Illusion
Le docteur Cullen me laissait toujours sans voix, il était si beau, sa peau paraissait lisse et dur à la fois, il était pâle comme s’il manquait de vitamines, il doit être malade, le cancer surement, pensai-je
- Bonjour docteur, dis-je toute triste en pensant qu’il était malade et qu’il n’exercerait bientôt plus.
Il continua de me sourire, il souriait toujours à ses patients. C’est un geste chaleureux et sa met en confiance, on doit enseigner sa en fac de médecine.
- Alors, comment vas-tu Phoebe ? me demanda t-il en se dirigeant vers son bureau.
- Ecoutez, sa va plutôt bien, en effet à se propos j’aurai une question à vous …
Je n’eu pas le temps de finir ma phrase, que mes parents me coupèrent la parole afin de poser LEURS questions au docteur. Ils faisaient sa constamment, mais je ne relevé pas, mes parents s’inquiétaient énormément pour moi.
- Docteur, commença mon père, nous remarquons que Phoebe se sent de mieux en mieux et nous ne pensons pas que la drogué est une bonne idée.
J’oubliai mes parents sont écolo, ils sont sure qu’a l’hôpital on nous donne de la cocaïne en cachet, j’ai beau leur dire que si c’était le cas y aurait énormément d’overdoses sur terre, je fini par me faire assommer par des explications et des exemples sans fondements.
- Voyons monsieur Corns, Phoebe n’est pas drogué, c’est une jeune fille en pleine forme avec un petit défaut génétique et elle prend ses médicaments pour ne pas que se défaut grandisse et lui gâche l’existence
Le docteur se leva et se dirigea vers moi.
- Phoebe, peux tu t’allonger sur la table que je t’occulte ?
- Bien sur, dis je avec une nonchalance évidente
Je senti la fraicheur du stéthoscope sur ma poitrine et mon dos, puis ce fut au tour du tensiomètre sur mon bras, et enfin quelques test de réflexes. L’examen s’arrêta là, le médecin retourna son bureau et dit :
- C’est parfait tout sa, Phoebe tu devras continuer tes médicaments encore un peu cependant, quel âge as-tu ? demanda t-il, le nez penché sur l’ordonnance qu’il remplissait
- J’ai 16 ans, dis-je vainement
- Très bien, alors nous nous reverrons en Août !
- Oui, bien sur, je fêterai mes 17 ans avec vous !
Je le vis tressaillais, ce chiffre avait l’air de le mettre mal à l’aise. Je rectifiai de suite :
- Ou peut être pas.
Il me sourit et nous dirigeâmes tous vers la sortie.
- Au revoir docteur, dis-je en lui tendant la main
- Au revoir Phoebe, dit-il après un temps d’hésitation
Il serra ma main et je senti sa peau gelée, je retirai ma main immédiatement, la surprise se lisait sur mon visage.