Née sans étoiles

Chapitre 35 : Soirée et nuit avec Edward

3736 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 13/05/2019 12:18

        Edward

 

Pourquoi Bella avait dansé sur ce putain de morceau ! Il n’y avait pas plus sexy qu’elle à ce moment et je l’avais embrassé.

 

Je repensais à notre discussion avec Bella. J’avais était un pauvre crétin en cherchant à expliquer mon geste envers elle. J’en rêvais depuis tellement longtemps que je m’étais littéralement jeté sur ses lèvres. Elle devait être tellement surprise et en colère qu’elle ne comprenait pas ce que j’essayais tant bien que mal de lui expliquer, comme la fois de la piscine avec l’échelle. J’aurais dut attendre qu’elle se calme. Je n’étais qu’un pauvre connard et la, elle avait un couteau à la main et elle devait être encore en colère vu comment elle le manipulait.

Elle allait finir par se blesser. Elle jeta le couteau en l’air et un frisson parcourut ma colonne vertébrale.

 

« Oh, putain ! C’est pas vrai ! » fis je en regardant à travers la fenêtre.

« Quoi ? » me fit Alice en se plaçant sur le fauteuil à coté de moi.

« Bella a un couteau à la main ! Satané Ninja !»  Répondis-je en regardant de nouveau Bella dos à nous.

« Normale, elle cuisine Edward ! » Alice regardait par la fenêtre en souriant.

« Pas sur qu’un couteau et une Bella énervée fassent bon ménage » je soupirais. Je savais pertinemment que toute ma famille et le reste du monde m’avait vu l’embrasser.

Ma jumelle pouffa.

 

 « Quoi ? » grognais-je en l’a regardant.

« Elle ne doit plus être énervée puisqu’elle a ses écouteurs aux oreilles et qu’elle danse ! »

Je soufflais en glissant sur le siège. Ma mère arriva a ce moment la.

« Qu’est ce qu’il y a doudou ! » Je levais les yeux au ciel. Pourquoi m’appeler encore doudou à 17 ans passé ! ca me gavait !

« J’ai merdé avec Bella ! Elle m’en veut, vu comment elle joue du couteau ! » Soufflais-je, dépité.

 

Je regardais de nouveau par la vitre. Je frissonnais et fermais les yeux. Bon sang, elle allait se tuer en lançant ce putain de couteau en tournant sur elle-même !

« Edward, chérie ! Qu’est ce que tu lui as dit ? » Esmée me regardait tendrement. Je me calmais.

« Rien, juste qu’elle m’a chauffé en dansant ! C’est même pas ce que je voulais dire ! Maintenant elle pense que j’ai voulut l’humilier ! C’était pas mon intention ! » M’énervais-je.

« Ok, écoute chéri ! Attend un peu qu’elle se calme ou attend demain, mais il faudra que tu lui parles ! Que tu lui expliques et que tu t’excuses ! D’accord ? » Me répondit Esmée. Je soufflais un bien sur !

 

Je regardais de nouveau par la fenêtre du bus, elle avait une jambe levée en touillant sa casserole !

Je soupirais, frustré ! Je voulais juste la serrer dans mes bras pour l’apaiser, la calmer !

Elle relança le couteau. Et bon sang, cette fille allait me rendre dingue ! J’allais finir par faire une syncope à force 

 

 

Bella

 

Esmée descendit du bus pour me rejoindre. J’enlevais mes écouteurs.

          « Ma petite puce, tu vas bien ? » . Me sourie-t-elle.

          « Ca va Esmée, désolée pour le spectacle ! » je baissais la tête.

« Ne soit pas désolée, j’ai trouvé cela mignon ! » Elle me prit le couteau des mains. Hein ?

« Ce n’était pas prévu ! » Je grimaçais. Qu’est ce qu’elle croyait !

 

 

 

 

 

 On fini par manger et nous montions au salon. Les parents restaient au rée de chaussée.

