Sasari Uchiwa

Chapitre 136 : Le fruit tombé du haut de l'arbre

3482 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 26/10/2018 07:33

À la Cabane


[Durant toute la dernière journée du réveille, les trois ninjas exclu de la Canopée étaient restés dans leur petite cachette, réfléchissant un peu à tout ce qu’ils venaient de savoir et de prendre un temps pour commencer à réfléchir à comment ils retourneraient là-bas sans courir le risque de se faire capturer… ou de mourir. Bien entendu, les blessures qu’avaient subies Sasari, mais surtout Akino, devaient prendre son temps à guérir car ils n’étaient malheureusement entourés d’aucun ninja médecin pour accélérer le processus.


Cette journée avait si bien commencé en termes de température, mais se retourna rapidement, en fin de journée, en un déluge de pluie. Même le petit étant était à sa limite, il avait du mal à rester à l’intérieur du trou où il était. En fin de journée, leur petit abri était éclairé à la lampe à l’huile. Ne pouvant faire autre chose qu’attendre pour le moment, les trois ninjas ne pouvaient que patienter avec ce qu’ils avaient. Shizu était assise à table, toujours aussi froide, à regarder le ciel par la fenêtre, la main sous le menton. Akino aiguisait ses lames et Sasari faisait tout et rien à la fois.]


Akino : C’est ennuyant, mais demain on ne peut clairement pas retourner vers la Canopée comme ça. Même bien équiper, les risques sont trop grand. Les Kokages seront contre nous, Tomoo et Ruito risquent même d’être les premiers sur nous et Reïtarô n’en a plus rien à faire de tes amies, il les convaincra de venir nous attraper… Ça ne peut que mal aller.


Shizu : S’infiltrer?


Akino : C’est aussi un risque. Ce sera soit quitte ou double.


Sasari : J’aimerais faire quelque chose avant d’y aller… Cette histoire avec les Nakajima… le parchemin de la mission de Kumiko. Je sais où se trouve l’une de celle indiqué sur cette liste. Elle nous a aidés à un moment, mes amies et moi. Elle pourra peut-être répondre à quelques de nos questions. C’est une aubergiste en plus, on pourra se nourrir mieux qu’ici avec ce pain sec.


Akino : C’est en Konoha, non? Tu n’as pas peur qu’il y ait des gens pour te reconnaitre? Ça aussi c’est un risque. Je te rappelle que tu n’as plus de collier pour te cacher.


Sasari : J’ai confiance en elle et en nos talents pour percevoir ses choses à l’avance.


Akino : Ce n’est pas une mauvaise idée, ça pourrait nous être utile si elle connait quelques informations sur Reïtarô.


* Silence *


Shizu : … Konoha.


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La Canopée


[La même chose c’était produit du côté de la Canopée. La journée avait été prise à la légère, sans réel ordre immédiat de la part de Reïtarô. La seule chose que Mifuyi et Kumiko avaient eu comme informations étaient que le maitre des lieux voudraient les voir à un moment où un autre quand elles se sentiraient prêtes. Elles prirent les consignes et prirent la journée pour se remettre bien sur pied.


Elles rencontrèrent les autres membres de leur équipe pour revenir sur les impressions de chacun, puis elles discutèrent aussi entre elles. Kumiko parla du rêve qu’elle avait fait… un premier rêve où aucune blessure ou choc émotif n’avaient été réellement présents, comme dans les précédents qu’elle avait fait depuis l’utilisation du Mangekyô Sharingan. Comme pour Takumi, le nom de Sasari ne disait rien à personne… ils n’eurent qu’un mal de tête en entendant ce nom. Kumiko se retint de le dire à Mifuyi pour le moment, trouvant peut-être la chose inutile tout compte fait.


Elles décidèrent en fin de journée d’aller voir Reïtarô, entendre ce qu’il avait à dire suite à cette attaque surprise qu’Akino et Shizu ont tentée de faire. Par la même occasion, tous de l’organisation allaient à cette réunion, probablement que ce que le maître avait à dire allait les concerner hors de tout doute.


