Sasari Uchiwa

Chapitre 38 : À la recherche de Sasuke!

3684 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 04/06/2018 21:58

Kumiko : Aaaaah, j'ai dormis comme un bébé! Il n’y a pas à dire, même si les chambres sont moins bien qu'à Konoha, je n'y ai jamais aussi bien dormis qu’ici.


[Malgré les apparences plutôt douteuses de l'endroit qu'ils avaient trouvé, l'auberge était étonnement très bien, même si la nourriture est loin de la haut cuisine qu'avait Hide. L'hôte était d'une gentillesse remarquable, les lits étaient parfaits. Ni trop dur, ni trop moelleux et il n'y avait aucun bruit aux alentours de l'auberge, ce qui changeait de l’activité du village.

 

Kumiko sortit de sa chambre pour aller voir ce qui en était de ses deux camarades. Elle ouvrit d'abord, délicatement, la porte de la chambre de Mifuyi… personne, elle se dirigea vers celle de Sasari, mais personne n'ont plus… Ils étaient peut-être la cuisine pour manger avant de partir. C'est donc ce où elle se dirigea, mais dans la pièce, il n'y avait personne, il n'y avait aucun bruit.]


Kumiko : Mais où sont-ils passé, ils ne peuvent pas être partit sans moi tout de même?


Voix de femme : Kumiko, Kumiko c'est toi!?


Kumiko (Étonnée) : Qui … qui est là?!


[Une personne, très semblable à Kumiko en apparence, mais ayant le visage complètement brouillé, sortit de la cuisine. L’Uzumaki se mit sur ses gardes.]


Kumiko (Méfiante): Qui êtes-vous?! Comment connaissez-vous mon nom?


La femme : Vient voir chérie, vient voir, c'est Kumiko! Notre fille!


* Kumiko est étonnée *


Voix d'homme : Non, c'est pas possible!


[Un homme sortit de la cuisine à son tour, il avait également le visage brouillé. Kumiko, malgré que les visages lui restaient floues, peut-être parce qu’elle venait de se réveiller, commençait à reconnaitre qui pouvait être ceux devant-elle… Un fort sentiment de nostalgie lui pris.]


L'homme : … C'est... c'est bien notre fille, Kumiko, te revoilà enfin!


Kumiko (Émue) : Maman …. Papa … mais comment? * Des larmes coulent *


La femme : Vient Kumiko, je veux serrez à nouveau ma fille dans mes bras * Tend les bras *


Kumiko (En larme): … Maman!


[Kumiko se dirigeait vers ce qui semblerait être sa mère. Mais au premier pas, une ombre apparut dans la porte d'entrée, une silhouette d'homme. Cet homme ouvrit la porte… Danzô! Lui, Kumiko pu clairement voir son visage… À sa simple vue, Kumiko paniqua et angoissa! Elle se doutait de ce Danzô pourrait faire comme agissement…]

 

La femme : Fuis Kumiko, fuis!


[Kumiko, n'ayant même pas le temps de réagir, vit Danzô bondir directement sur ses deux parents et les transperça chacun d'un sabre au cœur pour les tuer. Les corps tombèrent au sol pour le confirmer.]


Kumiko (Effrayée, en colère) : Non! Comment… pourquoi!? Pourquoi avoir tué mes parents, sale monstres!


Danzô : Tu vas maintenant venir avec moi.


Kumiko (Enragée): Enfoiré!!!


[Kumiko activa son Mangekyô Sharingan instinctivement! Le vairocana avait été activé, mais contrairement à la dernière fois, il ne s’agissait pas d’un noir absolue, mais d’une lumière complètement éblouissante, on ne vit que du blanc totale! S’en était paralysant.]


Kumiko : Crève salaud!


[* Pouf * Soudain, elle était assis dans son lit, à nouveau… ce n'était qu'un cauchemar, Kumiko était dans toutes ses émotions, elle avait le poing devant elle comme si elle voulait frapper quelqu'un et le Mangekyô Sharingan réellement ouvert. Sasari et Mifuyi étaient dans sa chambre, inquiet.]


Mifuyi (Inquiète) : Est-ce que ça va Kumiko?


Kumiko : * Enlève sont Mangekyô Sharingan * Ce … ce n'était qu'un rêve? * Commence à pleurer *


* Étonnement de Sasari et Mifuyi *


Mifuyi : Que t'arrive-t-il Kumiko?


Kumiko (En pleure) : C'était si réelle, je pouvais pratiquement revoir leur visage, le visage de mes deux parents … Je les retrouvais enfin, j'aurais pu à nouveau avoir ma famille. * Devient un peu plus furieuse * Et là, ce Danzô, il a tué mes parents à nouveau, sans aucun remord… s'en fichant complètement!