Je m’arrêtais en m’asseyant sur mon lit pour compter l’argent. 600$, sérieux ! J’étais persuadée que tout les Cullen remettaient de l’argent. Je soufflais lourdement en secouant la tête.

S’il savait ou l’argent allait ! A ma chère mère !

       On s’installait devant la TV pour visionner un film. Je voyais Edward me fixer et je n’avais pas  envie de lui parler maintenant, j’étais fatiguée. Je finis par mettre les écouteurs et m’endormais en peu de temps.

 

Je me réveillais sur un tas soulevant ma tête et ma poitrine avec un parfum divin dont je connaissais. J’avais la joue écrasée et une bouche en cul de poule ! Mais bon, j’avais bien dormie et sans cauchemars. J’étais bien et sentais le parfum d’Edward….Edward ? J’ouvris mes yeux en grands !

La tête d’Edward relevé me regardait. Et je sursautais violemment me cognant la tête au plafond, enfin au lit supérieur qui me paraissait plus bas qu’à l’origine. Il soupira en attirant ma nuque vers lui. C’était quoi son problème ! Pourquoi venir dans mon lit ? Pervers !

 

« Qu’est ce que tu fous dans mon lit ! » soufflais-je.

Il soupira en levant les yeux au ciel. « Bella, ce n’est pas ton lit ! Je n’y suis pour rien ! » Souffla t’il. Je m’empourprais instantanément.

« Merde ! » Je me relevais de nouveau violemment en me cognant la tête une deuxième fois  au choc de cette révélation ! Comment avais-je atterri dans son lit.

« Putain ! » Entendis-je grogner Edward qui m’agrippa de nouveau la nuque. Il écrasa ma joue sur son torse.

« Est-ce qu’un jour tu vas arrêter de te cogner la tête? » Il était énervé. Mon Dieu !

« Pas bouger ! » Finit ‘il par grogner, me maintenant la tête contre lui. Je me figeais ! Ne comprenant rien. J’essayais de parler avec la bouche à moitié écrasée sur son torse.

« Comment je suis arrivée sur ton lit ? » Demandais-je doucement.

« Je n’en sais rien, je me suis réveillé, tu étais sur moi ! En attendant, tu n’as pas fait de cauchemars !» Me répondit ‘il.

 

Je levais doucement la tête « Mais qu’elle heure est ‘il ? » Complètement perdue, les joues en feu.

 

« Il doit être 6H00, je crois ! » Il me fit un sourire en coin.

« Tu trouves la situation marrante ? » J’étais vraiment gênée.

« Je ne dirais pas marrante mais attendrissante. Tu fais comme ma jumelle quand on était petit ! Elle a fait pas mal de cauchemars après le décès de nos parents ! » M’expliqua t’il.

« Je suis vraiment désolée pour Alice : » Je lui fis une grimace et avançais ma tête vers le couloir.

« Mais qu’est ce que tu fais ? » me dit ‘il anxieux.

« Je vais prendre une douche avant que Carlisle ne démarre le bus ! » fis-je en passant au dessus de lui, la tête en dehors du lit.

« Tu comptes descendre du lit la tête la première ? Bella, tu vas tomber ! » Me fit t’il.

« C’est la même chose que les barres asymétriques ! » Je lui souris, il me recula doucement.

« On peut parler Bella, à propos d’hier ! » me proposa t’il. Je fermais les yeux faisant oui et me remis sur son torse pour l’écouter.

 

« Je voulais tout d’abord m’excuser, pas du baisé mais de ce que j’ai dit. Je me suis mal exprimé en faite ! » me fit ‘il. J’écarquillais de grands yeux sans comprendre. Il soupira et reprit.

« Bella, tu es quelqu’un de très attirante et de surprenante ! Certes, tu m’as énervé au début avec le jardin, la course de moto mais tu es douée, très douée en beaucoup de points ! Est-ce qu’au moins tu peux comprendre mon intérêt, mon attirance pour toi ? » Souffla t’il.

Je faillis sursauter à nouveau au choc que je puisse attirer Edward. Impossible ! Pas la belle gueule !