En entrant dans la grande pièce, le mal de tête, plus violent que les autres fois dans la journée, les surpris lorsqu’elles virent Reïtarô et Takeru à ses côtés. Elles ne savaient pas trop comment, mais les hommes qu’elles voyaient devant étaient différent cette fois. C’était une forte impression qu’elles avaient, cependant, plus elles réfléchissaient, plus elles se rendirent compte que ce n’était qu’une simple impression après tout. Reïtarô et Takeru avaient bel et bien changé par contre. Le grand maitre était beaucoup plus âgé et Takeru portait un étrange cache-œil sur son œil droit.]


Takeru : Comment c’est passé cette journée de repos? Vous vous sentez mieux?


Kumiko : Je suis encore un peu étourdit, mais ça va…


Mifuyi : J’ai de la difficulté à me souvenir de tout ce qui a pu se produire… Toute la journée d’hier me semble… inexistante pratiquement, hormis notre combat à moi et Kumiko.


Takeru : Nous avons négligé quelques endroits avec les Kokage et on a eu infiltration… malheureusement. Elles ont réussi à fuir.


Mifuyi : Qu’est-ce qui va se passer ensuite? On a bien compléter l’épreuve, non?


Takeru : Pour le moment, Reïtarô-sama et moi-même devons encore réfléchir à ce propos, une journée n’est pas suffisante pour dire ce qui en va de tout ça… Pour l’heure, je crois que vous avez tous un peu compris ce qui s’en vient, n’est-ce pas?


Hirosuke : On va traquer Shizu et Akino, non?


Takeru : C’est exacte… Il est probable qu’elles reviennent avec des renforts pour possiblement nous attaquer. C’est pourquoi il ne faut pas les laisser faire et les trouver en premier.


Fusazô : Comment elles pourraient trouver des alliés? Elles ont été un bon moment ici et je ne me souviens pas qu’elles aient eu beaucoup d’amis… Elles auront de la difficulté sans nous.


Takeru : Vaut mieux le voir de nos propres yeux, ça.


Kisa : Et à quand cette mission va commencer? J’ai l’impression qu’on fait que ce genre de mission en ce moment.


Takeru : Le plus tôt possible. Déjà, Tomoo et Ruito sont retournés à Iwa pour continuer leur fonction de ninjas, là-bas. Ils vont chercher des informations de leurs côtés pour avoir d’autres pistes.


Kumiko : On a des pistes de notre côté?


Takeru : Très peu, il faudra investiguer longtemps. La chance nous avait souri pour Sadami, qui aurait pu croire qu’ils seraient tombés dans la bouche du loup aussi facilement.


Itomi : Ça m’attriste et me fait peur toute cette histoire…


Hirosuke : Qu’est-ce qui te fait peur?


Itomi : Akino et Shizu… Je ne veux insulter personne, mais c’était de très bons ninjas. Je n’ai pas connu Sadami, mais j’ai l’impression que ça ne sera pas simple de les attraper ces deux-là.


* Silence *


Takumi : Mais tu oublies qu’on a Mifuyi-san et Kumiko-san. * Sourit * Et toi aussi on m’a dit que tu étais vraiment doué!


Itomi : Je ne sais pas… il y a un élément qui me dit que…


Takeru : Que quoi, Itomi?


Itomi : Qu’on va… ça va être très corsés.


Takeru : Ne prenons pas plus le temps d’y penser pour le moment. Perturber vos esprits ne fait qu’engendrer plus de stress inutile et ça vous fatigue pour rien. Allez prendre l’air, changer vous les idées pour les prochains jours, si vous voulez repartir d’aplomb.


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La Cabane


Sasari : Vous brûler vos habits de la Canopée?


Akino : Ils ont trop de significations pour moi. J’ai envie d’enlever tout ce qui m’attache à cette organisation… ou à Reïtarô plutôt…


Shizu : Je n’ai pas envie d’être la seule à le porter, donc à quoi bon…


Sasari : On va devoir se promener en simple habit alors… je n’ai plus rien sur moi, ils m’ont dépouillé de tout ce que j’avais avant de mettre sur ce lit.