Sasari et Mifuyi : …


Kumiko (Émue): Je n'aurai plus jamais de famille … pourquoi a-t-il fallu que ce Danzô me l'enlève?


[Sasari s'approcha de Kumiko, s’accroupit devant elle pour qu’il l’a regarde… L’Uchiwa n’avait rien eut à dire pour que Kumiko commence à regretter ce qu’elle venait de dire. Non pas que son ami lui reprochait quelque chose, mais simplement le revoir ainsi lui fit comprendre qu’elle avait tort.]


Kumiko (Émue, soulagée, sourit) : Qu’est-ce que je suis bête parfois… * Essuie ses larmes * C’est vous ma nouvelle famille.


Sanshô, entrant : Je vous apporte le petit déjeu… oh, est-ce que ça va!?


Mifuyi : Ne vous inquiétez pas, elle n'a fait qu'un cauchemar. C'est terminé. * Sourit *


Sanshô : Oh, ma pauvre petite, je n'ai jamais aimé les cauchemars moi non plus. Je compatis avec toi.


Kumiko : Merci à vous madame, c'est très gentil de votre part. Tout va bien maintenant. * Sourit *


Sanshô : J'en suis contente alors * Sourit *. Je vous dépose votre petit-déjeuner là … Ah! Au fait, cette nuit, j'en ai profité pour recoudre vos beaux manteaux. Ils sont comme neuf maintenant, même votre beau symbole. J’ai quelques talents en couture vous savez! Vous verrez, vous les aimerez autant qu’au temps de leur conception!


Mifuyi : C'est vrai!? Vous en faites beaucoup trop voyons, il ne fallait pas vous donner autant de difficulté.


Sanshô : Ne t'inquiète pas pour moi jeune fille. À mon âge, il ne me reste plus que ça à faire. Je vous le dois bien, et ça me fait plaisir. Je vous les dépose ici.


Mifuyi (Inquiet): Combien nous vous devons pour tout ceci, pour tous ses efforts?


Kumiko : C’est vrai. J’ai pu travailler quelques années dans l’une des plus grosses auberges de Taki et nous n’offrirons pas de tel service.


Sanshô : Ne vous tracassez pas, haha. Mangez et nous verrons plus tard. * Ferme la porte et part *


Kumiko : Quelle gentille femme. Si Hide offrait autant, Taki serait probablement l’un des endroits les plus visité en ce moment.


Sasari : * La bouche pleine * Le petit déjeuné est excellent!


Mifuyi (Découragée) : Ça ne te disais pas de nous attendre, crétin? * Soupir *


[Les trois ninjas prirent le temps de bien manger avant de partir pour leur prochaine destination; Oto! Soudain, ayant fini de manger, ils entendirent un bruit venir de part la fenêtre. De petits bruits, comme si on y lançait des roches, puis, ça s'arrêta.

 

Sasari s'approcha de la fenêtre, il ne vit que Sanshô, en bas sur le chemin, regardant dans la même direction que le chemin et elle salua du bras en direction de ce même chemin.

Intrigué, Sasari regarda vers où elle salua et il vit quatre ninjas s’en venir au pas de course. Sasari les reconnus! C'était Lee, Tenten, Neji et leur Sensei, Gaï!]


Sasari : On s'en va maintenant.


Mifuyi : Que ce passe-t-il?


Sasari : Des ninjas de Konoha viennent par ici, ils ne doivent pas savoir que nous sommes ici.


[Les trois ninjas enfilèrent rapidement leurs manteaux, devenus étonnement beaucoup plus légers qu'avant et plus confortable aussi. Ils prirent toutes leurs choses et ils déposèrent tout ce qu'il leur restait de Ryo sur le lit de Kumiko pour payer l'hébergement, en espérant que la somme soit suffisante. Ils partirent vite fait de façon à ne pas être vue par les ninjas de Konoha.]

 

Kumiko, parcourant les arbres: Quelle chance d'avoir entendu ce bruit venant de la fenêtre, sans cela, c'en était fini de nous … je n'aurais pas eu l'envie d'affronter ces ninjas.


Sasari : J'ai l'impression que c'était cette femme qui nous a alertés… Elle était tout juste en-dessous de notre fenêtre. J'en suis sûr même, elle savait que nous ne voulions pas être retrouvés par des ninjas de Konoha. Pourquoi tant vouloir aider?