 

« Ou est la caméra ? » fis-je complètement perdue. Il rit doucement. Je le fixais virant au rouge.

« Edward, je ne comprends pas. Je…je veux dire, je n’ai rien d’intéressant ? Je ne suis pas top modèle ou je ne sais quoi ! » Lui répondis-je en forçant un pauvre grimace.

« T’as vraiment un problème avec les top modèles et ton estime de soi ! » Il était énervé. Ben tiens !

« J’ai vraiment du mal à te croire ? Est-ce que tu as vu le troupeau de belles filles qui te suivent tous les jours au lycée ? Tu as le choix ! » La c’est moi qui m’énervais.

« Si tu veux parler de Lauren et Jessica, elles me donnent juste envie de vomir ! Est-ce que t’as vu le pot de peinture qu’elles ont sur la gueule, sans parler de leur fringue trop provoquant ! » Il reprit en passant une main dans ses cheveux.

« C’est à cause d’elle que tu m’évites depuis la soirée ? » demanda t’il.

« Disons qu’elles m’ont prévenu et je ne veux interférer en rien ! » Je baissais les yeux.

« Quelles bandes de connasses ! Elles vont m’entendre vendredi !  » Toujours énervé.

« Non, ne fait pas d’histoire Edward, ca va empirer les choses ! » le suppliant.

« Bella, arrête de te préoccuper des autres et pense à toi, bordel ! » Je fermais les yeux.

S’il savait ce qu’était et allait être ma vie, il se serait sauvé en courant.

« Tu es tellement belle, attirante, mystérieuse ! Et te rends-tu compte du bien et du bonheur que tu apportes aux gens quand tu danses ? » Il soupira.

 

« ca ne durera pas, la danse et tout, ici à Forks! Je suis juste une chimère éphémère de quelques mois ! » lui répondis-je. Il soupira longuement. Mais il ne pouvait comprendre ma vie future.

« Et même si cela ne devait pas durer, il faut quand même que tu penses à toi, ton avenir ? » Il reprit.

« Bella, je ne veux pas te blesser ou te faire souffrir mais la situation de ton oncle est particulière ! Il se peut qu’il ne revienne jamais et tu ne peux pas attendre indéfiniment sans gérer ton avenir ? »

Je fermais les yeux à cette révélation avec une envie furieuse de pleurer. Il caressa ma tête.

« Je sais ! » Répondis-je doucement. « Mais j’ai des animaux et le dojo qui m’attendent ! »

« Tu pourrais reporter de quelques années et aller à la fac à Seattle avec nous ? » Il était sérieux ?

Je me redressais les mains sur son torse, serrant mes poings dans son tee-shirt.

Je ne voulais pas continuer sur cette lancée. « Je n’y ais pas encore réfléchi ! » répondis-je.

« T’as cherché pour le stage d’orientation de la fac ? » me demanda t’il.

Bon sang, je ne comptais même pas faire se stage puisque je ne voulais pas rendre les papiers pour l’inscription aux facs.

« Je n’ai pas eut le temps ! je verrais ca la semaine prochaine !» soufflais-je doucement.

 

Il attrapa à nouveau ma nuque et déposa doucement ses lèvres sur les miennes.

Je fermais les yeux et les millions de bulles dans mon cerveau explosèrent. Je soupirais.

Il me relâcha. « Bella, je veux juste être prés de toi, avec toi ! Sors avec moi ! ». Il m’embrassa de nouveau. Mes dernières barrières cédèrent ! J’avais juste dans mon cerveau un mur ou chaque brique tombait à la suite ! C’était quoi ce bordel !! Je finis par agripper ses cheveux pour amplifier notre baisé. J’étais foutue !

 

Je me séparais doucement de lui pour me reconnecter à la réalité. Il me souriait. Je soupirais.

« Si on sort ensemble, tu es conscient que je peux partir chez Nicolas du jour au lendemain ? »

Je voulais qu’il comprenne que cela s’arrêterait un jour même si ce n’était pas à cause de Nicolas.

