Le bébé du Cul de Sac

Les deux hommes ainsi que l'enfant venaient d'entrer dans l'auberge où loger les deux chevalier d'or. L'enfant ayant grâce au cosmo que Shion lui avait transfusé pu respirer de nouveau ce qui rassura à moitié le bélier.

— Madame, demanda paniqué Dokho.

— Oui ?

— Pouvez-vous appeler un médecin au plus vite ?

— Bien sûr, répondit la patronne de l'auberge en prenant à la hâte le téléphone

.

Dokho se retourna et se dirigea d'un pas pressé vers Shion et le nouveau-né, le regard voilé en voyant Shion transfuser de nouveau son cosmo.

— Tu vas t'épuiser à force de faire cela, l'avertit Dokho en posant une main sur son épaule.

— Il le faut bien pourtant ! Cria presque Shion en serrant l'enfant.

— Laisse-moi te remplacer alors..., commença Dokho.

— Excusez-moi, interrompit la patronne en arrivant près d'eux.

— Oui ? Demanda Shion en sentant le manque de son cosmo dans son corps.

La femme d'âge mûr les regarda tous les deux puis dirigea son regard vers le bébé et redressa son visage vers les deux hommes.

— Le médecin va arriver d'un minute à l'autre, je peux vous proposer de vous installez près du feu pour vous réchauffer.

— Merci beaucoup, remercia la Balance en hochant la tête.

La femme repartie vers son comptoir et les deux hommes se levèrent et partir près du feu, Dokho prenant la relève de Shion ne lui laissant aucunement le choix, le forçant à s'allonger pour récupérer.

— Quels parents feraient cela ? Demanda le grand pope soudainement.

— Des parents indignes, lui répondit doucement Dokho en donnant son cosmo à l'enfant sentant le faible pou du nourrisson battre de nouveau.

Ils continuèrent de discuter, Shion se reposant et Dokho passant son cosmo à l'enfant qui commença à pleurer d'une voix faible faisant que Dokho le berça en chantant une berceuse qu'il chantait à Mû quand elle faisait pas ses nuits au Sanctuaire.

— Messieurs ? Commença une voix enroué.

Dokho se retourna vivement l'enfant s'étant calmé vers la source de la voix accompagné de Shion qui s'était entre temps relevé et qui tenait la jambe de Dokho.

— Je suis le médecin que vous avez demandé, se présenta-t-il en tendant sa main sa sacoche de consultation posé soigneusement à terre.

Shion sera la main du médecin et pris le bébé dans ces bras le berçant comme il le faisait avec Mû faisant attiser l'œil du médecin vers l'enfant. Celui-ci après avoir serré aussi la main que lui tendait Dokho s'approcha un peu plus du corps du nourrisson faisant se brusquer sans le vouloir Shion le faisant serrer un peu plus fort le petit paquet dans ces bras.

— Ne vous inquiétez pas monsieur, je ne fais que regarder l'enfant avec mes yeux, rassura le médecin en continuant de regarder le nourrisson avec un air attristé.

— Que se passe-t-il ?

— Êtes-vous les parents de cet enfant ?

— Non... pourquoi ? Demanda inquiet Shion encouragé du regard par Dokho.

Le médecin ne répondit pas, mais sorti de sa sacoche un stéthoscope. Il le mit et commença à consulter l'enfant écoutant ou plutôt essayant d'entendre le cœur battre du bébé. Le médecin soupira en retirant son outil et regarda les deux parents de fortune de l'enfant.

— Le pou et faible mais il est belle est bien présent, savez-vous au moins qu'elle âge il a ?

— Non, mais je suppose qu'il doit avoir moins d'un mois, commença Dokho soutenant Shion.

Shion regarda le petit dans ces bras puis se mit à regarder le médecin cherchant à lire en lui.

— Moins d'une semaine vous voulez dire, commença le médecin en haussant le ton, je peux même vous assurez que ces moins d'une semaine. Où l'avez-vous trouvé ? Finis le médecin d'une voix haute.

— Dans les poubelles d'un cul de sac, répondit sèchement Shion à l'égard du médecin.

— Que se passe-t-il ? Demanda le médecin intrigué tout d'un coup quand le cosmo de Shion sorti de lui-même pour se diriger vers l'enfant.

Dokho ni Shion ne lui répondit la Balance fixant étrangement l'un des ongles de l'enfant.

— Shion, commença Dokho.

— Oui, fit doucement Shion.

— Que se passe-t-il ?

Dokho soupira et se retourna vers le médecin voulant s'assurer d'une chose qui pour Shion était d'une importance capitale.

— Monsieur, pouvez-vous me dire en regardant seulement l'enfant qu'elle serait la raison qui ferait que ces parents les abandonner dans un endroit aussi déshonorant qu'un tas de poubelle, demanda Dokho.

— Bien sûr, répondit vivement le médecin en dirigeant son regard vers l'enfant.

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Voilà, le chapitre 2 est terminé en espérant vous revoir au chapitre 3. Un petit commentaire constructifs ?