Mifuyi : Ça m’étonne qu’un tel endroit ait l’air d’avoir si peu de clients... Enfin, hormis ces ninjas de Konoha. Ils ont drôlement récupérer vite d’ailleurs…


Kumiko : Tu te rends comptes, elle a même recousu nos manteaux. Je me sens si bien dedans.


Sasari : Je ne sais pas ce qu’elle y a fait, mais ils sont nettement de meilleure qualité, c’est sûr. Par contre, il y a quelque chose que…


[Quelque chose semblait peser dans l’une des poches de son manteau... Un objet qu’il ne souvenait pas y avoir là. Ses soupçons s’avérèrent vrai. Avec des regrets instantanés, ce que Sasari sortit de sa poche était une petite bourse… Il s’arrêta brusquement sur une branche. Ses deux amies aussi pour le coup.]


Sasari : * Regarde l’intérieur * Il y a presque autant, voire plus, que ce qu’on a déposé sur le lit… À croire qu’elle savait…


Mifuyi : On ne peut pas rebrousser chemin…


* Sasari devint ahuri *


Kumiko (Intriguée) : Il y a quelque chose qui ne va pas, Sasari?


Sasari: Il y a son nom de gravé sur le sac : Sanshô Nakajima…


Mifuyi (Étonnée) : Nakajima?! C'est donc …


Sasari : * Sert le poing * Elle fait partie de la même famille que Shibaa… Elle savait qui nous étions, elle nous a protégés.


Mifuyi : Mais comment a-t-elle su, jamais nous n'avons activé notre Sharingan et avec ton collier, elle n'a pas pu te confondre avec Sasuke?


Kumiko : C'est le symbole sur nos manteaux. Itachi l'avait dit, il est, de près ou de loin, lié avec le clan Uchiwa. J'ai l'impression que ce clan qu'est les Nakajima le connaisse très bien. Nous ne pouvons pas y retourner, nous devons aller à Oto.


Sasari : * Range la bourse * Oui, on n’a pas le choix… Allons-y.


[Kumiko et Mifuyi reprirent immédiatement la route vers le nord. Quant à Sasari, toujours accablé d’un sentiment de remord vis-à-vis de la situation. Il jeta un dernier regard en direction d’où était l’auberge et repartit rejoindre ses amis.

 

La route vers Oto n’était pas particulièrement longue et difficile à trouver. De plus, la destination était si inusitée qu’il était peu probable qu’on ne les retrouve en chemin. La forêt et les multiples chemins franchis étaient vide… Ils ne croisèrent pratiquement personne et en évitant les villages en chemin, tout avait été surprenant calme jusqu’au frontière entre les deux nations.

 

Midi passé depuis un moment, ils étaient tout proche de ces frontières entre Konoha et Oto.]


Mifuyi : Il y a pas intérêt à y avoir une taxe, je regretterais de perdre ces Ryo de cette manière…


Sasari : La somme qu’elle nous a donnée nous sera utile pour un certain temps, mais un moment, il faudra trouver des moyens pour s’en refaire… J’ai le sentiment que ça ne sera pas aussi simple de dans le temps où nous étions à Iwa.


Kumiko : Mine de rien, notre passage en Konoha a pu être mouvementé, mais le nombre d’informations trouvés en valait très bien le détour… et pas que les informations. Les rencontres également.


Mifuyi : Ce que je me demande par contre, c’est comment Itachi n’a pas pu être au courant pour Sasuke… Ça désertion paraissait être connu de tout le village.


Sasari : Je crois qu'il le savait. Il a voulu que nous allions à Konoha pour en apprendre beaucoup plus que ce que l'on croyait savoir. Ça été nécessaire avant d’aller retrouver Sasuke, beaucoup de chose nous remette en contexte sur la situation et sur nous-même.


Kumiko : Oui, bien des mystères ne se serait résolu si nous n'étions pas allés à Konoha. Cette examen était parfait et maintenant on en sait un peu plus sur où pourrait vraiment être ton frère… J'aimerais aussi rencontrer ce Naruto Uzumaki.


Mifuyi : Par contre, lui, on ne sait aucunement où il est.


Sasari : J'ai dans l'idée qu'il n'est certainement pas en Oto. Nous arrivons je crois.


[Les trois ninjas s'arrêtèrent devant le début d’une petite chaine de montagnes d'environ cinquantaine de mètres de haut, voir plus... Les bords étaient particulièrement escarpés, même qu’à certain endroit, on aurait dit que des humains avaient pu y mettre leur grain de sel dans la confection de ces falaises.

