La bonté.

Afrique.

Un troupeau d'éléphants arpente la savane paisiblement, des buffles et des zèbres broutant à leurs côtés. Soudain, la terre se met à tremblé, et une créature reptilienne, ressemblant à un ogre à peau de lézard, armée de grosses griffes et de cornes. La créature grogne, obligeant les animaux à fuir.

-Qu'est-ce que je fais à moisir ici ? dit-il en s'énervant.

-Organoks, fit une voix.

Lycantya s'approche, elle et le dénommé Organoks ont été mobilisé pour surveiller le continent africain.

-Retourne sous terre et reste y, dit la louve avec agacement.

-Grrr, tu as de la chance que je sois de bonne humeur, dit Organoks en utilisant ses griffes pour retourner sous terre.

Lycantya reçoit soudain une transmission d'une sphère de contact de Mana.

-Qui y a-t-il Mana ? demande la louve.

-Nous avons sentit une présence, sur notre continent. Il semblerait que l'âme de la bonté se trouve quelques part dans la ville que les humains nomment Paris.

-Que dois-je faire ?

-Le seigneur Wizargs veut que tu restes à ton poste pour le moment, quelqu'un d'autre va s'en charger.

-Qui donc ?

-La garde squelette.

-Comment ?!

-Ton père, ainsi que le roi des mers sont revenus, la garde squelette va en finir une bonne fois pour toute avec Frisk.

Pendant ce temps, au laboratoire.

Gaster est à ses écrans de contrôle, avec une partie du groupe.

-C'est bien le signal d'une âme, dit le scientifique, alors qu'un cœur vert s'afficha à l'écran.

-L'âme de la bonté, dit Sans.

-Où se situe-t-elle ? demande Toriel.

-Et bien, commença Gaster. Quelque part à Paris. C'est tout ce que je peux indiquer comme information, le signal de l'âme a disparut.

-C'est probablement quelqu'un comme moi, dit Noémia. Qui vient seulement de découvrir ses pouvoirs.

-Je pense que l'attaque de l'armée de Wizargs soit un déclencheur, suggère Sans.

-Mais Paris est prêt de chez nous, Toriel.

-Ce qui veut dire que nos ennemis risquent d'être rapidement sur les lieux, poursuit Chara. Vu comment ils sont arrivés aussi rapidement à New-York.

-ALORS QU'EST-CE QU'ON ATTEND !? dit Papyrus en levant son poing. EN ROUTE POUR PARIS !

-Non Paps, dit Frisk. J'aimerais que tu restes ici.

-MAIS POURQUOI FRISK !?

-J'aimerais que tu entraine Noémia.

-Moi ? répondit la jeune fille.

-Exactement, dit Frisk en se retournant vers le grand squelette. Tu serais un bon partenaire pour lui apprendre comme se défendre face aux attaques physiques. Chara, elle, se chargera de lui apprendre à combattre les sortilèges.

-Si tu veux Frisk, répondit la rousse.

-BON, D'ACCORD ! répondit le squelette.

Un peu plus tard, nos amis se réunir à l'aéroport. Le vol serait cette fois-ci très court, vu le peu de distance qui les séparait de Paris. Frisk serait du voyage, avec Sans, Undyne, ainsi que Mettaton, qui était devenue célèbre à Paris après y avoir fait plusieurs concerts et avait des relations qui pourraient être utiles, et Aquata, qui s'était proposée.

-Napstablook n'est pas là ? demande Mettaton.

-On ne la plus vu depuis votre départ à New-York, finit par dire Grilby.

-Nous la retrouverons, dit Asgore. Elle n'est surement pas bien loin, concentrez-vous sur votre mission.

-Oui père, dit Frisk à son père adoptif. Allons-y les amis.

-J'espère que ça ira pour vous là-bas, dit Chara.

-Relaxe gamine, dit Sans à la rousse. On a déjà contacté Horas, il nous attend là-bas.

-DIT LUI BONJOURS DE MA PART ! dit Papyrus en agitant son bras.

-Ah moi aussi ! dit Noémia.

-Promis ! cria Frisk, alors qu'elle embarque avec les autres dans l'avion.

Dans les souterrains.

Napstablook, le petit fantôme, errait dans le laboratoire d'Alphys. Elle essaya de passer à travers une porte, mais se cogna dessus comme pour une personne d'origine matériel l'aurait fait.

-Ça doit être ça, dit-il.

Le petit ectoplasme se concentra pour pouvoir toucher le levier permettant d'ouvrir la porte. Ce dernier ne pouvait être activé que par un fantôme. Alors que la porte s'ouvrit, Napstablook se trouva face à un robot, ressemblant à Mettaton, mais bleu et blanc, avec des cheveux plus courts et argentés. Ce robot avait de plus des attributs plus féminins. Napstablook se rappela une vielle conversation avec Alphys.

"-Tu es… sûr… Napsta…

-Oui Alphys, Mettaton sera mieux que moi pour défendre le palais.

-Si tu… change… d'avis… je garderais ton corps… dans cette pièce… Toi seule… pourras y entrer…

-Merci Alphys, mais je pense que je n'en aurais plus besoin, à moins qu'une catastrophe n'arrive sur nous.

-Prions… tout de même… que ça n'arrive pas… dit Alphys en souriant. "

-C'est finalement arrivé, dit Napstablook en plissant ses yeux, elle qui gardait pratiquement toujours son regard impassible.

Elle se logea dans le corps robotique et se laissa consumée par l'énergie électrique.

-Il est resté inactif un long moment, patience mais amis, j'arrive.

Paris.

Un petit garçon semblant avoir entre 13 et 14 ans, possédant des cheveux courts, noirs, et des yeux marrons, pointant son regard sur sa main. Il portait une petite veste grise sur un t-shirt blanc, un mini-short en jeans et des basquettes rouges, ainsi qu'un sac à dos brun et noir. Dans la paume de sa main, un minuscule cœur vert se forma, avant de disparaitre, après que le garçon est été sortit de sa rêverie par une vielle dame, ayant fait tomber son chariot, contenant des courses.

-Je vais vous aider madame, dit le garçon en ramassant les affaires tombées au sol.

-Tu es bien gentil mon petit, dit la dame. Rares sont les jeunes encore serviables de nos jours.

-Vous avez besoin que je vous accompagne ?

-Non merci mon petit, ça ira, encore merci de ton aide, tu es d'une grande bonté.

La dame s'éloigna alors que le petit garçon traversa la route pour aller de l'autre côté de trottoir.

A SUIVRE.

Note.

Pour ceux que ça intéressent, Mettaton est un garçon dans mon histoire, et Napstablook est une fille.