Akino : T’as plus rien et t’espérais te rendre à la Canopée tout récupérer… * Étonnement * Et t’as perdu la lame que je t’avais donné aussi!?


Sasari : Ah, c’est bon! Reïtarô m’a tout pris, tu voulais que fasse comment?! T’as qu’à m’en prêter une autre!


Akino : Tu rêves! À ce rythme, si en une seule journée tu perds les épées que je te donne, j’en aurai plus.


Sasari : De toute manière, je n’ai pas besoin d’armes. Je manipule très bien mes…


Akino : T’as perdu tes cartes aussi, idiot!


Sasari : …Mes justu!


Shizu, écoutant l’engueulade (Exaspérée) : Ce dû être pitoyable faire équipe avec vous…


Sasari : Tss… Bref, faut y aller si on veut y arriver… prête?


Akino : Plus que toi en tout cas.


[Vêtu de vieux vêtements, mais tout simple, la nouvelle équipe de Furûtsu était en marche vers l’auberge de Sanshô, la Nakajima sur la liste qu’avait trouvée Kumiko. Ils éteignirent le feu qu’ils avaient fait et mit la cabane en ordre comme ils l’avaient trouvée.


Chacun un sac à dos sur les épaules, ils vagabondaient avec un bon rythme dans les champs interminable de Kusa ; pays étant le plus près d’où ils étaient.

Personne n’était sur leur chemin, même pas un marchant avec sa carriole alors que la journée était radieuse comme elle avait été hier. Ce temps ne tracassait nullement l’un d’entre eux, au diable le camouflage… Ils s’en réjouirent même, indirectement, puisque les retardements n’étaient pas les très bienvenu en ce moment.


Par endroit, le silence était complet dans le groupe, avec à l’avant Shizu qui montait la marche, avec de temps à autre quelques coups d’œil avec le Byakugan, et les deux autres derrière. Par d’autres moments, Sasari et Akino discutaient de vives voit sur plusieurs sujets, venant même à des engueulades inutiles aux yeux de Shizu. À certains moments, pour des sujets plus philosophiques sur la situation des cinq nations. L’Hyuga donnait parfois son point de vue sur ce que les deux autres amenaient comme faits et sur ses points, ils étaient plutôt d’accord, ce qui les rassurait en quelque sorte. Apprendre que les autres avaient un point de vue très près du leur et qu’ils le défendent avec autant de conviction que soi, c’était réconfortant et ça rapprochait ces gens et s’entendaient encore mieux entre eux.


Les frontières de Kusa/Konoha approchaient, après plusieurs heures de marches inarrêtées… le silence était revenu dans le groupe. Le vent chaud de ce début de journée ce tourna en vent agréable avec un ciel ennuagé mais avec une lumière à l’horizon qui venait égailler le tout rendant le paysage apaisant. Ce fut sur ce moment qu’avec du recul, Sasari, regardant les deux personnes qu’ils avaient devant lui, se rappela des bons moments de vagabondages avec Mifuyi et Kumiko. Ses présences le réconfortaient dans un sens, mais dans l’autre, ça le grugeait d’impatience et d’inquiétudes à l’intérieur de lui. Un certain stress était présent et constant…


Enfin, ils approchèrent. Sur les lignes, tout ce passa sans encombre, Konoha avait fait entré les trois jeunes sans poser de questions, de manière totalement libre. Sasari avait dû usée d’une transformation par contre pour passer, n’ayant plus de collier pour se dissimuler… malheureusement.]


Shizu (Pensive) : Konoha…


Sasari : C’est la première fois que tu y reviens?


Shizu : Oui…


Sasari : Je ne sais pas ce que tu ressens envers cette nation, mais n’ait pas de crainte. J’ai moi aussi connu cette sensation et les gens qui ont pu te faire ça sont une minorité qui ne sont pas approuvé par le reste.