 

Cette chaine agissait très bien en tant que barrière naturelle pour séparer les deux nations. Autant à droite qu’à gauche, il ne s’agissait que de mur où Furûtsu pu constater qu’il y avait quelques tunnels par-ci et par-là. L’endroit où ils s’étaient arrêtés était désert de vie, il n’y avait qu’eux.

 

Après une brève inspection, ils trouvèrent des panneaux indicateurs… l’un de ces tunnels rejoignait un village sur les terres d’Oto. Le trinôme n’hésita que très peu et entra dans l’une des cavités indiquées.

 

L’endroit paraissait peu rassurant… L’humidité avait gagné ce passage ce qui rendait l’endroit froid et la seule source de lumière disponible était un peu que les ninjas durent se créer eux-mêmes. La distance était indiscernable… Combien de mètres avaient-ils déjà parcourus et combien en restaient-ils avant de pouvoir revoir la lumière du soleil? Ce qu’ils remarquèrent encore une fois, c’est qu’il n’y avait encore personne… Aucun passant en provenance de Konoha, ni de Oto. Personne non plus pour vérifier qui ne passait… Était-ce réellement une route viable?

 

Après un temps qu’ils leur étaient inconnu, Furûtsu retrouvèrent enfin la lumière… Elle était faible, mais elle était là. Le bout du tunnel déboucha enfin sur la nation qu’était Oto. L’ambiance qui y régnait était complètement différente de celle de Konoha. Contrairement à la grande nation qui était chaude et sec, en Oto, un brouillard léger surplombait une bonne partie de la région. Le type de chaleur était différent au vue de l’humidité ambiante qui rappelait celle qui pourrait y avoir en Kiri.  

 

Le premier sentier devant eux menait à un petit village, avec une demi-douzaine de maison… Un village qui semblait fantôme, mais on pouvait voir un peu plus loin des rizières. Forcément, des gens devaient les cultiver…]


Mifuyi : Il nous faut maintenant trouver le repaire d'Orochimaru, c'est là que devrait être Sasuke j'imagine?


Kumiko : Son repaire en Oto est celui le moins difficile à trouver normalement… enfin à mon souvenir. Oto est un très petit pays et il ne comporte pas énormément. Le nord de la région n’est que très peu habité par rapport au sud. En espérant qu’il n’ait pas changé l’endroit de son repaire…


Sasari : Approchons-nous du village. Peut-être qu’ils auraient des informations…


Mifuyi, à son équipe : Attendez, on ne peut pas simplement demander où est le repaire d'Orochimaru, ça paraîtra trop suspect, vous ne pensez pas?


Sasari: Que proposes-tu dans ce cas?


Kumiko : Ne vous alarmez pas, regardez.


[Il n'y avait personne dans le village, du moins, dans les rues. Les portes et les fenêtres de chacune des habitations étaient fermées.]


Kumiko : J'ai dans l'impression que nous ne sommes pas les bienvenues ici. Allons plutôt au village principal du pays. Il y a beaucoup plus d'étrangers là-bas et la population sera beaucoup plus à l'aise à répondre à nos questions.


Sasari : Dans ce cas…


[L’ambiance était plus qu’étrange… déjà que le passage qu’ils avaient dû prendre n’avait rien de très rassurant. La simple présence de voyageurs était suffisante pour faire fuir tout le monde? Il était vrai que leur habillement cachait beaucoup de chose, dont leur visage, ce qui pouvait créer ce pas de distance…

 

Malheureusement, là n’était pas leur quête. Cette contré avait probablement ces problèmes qui auraient été intéressant à soulever et à régler, mais les priorités pour Furûtsu n’étaient pas là. Ils reprirent rapidement leur chemin en direction nord pour trouver un plus grand village. En espérant que, comme Kumiko l’avait dit, qu’il y aurait plus de vie.]


En chemin


Mifuyi : J'ai été à Iwa, Taki, Konoha et maintenant Oto… Je dois dire que comparativement au trois premier, l'ambiance dans ce pays est complètement différente. On croirait qu'il n'y a aucun gouvernement, personnes pour les protéger. On ne croise aucune vie et je suis assuré que cette Akatsuki n'en n'est pas la cause. C'en est presque effrayant.


Kumiko : Anciennement, ce pays était nommé le pays des rizières. Orochimaru l'a complètement envie pour seulement en faire son grand repaire. Il a lui-même monté une Académie de ninjas où ceux-ci apprennent à devenir ses subordonnés. Orochimaru ne s'occupe aucunement de l'état de son propre pays et voilà le résultat. Les gens n'osent pas quitter par crainte, ils n'osent même pas sortir de leur maison par crainte. L'arrivé d'Orochimaru l'est a complètement traumatisé, ils ont une certaine peur que si ils le trahissent, il viendra leur faire payer. Personne ne veut connaître la souffrance, pas vrai?


