L'île de Dana

Chapitre 10 : Voyage

1280 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 16/02/2022 19:20

On est le samedi 25 juin, à bord d’un navire reconstituer selon le modèle de Vagniar I. Salvator à eu l’idée de reconstituer des objets de nos anciens voir de les retrouver pour crée un musée à l’aide de feu mère Camille Darling Beckers. Ce bateau fût utiliser pour nos voyages au pays depuis mes 9 ans. Il est de couleur sombre aux voiles drapés de notre étendard et de ses deux devises : Un U blanc devant une myriade d’étoiles blanches et aux extrémités droite et gauche opposer deux étoiles jaunes. Les jeux sont fait et infinis est le savoir sont apposer au centre en haut de la lettre.

D’une longueur de 40 m, le bateau possède les équipements modernes avec de vrais couchettes, un salon et une cuisine. La manœuvre reste à l’ancienne mais plus maniable.


C’est mon oncle qui a fait le voyage aller-retour pour venir nous chercher. On est sur le pont depuis 1h, lui et moi. Les autres sont à l’intérieur et c’est Luiz qui navigue. Le vent est peu présent et on sera à bon port dans 3h. Salvator est fort content d’annoncer que les villageois, ceux ayant survécût au drame, attendent avec impatience le retour de la reine. Je déglutie et annonce :


Moi : Mais j’ai dissous le royaume et je ne veux plus ce rôle-là ! Pourquoi ne pas avoir contredit leurs dire ?


Salvator : Ecoute moi, il t’admire car tu as demandé à Térésa de sauver pas mal de personne et c’est aussi une part de son oncle Michel mais tout le mérite reviens à toi.


Moi : Pas mal. Pas mal. Le peuple était déjà réduit à une maigre portion. 30 morts sur 40 je n’appelle pas cela une réussite.

Salvator : Bon d’accord, mais relativise. En 8 ans, il y a des naissances et maintenant il y a 15 personnes. De plus, cette petite communauté reviens au mode de vie de nos ancêtres. A l’époque de l’explorateur, il y a eu une 40 habitants selon les sources. Le roi et ses matelots, 30 personnes. Puis cela à augmenter rapidement, le nouvel eldorado.

Des petites villes par ci par là. Après la guerre Raniar, il reste que 135 000 personnes répartis sur le territoire. Cependant le règne de Séraphina à provoquer une exode massive vers d’autres pays.


Moi : Et donc ? Tu veux que fasse remonter ma population ?


Salvator : Tu as les capacités de convaincre les gens de revenir sur le territoire. On as des réseaux téléphoniques et électriques, une biodiversité incroyable. La nature jongle entre la jungle, forêt et montagne. Nos villages peuvent être reconstitués avec les structures adaptés. On garde notre culture, religion, nos marchés, nos traditions, notre éducation tout en modernisant la dite éducation et créant des magasins. On peut faire venir des entreprises ici avec une charte de qualités et respect de la nature via ton agence. Tu garantie aussi la sécurité et la justice. Tu voie tu peux faire ce que tu veux.


Moi : Hum… Je dois déjà retrouver nos trésors et ce fichu livre.


Salvator : Donc tu ne refuses pas ma proposition ?

*

Moi : On verra bien. Je vais rentrer, j’ai le cœur qui flanche là.


Il s’approcha de moi, anxieux. Je le rassura d’un geste. J’apprécie cette homme aux cheveux châtains-brun. Il me ressemble un peu. On partage des mimiques. Dire que dès mes 10 ans il ne m’a pas cru qu’il avait un frère. En effet parfois, pour me faire du mal, Vincente mettait des lentilles et une perruque pour ressembler à son frère. Durant un an, j’ai douter de l’intention de Salv. C’est en me déguisant pour le cirque ou le théâtre que j’ai remarqué la supercherie. Les costumes sont reconnaissables et l’année suivante j’ai fait semblant de croire ses mots : « Ton oncle re veux le pouvoir et te fais du mal ! Je sens son odeur sur toi. Il dit t’aimer et regarde comment tu es. Tu as peur de lui. Cela se sent. Ecoute-moi c’est moi que tu dois épouser, ton ami, ton confident. Moi je t’aime et je te respecte. Ma reine je te laisserais ta place. Mon diamant. »


Quand je repense à cette ruse pour me détruire, je tombe. Mon cœur s’essouffle. Ma mère est proche de moi et me rassure. Je me relève et part m’allonger.


Dans le creux des vagues, mes noirs idées comme de l’encre de calamar entache d’y voir plus clair. Mon autre crabe d’oncle, comme un ongle incarné à eu d’autres moyens de m’atteindre. Je me rappelle lors d’un voyage retour à mes 10 ans, après l’an dernier où il m’a de nouveau empaler et graver son nom ; je suis aller le voir pour refuser de continuer à être victime et de l’épouser.

Il m’a prise pour me forcer à me déshabiller dans une salle spéciale. J’ai refusée, il m’a frapper à ma lèvre. Il m’a remis debout avec une telle haine, un regard carnassier. Il réussit à m’attacher et à commencer à me torturer.


« Tu condamne tes amis et ta famille. Tu es égoïste. Je te fais grâce de leurs morts prochaine. Mais tu sera punis pour ta désobéissance. »

Il a brancher un mini tasser sur mes lèvres basses. J’ai hurler que je lui permets de m’apprendre le sexe après sa question forcer. Ensuite il m’a fouetter et pénétrer. Après j’ai continué ma formation de prostituée. J’ai valu très cher. Je gagnais des sous pour me droguer. J’en ai garder pour mes projets au centre.


Je ria d’un rire jaune entre mes larmes seule dans la couchette. J’ai quand même eu de la chance de survivre et d’avoir eu plus de violence pendant deux ans après. Cependant j’appréhende d’arriver au pays. Recroiser dans mes pérégrinations ses lieux maudits et surtout l’effigie d’Axel. Au côté de sa statue, les cendres des fusillés. Pour me redonner courage, je chantonne mes deux dernières chansons. Par ma douce voix, j’attire Roberto. Il essuie mes larmes et serre ma main

.

Roberto : C’est finis mon cœur, c’est finis. Tu as traverser les tempêtes et tu t’en sors avec brio. La preuve même les médecins te disent que tu es exceptionnel.


Mes lèvres s’incurva sous mes gouttelettes. Je gloussa également.


Moi : Oui j’ai du bon sang. Normalement, je devrais avoir un système immunitaire affaiblie. Merci mon amour d’être là. Au fait, j’ai réfléchie à mon étiquette de reine. Je veux bien le reprendre mais il me faut mon roi. On se prépare un mariage le 13 juin ?


Il fût surpris mais accepta la proposition. En échange, il m’embarqua jouer avec la bande au Monopoly. En regardant l’horizon, je m’aperçue traumatisée et frêle y a 8 ans. J’étais née reine et aujourd’hui je me dois de croître en tant que tel. Oui j’ai toujours souhaiter une couronne.

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