« On a encore un peu de temps ! On peut vivre au jour le jour ! » Me dit ‘il doucement. Je souriais.

« Je vais prendre une douche ! » J’avançais ma tête au devant du lit.

« Tu comptes vraiment descendre la tête la première ? » me fit ‘il en arquant un sourcil/

 

Je lui fis un clin d’œil et avançais mon corps pour attraper le dessous du lit avec mes mains.

Je fis une espèce de roulade et dépliais mes jambes pour les poser au sol. Edward ria doucement.

Je me soulevais sur la pointe des pieds vers lui pour lui faire un petit bisou furtif sur ses lèvres comme pour accepter notre relation. Je n’en revenais pas moi-même de faire cela comme si c’était surnaturel. Moi en couple avec ma belle gueule d’ange ! Je secouais la tête. Dieu du ciel !

 

Au lieu de prendre les escaliers, je me dirigeais tout droit et m’arrêtais à la paroi de la salle de bain en frappant doucement mon front contre celle-ci. Pourquoi avais-je accepté. Je refrappais mon front comme pour remettre mon cerveau à l’endroit. Ca allait jazzer au lycée ! Bon sang ! Mais c’est vrai qu’il était affreusement attirant et ses yeux étaient hypnotisant. Je secouais la tête.

Je finis par descendre et aller prendre un café avant la douche. Carlisle arriva à ce moment.

« Bonjour Bella, toi, tu as bien dormi ! » il me souriait.

 

« Oui, pas de cauchemars, Carlisle ! Ca repose tout le monde ! » Je souriais aussi, timidement.

« Je te laisse prendre la douche le temps de boire le café ! » Me fit’il en se versant un tasse de café.

Je partais prendre la douche. Une fois prête, je rejoignais Carlisle dans l’habitacle conducteur.

 

Il me regardait. Je levais un sourcil.

« Tu sais ou on va pour les deux derniers jours ? » me demanda t’il. Je lui fis non de la tête.

« On va aux 7 lacs, il y a des sources thermales et pleins d’autres choses ! » me répondit ‘il.

Et la, je commençais à paniquer. Source pour moi était synonyme d’eau, de profondeur, de noyade.

Carlisle dut voir mon anxiété. « Bella, les enfants m’ont dit que tu ne savais pas nager ! Ne t’inquiètes pas, il y a des petits bassins ou tu as pieds. Tu as juste à t’assoir et profiter de l’eau chaude naturelle ! » Je repris ma respiration. Il démarra le bus, je souris au son du moteur.

 

Il reprit la route 101, en direction du camping Falrholm, le dépassa. Et la, le paysage était magnifique ! De la verdure et foret partout sans en brin de neige. On descendait plus au Sud.

« Je crois qu’on nous suit ! » me fit Carlisle en souriant. Je pouffais en regardant dans le rétroviseur extérieur, je vis plusieurs voitures que j’avais vu avant aux anciens campings. Je blanchie ! Carlisle finit par poser une main sur la mienne pour attirer mon attention « Tu as des fans Bella ! » me souffla t’il en riant. Je levais les yeux au ciel en mettant les écouteurs dans mes oreilles, j’enclenchais la musique en fermant les yeux.

Des Fans ! N’importe quoi ?

 

Je m’étais surement assoupis et rouvrais les yeux difficilement à la lueur du soleil.

Je sentis Alice prêt de moi, Je rouvrais les yeux en regardant à travers la vitre.

C’était un paysage somptueux, extraordinaire, hors du commun ! Et cette verdure !

Plusieurs lacs surplombé d’immenses montagnes rocheuses à moitié enneigées !

 Carlisle finit par se garer à notre emplacement.

 

On finit par se lever et aller au salon,-salle à manger. Tout le monde déjeunait. Je soupirais.

Pas de mauvaise blague sur la veille !! J’allais me refaire un café quand j’entendis Charlie.

« Vous formez un très beau couple, enfin la centaine de personne et moi étions du même avis hier, je suis ravie que ce soit Edward que tu ais choisi ma puce ! ». Il leva son pouce avec un grand sourire ainsi que Bill.