Shizu : Je ne déteste pas Konoha. Mon clan par contre… je n’aime pas leur manière de penser. Je me compte chanceuse de pouvoir avoir ce regard extérieur sur eux, d’avoir pu être expédié ailleurs pour me sortir de cette famille. Il n’y a qu’à voir ce qu’il représentait lors de l’évènement d’Iwa il y a un mois. Ils étaient fiers comme des paons, comme s’ils représentaient Konoha à eux seul. Cette fierté les rend aveugles et quand on est trop aveuglé par soi-même, ça cause des phénomènes comme ton frère… Itachi.


Sasari : …


Shizu : Plus on est grand, plus on tombe de haut.


Akino : Pff, t’es comme eux, Shizu. Frimeuse!


Shizu : Tss…


Sasari : Comment t’es arrivé jusqu’à la Canopée? On m’a dit que tu avais été adopté, non?


Shizu : Je n’ai pas envie d’en parler maintenant. * Regarde Akino * Il y a un élément qui me perturbe en ce moment.


Akino : Ben voyons. Désolé de ne pas être digne de ta grande histoire larmoyante… Non, vraiment t’aurais été une Hyuga parfaite à mon sens!


Shizu, à Sasari : Je rectifie ce que je t’ai dit hier, tu avais raison sur un point. C’est bien possible que ce soit une fille qui t’aies rendu complètement fou.


Akino : T’as un vrai problème Shizu. Je n’arrive pas encore à comprendre comment on peut faire équipe et que je t’ai pas encore collé mon poing dans ton fichu front.


Shizu : T’es trop lente de toute manière…


[À cette dernière phrase, les deux filles, sans se jeté dessus directement, sortit un brin d’hostilité instantané entre elle. L’une en dévoilant son Byakugan et l’autre en concentrant du chakra dans son poing.]


Sasari : Je n’arrive pas à comprendre comment vous vous méprisez autant.


Akino : Tu l’as vue un peu comment elle se comporte, a toujours joué les airs supérieurs avec tout le monde!


Shizu : Regarde qui parle, c’est toi qui te prends toujours pour la chef… et c’est loin d’être mérité.


Akino : J’ai fait mes preuves moi au moins, j’interagie avec les autres membres de l’org… enfin, de l’ancienne organisation. Toi t’es toujours là, dans ton coin à ne parler à personne puisque personne n’est digne de te parler, mademoiselle Hyuga.


[La première à craquer était évidement Shizu, mais Akino ne perdu pas trop de temps à prendre le pas pour aller donner un bon coup de poing à sa rivale!]


Sasari (Autoritaire) : Arrêtez!


[À quelques centimètres seulement, les deux filles s’arrêtèrent dans leur lancé, fixant gravement Sasari qui ne paraissait pas du tout impressionné.]


Akino : Comment t’ose faire ça..!?


[Akino cessa en regardant le Sharingan soudainement ouvert de Sasari qui avait un regard autoritaire et qui ne bronchait pas. Même avoir été six mois en sa présence, voir le Sharingan et ce sérieux dans les yeux de Sasari lui faisait un certain émoi intérieur imposant un certain respect, qu’elle démontra d’un simple silence, ceci dit sans pour autant n’avoir que de regret. Les deux filles, brusque, et s’ignorant, détournèrent le regard l’une de l’autre.]


Sasari : De toute l’organisation de la Canopée, je suis franc, vous deviez être les ninja les plus douée, égalisant certainement de près les fameux Kokage. Si vous continuer à travailler seul et à ne pas vous entendre pour de simple jalousie…


Akino : Moi, jalouse!?


Sasari : …Les autres membres de la Canopée auront un avantage certain sur nous s’il nous affronte.


* Étonnement de Akino *


Sasari : C’est l’avantage des organisations… c’est de pouvoir agir avec une bonne cohésion d’équipe. Si vous faites équipe qu’un seul instant, ce sera déjà un énorme avantage pour nous. Les deux plus fortes de la Canopée, non?


