Yatolvia

Chapitre 21 : Chapitre 21 : Liwen, un traitre ?

1514 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 09/11/2016 12:11

La nuit tomba et Taylor alla dans sa chambre se repose. Les heures passais et il n’arrivait pas à fermer l’œil malgré la fatigue qu’il ressentait. Il regardait le plafond de sa chambre qu’il connaissait désormais par cœur, soudain il senti un bris fraise sur son visage il se redressa presque instantanément et constata que la fenêtre de sa chambre était ouverte. Il empoigna son sabre et regarda autour lui d’un regard méfiant. Une voix masculine résonna dans l’ombre « toujours en alerte à ce que je vois ». Taylor ne répond dut pas et se contenta d’observer le type s’avancer vers lui, le visage de l’homme apparu dans la lumière de la lune, Taylor commença alors à trembler lorsqu’il reconnut son amis. « Qu’es que tu fais la ? » demanda t’il en régnant son arme essayant de ne pas laissez apparaitre ses angoisse. Au moment où il regarda ailleurs le jeune homme lui sauta dessus, il allongea Taylor et l’immobilisa en s’assaillants à cheval sur lui et en lui tenant les bras. « Qu’es que tu fou » hurla t’il surprit et gêner, mais le visage neutre de son amis ne lui apporta aucune réponse. Il resta comme sa plusieurs seconde a se regardes dans les yeux avants que l’agresseur ne se décide à répondre « pourquoi nous a tu abandonner ? ». Cette question surpris le jeune homme

 

Taylor : Liwen… je ne vous ai pas abandonné je… 

Liwen : alors comment tu appelles un type qui se bar en vous laissent derrière ?

Taylor : après se qui ses passez… et ce que j’ai découvert… ai pensé que le mieux était que l’on ne se revoit pas…

Liwen : donc t’as préféré nous laissez pour mort dans le monde des ténèbres

Taylor : vous étiez dans un hôpital !

Liwen : dans le monde des ténèbres un hôpital ses l’équivalent d’une morgue…

 

Liwen se redressa et lâcha les mains de Taylor, puis il baissa la tête. Sa vois devin étrange, elle vacillait entre le timbre aigu d’une femme et le grave d’un homme « le pire… ses que tu as pensée à ramener Taya dans ce monde mais que moi tu mis a laissez… ». Taylor ne comprenais pas ce qui se passais, mais il comprit ou était sa faute et se senti encore plus coupable, il les avait fait souffrir par le passez et il continuait sans sens rendre compte. Soudain il prit conscience qu’il n’avait pas revus Wélyria depuis qu’il était parti. « Liwen… ou est Wélyria ? Pourquoi se n’ai pas elle qui me dit tout ça ? » Demanda t’il légèrement inquiet. Liwen releva la tête et le regarda à nouveau dans les yeux « elle ses laissez disparaître » répondit-il de sa voix d’homme puis il se leva et parti par la fenêtre de la quel il était entré. Taylor resta muet face à cette annonce la culpabilité et la tristesse se lisait sur son visage.

Liwen déambula dans les rue durant les heures qui suivirent avants de rentré au château ne sachant pas ce qu’il devait faire, il s’était résigner à mourir et n’avais plus gout a rien. Sur le chemin pour aller à sa chambre il croisa Krystal qui pleurait dans un coin isolé. Liwen s’approcha d’elle doucement avant de s’assoir juste accoté. Presque aussitôt Krystal lui dit tout se quel avais sur le cœur sens qu’il est besoin de lui demander. Elle se sentait responsable de la guerre, si elle était restée à sa place des milliers de vie auraient pu être épargné. Elle excusa aussi pour les torture que son père avais fait au jeune homme. Liwen ne savais pas comment la réconforter « Wélyria aurai su comment faire elle » pensa t’il avants qu’une larme ne coule sur sa joie. Krystal fut toucher par ses larme et se blotti dans les bras du jeune homme un peu gêner.

Abel passa précisément a ce moment la non loin d’eux, vois sa bien aimez dans les bras d’un autre eu le même effet que si on lui arrachait le cœur. Il partit sens rien dire le regard remplis de haine.

Le lendemain Liwen et Taylor fut convoquer par le roi. Il leur expliqua qu’ils étaient de grand guerrier et qu’il voudrait les intégré a son armé a des poste importent. Il proposa à Taylor de devenir général, ce qui était un grand honneur pour Taylor même si il était assez hésitant. Et proposa ensuite de Liwen d’intégré la milice secret diriger par le prince. Ce qui n’avais pas l’aire de plaire à se dernière. « Père je suis désoler mais je refuse d’avoir un traitre dans mes rend » lança t’il a la stupeur général. Le roi lui demanda de s’expliquer car il ne voyait pas en quoi Liwen était un traitre. Abel se mis face à Liwen et le regarda de haut en bas avants de s’expliquer « il a parlez sous la torture aucun de mes homme ne le ferai, ses sa faute si notre ennemi nous a déclaré la guerre sa faute si tous ses homme vont mourir, je refuse d’avoir un telle homme dans mes rang ». Le roi paru perplexe, son fils n’avais pas totalement tort, Liwen avais divulgué des informations secret qui on entrainer la guerre. Le roi réfléchi pendants plusieurs minute avant de se lever «  le prince a raison, entant que roi je ne peux faire l’impasse sur les évènements qui ont conduit à cette guerre, si vous avez une fois révéler des informations qui nous dit que ça ne se produira pas à nouveau, je suis désoler mais nos loin son claire Liwen vous ait déclaré coupable de trahison les seuls châtiments son la mort ou l’exile ». Taylor n’en revenais pas il se dressa contre le roi et défendu du mieux qu’il pouvait son amis. Mais Liwen resta silencieux se contentent d’écouter son amis le défendre en vin, et regardez Abel se satisfaire de son sort. Liwen finit par leur tourner le dos et s’éloigner d’un pas calme. « Qu’es que tu fais ? » demanda Taylor, même si il le savait déjà. « Mourir ou partir, le choix n’ai pas difficile à faire… adieux mon amis » se fut ses dernier mots avant de disparaître derrière la grande porte de bois.

Après son départ Taylor passa plusieurs jour à sa recherche dans tout le pays, sens le moindre résulta et finit par abandonnez tout espoir de le revoir un jour. Il se sentait encore plus coupable, il les a arraché à leur famille enfants, leur a gâcher la vie, par sa faute il a été torturé, ses faits exiler et Wélyria est morte. Ses penser entant son esprits nuis et jours, et lorsque les combat entre les deux armez commencèrent il n’était pas près.

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