciens racontaient qu’un prématuré en dessous de 7, 8 mois ne pouvaient survivre et donc qu’un mort-né comme ils l’appelaient n’avaient pas du tout d’étoile n’ayant pas d’âmes alors que celle-ci était un symbole de protection, de paix. Alors j’avais fait des recherches sur les étoiles et la lune, c’est pour cela que je m’étais fait faire un tatouage à l’intérieur de l’avant bras droit avec un quart de lune de chaque coté d’une pleine lune, rattaché par une ligne très fine. En mythologie, la lune représente le cycle de la vie, la renaissance. Le faite de renaître à sa propre mort était pour moi un signe.

 

J’avais fait ce tatouage pensant que peut-être un jour mon grand-père renaîtrait paisiblement quelque part dans le monde même si c’était loin de moi.

En même temps, j’avais fait un tatouage étoile au niveau de la nuque qui symbolisait non seulement un événement mais aussi une solution à une difficulté. Cela signifiait en Celte, la liberté et l’inspiration, ce dont j’avais besoin n’ayant pas de bonne étoile.

 

 

« Et bien, tu ne fais pas les choses à moitié ! Mais pour ton dos… » Il me regarda dans les yeux. « Ca fait beaucoup pour une chute d’un simple agrès ! » Dieu, n’insiste pas Doc !

« Sur des barres asymétrique, non ! » répondis-je doucement.

« Ok, mais tu sais que cela va empirer ? Tu comptes te faire opérer quand? »

« Écoutez Carlisle, je…je suis au courant de tout ça puisque j’ai vu plusieurs neurochirurgiens en Floride ! Je sais ce qu’il en est, je sais ce qu’il va s’en suivre. J’arrive à m’accommoder a cela pour le moment avec de la morphine ! Je sais qu’au bout d’un moment je devrais arrêter de danser ! Mais c’est moi qui déciderais quand je devrais arrêter ! C’est mon corps et je me connais, je connais les douleurs et mes limites ! Et je verrais le moment voulut pour être opérée ! » Et j’avais fait comme Alice sans reprendre ma respiration.

 

Et il était hors de question que je lui dise que je ne me ferais pas opérer car il m’aurait demandé pourquoi. Et je ne pouvais pas lui dire que non seulement je payais les réparations de la Mustang mais qu’en plus je remboursais 4 000$ à ma mère, que je n’aurais pas d’argent de coté pour payer une importante opération chirurgicale ou même des études supérieures..

Je n’avais plus aucuns choix. Le choix avait été fait avant même que je ne débarque à Forks.

 

« Ok, c’est toi qui gère ! Mais quand est ‘il de la paralysie, tu as déjà des signes ? Genre insensibilité au niveau des pieds, des jambes, sciatique ?»

Pourquoi me parler de cela maintenant ! Je n’avais qu’un mollet ou je n’avais plus de sensation au niveau de ma peau, je n’étais pas paralysée ! Je pouvais marcher, danser.

 

« Pour le moment, je n’ai rien Carlisle, juste des douleurs aux lombaires ! Et s’il y a un changement, je vous le dirais ! »

« D’accord ! » souffla t’il longuement « Tu as reçu une infiltration, c’est ca? »

« Oui, on m’a expliqué que cela comblait les micros fractures des vertèbres ».

« Bon, je te prescris de la morphine et on refera des examens dans deux ou trois mois sauf s’il y a un changement avant ! »

« Oui, on verra ! » Pensant qu’il oublierait, on peut toujours rêver !

 

« Ok ! Et je te donne un cachet pour ce soir si tu en as besoin ! J’irais à la pharmacie de la clinique pour te ramener le traitement d’un mois ! Ce sera plus pratique pour toi ! »

« Merci Carlisle ! »

 

Nous partîmes tous les deux à l’étage et Esmée avait préparé le repas.

J’hésitais un moment, je finis par m’assoir à la table de salle à manger avec les Cullen qui avait tous l’air de s’inquièter pour moi et à ce moment là, je me sentais un peu intrusive envers leur vie de famille. Je leur avais créé du souci et je m’en voulais énormément. Pourquoi il devait m’arriver des catastrophes ou pourquoi on s’inquiétait pour moi. Ce n’était pas normal.

Les Cullen n’étaient pas normal ! Je pense.

Je veux dire, il ne me devait rien ! On n’était pas parent, juste ami !

Pourquoi s’inquiéter au point de venir chez moi et m’emmener chez eux ! Peut-être Charlie !

 

En plus, j’étais sûr que Carlisle se posait des questions sur ce qu’il m’était vraiment arrivé.

Le Doc n’était pas bête, juste asses intelligent pour ne pas insister mais jusque quand.

 

. Une fois fini de manger, j’allais aussitôt prendre une douche dans la chambre. Je sortais par la baie vitrée de la chambre et mettais mes écouteurs pour des échauffements.

J’étais soulagée, au moins le Doc ne connaissait qu’une partie du problème. Je ne voulais pas tout lui raconter car il aurait peut-être pris peur et en aurait surement parlé à Charlie. Et je suis certaine que Charlie serait parti en Floride sans même réfléchir, la sirène à fond avec une carabine dans chaque main. Sauf qu’il se serait heurté à un escadron de soldat dit les 49 d’une certaine organisation secrète, armé jusqu’aux dents. Donc aucun moyen que je dise quoique ce soit.

 

Et de toute manière, c’est moi qui gérais ma vie ! Personne d’autre !

Je repartais dans mon dressing avec option ! Je m’écroulais de fatigue !






pardon pour les fautes et ne pas être une littéraire!!

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