L'île de Dana

Chapitre 11 : Message

1290 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 16/02/2022 23:12

L’accueil sur l’archipel fût chaleureux. Les danaens nous mirent un collier de perles blanches et nous emmena dans leur village : Maniop qui veux dire renouveau en Daniar. Le village est à 30 min de la mer enclavé à l’ouest. Il remplace l’ancien village Piki. Les maisons sont troglodytes.

Les villageois nous réservent aussi un spectacle traditionnel à base de tambours et de masques fait en plumes et noix de coco. Je retrouve mes souvenirs où je dansa avec Térésa, mon oncle et Luiz. Ma mère partie à l’âge de 9 ans aussi. On était fasciner par cette magie. Le lendemain, c’est nous, le groupe Univers qui avec quelques guitares chantonna quelque uns de nos sons même les derniers.


Le surlendemain, les hommes de mon entourage partirent en expédition avec la clé ramener lors de la première fois, prise dans mes affaires. En effet j’ai garder la clé. J’avais préférée laisser le recueil dans son écrin.


Je suis déçue de pas pouvoir descendre en rappel. Si on m’accorde le voyage, on me refuse de prendre des risques. La semaine suivante, les garçons aider des hommes du village, revinrent avec des sacs à dos pleins de bijoux, pièces d’ors, armes et objets divers. Le lieu est à 2 jours de voyages. Mais ils ont dormi sur place car ils se sont perdus 3 jours. Heureusement, ils eurent de quoi manger en chassant et de quoi boire.

Pour ramener tous les magots, il a fallu faire trois voyages. Pendant que nous les femmes répertorient les objets, moi je relisais avec précaution le manuscrit.


Je l’étudia avec attention pour la première fois. Je découvre que Séraphina a à moitié entendu une voix. Elle raconte qu’elle a prétexter une aide extérieur pour ses méfaits. Ensuite, elle a broder à la période de ma naissance comme en témoigne la date, la légende en lien avec la prophétie.


Elle a mis l’idée de Filéna et des hommes Vincente et Michel. Pour éviter de mettre mon nom elle m’a nommer Abigaël. Cette entité apprend que son sang est précieux et convoité par son oncle. Ce dernier tente de vouloir l’avoir pour chef pour avoir la main mise sur l’Univers et transmettre le pouvoir à ses descendants.

Pour voir si c’est vraiment l’enfant, il va devoir la tester. Ce n’est pas si loin de ce que j’ai vécus mais je n’ai pas décidée d’accepter le pouvoir.


Je continue ma lecture et découvre un message laisser par elle :


« A toi, fille aux cheveux d’ébène, si tu me lis c’est que tu as sûrement faillis à ta mission. Quand j’ai eu ma première vision, c’était pendant mes 15 ans. Ce terrible jour, je me devais d’éliminer mes parents. J’ai préféré obéir à mes prédictions. Pendant 5 ans, j’ai eu des moments de folies noires. Pour justifier ces terribles pouvoirs, j’ai laisser ces derniers à une déesse. La pire de toute. Seulement, un jour après le fiasco de la noce de ma fille Elena, au cœur de la montagne de la mort, je l’ai réellement entendu. Elle avait une voix douce et me demanda de l’aider à trouver une enfant. J’ai cherché à l’entendre une nouvelle fois. Plus de 30 ans dans le silence. Une enfant pour quoi ? J’ai continué à tenter de revenir sur scène, à accepter que je sois folle et à me repentir souvent. Un soir, elle était là. Elle m’annonçait ta venue. Ma seconde fille Antonia l’a sentie aussi. Toi qui changera la face du monde. De toi ou ton esprit ? L’esprit, Vincente mon fils adoptif eu raison, peut revenir. La folie dis-je. Trop âgée pour m’imposer, je voulais t’y placer pour guider le monde dans la bonne direction. Aider par ton oncle. Seulement, ce message inscrit à la fin du livre n’est que de ma main. L’histoire apposer en lettres mortes est faite en six mains. Tu y trouvera des différences avec la réalité. Si j’ai approuver le test c’est pour mieux savoir qui est l’élue. J’en suis navré si je devais d’abord te tuer. Je n’ai pas eu le temps ou ma mémoire à faillit à mes devoirs, celui de montrer que l’enfant et l’oncle sont unis. Je voulais aussi exposer que l’oncle n’est pas mon fils. Il est devenu plus fou que le commandant lui-même. Quand j’ai sus les expériences, j’étais proche de la mort. J’ai renouer avec ma fille celle encore en vie. Je lui ai demander pardon et je l’ai assister à rédiger la deuxième version. Celle que j’imagine. La fuite du pouvoir et l’idée de possessivité. Si j’ai demandé ta mort, j’en suis navré. J’ai perdu mes moyens face au nouveau tyran. Je l’espère que tu réussiras ta mission. Tu as encore une chance, je l’espère. Dans mon cœur tu es Abigaël, celle qui ne fuit pas mais réussit à conquérir le monde par l’Universalisme. Ta grand-mère à demander à la mère de Térésa de cacher ce manuscrit. La deuxième version existe : sous le sol, ne pleure pas. Envole-toi et mare- toi. Tu auras de la haine et c’est normal. Mais apprend nos erreurs et écris ton histoire.

 Les jeux sont faits   

                                 Séraphina, reine indigne. « 

 

Je releva la tête pour réfléchir. Mon conscience bourdonne. Alors comme ça, elle aussi à des regrets ? Je ne sais pas si l’heure du pardon est arriver ou pas. Pour le moment, je jubila d’avoir trouver l’indice pour trouver le deuxième ouvrage.


Moi : Maman ! Maman !


Je sors en courant pour rejoindre ma mère entrain de coudre ma tenue de mariage dehors près du feu.


Louisa : Qu’es qu’il y a ? Tu as enfin déchiffrer le livre ?


Moi : Oui mais ce n’est pas important l’histoire enfin pour le moment c’est encore floue dans ma tête. Mais je sais par le texte de fin que le deuxième livre est sous le sol pleureur …Chez nous ! Ecoute : sous le sol, ne pleure pas. Envole-toi et mare- toi.


Louisa : Hum. D’accord. Mais tu sais je n’ai pas envie de détruire l’arbre.


Moi : Il est sans doute juste devant.   

  

Louisa : Bon ma puce. On verra cela au retour hein. On reste encore quelques jours de plus ici. Faut préparer la cérémonie aussi

.

Moi : A oui c’est vrai. Le mariage. Une bonne idée de le déplacer car faire une fête le jour d’un hommage. Bon je vais aller voir Salv, j’ai besoins de conseils. A plus tard.


Louisa : A plus tard. Pense à te reposer aussi.


Moi : Oui oui.


Je marcha jusqu’à la statue où je savais retrouver mon oncle. Est-ce avec lui que je dois conquérir le monde ? S’il me l’a dit en plus…

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