 

Je fermais les yeux en soufflant. J’allais dégommer Charlie, sûr ! Je sentis les bras d’Edward encercler ma taille, soufflant dans ma nuque. Je soupirais de bien être en sentant son odeur !

Mon Dieu, est-ce possible de vivre cela ? Je serrais ses mains sur moi comme pour réaliser !

Je finis par lever mes mains, lui montrant mes écourter « Je vais faire des assouplissements pendant la douche des adultes ! » Je voulais juste prendre du recul !

 

J’allais prés d’un ban pour faire mes étirements et échauffements, j’enclenchais la musique.

Le faite d’être en vacances et d’avoir mon traitement de morphine pour le dos était apparemment bénéfique contre toutes douleurs aux lombaires, ce qui était une très bonne chose pour moi.

Je m’arrêtais au bout de 40 minutes voyant tout le monde sortir du bus et Charlie prendre les fusils à pompe, je souriais doucement en m’approchant d’eux. Charlie me tendit mon arme, je la prenais avec le silencieux, un pot de billes à plombs et une recharge de gaz.

 

Nous partîmes tous en bord de foret. Apparemment tout le monde voulait tirer sur une cible.

Par contre, je ne pouvais pas prêter ma Gamo coyotte qui était réglé pour moi.

Ce qui fait que j’allais devoir me mesurer contre tout le monde. Je souris à cette idée.

 

« Je commence ! » S’élança Carlisle en me faisant un clin d’œil. Je lui souris. Je ne pense pas qu’il ait eut le meilleur des professeurs de tir comme moi avec Nicolas. Son tatouage de Sniper, un cœur dans une cible, le prouvant, à ses débuts dans les marins en tant que meilleur tireur d’élite pour finir à l’armée dans une unité spéciale. Mon tonton était doué en beaucoup de domaines.

Sauf pour l’évasion, je présume !

 

Charlie partit mettre les cibles sur les arbres. Je vérifiais mon fusil en attendant qu’il revienne.

On se plaça cote à cote avec Carlisle. Charlie précisa cette fois ci le centre de la cible et je levais les yeux au ciel. Il me prenait pour qui ? Il nous donna le top départ.

 

Comme la dernière fois, Je visais, retenais ma respiration et tirais puis je reculais de deux, trois pas.

Au bout de trois tirs, je vis Carlisle se retourner pour voir ou j’étais avec la même tête que Charlie avait eut, décontenancé. Je pouffais et lui fis signe de continuer. J’en étais à 7 tirs quand Carlisle en était lui, à 5, il était concentré le Doc !

 

Et comme je ne voulais pas que l’on pense que je n’avais pas mis toutes les balles au centre parce qu’il n’y aurait que deux ou trois trous distincts, je m’étais amusée à faire comme une petite fleure au centre, histoire que Charlie compte bien dix impacts. Je finis par attendre les derniers tirs de Carlisle.

Charlie alla chercher les cibles et revint en levant les yeux au ciel. C’est pas vrai, il est sérieux ?

Il nota les prénoms sur les cibles et le numéro de tour de tir.

« Bella, c’est quoi ca ? » me fit ‘il un sourcil levé. Je soupirais.

 

« C’est pour que tu puisses compter le nombre de tirs ! » répondis-je doucement.

Il secoua la tête, je me retenais de rire. Il nota dix sur mon carton et six sur celui de Carlisle qui était déjà pas si mal..

« Tu es vraiment douée Bella ! C’est ton oncle qui t’a apprit ? » Me demanda Carlisle.

« Euh, oui ! Ca fait 6 ans que j’ai appris avec Nicolas. Je…Il voulait m’aérer l’esprit alors que je m’occupais de mon grand-père. C’était au début de sa maladie ! » Répondis-je en baissant la tête.

« Je vois, il a eut raison ! Je suis vraiment admiratif ! Tu a un fan Bella ! » me sourit Carlisle.

 Un fan !! N’importe quoi ! J’entendais ce mot trop souvent ses derniers temps

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