Sasari : C'est l'exemple parfait des puissants ninjas qui veulent contrôler le monde pour leur intérêt personnel et pour tout gouverner seul. Cela n'apporte pas la paix, ce n'est qu'un semblant de paix. Personne n'ose rien faire de peur de souffrir. Dans la vraie paix, les gens s’aiment entre eux, mais dans cette fausse paix, ils n'ont que de la haine envers ceux autour d'eux et leur usurpateur. Faire ce genre de paix ralentit et voir même, arrête l'évolution humaine, puisque les gens ont peur de tout faire. Ça en va même à de la détérioration. En faisant plus rien, on oublie… on en oublie qui nous sommes. Je crois que la vrai paix est celle que nous pouvons acquérir en acceptant nos différences les uns les autres, c'est ce que m'avait appris mes premiers sensei autre fois. Itachi l'a compris lui aussi, en ce dissociant de l'image du simple clan, en acceptant les autres clans. Je ne comprends pas comment Sasuke a pu rejoindre un tel être... il y a tant de belle personne dans ce monde pour apprendre à devenir un puissant ninja.


Mifuyi : Je peux comprendre parfaitement Sasuke. Orochimaru était la porte la plus rapide pour atteindre ce qu'il veut être pour ensuite avoir sa vengeance contre Itachi. Je ne le connais pas, mais si son but n'est que de venger notre clan, il en n'a plus rien à faire de la paix ou de la guerre autour de lui. Il sait peut-être même qu'Orochimaru veut son corps, mais il s'en fiche complètement.


[Au bout quelques heures de marche seulement, ils arrivèrent enfin à la première destination. Effectivement, comme Kumiko l’avait dit, ils virent sur une plaine plus en contrebas d’où ils étaient, un village bien plus important que le premier… Il n’était pas particulièrement grand, mais de là où ils étaient, ils arrivaient bien à voir qu’il y avait une bonne activité à l’intérieur.

 

En parcourant ce dernier, les rues étaient parsemées de commerces de tous genres et les acheteurs étaient en grande nombre çà et là. Comparativement à Konoha, plusieurs ninjas d’Oto étaient postés un peu partout dans le village. Ils étaient facilement reconnaissables à leur uniforme bien particulier.

 

Furûtsu se trouva un petit coin discret entre deux bâtiments pour discuter des prochaines étapes.]


Sasari : On devrait se débarrasser de nos bandeaux de Taki… Je n’ai pas qu’on se fasse traquer ici. Les rumeurs peuvent vite circuler dans ce genre d’endroits.


Mifuyi : Enlevons aussi nos chapeaux, ça fait… suspect.


Kumiko : À qui demande-t-on alors? Mifuyi avait raison, on ne peut pas tout simplement demander où est le repaire. Ce serait milles fois plus suspect et avec tous ses gardes…


Sasari : J'aurais cru que tu saurais où ce serait en arrivant ici.


Kumiko : La seule chose dont je me souvienne, c'est l'immense forêt, elle me rappelait mes parents…


Mifuyi : Ce n'est pas les forêts qui manquent ici, il n'y a que ça autour de ce village.


* Silence *


Mifuyi : Pourquoi ne pas se déguiser en l'un de ses gardes?


Kumiko (Étonnée) : J'ai une meilleure idée. * Sourit, regarde Sasari *


[Kumiko tendit la main dans le cou de Sasari pour lui enlever son collier.]


Sasari : Mais qu'est-ce que tu fais!?


Kumiko : Quoi, il y a quelque chose qui ne va pas… Sa-su-ke?


* Étonnement de Sasari et Mifuyi *


Mifuyi : Mais oui! Tu es brillante Kumiko! Pourquoi je n'y ai pas pensé plutôt... C'est parfait, j'ai un plan, alors voilà …


[Mifuyi discuta de son plan avec ses deux amies sur la manière dont ils allaient procéder puis …]


Kumiko : Très bien, allez, j'y vais Henge no Jutsu!


[Kumiko se métamorphosa en une ninja d'Iwa portant les habits rouge, le veston brun ainsi que le bandeau d'Iwa. Mifuyi fit la même chose que Kumiko. Quant à Sasari, il se métamorphosa pour prendre les habits qu'on les gardes du coin, il avait donc complètement enlevé son manteau, son chapeau et son amulette.]


Mifuyi : Je sens qu'on va bien se marrer, allez allons-y.


Fin du chapitre 38

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