Akino (Surprise) : …


[Dos à Sasari, ses paroles donna un certain sourire à Shizu qui le cacha pour elle-même, la tête basse. Non pas car elle sentait sa rivale être remis en question, mais par l’impression que lui donnait Sasari.


Sans rien dire, les deux filles recommencèrent à marcher, à l’avant de Sasari. Ce dernier, relâchant les muscles tendus et poussant un soupir retenu de soulagement, il continua également sa marche les suivants.


Alors que la journée s’achevait à grand pas, au bout d’un moment, puisque Sasari savait environ où se diriger, ils trouvèrent enfin la petite auberge.]


Akino : Alors y’a une Nakajima la dedans… J’aurais jamais pensé que Reïtarô aurait de la famille.


Sasari : J’ai encore du mal à croire qu’il soit vraiment un Nakajima… Ça m’en donne le mal.


[Devant la porte, Sasari hésita à entrer tout bonnement… il préféra frapper à la porte.]


Akino : Tu ne disais pas que c’était une auberge?


Sasari : La propriétaire a décidé de changer sa maison en auberge donc, ça reste plutôt petit à l’intérieur. Je n’ai pas envie que si l’on entre et qu’il y a d’autres personnes, que ceux-ci me… «reconnaissent ».


Sansho, de l’intérieur : Oh, oh! Karashi, on a des clients, Karashi! Je… va les accueillir.


* Silence *


Sansho, de l’intérieur : Karashi, tu m’entends!?


Sasari, à ses coéquipières : Je crois que c’est bon. On va entrer par nous-même.


[Étrangement, en tentant d’ouvrir la porte, celle-ci était bloquée… Complètement immobile.]


Sansho : Karash..!


[Ce dernier cri était plus inquiétant que les autres. Sasari tentait de forcer la porte, mais Shizu mit un gros coup de pied dans cette dernière pour complètement la faire tomber! Surprise! Quatre ninjas, masqué d’une cagoule, étaient présents. L’un tenait Karashi en otage l’empêchant de laisser s’échapper un quelconque mot, un autre sur Sanshô et les deux autres tout juste devant une trappe ouverte.]


Issei, bandit devant la trappe : C’est qu’elle a un sacré magot la grand-mère, héhé!


Shido, tenant Karashi, à Sasari et aux autres : Ne bouger plus! Restez complètement immobile ou sinon c’en est fini d’eux! Et ce sera vous après!


[Le visage de Karashi et de Sanshô étaient agonisants devant la situation, ils avaient visiblement très peur. Les trois ninjas n’osèrent pas faire quoique ce soit. Shizu avait déjà sont byakugan de révélé ce qui attirait déjà l’attention sur elle… Mais un déclic soudain ce fut avec le visage de Sasari…]


Matsuda, tenant Sanshô : Attendez, je reconnais son visage! C’est Sasuke Uchiwa! On est mal les gars!


Shido : Si Orochimaru est dans le paysage, c’est fichu, faut partir maintenant! Tant pis pour les otages…!


Sasari : Non, attendez!


* Étonnement des brigands *


Motohama, dernier bandit descendant dans la trappe (Sublimé) : C’est vrai, attend un peu Shido, t’as vue ce qu’elle a cette grand-mère.


Shido (Malicieux) : Oh… Effectivement, on dirait qu’on tient un très bon otage finalement… qui a potentiellement plus de valeur que ce qu’on vient de trouver.


Matsuda : Où sont tes équipements? Pourquoi vous êtes habillé ainsi? Vous n’avez pas d’armes?


Shido : C’est étrange en effet… Je vous échange cette femme contre tout ce que vous possédez et vous nous laissez partir!


[Ça s’annonçait mal. Sans le savoir, les brigands avaient un élément possiblement important entre leur main sans savoir ce qu’était vraiment Sasari, Akino et Shizu. L’équipe n’avait rien à offrir et si les brigands venaient à savoir que Sasari n’était pas vraiment ce qu’ils prétendaient qu’il soit, les risques pour qu’ils tuent les otages étaient fortes. Il fallait qu’ils trouvent une solution pour intervenir.]


Fin du chapitre 136

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